Chapitre 16: Délivrance.
Chapitre 16:
C'était un endroit paisible, ou pas un bruit n'était admis, au centre de la grande salle de ce bâtiment se trouvaient deux grandes tables sur lequel étaient posé des petites lampes à l'aspect un peu étrange. Quelques personnes assises lisaient à la lumière artificiel des luminaires, et relevait de temps en temps la tête, pour lancer un regard courroucé en direction d'un type avec un long nez. Visiblement l'individu malgré ses efforts n'arrivait à garder le silence, et dérangeait les lecteurs habitué de la petites bibliothèque.
- Tu attires trop l'intentions Ussop, chuchota d'un ton courroucé, Nami.
- On va se faire virer d'ici, si tu continus , intervient à son tour Chopper.
Robin qui entendait la conversation du trio de peureux, ne jugea pas nécessaire d'en rajouter, même si elle était bien d'accord avec les propos tenus par la navigatrice et le médecin de bord. Elle aurait aimé pouvoir fouiner et lire en toute tranquillité dans cette jolie battisse qui enfermait en son sein un grand nombre de livre. Cela lui rappelait un lointain passé, dont elle ne voulut pas se rappeler pour le moment. Elle chassa quelque sombres souvenir et reposa dans son rayon un livre qui au final ne lui apportait aucune aide. Faisant quelques pas, elle s'éloigna de ses compagnons de voyages, puis alla dans un autre couloir dédié à l'Histoire en général, mais aussi à celle de cette ile. A nouveau ces yeux bleu clair ce portèrent sur l'arrête des bouquins où elle lut chaque titre dans le but de trouver un qui lui servirait dans sa quêtes.
- Mais tu te rends compte, pleurnicha Ussop, que si ceux qui on enlevait Zoro, sont quelque part dans la montagne on va devoir y aller ! Et affronter le danger qu'il s'y trouves ?
- J'en ai conscience, admis la navigatrice mais on a pas le choix , même si l'idée ne m'emballe pas non plus ! Mais c'est pas comme si Zoro s'était perdu et que s'était entièrement de sa fautes !!!........pour une fois.....
- Moi j'aimerai bien aller dans la montagne ! S'exclama d'une voix joyeuse Chopper.
- Bien évidement, t'es un renne ! Râla un peu trop fort le menteur professionnel.
- CHUUUUUUT !!! Fit une vieille femme au physique de vautour !
Les trois peureux ne dirent rien mais se regardèrent un long moment les uns et les autres avec un doigts sur la bouche comme pour demander à chacun le silence. Robin qui avait vu la scène, leva un cour instant les yeux au ciel, avant de continuer ses recherches. Au bout de quelques heures et alors que tout le monde était éparpillé dans les rayonnages des livres, sauf Ussop qui s'était endormi dans un confortable fauteuil de lecture.
- J'ai trouvé !! Cria Nami provoquant la colère de la responsable des lieux.
- Ça suffit ! Taisez-vous ! Vous êtes dans une bibliothèque ici ! Encore une seule remarque, et je vous mets dehors !!!
Un peu honteuse la navigatrice s'excusa profondément et sur la pointes des pieds, partie à la recherche de l'archéologue. La belle jeune femme brune, était accroupie dans une allée et lisait avec une grande attention un gros ouvrage en cuire rouge. Absorbé par sa lecture elle ne fit pas attention à Nami jusqu'à ce que celle-ci lui tapote sur l'épaule. Chopper arriva à son tour dans l'allée, très vite suivi par un Ussop au regard encore à demi endormi.
- Regardez! Chuchota rapidement la navigatrice en poussant une de ses mèches rousse derrière l'oreille. Ce livre, et un peu ancien, mais il regroupes tout un tas de carte sur l'évolution de l'ile, depuis qu'elle existe...où du moins depuis que des gens y vivent dessus.
- Ce livre m'a l'air assez précieux, tu l'as trouvée où ? Questionna Robin la mine curieuse et amusée à la fois.
- Heu... je l'ai emprunté..bredouilla la jeune femme.
- Tu l'as volée, se choqua le Sniper, avant d'être muselé par les petits sabots du médecin de bord.
- Chut !!! La dame qui ressemble à un vautour va nous virer d'ici.
