Chapitre 17: Plutôt vivre, que Mourir !
Chapitre 17 :
Lorsque Chopper l'avait enfin libéré de ces chaines qui l'avait maintenu captif pendant près de trois jours, Zoro n'eut qu'une envie sur le moment. Éliminer la source même de cette torture. Et lorsque Luffy lui avait lancé ses sabres, avec rapidité -malgré son état- ils les avaient calé à sa ceinture, et s'était emparé de son précieux sabre blanc, le Wadô Ichimonji, hérité de Kuina. Son regard était sans pitié et son attention était très net, il voulait tuer cette femme, cette folle qui l'avait torturé jours et nuit, et qui avait presque failli décapiter Sanji. Le regard mauvais il avait placé la pointe de la lame sûr la gorge de Thalia qui s'était évanouie de trouille, face aux multiple mains de Robin. Un sourire presque mauvais s'était dessiné sur ses lèvres, il n'avait qu'à appuyer transpercer la gorge et tourner son sabre afin de briser en un coup net la nuque de cette folle furieuse. Il était près à le faire, se fichant de commettre un meurtre sous les yeux de ses compagnons. Mais une main s'était posé sur son bras à demi ankylosé et abimé par le froid.
" Ne fait pas ça, marimo."
Comment ça, ne fait pas ça ? Pourquoi le Cook lui demandait-il une choses pareil ? A cause de sa foutu galanterie ? Sur l'instant Zoro avait reniflé de mépris, avant de rappeler au cuistot qu'il n'était pas un gentil petit gars, ni un gentleman, et qu'elle soit une femme était le cadet de ses soucis. Et s'était bien vrai, femme où homme, face à lui il faut s'attendre à avoir une réponses des plus sévères. A partir du moment, où quelqu'un décide de se battre contre lui, qu'importe son genre, il devient son ennemi à ses risques et périlles et ceux qu'importe les arguments que pourrait lui déblatérer Sanji.
Pourtant le blondinet semblait peu enclin à le laisser la tuer, non pas parce que s'était une femme, mais juste parce qu'ils avaient perdu assez de temps avec elle. C'était assez vrai ! Toutes ses précieuses minutes qu'elle lui avait volé et qu'il aurait pu passer au près de ce bel homme don il était tombé follement amoureux, elle lui avait volé. Avec lassitude, et aussi parce qu'il se sentait vraiment pas au mieux de sa forme, Zoro avait fini par accepter d'épargner la vie de Thalia. Et avait plutôt recentré son attention sur le cuisiner.
" Je t'aime, Sanji." Lui avait-il dis non sans le taquiner un peu avant.
Dans son cou, il avait senti se dernier se nicher, contre sa peau bleui par le froid, avait senti la respiration chaude du Cook, s'était agréable mais pas suffisant pour lui faire du bien. Alors il avait fini par sortir de cette maudite grotte, sa démarche était douloureuse, son visage tuméfié fit faire un bon d'horreur aux membres de l'équipage, lorsqu'il fut exposé à la lumière naturel.
- Mon dieu, avait soufflé Nami avec horreur en portant les mains à sa bouche. Qu'est-ce qu'ils t-on fait ?
- Est-ce que tu te sens capable de rentrer à l'hôtel à pied, où tu as besoin d'aide ? Demanda Chopper très inquiet par l'état du sabreur.
- Je peux t'aider à marcher, proposa Ussop.
- Je peux y aller tous seul ! Avait affirmé le vert dans une petite pointe d'orgueil, mais à peine avait-il fait deux pas qu'il s'effondra au sols.
Les sévices de Thalia l'avait affaibli plus qu'il ne l'aurait cru, et Zoro sentit ça comme une profonde et honteuse humiliation. Choses qu'il ne supportait pas ! Sanji s'était alors proposé de le porter sur son dos, mais le petit médecin de bord l'en avait dissuadé à cause de la grave coupure qu'il avait au cou, ainsi que le blessure dû au coup de poignard.
- Tu as déjà perdu assez de sang comme ça !
Finalement s'est avec le soutient de Luffy et Ussop que l'équipage parvient à ramener le sabreur à l'hôtel. Par la suite ils durent attendre plus d'une heure que Chopper finissent les soins des deux hommes. Pour Sanji se fût surtout des points de suture dont il eut besoin, ainsi qu'un bandage un peu serrer pour ses deux côte cassées, et quelques pansement. Pour Zoro se fût un peu plus long, il dût d'abord le mettre sous perfusion à cause de sa sévère déshydratation. Ensuite le petit médecin dut l'examiner des pieds à la tête....le jeune homme était affamé, il avait plusieurs cotes cassé lui aussi, l'arcade sourcilière explosé, un œil fermé par les coup de poings que lui avait donné Thalia dans une de ses crises de folie, et il avait aussi une température dangereusement basse.
