Chapitre 15: Seconde Capture.
Chapitre 15 :
La tempête de neige avait fait rage toute la nuit, et lorsque le petit matin arriva avec quelques nuages blanc, mais aussi avec un beau soleil, cela rendit le sourire au habitant du village montagnard. D'épaisse congère avaient bloqué certaine portes des habitations, forçant ainsi les résidents à sortir par la fenêtre de leurs maison afin de dégager la porte. Et ci ces conséquences impressionnèrent les membres de l'équipage -hors-mit Chopper- les habitants ne semblaient pas plus choqué que ça et c'est presque avec bonne humeur qu'ils s'attelaient à déblayer les chemins, rues, et places principal du centre ville.
Sanji avait fini par dormir quelques petites heures dans le fauteuil qui faisait face à la cheminé. Légèrement avachi dans son sièges, ses longues jambes s'étaient allongé alors que le chapeau de paille que Luffy lui avait mis sur la tête était légèrement incliné devant ses yeux. Sans doute était-ce à cause de cette petite angoisse qu'il n'avait pas réussi à raisonner que le jeune homme se réveilla brutalement après avoir fait un cauchemar un peu étrange ou il se voyait avec ses amis retrouver le corps sans vie du sabreur.
Son cri avait raisonné dans toute la chambre et Luffy qui lui aussi avait fini par s'endormir dans l'autre fauteuil, avait fait un bon de surprise avant de crier à son tour.
- Que...que .. quoi ....hein ? Avait-il bégaya de surprises le regard un peu hagard...
Prenant son visage à deux mains, les yeux écarquillaient le cuistot fixait le sols et tentait de reprendre un peu le contrôle de ses nerfs.
- T'as fait un cauchemars ?
- Ouais..... je voyais le corps de Zoro....inerte et ...ensuite, je voyais son fantôme, se barrer dans le ciel en nous faisant un doigts d'honneur. J'ai eu envi de le cogner ! S'exclama Sanji encore choqué par la réalité du songe.
Surprit Luffy éclata de rire en imaginant le sabreur se barrer en tirant la langue en faisant un doigts d'honneur à un Sanji très en colère.
- Tu fais des rêves trop bizarre toi ! Ricana le petit brun. Si Zoro t'entendait !
- Il serait en pétard, a l'idée que j'aurais ne serait-se qu'imaginé qu'il perde..
- C'est clair ! Bon maintenant mangé !! Puis on va chercher Zoro !
Comme pour confirmer ses dires l'estomac de l'homme caoutchouc se mit à grogner avec force, faisant un véritable boucan d'enfer. Sanji rendit son chapeau à Luffy, l'appétit n'était pas franchement là mais , il savait bien que son capitaine ne pouvait pas rester sans manger trop longtemps. Son métabolisme exigeait toujours une grande quantité de nourriture, il fallait donc encore patienter et passer par la case " petit déjeuné".
Ils étaient à présent tous réuni dans la petites salle à mangé de l'auberge, et tout en mangeant chacun allaient de sa proposition pour organiser les recherches. Ussop proposa de faire deux groupes, l'un irait faire un tour dans la forêt alentour et l'autre poserait des questions au villageois, afin de voir si ils n'avaient pas vu Zoro où même quelques informations qui permettraient de le retrouver.
- Dans tout les cas, affirma le long nez avec une étrange arrogance, je veux faire équipe avec Luffy et Sanji !! Comme ça ils me protégeront si il y a du danger !
- Quoi, s'écria Nami en frappant la table de ses deux mains ! C'est pas juste pourquoi ils te protégeraient toi ?
- Ouais, ouais .. Nami à raison ! Intervient à son tour Chopper !
Des chamailleries débutèrent entre les trois peureux de l'équipage, alors que Robin fidèle à elle même gardait un calme olympiens en buvant son café. De ses yeux bleue clair, elle observait le cuistot et sa mine plutôt blafarde et fatigué. Cela lui fit un peu de peine, de voir ce jeune homme toujours débordant d'énergie et de bonne humeur avoir un air aussi abattu même si il tentait de le cacher avec maladresses dans des sourires un peu trop forcé.
- Ussop t'es qu'un sale égoïste, je suis une faible femme, c'est à moi d'être avec Luffy et Sanji !
- Égoïste ? Moi ? Alors que c'est toi ne qui pense toujours qu'à toi !