Le silence à nouveau se fit, durant lequel seul le bruit des pages que l'on tourne était audible. Durant quelques courtes minutes Nami chercha la page qui l'avait autant interpelé !!
- Ah fit-elle, avant de poser les mains sur sa propres bouche. Regardez ! Murmura telle.
De ses doigts fin, elle tapotait vigoureusement une carte étalé sur deux pages dans le livres, Rapidement elle roula des yeux en voyant Chopper ainsi que Ussop tourner la tête dans tous les sens afin sans doute comprendre pourquoi la jeune fille semblait si exalté par cette trouvaille.
- Je vois, fit Robin. Cette carte représente, toutes les grottes, et mines désaffecté qu'il y a eu ici au court des années précédente, dans la région.
- Oui, c'est toute à fait ça ! Et regardez ! Ce qui est en jaune représente les mines inactive et qui on était ensevelie par des éboulements ! Là en rouge celle encore en exploitation..
- Qu'est-ce qu'il y a dans ses mines ? Demanda Chopper la frimousse curieuse.
- Du charbon proposa Ussop ? Ils doivent en consommer de grande quantité ici, en plus du bois.
- C'est ça ! Confirma la jeune navigatrice. Mais regardez plutôt ici, cette mine là ! Désigna t-elle en faisant un petit cercle avec son doigts sur une zone en violet. Cette mine était encore active il y a deux ans à peine, elle n'a été fermé que très ressèment.
- De plus, intervient à son tour l'archéologue elle est située dans une zone difficile d'accès. C'est sans doute pour cette raisons, qu'ils ont décidé de la fermer ! Y aller, était devenu trop dangereux, pour les habitants de ce village. Très peu de personnes doivent circuler dans le coins à présent.
- Un endroit idéal pour un repaire de bandit, précisa Ussop l'air pensif.
- Au Commissariat, ils ont dis qu'il y avaient des bandits qui faisaient du grabuge dans le coins depuis quelques mois et qu'ils n'arrivaient pas à mettre la mains dessus.
- Ils doivent se cacher-là ! Ajouta Nami visiblement heureuse de sa découverte. Regardez..ici dans la forêt, il doit y avoir quelques vieille baraque ancienne , ce devait être des bureaux d'appoint où même une cantine ..ou je ne sais quoi ....les " bandits" doivent loger par-là ! Et cacher leurs butins dans cette mines désaffecté.
-Euh....coupa Ussop, le regard choqué. Nami je te rappel qu'on fait ça pour trouver Zoro, pas pour chercher un trésors !! Précisât-il un peu interloqué.
- Je sais bien ! Mais l'un n'empêche pas l'autre !! Affirma avec aplomb la rousse.
- L'argent compte plus pour elle que Zoro ? Ce choqua le petit Renne, les yeux hors de la tête.
- Je penses, interviens Robin qui ne voulait pas relever le manque de délicatesse de la jeune femme, qu'ils ont du enfermer Zoro à peu près par là ! De son doigts elle désigna l'ancienne mine désaffecter, ou plutôt un endroits creux où une porte était représenté......ici, précisa t-elle, ils devaient ranger leurs matériel...pioche, pelle, etc.....ce qui implique la nécessite de cette porte...elle montra le petit dessins représentant la porte... Il y a une petites chance qu'il soit là dedans !!
- Il doit faire terriblement froid là-dedans , commenta le Sniper en tremblant d'avance. Même pour quelqu'un d'aussi solide que Zoro.
- Ça ferait un peu plus de trois jours qu'il serait là-dedans, ajouta Chopper visiblement inquiet.
Nami sortie une feuille du sac qu'elle avait avec elle, puis d'un geste rapide et un peu grossier car elle ne s'appliquait pas comme elle le faisait habituellement, elle recopia la carte et plus précisément la régions qui l'intéressait.
- Bon, fit-elle, il n'y a pas une minutes à perdre! Il faut prévenir Luffy et Sanji.
- Ils doivent être entrain de manger quelques part ! Proposa le long nez, il est presque midi, précisa t-il en montrant d'un mouvement de tête, une grosse horloge en métal accroché au mur.
- Luffy doit avoir faim c'est sûr, admit le petit médecin....mais Sanji....il mange presque pas...