- Est-ce que tu te sens un peu mieux, avait demandé le petit Renne sa frimousse un peu inquiet.
- Oui, ça va !! Je suis juste très fatigué.
- C'est normal, ton corps a du pomper dans ses réserve pour te maintenir...en vie... Alors reposes toi, je passerais toute à l'heure. Encouragea Chopper en levant ses yeux en directions de Sanji...Tu veilles sûr lui ?
D'un simple mouvement de tête, le cuisinier avait répondu à la question du Renne.
- Faut qu'il mange mais ne le gave pas surtout.
- Ne t'en fait pas, je sais se qu'il faut faire dans ce genre situation.....
- Bon je vais dire à Luffy qu'il faut vous laissez vous reposer, sinon il risque de vous embêter !
De son petit pas trottinant Chopper sortit de la chambre, qu'occuper Zoro et Sanji. La sabreur ne dormait pas, il restait juste tranquillement allongé dans la chaleur du lit, malgré les tremblements incontrôlable qui agitait son corps. Ses yeux restèrent un long moment fixé au plafond, avant de les tourner en direction de Sanji. Il le voyait tranquillement appuyé sur le bois de la fenêtre à regarder l'extérieur, le bandage qu'il avait au cou démontraient combien il avait risqué gros, si Luffy était intervenu quelques minutes plus tard, Sanji aurait perdu sa tête ainsi que la vie. Une grimace de colère, déformait un peu ses traits. Comment aurait-il réagit si cette folle avait été jusqu'au bout ? Une image horrible lui vient à l'esprit....
- Ne pense pas à ça ! Lui lança Sanji, qui à son tour s'était mis à l'observer. J'ai la tête sur les épaules et crois moi elle est bien accroché !
- Oui, c'est vrai !!
- Tu as encore froids ? Demanda le blond ! Tu as faim ?
- Oui à la première questions, non à la deuxième...
- Tu as besoin de manger un peu, tu sais ! Le réprimanda Sanji !
- Faux ! C'est de toi, dont j'ai besoin.
Et comme pour confirmer ses dirent, il sortit les deux bras de dessous les couvertures tout en faisant attention à la perfusion. D'un coup d'oeil, et d'un simple sourire il invita le blondinet à se blottir contre lui.
-Euh...et si Chopper rentre....bredouilla Sanji les pommettes rosissante, se sentant soudainement timide.
- C'est le cadet de ses soucie, j'en suis sûr. Et vos mieux que ce soit lui que quelqu'un d'autre. De toute manière, se n'est qu'un simple câlin..
L'argument n'était pas mauvais. Alors, le blondinet, se glissa avec attention sous les couvertures, puis avec précautions, il se cala contre le corps encore un peu froid de Zoro. L'un comme l'autre firent une grimace en sentant une douleurs se réveiller au niveau de leurs côtes cassés. Le soleil à l'horizon commençait à baisser, et peu à peu leur chambre entra dans la pénombres. Le souffle calme, satisfait pour le moment de se sentir l'autre contre soit, les deux hommes ne demandèrent pas plus. Malgré tous la température du bretteur sembla mettre un peu de temps à remonter, aussi était-ce pour cela que le blondinet tentait de le réchauffer du mieux qu'il pouvait à l'aide de son corps. Mais parfois ses faux mouvement lui faisait faire une grimace de douleurs.
Cette folle furieuse ne l'avait pas ménagé non plus, la blessure au couteau, ainsi que ses cotes cassés, et la plaie de son cou, était assez sensible. Pour le réconfort qu'il avait promit au bretteur afin de l'encourager à croire à leurs délivrance prochaine, il verrait ça plus tard.
Zoro avait fini par s'endormir contre lui, le front appuyé contre son épaule, sa respiration était calme et son corps un peu plus chaud que ce que cela avait été. Avec précaution et afin aussi de ne pas le réveiller, Sanji, alluma la lumière situé de son côté de lit, d'un œil curieux il observa " son marimo ". A dormir ainsi Zoro avait l'air d'un gamin, son visage était paisible et détendu, et parfois même il marmonnait des choses pas toujours compréhensible.
