Chapitre 18: Te dévorer

Ce chapitre contient une scène lemon. Vous êtes prévenu .

Chapitre 18 :

Les choses avaient évolué tellement rapidement entre eux, comment en étaient-il arrivé là ? Un simple contact fait au hasard, à cause d'un pouvoir stupide, mais parfois un peu trop efficace. C'était à cause du renard argenté, si à présent les deux bagarreur de l'équipage au chapeau de paille ne se sentaient plus comme chat et chien, où comme de l'huile et de l'eau. Ils ne se repoussaient plus, et ne se disputaient presque plus, où alors seulement à l'occasion.

Non, tout avait changé entre eux, et à présent c'était l'amour qui succédé à la colère. C'était né comme ça, dans un tous petit contact, dans un petit et insignifiant petit baisé. Et les évènements qui avaient succédé à ce faible contact, n'avait fait qu'accentuer ce beau et magnifique sentiments. Zoro s'était fait avoir en premier, prisonnier des chaines que pouvait être l'amour, il avait compris malgré son esprit borné, et têtu qu'il ne pourrait pas lui échapper. Avec maturité, calme, et sincérité, il avait su faire partager ses sentiments au cuistot qui malgré le bouleversement énorme que cela provoqua en lui, l'avait fait succombé lui aussi à ce tendre et doux sentiments.

Mais l'amour parfois prend un visage inquiétant. A l'exemple de cette folle furieuse qu'était Thalia. Cette femme don l'esprit avait basculé dans la folie avait fait une fixation sur l'homme aux trois sabres, et avait décidé dans un amours où plutôt dans une obsession égoïste qu'il serait à elle et à personnes d'autre. Mélangeant amour et haine, violence et douceur, elle l'avait martyrisé et torturé pendant plusieurs jours. Elle avait voué une haine viscérale envers Sanji, l'être qui avait capturé le coeur de celui , qui lui revenait de droit. Une haine si violente, que le jeune homme blond crut qu'il allait en mourir décapité et à peu de choses près , il avait failli perdre la tête.

Perturbé par cette histoire, Zoro en plus de tomber malade avait mis du temps avant de se remettre de cette histoire qui l'avait un peu perturbé psychologiquement. Et puis il avait appris par la bouche même de la ses amis que cette folle de furieuse s'était suicidé. Pendu avec les draps de sa cellule le sourire aux lèvre, cette femme avait préféré mourir plutôt que de vivre sans lui, et pourtant il n'en éprouva aucune peine, aucune compassion, rien ! Ce vide dans son coeur face à cette histoire lui donna le vertige, et en lui même le vert ce demandait si il n'était au final pas un monstre comme certains le voyaient ?

Et puis le Cook, lui avait dis avec une simplicité déconcertante que " non " il n'était pas un monstre, et que l'amour c'était mieux de vivre pour lui, plutôt que de mourir pour lui ! Les même paroles que la déesse Aimée, qu'il avait vu sur l'ile bleue lui avait dis. Le choque l'avait laissé muet quelque instant, trouvant incroyable que SON Cook, disent exactement la même choses qu'elle.
Il l'avait vu là, dans la semi obscurité, son air confiant, un sourire discret et encourageant, ses cheveux blond et doré, sa peau pale semblait briller dans ce clair obscure. Sa beauté masculine le frappa de plein fouet, comme un choc plus puissant qu'un coup de poing. Il avait alors sentis son coeur se gonfler encore, et encore de cette amour qui le submergeait depuis des semaines. Il avait eu peur que ce sentiment ne devienne une faiblesse, mais à la voir là , devant lui debout, beau et puissant à la fois , Zoro comprit qu'au final il deviendrait sa force.

Son coeur s'était allégé à ses paroles, et l'ombre qui planait au dessus de sa tête et le faisait quelques peu déprimer sembla s'envoler au même instant.

" Cook j'ai envi de toi."

C'est parole franche et osé avait passé ses lèvres, sans qu'il ne s'en rendent réellement compte lui même, mais comme toujours et fidèle à son tempérament, Zoro assumé chacun de ses mots. Et de toutes manière il devait bien se l'avouer, il ne mentait pas à se sujet.

" Alors aime moi."