-....Raison de plus pour lui dirent tous ce qu'on a découvert. Sourit Robin, qui n'aimait pas voir Chopper la mine inquiet et tristes...On a jamais eu de meilleurs indice que celui-ci, il en sera content j'en suis sûr.
Sans faire attention Nami rangea au hasard le livre qu'elle avait " emprunté " puis avec rapidité sortie de la bibliothèque avec ses amis sans prendre le soins de rester silencieux, le tous sous le regard furieux de la responsable des lieux.
Luffy de son côté courrait dans tous les sens, il ne s'était absenté qu'un court moment pour manger un morceau...enfin pas si court que ça, à vrai dire, c'était même plutôt l'inverse. Il avait vu un petit stand de nourriture, dont la délicieuse odeur avait agréablement envahi ses narines. Donnant presque tout l'argent qu'il lui restait au responsable du stand, le jeune gourmand s'empiffra joyeusement pendant un long moment. Le sourire au lèvres le petit brun sentait son estomac danser de bonheur dans son ventre, ce qu'il mangeait été délicieux, et même si il n'avait plus un sous dans sa poche, il n'avait aucun regret. Le regret qu'il aurait pu avoir à cet instant s'était le fait que Nami allait encore l'engueuler en le traitant de " panier percé."
- Je m'en fou, s'était dis Luffy, je fais ce que je veux !!!
Réalisant qu'il aurait peut-être du rapporter une part à Sanji, la petite tête de linotte qu'il était réalisa seulement à cet instant qu'à s'empiffrer comme il l'avait fait, il avait zappé l'existence même de son cuisinier. Honteux car il sentait bien que le cuistot n'allait pas bien depuis que Zoro avait disparu, il se précipita sur le lieux même où l'avait laissé, non sans se tromper un peu de chemin au début.
- Bah ? Où est-ce qu'il est ? S'exclama bruyamment l'homme caoutchouc..Sanji ???
Il le chercha partout durant de longue minutes, mais ne le vit nul part. Sur le moment Luffy crut que Sanji était juste rentré à l'hôtel, parce qu'il avait froid, où qu'il avait juste besoin d'être seul comme il l'avait souvent voulu depuis l'enlèvement de Zoro. Mais un détail au loin attira son regard perçant, au loin dans une grande trainer dans la neige, il vit un petit bout de tissu noir sortir à demi du sols. Intrigué le jeune homme se précipita dessus et pris ce qu'il prenait pour un simple morceau d'étoffe...
- C'est le gant de Sanji ! Dit-il en fronçant les sourcilles.
Il tourna un instant sûr lui même , puis scruta les alentours, réfléchir n'était pas sa passions première mais il savait bien qu'il y avait quelques choses, juste là, devant ses yeux , et qu'il était important qu'il le comprenne. Alors il s'allongea au sols, dans la trace même laisser peu de temps au part avant par Sanji.
- C'est la taille d'un corps !! Ce dit-il après un long et dure moment de réflexion.
La lumière ne jaillit pas tous de suite dans son esprit, mais il pensait avec une certaine justesse que si il en parlait à Nami et au autres eux arriveraient à dépatouiller se schmilblick pour lui !
A présent, il courrait comme un dément dans les rues et ruelles du village montagnard cherchant ses compagnons dans tous les sens. Il hurlait leurs nom, en ne se préoccupant pas de la gêne que cela pouvait procurer au villageois qui le regardaient avec une mine mi fâché , mi curieuse. Parfois il montait sur les toit afin d'avoir une vu d'ensemble, et lorsqu'il vit enfin ceux qu'ils recherchaient , il s'élança de toute la puissance de son corps caoutchouteux et arriva par un miracle incroyable à percuter aucun de ses compagnons, qui avait pris soins de se jeter sur le côté en l'entendant arriver. La surprise malgré tous à cette arrivée brutal avait été grande et la mains encore sur le coeur, Nami après avoir hurlé tenté reprendre une respiration un peu plus normal.
- Sanji a disparu lui aussi, cria t-il les sourcilles froncé ! Faut que vous voyez ça !
- QUOI ?? Firent-ils tous d'une seule et même voix.