- Bon arrêtons de nous disputer, essaya d'intervenir le petit médecin qui avait repris son calme. Faut retrouver Zoro...et....
- Moi ? Je ne penses qu'à moi ? Tu plaisantes, je suis jamais comme ça !
- Mieux vaut entendre ça, que d'être sourds ! ET toi Luffy arrête de me piquer ma bouffe ! Hurla le Menteur....
Sanji était toujours assis en face de sa tasse de thé qu'il buvait à petite gorgé sans grande conviction, commença à ce masser les tempes d'une mains. Avec irritation il entendait les cris ainsi que les propos débiles de ses amis. Toute fois il ne voulu pas intervenir sur le moment, pourtant et au fur et à mesure que les minutes défilaient, le tous agrémenté de paroles toutes aussi les stupide que les autres commencèrent à lui mettre franchement les nerfs en pelotes. Entendre de telle imbécilité, sitôt le matin alors qu'un des leurs étaient potentiellement en danger le mettait hors de lui. Peu à peu une petite veine commença à apparaitre sur son front ! Jusqu'à ce que....
- LA FERME ! LA....FERME ! Avait-il beuglé en se relevant de sa chaises ! Depuis toute à l'heure je vous entends perdre votre temps, dans des conversations stérile...! Vous...vous êtes.....
Ils n'eurent pas vraiment le loisir de savoir ce qu'ils étaient que le cuisinier quittait la table dans un mouvement brusque, tout en affirmant qu'il préférait être seul, plutôt que de subir plus longtemps des disputes idiotes. Avant de partir tout à fait , il s'excusa auprès de Nami pour sa grossièreté, car malgré les sentiments qu'il avait pour Zoro, il avait toujours horreur d'être vulgaire avec des femmes.
Il était à présent dehors, où la fraicheur du climat sembla lui gifler le visage. Il respira un bon coup, emplissant ses poumon enfumer par toutes les cigarettes qu'il avait fumer cette nuit, d'air fraie. De sa poche il sortit l'avis de recherche que la Marine avait imprimé sûr Zoro. Et décida de demander tous simplement au villageois si il l'avait vu. Il prit soins cependant de plier le papier de tel manière à ce qu'on voit pas le montant de sa prime, mais juste la photo. Très vite il fût rejoint par Chopper et Luffy.
-Excusez-moi, Monsieur ! Dit-il a l'intention d'un homme à la carrure massif, mais au visage incroyablement amicale. Vous n'auriez pas vu cette personne ? C'est un ami et...
- On sait pas où il est...acheva Luffy..
L'homme regarda un instant le visage de Zoro et secoua la tête...
- Non, désolé !
- Vous êtes sûr ? Insista Chopper.
- Avec une telle couleur de cheveux je m'en souviendrait !
- Ok, merci...
- Mais moi, si j'étais vous j'irais voir au commissariat, expliqua t-il en pointant du doigts un bâtiments bleue marine.
- Y en a un ici ? s'étonna Luffy.
- Bien évidement, s'offusqua un peu l'homme. Comment voulez-vous qu'on s'occupe des criminels qui passe par là sinon ? Bon s'est vrai qu'il n'est pas bien grand, mais au moins quand on arrête quelqu'un, on peut le livrer plus facilement à la marine, qui passe par là, au moins une fois par mois.
- La marine passe par là, s'inquiéta Chopper.
- Oui, mais si vous voulez mon avis. L'homme se pencha un peu comme pour livrer un secret...ils viennent surtout passer du temps ici, pour se reposer...Ils prennent qu'excuses que le log pos met deux semaine à se recharger pour ce la couler douce.
- Je comprends mieux, et bien merci de votre aide Monsieur, s'inclina Sanji avant de se diriger en direction de " commissariat."
Une fois là-bas, Sanji ne prit pas le risque de montrer l'avis de recherche de Zoro, afin de ne pas leurs rapporter en plus des problèmes actuel des soucies avec les autorités locale. Il se contenta de le décrire, alors que Chopper expliquait la stratégie à un Luffy qui ne comprenait pas le pourquoi d'une telle façon d'agir.
- Hum....Je prends note de votre signalement, affirma une jolie jeune femme au cheveux bouclé et blond.
- Merci charmante demoiselle.
- Je vais le dire à Zoro....que tu dragues.