En toute honnêteté, il ne s'était pas attendu à ce que Sanji accepte aussitôt cette demande aussi clair et précise. Un sourire alors était apparus sur son visage trop souvent sérieux. Avec peut-être un peu trop d'ardeur, il l'avait serré contre lui, murmurant à son oreille des mots doux, et des mots tendre comme si s'était une confidence et un secret, qu'eux seuls devait connaitre. Éloignant un peu son visage, il avait remarqué que les joues d'ordinaire pale du cuistot, avaient viré aux rouge pivoine, les bras de ce dernier étaient autour de son cou, et pourtant le sabreur pouvait y sentir un léger tremblement. Est-ce que son bel amour avait peur de ce qui allé se passer ? Comme dans une question silencieuse il l'observa en levant un sourcils.

- Quoi ?...oui bon je suis un peu nerveux... avait marmonné du bout des lèvres Sanji, mais...enfin ... à l'inverse d'avec les femmes, avec les hommes je suis plutôt....heum...

- Novice ? proposa comme terme le vert.

Un simple mouvement de tête positive répondit à sa questions.

- Je ferais attention, promis à nouveau Zoro avant de s'emparer de ses lèvres.

Honteux de se sentir aussi paniqué, et inquiet le cuisinier tentait de son mieux de se raisonner. Il n'était plus un gamin, il n'était pas totalement inexpérimenté non plus dans les relations physique, même si il n'avait à ce sujet connu que des femmes. Mais bon, malgré les propos et sourire confiant que lui affichait le sabreur, l'angoisse était toujours là, incontrôlable. Alors plutôt que de se concentrer la-dessus, il essaya de son mieux de débrancher son cerveau et de se laisser aller à ses envies.

Autour de sa taille il sentait la pression forte et douce à la fois du vert, avec un léger sourire provoquant, il vit arriver ces lèvres qui lui faisaient tend envie, un soupire de soulagement se fit entendre à se contacte. Comme si il n'avait pas été embrassé depuis des mois et des mois.
Avec douceur, car il essayait de calmer son tempérament fougueux Zoro accentua le baisé, sa langue un peu curieuse lécha cette jolie bouche dont il se sentait addicts. Bientôt elle fût rejoint par sa jumelle et toutes deux commencèrent à entamer un ballet enivrant et ininterrompu. Elles se caressaient, glissaient l'une contre l'autre et s'enroulaient à nouveau avant de partir explorer les palais de leurs logement respectif. Les deux garçons se séparèrent un court instant avant de s'enivrer à nouveau de ses baisers fougueux et profond. Les corps tremblant de désire, l'envie de l'autre les poussaient à devenir de moins en moins patients.

Avec un peu de brusquerie et entre quelques baiser et quelques grognement d'impatience, les deux hommes ôtèrent leurs vêtements qui s'étalèrent en un petit tas au sols. Et bientôt aussi rapidement qu'un claquement de doigts, ils se retrouvèrent entièrement nu sur le lit. Rouge jusqu'à la racine des cheveux, Zoro ne pouvait s'empêcher de se demander si Sanji n'allait pas lui faire un malaise tend la couleur de ses joues lui paraissaient terriblement écarlate.

- Ça va aller, Cook....avait-il murmuré d'une voix chaude dans l'oreille sensible du cuistot.

Allongé sur les dos, la tête appuyé contre les coussins, le blondinet n'en menait pas large, son coeur s'était définitivement emballé dans sa poitrine et battait des records de vitesses, alors que son visage lui donnait l'impression d'avoir pris feu. Ses yeux bleus, se posèrent dans les émeraudes de son amant, ils étaient envoutant et si beau dans cette faible lumière.

Comme il l'aimait !

Pourtant son regard n'osait descendre plus bas, s'obstinent à s'arrêter qu'au pectoraux musclé du vert. Néanmoins quand ses hanches étroite entrèrent en contacte avec celle du bretteur, un gémissement franchit ses lèvres, immédiatement il plaqua sa mains sur sa bouche. Comme si il aurait dû avoir honte de ce petit sons.

- Ah non ! Grogna faussement Zoro en retirant une main qui scellait la bouche du blondinet. Je veux entendre tas voix.

D'un mouvement de tête négatif, Sanji fit comprendre qu'il fallait pas compter là dessus, s'entendre emmètre de telle sons le remplissait de gêne.