****
Cela faisait à présent un peu plus de trois jours que Zoro était assis sur cette saleté de chaise en fer, ligoté comme un rôties. Trois jours sans manger, sans pratiquement rien boire, sans voir la lumière du jours, et en dormant que très peu. Trois jours à subir les étrangetés, et les accès de violence de cette psychopathe , sociopathe, doublé d'une perverse. Thalia était dérangé ça il n'y avait aucun doute au yeux du sabreur, et pourtant même si cette folle prétendait l'aimer, - elle l'avait assez gueulé comme ça - pas une seule fois, elle ne voulu le détacher de son maudit siège. L'amour et la haine étaient visiblement deux sentiments qui se mêlaient sans cesse dans son petit cerveau dérangé. Parfois elle s'excusait d'une voix de petites fille de tous le mal qu'elle lui faisait, et à d'autre occasion elle lui affirmait que si il souffrait s'était entièrement de sa faute, et qu'il l'avait bien mérité.
Zoro avait beau être solide physiquement et mentalement, il en arrivait involontairement à essayer de moins la provoquer et à la laisser croire ce qu'elle voulait sans trop la contre dire. Et puis parfois son orgueil et sa dignité remontaient à la surface, et à son tour il s'énervait et la traitait de cinglé dans le but évident de la vexée et de lui faire mal ,au moins moralement.
Le problème étant à présent que cette folle, commençait à devenir trop entreprenante avec lui. Elle l'avait embrassé de force, et ceux même si il lui avait mordu la lèvre inférieur pour la punir de ce qu'elle avait osée faire, cela n'avait pas dissuadé Thalia de recommencer. Elle se mettait à califourchon sur ses genoux et même si cela réchauffait un peu son corps frigorifié, cela déplaisait fortement au bretteur lorsqu'il sentait Thalia gigoter dans hanche de manière obscène, dans le but plus qu'évident de faire réagir une certaine partie de son anatomie. Fort heureusement cela ne se déroulait jamais pas comme elle le souhaitait même si les stimulus malgré le dégout qu'il ressentait pour elle, finissait par le faire réagir presque de manière mécanique....Dans ces cas là, le jeune homme au trois sabre se maudissait s'en voulant de ne pas avoir un contrôle totale sûr lui même, et sur un tel " endroit" de sa personnes.
Son visage était douloureux par tout les coups qu'il avait reçus, sa peau lui faisait mal à cause du froid mordant, et afin de de pas geler sur place, il essayait de son mieux de bouger et de gigoter afin d'encourager la circulation sanguines. Ses poignets devaient être dans un drôle d'état, car plus d'une fois il avait tiré comme un forcené sur ses chaine afin de les briser, il avait fait de même sur celle qui entouraient ses chevilles, mais rien ne s'était produit hors mit quelques douleurs supplémentaire.
Plus d'une fois Thalia avait menacé de tuer Sanji, quand elle avait réalisée que les sentiments du bretteur allaient dans la direction du cuistot et non vers elle. Folle de jalousie envers cet homme qu'elle haïssait sans même le connaitre, elle en avait conclu étrangement que si elle le tuais, Zoro serait soudainement fou d'elle et débarrassé en de cet encombrant personnage. Pour elle la logique était ainsi, en tuant son rival, elle tuait l'amour que " son homme " avait pour ce blond sans intérêt, et en supprimant cet obstacle elle deviendrait enfin l'être le plus important aux yeux du vert. Pas une seule fois son esprit malade ne lui avait fait comprendre qu'agir ainsi ne ferait qu'attiser la haine de Zoro et rien d'autre.
Alors elle avait mis son plan à exécution et elle avait finis par enlever avec une facilité qui la flatta ce Sanji, qui menaçait son amour pour Zoro. Ça simple existence la mettait hors d'elle , et lorsque avec l'aide de ses sous-fifre elle l'emmena dans la cellule du bretteur elle ne se gêna pas pour le dire.
" Je te laisse une demi-heure, ensuite je l'égorge."
- Elle va ...vraiment le faire ? Demanda Sanji, alors qu'il arrivait avec quelques difficulté lié à ses liens à se mettre à genoux près du sabreur.