- Boucle-là, je suis polie c'est tout !
- Toute fois, Ria la jeune femme. Faite attention, car depuis quelques mois, il y a un groupes de malfaiteur qui traine dans le coin, on ne sait pas où ils logent précisément, mais depuis leurs arrivé chez nous, il y a eu quelques petits soucie. On arrive jamais à leurs mettre la main dessus. Mais ils sont très violent....
- Vous en faites pas, pour nous. Sourit l'homme caoutchouc.
Le trio sortit du bâtiments, même si il n'avait aucune info sur Zoro, au moins à présent il savait qu'il y avait un groupes de malfaiteur, et qu'il y avait une possibilité qu'ils soient responsable de l'enlèvement du sabreur.
Durant près d'une heures, ils passèrent de villageois en villageois, posant les même questions et ayant toujours la même réponses. " Avez-vous vu cet homme." "Pouvez vous nous en dire plus sur le groupes de malfaiteur qui traine dans le coin."...mais la même réponses leurs étaient donné. " Non désolé". A un moment donné Luffy grimpa sur le toit le plus haut de la ville dans l'espoir d'apercevoir un indice où quelques choses qui pourrait mener à Zoro. Mais se fût peine perdu ! Il étira alors ses bras au maximum et fila telle un boulet de canon afin de rejoindre Chopper et Sanji, qu'il percuta malheureusement de plein fouet, et les fit valdinguer sur plusieurs mètres sous les regards médusé des passants.
- J'ai rien vu là-haut ! Dit le petit brun, avec son éternel grand sourire.
- Pourquoi, il faut toujours que tu fasses ça ? Abruti ! Gueula Sanji.
- Ah ah ah, désolé ! S'excusa Luffy alors qu'il attrapait les petites pattes arrière de Chopper afin de le faire sortir du tas de neige dans lequel il était enfoncé tête la première.
Le second groupe, alla pour le plus grand malheurs de Nami et Ussop dans la foret au alentour, à la recherche d'éventuel indice pouvant mener à un lieu où à un indice qui permettrait de retrouver le sabreur. Ils y passèrent toutes la journée cherchant dans les moindre recoin allant même jusqu'à fouiller dans une vielle baraque délabré. Ils croisèrent à plusieurs reprises des bêtes sauvage ....mais rien ne pouvant indiquer ou était Zoro.
C'était à présent le soir, et la journée avait été pauvre en information. Aucun indice, aucune indication ne leurs avaient été donné sur la localisation de leurs amis. A croire qu'il s'était volatilisé , où qu'il avait disparut comme par magie. Seul, le fait qu'il y avait dans le coin un groupes d'individu louche, donnait une faible indication au chapeau de paille. Ce soir là personne ne parla où presque et la nuit fût encore plus longue et insupportable que la précédente. Tournant en rond dans sa chambre comme un lion en cage, Sanji réfléchissait à voix haute et parfois jurait de colère. Il n'avait plus de cigarette sur lequel passer un peu ses nerfs, il avait fumé tous ses paquets durant la journée. Ses nerfs à présent était à vif, et le moindre petit désagrément le mettait dans une rage folle.
- Putain ! Il est bien quelques part merde !!!
****
Le froid de sa cellules était insupportable, ses muscles étaient en parti engourdit et malgré ses efforts pour ce libérer Zoro était toujours attaché sur cette maudite chaise en fer. Avant qu'il ne l'endorme la dernière fois, le " gorille sans couille " comme il l'appelait , lui avait dis qu'à son réveille, il verrait la tête décapité du cuistot . Aussi était-ce pour cela qu'il fit des cauchemar abominable ... Ou la tête de Sanji lui disait en boucle ...
" tout ça c'est de tas faute "..." Je n'aurai jamais dû aimer un type comme toi !! "
Il avait faim, il avait soif, il avait froid, sa situation était de plus en plus inconfortable et pourtant cette espèce de folle dingue qui prétendait l'aimer, ne se faisait pas de soucie quand au fait qu'il risquait de mourir si ce genre de sévisse continuait. Elle vient le voir plusieurs fois....la première fois après son départ furibond... elle était entrée et avait sautillé comme une gamine dans sa direction en venant une fois de plus s'installer sur ses genoux. Non pas que l'idée plaisait au sabreur, mais la chaleurs que dégageait cette folle furieuse lui faisait malheureusement du bien, et le réchauffait un peu. Pourtant il ne le montrait pas et continuait d'afficher méprit et dégout à l'encontre de la jeune femme.