- On verra bien alors....sourit, le sabreur comme si un défis lui était lancé.

Malgré se regard plein de provocation, Sanji restait là, dans les bras de l'homme qu'il aimait et ne souhaitait en aucun cas le forcer à arrêter se qu'il avait entreprit de faire. Plein d'émotions se confrontait en lui, mais le plus important était qu'il ne voulait pas s'arrêter là. Et très vite le blondinet se sentit frémir sous les caresses habile des larges main de celui qui était encore il y a peu son meilleur ennemi. Sentir sur sa peau lisse et laiteuse ses mains capable parfois de donner la mort, lui démontrait enfin de compte combien il était hyper sensible et réceptif, choses nouvelle pour lui. Ses lèvres gourmande réclamaient a n'en plus finir le plaisir simple d'un tendre baiser sucrée cueillie sûr les lippes charnue de Zoro.

De son côté le bretteur donnait l'impression d'avoir beaucoup de peine à ne pas se laisser aller à ses pulsions et à cette envie folle, qu'il avait de se corps et de cette être. Il voulait savourer chaque parcelle de peau, chaque centimètre de se corps élancé, et pourtant si puissant. Il prenait le temps de parcourir de ses mains forte cette homme qu'il aimait comme un fou..mais une folie saine. Il voulait en avoir un souvenir agréable et parfait afin que cela reste gravé à jamais dans son esprit dans un souvenir impérissable.

- Oh Sanji.. Ronronna t-il à son oreille.

La bouche avide du vert s'empara d'une petite perle de chaire rose qu'il martyrisa aux sons de la voix langoureuse du cuisinier qui pour le coup avait perdu le pari de ne laisser passer aucun sons. Souriant, satisfait d'entendre se sons, Zoro offrit un petit sourire conquérant et taquin à la fois ce qui n'offusqua pas vraiment le blond. Puis il descendit un peu plus traçant de sa langue une ligne de feu sur le buste pâle de son Nakama, le faisant à cela rougir aussi fortement qu'un coquelicot. Avec gourmandise le bretteur passa une langue aguicheuse sur ses lèvres pleine admirant sans retenu se corps parfait qui lui était offert , mince, musclé, élancé d'un blanc laiteux. Cette beauté rare ce soir était à lui et rien qu'à lui, il l'aimait du plus profond de son âme et personne, en se monde n'était capable d'aimer Sanji, comme lui l'aimait. Oh, non!

Avec patience, il attendait l'accord du Cook, son Cook pour aller plus loin en le cajolant, l'embrassant et en lui faisant mille gâterie coquine qui éveillèrent toujours un peu plus les sens du jeune homme qui semblait à se moment précis ne plus pouvoir contraindre sa voix au silence, à ses oreilles il entendaient avec délice les gémissements prononcer de Sanji s'élever.
Une main habile du vert, alla caresser ce qui était le plus intime mais aussi le plus visible du plaisir que lui faisait ressentir son amant, l'autre au même instant s'activait avec douceur et habilité à le préparer à sa venue. Une grimace pourtant déforma les trait du visage langoureux du blond...

- Je te fais mal ?

- C'est....non...juste..pas agréable...hmm..mentit un peu Sanji.

Ouvrant un œil, le blond s'autorisa à lancer un coup d'oeil en direction du sabreur qui à ce moment précis , se trouvait entre ses cuisses. Ces yeux émeraudes, et se charisme félin semblait l'envouter complètement. Ses iris s'écarquillèrent lorsqu'il sentit deux émotions distincte, une autre légère douleurs dû à l'intrusion d'un second doigts et l'autre un plaisir fou lorsque son membre tendu disparu dans la cavité buccale de son amant. Un long souffle de soulagement se fit entendre encourageant ainsi le vert à continuer, cet enivrante gâterie.

- Aaah... T'es pas obligé de...aahh....

- T'es sûr, tu veux que j'arrête ? S'interrompit un court instant Zoro d'un air provoquant, avant de reprendre son agréable cajolerie.