- Malheureusement....oui...souffla Zoro en tremblant de froid. Elle est folle......à l'époque ou j'étais encore chasseur de pirate.....je me suis occupé de son père, juste pour la prime....elle ma dit que s'était un sale type avec elle est.... qu'il l'a battait....comme je l'ai débarrassé de lui ,j'ai changé sa vie...., depuis Elle a fait une fixation sur moi et .....elle est persuadé que je lui appartient.....
- C'est elle qui t'as mis dans cet état ? Demanda le cuisinier en s'approchant encore un peu plus du bretteur frigorifié, avec douceur il posa son front sur les genoux du vert....C'est pas de l'amour ça....!! Elle est cinglé ....On t'as cherché partout....partout...alors qu'elle te torturait....
- Cook...!
- Quoi ?
- T'as oublié le vin chaud ! Tenta de plaisanter le Sabreur, ...
- Idiot ! Sourit Sanji malgré la douleur du au coup de couteau. Écoute, on a pas le temps de plaisanter il faut qu'on se barre de là. et vite fait...après si tu veux je te ferais boires des litres de vin chaud...mais tu vois.. j'ai aucune envie qu'elle m'égorge !!
- Avec des onigiris...ajouta Zoro, alors que son estomac douloureux protestait.
- Si tu veux, souffla le Cook n'avait jamais vu le bretteur dans un tel état. Faut que je te sorte de là, t'as beau être résistant, t'es pas immortel non plus...
La lumière était faible, et il était difficile de distinguer quoi que ce soit dans cette demi obscurité. Avec une certaine angoisse car le blond avait l'impression que le temps défiler horriblement vite, Sanji se mit à chercher de quoi l'aider à sortir de là, en sautillant dans la piece même si pour cela, il avait eu quelques difficulté à se redresser. Zoro le regardait d'un œil morne, lui affirmant qu'il n'y avait rien ici, hors mi eux d'eux, et cette chaise de merde.
- Si seulement j'avais de quoi couper la corde autour de mes mains...je pourrais détacher mes jambes et ensuite briser tes chaines.
- Je pourrais essayer d'arracher la corde avec mes dents ?
- Le prend pas mal, marimo mais même si tas mâchoire et solide, t'es trop épuisé pour faire ça !
- On peut toujours essayé, le temps nous manque, et tu n'as pas de meilleurs solutions!
Sanji se mit à réfléchir quelques secondes, et accepta en sautilla en direction du sabreur, ou il essaya de se mettre dans un bon angle afin que le vert puisse tenter de mordre ses liens. Mais comme l'avait dis le cuisinier, Zoro pour une fois manquait de force, affamé, frigorifié privé de sommeil il essayait en vient de mordre ses maudits lien sans parvenir au but escompté. De son côté Sanji tirait de toutes ses forces, la panique commençait à l'envahir peu à peu, cette folle furieuse en avait après lui, et il n'avait aucunement l'intention de se laisser égorgé comme un vulgaire poulet. Des sueurs froide commençait à dégouliner le long de son dos, alors que le sang de sa plait continuait à saigner, lui donnant l'impression de voir des mouches devant ses yeux.
- Putain de corde....criât-il en réalisant que ce qu'ils faisaient été inutile.... allez merde je veux pas mourir ! AÏE ....C'est mes doigts ça !
- Désolé...
- Pas grave...
- Non je veux dire...je suis désolé, tous et de ma faute...
- Et là, marimo ! Commence pas à baisser les bras ça ne te ressemble pas ça ! On va s'en sortir ok ? Chopper va te remettre d'aplomb et ....on essayera de se remonter le morale mutuellement, de façon plus agréable que se qu'on vit ici !
Zoro cligna des yeux un instant, la fatigue et le froid semblait avoir gelé son cerveau, mais au bout de quelques courtes secondes, il comprit l'allusion du cuisinier. Il se mit à sourire maudissant encore plus Thalia de l'avoir empêché de profiter un peu plus de cet homme dont il était fou amoureux. A nouveau il essaya d'arracher la corde avec ses dents, manquant encore de mordre à l'occasion les doigts du blondinet. Jusqu'à ce qu'ils entendant la porte de fer s'ouvrir, et les pas de caractéristique de Thalia s'approcher dans leurs directions. La panique était totale, et une peur fulgurante commença à envahir Sanji, sa respiration était rapide la panique commençait à l'envahir. Jamais il n'avait été aussi proche de mourir, depuis ce terrible séjours sur l'ilot avec Zeff où il avait faillit mourir de faim.