- Regarde mon chéri, avait-elle dit en secouant un avis de recherche usé...ça va te rafraichir la mémoire.
Devant son nez , elle déplia un avis sur lequel s'affichait la photo d'un homme avec un gros visage joufflu, des petites lunettes noir et ronde, un crâne presque chauve avec une ridicule petite touffe de cheveux noir en son sommet, ainsi qu'une moustache monstrueusement longue et épaisse.
- C'était mon père !! Tu t'en souvient à présent ! Un sourire dément s'étalait sûr son visage..
Zoro pencha la tête et fini par se rappeler très vaguement de cet homme. Il manquait d'énergie et commençait à être vraiment trop épuisé....il leva son regard harassé en direction de Thalia.
- Alors tu t'en souviens ? Dit elle, un bras autour du cou du vert.
- Un peu...
- C'est vrai dit-elle en frappant des mains, comme une enfant joyeuses. Je suis si contente, tu as le droit à une récompense, alors !
D'un geste impérial elle claqua des doigts et un autre homme que le Gorille arriva. Il était grand mince, la mine sournoise et avait un nez plutôt proéminent. Il tendit une bouteille d'eau à la jeune femme au cheveux rouges puis repartit dans un coin sombre et obscure de la cellule.
- Comme tu as bien répondu, je vais te donner à boire ! Tu es contents ?
-...
- Alors ?
Même si cela lui faisait mal, Zoro dût se résoudre à jouer le jeu si il voulait survivre, le temps que les autres arrives pour le sortir de cet enfers. Il ferma les yeux , et avala avec difficulté sa salive et son orgueil puis murmura un faible.
- Oui...je suis content.
- Super ! Tu vois ? C'est pas dur de répondre.
Zoro fit un vague mouvement de tête , que Thalia prit pour un accord avec ce quel disait. Avec une joies presque perverse, elle fît boire le sabreur comme on ferait boire un petit animal. Elle lui donnait des petites gorgées et lui caressait la tête comme un toutou, disant de temps à autre
- ...doucement.. pas trop vite !!!
L'eau coulait dans sa gorge comme un liquide précieux, il fermait les yeux savourant cette boissons comme si s'était le meilleurs breuvage qu'il ai jamais bu de toute sa vies. En un rien de temps, il acheva la bouteille sous les petites tapes jovial de la cinglé.
- Bon mon petit chéri ! Je sais que tu as faim ! Alors je veux bien te donner à manger si tu me dis quelques choses que je veux entendre !!
- Quoi donc ? Demanda le vert, qui s'attendait à entendre une de ses nombreuses absurdité.
Visiblement Thalia s'amusait à le faire patienter, Elle s'était relevé et faisait de long allé et retour en le fixant avec une mine dubitative. Parfois elle ouvrait la bouche comme pour dire quelques choses, mais finalement renonçait. C'était à croire que trop de choses se bousculait dans son esprit dérangé. Quand elle eu finalement fait son choix, elle s'approcha à nouveau de lui et vient s'assoir sur ses genoux, mais cette fois-ci à califourchon. Elle passa ses bras autour du cou de Zoro ...et lui dit de sa voix un peu sensuel et étrange...
- Allez dit moi....dit moi , que ....commença t-elle en écrasant le visage de bretteur sur sa poitrine généreuse. Dit moi.... que tu n'aimes pas ce maudit blond...humm...c'est quoi son prénom à celui-là !!! Hé les gars c'est quoi son prénom ?
- C'est Sanji, patronne !
- Ah voilà ! Dit moi que tu hais ce, Sanji et que tu n'aimes que moi..et rien que moi..dit moi que tu le détestes ....que tu le hais !!! Dit le !
Elle consentit à relacher la pression et Zoro à nouveau put respirer, il secoua la tête, puis détourna le regard affichant à nouveau indifférence et mépris.
- Dit le mon bébé....
- Non !!! Et Arrête d'essayé de me chauffer comme ça ! Ça ne marchera pas, je te l'ai déjà dis !! JE ...NE ...T'AIME...PAS !!!
- SI TU M'AIMES , c'est LUI, que tu hais !!! Fulmina t-elle.
- NON !