- Hmm...id....iot.....aah

Très vite le bretteur mena son amant à la jouissance lui faisant ainsi presque oublier les désagréable sensation à un autre endroit de son anatomie. Zoro le savait s'était la première fois pour le Cook avec un homme, et de tous son coeur il ne souhaitait pas le faire souffrir le moindre instant. Aussi réprimait-il avec quelques difficulté cette folle envie qu'il avait de le prendre sans attendre. A présent, sûr ses larges épaules matte il sentait les cuisses tremblante du blondinet son esprit chancelait dans l'envie brûlante qu'il avait de cet homme, mais il ne voulait surtout pas tout gâcher à cause d'une pulsion brusque et stupide...Pourtant...

- Zoro.. souffla le cuistot au bout d'un moment les yeux mit clos, les bras noué autour du cou de ce dernier ... viens en moi...

En toute franchise, après avoir entendu cela, avec une visage aussi lascif et séduisant le sabreur se demandait comment il arrivait encore à garder son calme et son esprit clair. A son tour il sentit son visage devenir écarlate, pourtant il arriva à se raisonner et pris une profonde respiration...

- Viens.... s'impatienta presque le blondinet.

Les yeux, dans les yeux, le bretteur observait le moindre changement d'expression chez son amant au moment même où il le pénétra, avec lenteur il évolua dans cette être qu'il affectionnait tant, l'angoisse de lui faire mal tournait toujours dans son esprit le rendant un peu anxieux bien malgré lui. Cependant cette même anxiété disparut au moment même ou un plaisir fulgurant le submergea le faisant serrer les dents, c'était si difficile d'être calme. Un grognement se fit aussi entendre du cuisinier qui se mordait la lèvre inférieur, lors de cet instant que peu agréable, ses doigts se crispèrent sur les épaules,  ses ongles bien involontairement déchiraient la peau ambré. Ses yeux se brouillèrent un peu alors que dans un mouvement de tête, il encouragea Zoro a se mouvoir l'incitant à reprendre là ou il s'était arrêté un court moment.

Avec précaution, le vert commença à se mouvoir, faisant avec lenteur de léger va et viens, laissant ainsi à son amant le temps de s'habituer à cette sensation assez particulière. Toute fois les sensations que ressentaient le sabreur était si enivrante, si agréable qu'il ne put s'empêcher d'accélérer le rythme. L'idée étrange qu'avait eu Sanji de ne pas émettre le moindre sons était déjà bien vite oublié, la douleur du début avait laissé place lentement mais surement à un plaisir qui ne cessait d'augmenter à chaque coup de rein. En toute honnêteté, il ne s'était pas attendu à ressentir une telle sensation, c'était si bon, si agréable à présent que sa voix avait semble t-il envahi toutes leurs chambre. Ses cris et ses gémissement s'étaient joints à celle du bretteur, qui le regard amoureux, s'enivrait de cette vision magnifique d'un Cook submergé par le plaisir. Sa langue gourmande passait sur les lèvres, un peu comme le ferait un lion affamé face à une proie.

L'excitation était totalement folle, le plaisir trop grand et inédit à la fois les longues cuisses blanche du blondinet, étaient descendu des épaules pour finirent par s'enrouler autour de la taille puissante de Zoro, le sentant ainsi aller encore plus loin en lui. Se dernier grognait de satisfaction clôturant de ses lèvres charnue la bouche gémissante de son " ancien meilleurs ennemi". Les mouvements prirent de l'ampleur jusqu'à toucher cet endroit sensible et particulier. L'instant était si intense que le vert ne faisait plus attention à son dos martyrisé par les griffes du cuistot. Ses hanches bougeaient avec habilité, un sourire satisfait naissaient sûr son visage, Oh, combien virile, jamais il n'avait vu Sanji aussi expressif et aussi excitant à la fois, et son orgueil se flattait d'être le seul à pouvoir se délecter et admirer ainsi, ce magnifique et si beau compagnon lorsqu'il était envelopper de plaisir.

- ...J...J'nen peu plus .. si..bon..ahh ..Zo..

- Moi non pl... commença a dire le vert en sentant une jouissance fulgurante le frapper aussi rapidement que l'éclair.

Leurs deux corps serrés s'arquèrent, Zoro avait toujours les mains agrippées aux hanches surélevé de son amant alors que se dernier saisissait le tissue du lit jetant en arrière sa tête magnifique faisant à ce simple geste voler sa belle chevelure blonde en tout sens. Un dernier cri commun s'éleva dans la chambre, avant d'être envahi par un faible silence entrecoupé seulement par leurs respiration un peu bruyante.