Il se tortillait essayant d'arracher par la seule force de ses bras cette corde trop solide et bien trop serré ! Zoro tirait comme un forcené avec ses dents mais n'arriva à arracher quelques maigre fibre qui composait la corde.
- NON, cria t-il !! Attend ne fait pas ça !
Thalia était devant lui, agitant un long couteau à la main , elle fixa d'un œil amusé cette tentative désespéré et pathétique de lui échapper. Cette scène l'amusait, car un petit rire mauvais ce faisait entendre de sa bouche. Son sourire dément s'agrandit sur son visage,la rendant parfaitement hideuse bientôt, très bientôt , Zoro serait enfin à elle.
- Patiente encore un peu mon chéri, on en sera bientôt débarrasser. Expliqua t-elle d'une voix chantante, en claquant des doigts. Amenez-le moi ! Ordonna t-elle à ses gorilles.
Deux hommes massif, dons le " sans couille " et un autre qui lui ressemblait beaucoup s'approchèrent de Sanji, chacun l'attrapa par un bras, alors que le jeune homme gesticulait et les insultait de tout les noms. La peur qu'il ressentait à cet instant était horrible, c'était une peur qu'il n'avait pas éprouvé depuis longtemps...et qu'il n'avait plus jamais voulu ressentir. Zoro lui se débattait sur sa chaise, il était près à s'arracher un bras si cela, pouvait sauver le cuistot. Mais rien y faisait aucun des deux ne parvenaient à se libérer, et bientôt Sanji fût mit à genoux devant lui, les bras tendu et maintenu par chacun des hommes. Son regard bleue plongeait dans ses émeraude vertes.
- Bien, dit Thalia avec une mine sadique, une dernière volonté ?
- Euh....une dernière cigarette ? Proposa Sanji, alors que son coeur s'affolait dans sa poitrine.
- Imbécile, gronda la femme, en lui donnant un coup de poings derrière le crâne.
- Non, ne fait pas ça ! Thalia !! Hurla Zoro les yeux exorbités..
- Oh mon bébé , tu as dis mon prénom comme ses mignons. Redit-le !
- Si...si tu veux, mais.. ne l'égorge pas ! S'il te plait, supplia Zoro paniqué car il ne voyait là, aucun moyens de s'en sortir.
-Pourquoi je l'épargnerais ? Demanda la Femme le regard mauvais, un sourcils interrogateur.
- Patronne il vous berne, beugla le " sans couille", il faut l'égorger, ajoutât-il dans un rire mauvais.
- Toi, t'es le prochain sur ma liste, marmonna, Sanji.
- La ferme vous deux ! Alors réponds mon Roronoa chéri !
- Je serais à toi, balbutia t-il sans conviction, mais ne le...
- Aucun argument aussi adorable soit-il, ne m'empêchera de détacher cette petites tête blonde de son corps ! Son existence même et un danger pour notre amours ! Il faut que tu le comprennes ça ! Une fois qu'il sera mort, tu ressentiras plus rien pour lui, et tu seras fou d'amour pour moi ! C'est logique non ? Tu me remercias.
- Espèce de sorcière! beugla Sanji, même si tu me tues ça ne changera rien ! Il se mit à ricaner, sans doute était-ce la peur intense et irrépressible qu'il ressentait qui le faisait réagir ainsi...car il n'aime qu'une personne..., il releva la tête en direction de Thalia offrant encore plus sa gorge à la lame, son visage était méprisant et arrogant.... une seule personne qu'il aime et c'est moi !! Toi tu n'es rien !!!
- Imbécile !! T'es malade de dire ça, tu veux mourir ou quoi ? Stupide Cook ! S'emporta Zoro incrédule face à l'arrogance de Sanji.
- La ferme, Marimo ! Je ne dis que la vérité, pas vrai ?...
- Heu...hein...qu..quoi ? Bredouilla le vert ne comprenant pas où voulait en venir le cuisinier. Pendant que la jeune femme aux cheveux rouge maintenait la gorge tendu du blond, en tirant ses cheveux vers l'arrière.