" Trop mignon," murmura tous bas le blondinet avant de se gêner tous seul. Car il n'était pas encore toute à fait habitué à penser et à dire des choses si douce à l'encontre du vert.
Doucement il déposa un baiser sur le front de Zoro. Jamais il n'aurait cru qu'une femme puisse aimer le vert, au point d'en devenir totalement cinglé. Enfin pour la folie, Sanji pensa que la jeune femme devait l'être bien avant que le bretteur ne la débarrasse de son père violent, mais que cette même folie s'était accentué par son obsession envers son Nakama. Mais malgré tous, c'était comme si il découvrait une nouvelle facette jusque-là inconnu du dormeur professionnel. Jusqu'ici et avant que leurs sentiments l'un envers l'autre évoluent de cette façon, le blondinet n'avait jamais vraiment fait attention au fait que Zoro puisse plaire au femme, et visiblement pas qu'un peu. Mais le sabreur lui même semblait n'avoir jamais fait attention à cela, une fois il avait vu une jeune femme magnifique lui faire ouvertement du rentre dedans dans un bar ou ils avaient été tous boire un coup, et Zoro l'avait superbement ignoré et était même allé jusqu'à l'envoyé balader de manière assez grossière.
A nouveau cette question revient, à l'esprit du cuistot.
" Zoro était-il gay ? " N'avait-il jamais eu envi d'avoir près de lui une seule femme ? Dans ce cas-là avait-il déjà eu un amant ? Beaucoup ?..
A nouveau Sanji baissa les yeux, et observa le visage paisible, du bretteur. D'un simple mouvement de tête il chassa ses questions inutile de son esprit. A nouveau, il déposa un autre baisé sur le front, ils auraient bien le temps de discuter de tous ça plus tard. L'important pour le moment était que Zoro récupère au plus vite de cette mauvaise expérience.
Au court des jours qui suivirent Zoro ne fit presque que dormir et mangé, non pas que c'était là , une marque de fainéantise où quoi que ce soit, mais à cause de son exposition prolongé au froid atroce de la grotte, il avait fini par attrapé un très gros rhume. Reniflant à tous vas, toussant à sans arracher les poumons, crevant de chaud à cause d'une fièvre de cheval le bretteur restait terrer au font du lit maudissant d'avantage Thalia pour l'état dans lequel il se trouvait. A un moment donné Chopper avait même proposé à Sanji d'échanger de chambre tous les deux afin de lui éviter d'attraper un rhume lui aussi, et facilitant ainsi au petit renne la surveillance de " son patient." Mais le blond refusa tout net.
Tous d'abord, il connaissait assez Ussop et Luffy pour savoir que ces deux-là étaient deux grand gamins incapable de se calmer et rien que cette idée lui mettait les nerfs en pelotes. Subir leurs bêtises ? Très peu pour lui ! Et puis le cuistot savait pertinemment que son capitaine se lancerait dans des " pourquoi ceci, où pourquoi cela, ? " et le risque d'aboutir à des questions gênante était plus qu'élevé. Et enfin la raison la plus simple était qu'il ne voulait tout simplement pas quitter le chevet du bretteur.
Durant les quelques jours qui s'était écoulé, les autorités de l'ile avait été mettre la main sur Thalia et sa bande de sous-fifre, qui étaient resté près de deux heures enfermé dans la grotte. Ce qui était aux yeux de Zoro bien peu de choses en comparaison de ce qui lui avait subit. Menotté et étroitement surveillé, la petites bande du chapeau de paille, qui était dehors à ce moment là, avait été témoins de leurs arrestation. Le sourires provocateur sur les lèvres, une mains sur son chapeau Luffy regardait , cette femme qui avait voulu lui volé un de ses compagnons et en tuer un autre.
Thalia qui avait finis par remarquer sa présence, devient totalement hystérique, menotté au poignet, surveiller par deux agents du commissariats local, elle avait réussi malgré tous à leurs donner deux grands coup de tête en pleine figure avant de courir en direction de Luffy.....
- Ou est Zoro ? Gueulait-elle les yeux exorbité ! Ou est mon homme ?
- C'est quoi cette folle ! Avait beuglé l'un des hommes dont le nez cassé pisser le sangs.