A présent, Sanji était allongé les bras en crois son regard encore embrumé par cet instant fou, était posé sur le plafond. Peu à peu, son rythme cardiaque ainsi que son souffle revinrent à un rythme normal. Sa bouche était entrouverte et sur son ventre était posé la tête de Zoro.
A l'extérieur la jour avait laisser place à la nuit, qui tombé tôt sur cette ile, un vent glacé se faisait entendre à l'extérieur encouragent ainsi les deux hommes à rester bien au chaud sous la couette.

- Je suis foutu, marmonna au bout d'un long moment le bretteur en se laissant glisser sur le coté.

- Comment ça ? S'étonna, le cuistot en tournant son visage  échevelé, montrant pour la toute première fois de sa vie ses deux yeux en même temps.

- Et bien , c'est évident marmonna Zoro en baillant, avant c'était de l'alcool don j'étais accros à présent ça sera de ton petit corps...et tes petites fesses.

- Qu..quoi ?

- De ton visage lascif, ...de tes cries.. continua le bretteur..

- Hey..!

- De cette façon que tu as de dire mon prénom dans ses moments là... un frisson agréable sembla parcourir l'échine du vert...Brrr...j'adore....! Affirma t-il en ouvrant enfin les yeux.

- Idiot... bredouilla, le blond avant de faire une tape sur l'épaule musclé de son amant.

- Ah ? Tiens, c'est la première fois ça ...

- De quoi ?

- Que je vois tes deux yeux en même temps !

- Que ...quoi ? S'exclama Sanji en remettant bien vite sa mèche de cheveux devant l'œil.

- Mais ..cook..

- La moindre remarque, la moindre petite parole de travers sur mes sourcilles, et plus jamais de tas vie du me touchera ! Et je t'ai déjà dit de m'appeler par mon prénom.

Visiblement très complexé par ses sourcilles asymétrique, Zoro prit l'heureuse décisions de ne rien ajouter de plus et ce cala un peu plus confortablement contre son bel amant. Pour une fois de sa vie il se montrait tendre et doux. Il avait envi de cajoler quelqu'un, de le garder dans ses bras, d'être avec lui et rien qu'avec lui. Et même si ce calme et cette tranquillité qu'ils vivaient là, était éphémère et que l'aventure allait bien vite reprendre " ses droits". Zoro le savait à présent , il avait un but ultime à atteindre, plus un trésor précieux à défendre. Cela lui donnait encore plus l'envie de se surpasser. 

- Cook ?

- Zoro....

- Bon très bien, Sanji.

- Quoi ? Répondit le cuistot qui avait malgré les grimaces du vert allumé une cigarette qu'il savourait avec une plaisir non dissimuler. Pffiouuu...

Un long ruban de fumer s'étira dans la pièce, alors que Sanji s'asseyait plus confortablement dans le lit.

- Dit moi que tu m'aimes !!

- T'as l'air d'un gros bébé, à dire ça ! Plaisanta le blond et caressant de son autre main libre la tête verte posé sur son épaule.

-Allez !

- Pfiouuuuu... un cercle à présent s'envola dans la chambre. Zoro je t'aime.

- Encore une fois !

- Quoi encore ?

- Ouais !!

- Zoro je t'aime.

-Encore ?

- T'es sérieux là ? S'impatienta légèrement le blondinet.

- Ouais et pas qu'un peu.

- Tu fais chier !

- Je sais, mais c'est pour ça que tu m'aimes !

- Idiot, je t'aime, je t'aime , je t'aime, je t'aime. T'en a assez ?

- Jamais j'en aurai assez !

Oh non, ces mots tendre jamais , au grand jamais il n'en aurait assez. Et toujours il chercherait à s'enivrait de ses quelques petits mots, qui peuvent bousculer toute une vie.

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Bon, j'espère que ce lemon ne vous à pas déçus. Finalement j'ai décidé que cette histoire se terminerais sûr ce petit moment intime entre nos deux loustiques. J'espère que cette fanfiction vous à plus. Et vous remercie pour votre lecture.

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