-Tu parles pour rien dire, imbécile dit-elle, tes minables argument ne valent rien pour moi.
- Pas vrai..hein ? Pas vrai ? Répéta Sanji, en sentant la lame s'appuyer un peu plus dangereusement sur son cou...pas vrai que tu m'aimes....hein ?...un mince filet de sang commença à apparaitre sur sa peau pale....une larme glissa de ses yeux, rien ne le sauverais...
- Non, Non,non ne fait pas ça ! THALIA !! rugit presque le sabreur et se débattant comme un forcené, sur sa chaise ne sentant même plus la douleur de son corps meurtrie.
- ..Zoro...dit moi que j'ai raison...dit le ..aïe...que tu n'aimes que moi....dit le PUTAIN, dis le que tu m'aimes ! Au moins je garderai ça avec moi si je .....!
- LA FERME ! Je ne te le dirais pas comme ça, je te le dirais quand on sera sorti de là !
La lame commençait à trancher l'épiderme et Thalia se léchait les lèvres à cette vision jubilatoire. Elle voulait y allait lentement afin de voir la peur dans cette première coupure , puis le désespoir dans la seconde, et enfin la morts apparaitre sur se visage détesté dans la dernière..Ce maudit blond au regard arrogant allait mourir...oui il devait mourir....
*BOUM*
- OH PUTAIN, DIT LE ZORO !! supplia presque le blondinet !! Alors que les deux gorilles l'empêchaient toujours de bouger et de se débattre.
*BOUM*
- Je vais te tuer ! Hurla le sabreur en direction de la folle, les yeux hors de la tête ! Dès que j'ai récupéré mes sabres, je te tranche en deux, toi et tous les enfoirés , qui sont à ta botte ! Vous n'échapperez pas à ma lame !!!
- C'est ce qu'on verra ! Répliqua Joyeusement Thalia, dans un sourire fou...
*BOUM*
La porte en fer de la cellule vola soudainement en éclat sur plusieurs mètres et écrasa sous son poids les spectateurs qui avaient voulu être témoins de cette horrible scène qui se préparait. Surprise et choqué par ce boucan, la jeune femme avait éloigné le long poignard de la gorge de Sanji, où un long filet de sang sortait en abondance...
-Ce n'est...que ...la peau....murmura le cuisinier, le visage crispé par la douleur en direction de Zoro choqué.
A l'extérieur de la cellule, les deux hommes pouvaient entendre les cris de douleurs des sbires qui se faisaient mal mener. Un homme entra dans la prison de pierre, les claquements de ses sandales raisonnaient, lentement il apparut à la lumière, et enfonça son poings dans la figure des deux " sans couille " qui alla s'écraser contre le mur au fond de la pièce. Le claquement de ses bras élastique se fit entendre...
-Luffy..? Dirent les deux hommes, qui n'avaient jamais été aussi heureux qu'en cet instant de voir leurs capitaine.
- C'est toi l'enfoirée qui ma volé Zoro et Sanji !
- Toi tu es, Luffy au chapeau paille ? L'homme caoutchouc c'est ça ? Leurs capitaine ? A nouveau elle mit la lame sous la gorge de Sanji dans la coupure déjà présente et fixa Luffy. Avance ne serait-ce que d'un seul pas, et je lui tranche la gorge !
- T'as pas intérêt !
- Oh que si je vais le faire...me débarrasser de celui-là, dit-elle en donnant un coup de genoux dans le dos du blond, et avoir Zoro rien qu'à moi !
- C'est MON ami, il fait parti de MON équipage, il est à moi !
- HEY... je suis pas un objet ...
La jeune femme s'apprêtait une fois de plus à trancher la gorge de son ennemi quand elle sentit une multitude de bras s'emparer d'elle. Criant de peur car elle n'avait jamais vu une choses pareilles. Elle se mit à subir d'horrible torsion que Robin semblait lui imposait avec calme et une tranquillité déconcertante. Un craque se fit puis Thalia et perdit enfin connaissance. Aussi simplement que ça, et ceux malgré le mal qu'elle avait fait.