Avec rapidité pourtant il s'était relevé et avec l'aide de plusieurs de ses collègues avaient fini par rattraper et maitriser la folle furieuse, qui hurlait des menaces et des insanités à l'intention de Sanji, qui la regardait d'un air mauvais, mais ne disait rien malgré tous. Jamais il n'avait été l'objet d'une telle haine et cela le choqua un peu. Il fallut pas moins de 4 personnes pour maitriser Thalia, et quand cela fût enfin fait, ils purent la jeter en prisons, ou elle serait livré à la marin plus tard pour les nombreux délits qu'elle avait commis sur l'île.
Un responsable des autorités s'approcha de Luffy et de son équipe ( Zoro est toujours alité). Il avait une taille moyennes , une épaisse paire de lunette qui grossissait ses yeux, ainsi qu'un ventre relativement rebondit.
- Bon dit-il d'une voix grave. Vu les services qui vous nous avez rendu en arrêtant ces misérable, je ne vous dénoncerez pas à la Marine, Monkey.D.Luffy...Cette cinglé, est un vrai dangé publique à elle toute seule, avec ses complices, elle a pillé plusieurs boutiques, volé et tué bon nombre de nos concitoyen.
- C'est...une meurtrière....? S'exclama Ussop choqué....
- Quoi ? Gronda Sanji, t'avais encore un doute à se sujet ? Elle a voulu me décapiter j'te rappel.
-...euh non, mais je penses à ses pauvres gens...c'est tous....bredouilla Le sniper. C'est horrible....
Quelques jours plus tard , Nami accompagné de Ussop passa au commissariat afin de signer, un témoignage qui resterait anonyme aux yeux de la marine. Tous les deux avaient été choisi pour cette corvée, car ils n'avaient pas de prime sur leurs têtes, ce qui était moins dangereux, et aussi parce que Sanji et Luffy refusaient catégoriquement de faire plus attention à cette affaire.
Avec exaspération la jeune femme rousse s'apprêtait à sortir du bureau où elle venait de signer le papier après l'avoir fait attendre plusieurs heures. Quand......
- Bah qu'est-ce qui se passe ? Demanda Ussop à voix haute.
Il régnait dans les lieux une grande agitation. Le personnel courait dans tous les sens, et semblait un peu paniquer.
- Excusez-moi, intervient Nami, en prenant les bras d'une femme blonde qui passait devant elle . Qu'est-ce qui se passe ?
- Oh , c'est vous ? Et bien la femme au cheveux rouge, qui à agressait vos amis ...Elle s'est pendue dans sa cellule, à l'aide de ses draps. On la retrouvait ce matin, elle avait....un grand sourire sur le visage.......
- QUOI ? Pendue ? Hurlèrent d'une seule voix Nami et Ussop.
- Elle a laissé une lettre à l'intention de Roronoa Zoro..
Sans qu'ils aient eu le temps d'ajouter quoi que ce soit, la jeune femme disparu parler à l'un de ses supérieurs qui semblait très énervé par tous se remu ménage. Et après avoir poussé une grosses gueulante, il donna quelques ordres, et se dirigea en directions des deux Nakamas.
- Bon, cette histoire vas être finalement réglé plus vite que prévus. Là-dessus il tendit une lettre en direction de Nami et de Ussop. Fait en ce que vous voulez, les dernières volonté d'une meurtrière n'as aucune valeurs à nos yeux. Elle sera enterré dans une tombe anonyme et plus personnes n'entendra parler d'elle...quand à ses sous-fifre, la marine s'en occupera....
Avec un peu de brusqueries les deux amis furent mit hors du bâtiments, comme si les autorités de l'ile n'avaient pas aimé être dérangé dans leurs quotidiens tranquilles et qu'ils jugeait Luffy et ses amis responsable. Sans osé ouvrir, ni lire la lettre, Nami et Ussop retournèrent à l'hôtel en courant. Dans le petits salon près du poêle se trouvaient Sanji, Robin, Chopper et Zoro qui semblait avoir meilleurs mines. Luffy lui s'amusait avec l'énorme chat du propriétaire de l'auberge.
- Alors ? Dit-il, ça c'est bien passé ?
- Euh...si on peut dire ! Murmura Nami , qui ne savait pas trop comment annoncer la nouvelle.
- Et bien, qu'est-ce qu'il y a Nami-chér...
- Hey...gronda Zoro, la mine boudeuse, en direction du Cook.
- Hé ho, on se calme, Marimo ! C'est juste un surnom, !! Répliqua Sanji en levant les yeux aux ciel. Alors Nami, vous n'avez pas eu de soucies ?
- Non aucun, répondit Ussop...mais...euh comment dire ....
- Et bah quoi ? Accouche , qu'est ce qu'il y a ? Demanda Luffy alors que le gros félin s'était glissé dans sa chemise et s'agitait dans tous les sens, provoquant les rires du capitaine.
- Et bien c'est...cette femme, Thalia....
- Elle s'est échappé ? Demanda Zoro, la main sur un de ses sabres. L'idée ne lui paraissait pas étonnante au vu de la vitalité de cette folle furieuse.
- Euh...non bredouilla Nami...en faite...
A son tour Sanji se leva et s'approcha de la jeune navigatrice, puis il tendit la main en voyant la lettre que la jeune femme gardait crispé dans sa mains....
- Qu'est ce que s'est ? Demanda t-il une cigarette coincé au coins des lèvres.
- Elle....s'est suicidé !
- Quoi ? Firent le groupes...
- Je penses , ajouta Nami, qu'elle a fait une crise de folie, et ...ses yeux se portèrent sur Zoro qui semblait choqué par la nouvelle. Elle.....elle n'as pas supporté que Zoro lui échappe...elle a du comprendre que....enfin....elle ne l'aurait jamais et .....et....elle s'est pendue..
- C'est...une lettre qu'elle a laissé, c'est ça ? Questionna le cuisiner, en prenant la lettre que Nami lui tendait. Il y avait une tache de sang sur l'enveloppe.
D'un simple mouvement de tête Ussop répondit au blond, qui se retourna en direction du sabreur. Zoro avait la mine mauvaise, et se bouche arqué vers le bas ne lui donnait pas vraiment l'air aimable. Et comme si malgré le silence il avait deviné la questions de son cuistot il répondit.
- Je ne veux pas savoir ce qu'elle à écrit... Brûle ça ! Bougonna t-il en détournant le visage.
- Mais...Zoro, tu comprendrais peut-être mieux....tenta d'argumenter Chopper.
- NON ! Tonna t-il. Je ne veux pas la comprendre, j'ai rien demandé moi, c'est elle qui a fait une fixette sur moi. Je lui dois rien.
- Elle avait l'esprit malade, souffla d'une voix calme, Robin comme pour demander un peu de clémence pour la jeune femme malade mentalement.
- JE NE LIRAIS PAS CETTE FOUTU LETTRE ! s'écria le bretteur la respiration rapide, avant de se laisser emporté par une quinte de toux.
- Tu as sans doute raison, intervient Luffy. C'est à toi de décider.
D'une mouvement tête, le bretteur acquiesça puis sans même dire quoi que ce soit d'avantage, il remonta à l'étage afin d'être seul dans sa chambres. La mort de cette folle furieuse n'était pas son problème. Ce n'était pas sa faute à lui ! C'était elle qui avait fait ce choix. Jamais il n'avait voulu vivre une histoire aussi dingue. Jamais !!
De ses yeux bleue Sanji, observa le sabreur monter les marches. Dans sa main il était entrain de broyer inconsciemment la lettre de suicide de Thalia. Ce genre d'amour quand on en entend parler et parfaitement effrayant, mais à subir ça devait être pire. Très vite les regards intensif de ses amis le sortit de ses pensées. D'un geste rapide, il sortit la lettre et commença à la lire...
-Alors ? fit Luffy, qu'est-ce qu'elle dit ?
Le visage du blondinet était crispé, jamais une lettre ne l'avait mis aussi mal à l'aise. C'était juste les déblatérations d'une femme don l'esprit avait définitivement basculé dans la folie. Elle disait tous le long combien elle aimait Zoro, combien il allait regretter le mal qu'il lui faisait. Elle le culpabilisait le maudissait... et bien d'autre propos encore plus horrible obscène et malsain suivait le tous.
Ce n'était pas de l'amour ça !
- Alors, il n'y a rien à lire ! Expliqua Sanji la mine dégouté, avant de chiffonner la lettre et de la jeter dans le poêle. Zoro n'a pas besoin de lire ça !
- Tu as sans doute raison, reconnu Chopper. Il doit se rétablir et aller de l'avant, voila ce qu'il lui faut.
- Et aussi de beaucoup de viande !!! Ajouta Luffy dans son grand sourire habituel.
- Où plutôt de beaucoup d'alcool, plaisanta Ussop.
- Il a peut-être besoin d'autre choses que de boire et bouffer ! Coupa Nami, sidéré par les propos.