Luffy de son côté s'en donnait à coeur joies et tabasser de tous son coeur, tous les larbins, tous les sous-fifres qui lui passait sous la mains. Quand plus un seul ne fut debout, où en état de réagir, le jeune capitaine s'approcha de l'archéologue..
- T'es pas marrante ! J'avais envi de lui donner un bon coup de poings, à celle-là.
- Vraiment désolée, mais je penses qu'il y avait urgence, s'excusa la brune.
- On va tous les enfermer dans cette cellule , affirma Nami en entrant dans la pièce. Les autorités s'en occuperons !
- Il était donc bien là, sourit Ussop satisfait de retrouver ses amis en un seul morceau.
Pourtant un frisson le parcouru lorsqu'il vit l'état du sabreur ainsi que la coupure au cou de Sanji. Chopper s'était précipité sur Zoro qui était toujours attaché et après avoir testé bon nombres de clés, que Nami avait volé à l'un des combattants, arriva enfin à le libérer. Lentement le sabreur se redressa, son corps était ankylosé par cette posture prolongée ainsi que par le froid. Luffy qui avait pris ses sabres à l'hôtel et qu'ils avait attaché dans son dos les lui rendit immédiatement.
- Tu nous expliqueras tout à l'hôtel ! Affirma avec son grand sourire Luffy.
Le petit médecin était entrain de poser un pansement provisoire sur la plaie que Sanji avait au cou afin d'arrêter l'hémorragie. Ce dernier pourtant ne lui laissa que peu de temps pour le terminer lorsqu'il vit Zoro se diriger en direction de la femme aux cheveux rouges. Il avait sorti son long sabre blanc et la pointe de ce dernier se situait juste au niveau de la gorge de Thalia, qui était toujours évanouie... Son visage était dur, plein de colère et de rancune. Cette femme l'avait humiliée , et ridiculisée. De plus elle avait failli égorger le Cook devant ses yeux. Jamais il en lui pardonnerait.
- Ne fait pas ça ! Marimo...Souffla Sanji en s'approchant lui d'un pas titubant.
- Elle a faillit te trancher la gorge ! Elle m'a humiliée..!
- Je sais mais...
- Je ne suis pas un gentleman, gronda t-il, je ne suis pas gentil, je me fou que se soit une femme moi ! Elle ma torturée trois jours... trois jours !!
- Je sais ! Mais ne perd pas plus de temps avec elle, argumenta le blond en posant la main sur son bras. Sortons de là !
Lentement très lentement, Zoro éloigna sa lame de la gorge de sa tortionnaire. Sanji avait raison, il n'avait pas de temps à perdre avec cette cinglés.
- Bon...euh et bien ... on vous attend dehors ! Bredouilla Ussop, toujours aussi peu à l'aise.
Le petits groupe s'éloigna, seuls quelques " arg" se faisait entendre à l'occasion quand un minable était jeté et attaché dans la cellule où avait été incarcéré Zoro. Quand ils eut fini, une petite partie de l'équipage sorti à l'extérieur laissant un instant de répits pour leurs deux autres compagnons.
- T'es vraiment idiot ! Affirma le bretteur en fixant Sanji !
- QU..QUOI ? J'ai failli me faire couper la tête pour toi, je te rappel !
- T'es qu'un crétin !
- OH marimo de merde !!! Continus comme ça et je te laisse à l'autre là !! Dit-il en désignent avec mépris Thalia ligoté et évanouie.
- T'as risqué ta vie pour moi ! Et tu ne m'as pas écouté, idiot de Cook !
- Ok tu me gonfles je me casse.... gronda Sanji, avant de sentir une main l'attraper par son poignet douloureux.
Doucement Zoro le serra contre lui, il n'avait pas cette force qu'il avait habituellement, il était trop épuisé affaibli et frigorifié. Mais il sentait contre son corps froid et gelé, celui plus chaud du cuisinier, son coeur ainsi que ses nerfs se calmèrent grâce à cette tendre et simple étreinte.
- ...mais comme je te l'ai dis, je te le dirais quand on sera libéré de ce calvaire...
- Ah ? Rougit le cuistot....alors dis le , idiot..bredouilla t-il en nichant se nez dans le cou froid.
- Je t'aime Sanji.
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