- Je penses dans tous les cas, qu'il serait plus judicieux de ne plus parler de cette affaire à Zoro.
- Je suis d'accord avec toi Robin ! A partir d'aujourd'hui, on ne parle plus de ça ! D'accord ? proposa le blondinet.
Tous furent d'accord avec l'idée, satisfait de cette réponses, Sanji monta à son tour les marches faisant comprendre d'un simple coup d'oeil qu'il serait sympa de ne pas le suivre. Chopper proposa alors à Robin de jouer au échec et Luffy, Ussop et Nami prirent le parti de jouer à un autre jeu de société, où la navigatrice promis dans un rire diabolique des plumer l'un comme l'autre.
Lorsqu'il entra dans la chambre, Sanji vit aussitôt Zoro a la fenêtre, les mains dans ses poches, l'épaule appuyé contre le châssis en bois. De ses yeux vert, il observait les montagne au loin, et essayait mentalement de deviner dans lequel il avait été enfermé. La lumière était éteinte, et la faible lumière extérieur de la journée dut au gros nuage gris dans le ciel illuminait que très peu la pièce.
- Tu l'as lus ?
- Oui, reconnu Sanji, ne pouvant se résoudre à lui mentir.
- Et ?
- Elle n'a rien dis de nouveau ...que ce qu'elle t'as déjà dis durant tas captivité.... Expliqua le Cook en s'approchant à son tour de la fenêtre et en se plaçant face à Zoro.
-Je dois être un monstre, tu ne penses pas ?
- Un monstre ? Pourquoi , tu dis ça ?
- Elle est morte et ça ne me fait rien !
- .....
- Je veux dire une femme se suicide à cause de moi, parce qu'elle éprouve ces sentiments pour moi...et .....et sa mort ne me fait ni chaud, ni froid.....pourquoi ? Même si elle était folle c'était quand même de l'am...
- Ce n'est pas à cause de toi ! Et ce n'est pas de l'amour ça ! Le coupa Sanji, c'est de la folie. C'est de soins dont elle avait besoin, rien d'autre ....dans un sens c'est tristes, c'est vrai mais......elle t'aurait tué aussi Zoro. Tu le sais aussi bien que moi, Tu n'aurais jamais cédé et elle t'aurais tué, et au vu de son sadisme elle aurait pris son temps.
- Tu as sans doute raison, souffle le vert les yeux posaient sur l'horizon.
- Tu sais, l'amour....C'est mieux de vivre pour lui, que de mourir pour lui, pas vrai ? Affirma le blond dans un beau sourire encourageant.
- Hein ? S'exclama soudainement Zoro, en tournant son visage en direction de Sanji, les yeux exorbités.
C'est propos que le jeune homme blond, venait de lui dire, c'était exactement les même que ceux de la déesse "Aimée Sublima" lui avait dis sur l'ile bleue, quand il l'avait vu dans cet mystérieuse clairière. Choqué d'entendre de telle parole sortir de la bouche du blond, Zoro les yeux rond le regarda pendant quelques minutes, comme si il s'était attendu à voir Sanji prendre la forme de la jeune déesse morte d'amour... Mais bien évidement, rien ne se produisit.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce que j'ai dis ? Demanda le cuistot, la mine surprise.
- Rien, ria un peu Zoro, tu n'as rien dis de bizarre, c'est juste que....tes paroles, c'est ce que m'avais dis Aimée..
- Aah, la déesse que tu as vu sur l'ile bleue ?
- Oui, c'est mot à mot ce qu'elle m'a dis ! C'est dingue d'entendre les mêmes paroles dans tas bouches.
- Pourquoi dingue, s'offusqua faussement Sanji, je suis un romantique moi !
Le visage colérique du bretteur avait peu à peu disparut, pour laisser place à une mine trop rarement souriante. En quelques pas , le vert se dirigea en direction du blond puis le pris dans ses bras et le serra fort contre lui. Avec douceur il l'embrassa, tendrement, gentiment, jusqu'à ce que le baisé se fasse plus profond et plus chaud.
- Cook, gémit presque, Zoro..j'ai envi de toi....murmura t-il d'une voix chaude au creux de l'oreille sensible du blond.
Rouge jusqu'à la racine de cheveux en entendant cela, le cuisinier après avoir déposé un léger baisé dans le cou du vert, pris la paroles.
- Alors, aime moi, dit-il.
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