Le sourire s'effaça du visage de la jeune femme, elle n'avait pas entendu ce qu'il désirait et une fois de plus une rage folle se déversa dans ses veines. Elle attrapa Zoro par les cheveux et le força à la regarder droit dans les yeux. Son jolie visage était défiguré par la folie...Elle posa ses lèvres contre les siennes, mais le bretteur lui mordit immédiatement la lèvre inférieur, d'où un filet de sang se répandît sûr son mentons....
- M'embrasse pas Cinglé, où je vais gerber !
A nouveau, il avait dis le mot interdit. Les sous-fifres dans le font se mirent à ricaner en affirmant qu'il allait s'en prendre plein à la gueule. Et malheureusement malgré leurs stupidité ils avaient raison sur ce coup là ! Défiguré par la rage, parce que cet homme dont elle avait envi, lui résister Thalia passa un cran au dessus dans la violence et ne se contenta plus de le gifler seulement, à présent elle lui donnait des coup de poings malgré la douleurs qu'elle en ressentait dans les mains. Des coup de pieds dans le ventre essentiellement, cassant une où deux côtes. Elle se laissait aller dans une fureur impressionnante, mais pas une seul fois Zoro ne se plaignit pas une seule fois il accéda à la demande de sa ravisseuse.
- Tu perds ton temps...balbutia t-il, en continuant de tirer sur les chaines qui attachait ses mains.
Mais elles étaient attaché trop solidement, et à être affamé ainsi le jeune homme bien que costaud manquait de force.
- Dans ce cas je vais le tuer !!! Je vais le saigner !!! Et tu seras à moi...
- Le tuer ? se moqua Zoro. laisse moi rire...
*****
Trois jours s'écoulèrent et pas un seul indice ne vient leurs donner espoir. Pourtant Nami alla se renseigner pour savoir si d'autre bateau que le leurs avait accosté sur l'ile, mais la réponses fût négative. Leurs équipage était les derniers arrivé au village, et personne d'autre n'étaient repartis, seul le groupes d'individu signalé au commissariat était les plus suspects. Mais qui étaient-ils ? Aucune réponses ne vient à cette questions.
Le matin du troisième jours Robin eut la bonne idée, de faire des recherches dans la petite bibliothèque de la ville. Là-bas peut-être qu'elle finirait pas trouver, une carte de l'ile, où d'ancienne cachette , bâtiment, grottes où quoi que ce soit dans ce style qui permettrait de localiser Zoro.
- Je viens avec toi s'était exclamer Nami, très vite suivi par Ussop et Chopper. On ne sera jamais trop pour faire ça !
- Je vais retourner en ville, déclara Sanji d'une voix molle et sans émotions
Il commençait à perdre espoir, et les nuits sans sommeil ne l'aidait pas à aller mieux. Il marchait d'un pas lourd, posant encore et toujours la même questions au passant. Certain s'énervèrent car il avait déjà été les voir la vieille, d'autre n'aimant pas être dérangé l'envoyé balader. Dans ces cas Luffy qui continuait de suivre Sanji, les envoyaient balader à son tour provoquant ainsi des disputes interminable. Fatigué , épuisé, le cuisinier alla s'assoir sur le banc, ou quelques jours au par avant il avait avoué ses sentiments au bretteur. Son coeur se pinça en repensant à ce moment qui aurait du être magique toute la journée, son manque de sommeil jouait avec ses nerfs le rendant plus sensible qu'il ne l'était habituellement. Des larmes coulèrent en silence, et constatant ça, Luffy sentit la colère monter en lui. Car lui non plus n'était pas bien , Zoro était son premier compagnon, s'était le premier ami qu'il se faisait depuis qu'il avait quitté Fushia. Quelqu'un lui avait pris un de ses membres et le fait qu'il ne puisse pas le corriger pour cet acte, ne l'aidait pas lui non plus à garder son calme.
- On va manger un morceau ? Proposa Luffy, j'ai faim.
- Vas-y toi, je n'ai pas faim !
- Mais..
- Luffy, s'est gentil de veiller sur moi, mais j'ai aussi besoin d'être seul !
- D'accord, mais fait attention à toi !
- T'en fait pas !
Partant en courant, Sanji entendit les pas de son capitaine s'éloigner peu à peu. Il resta un long moment seul les coudes appuyés sur les genoux le visages plongeait dans ses mains. Il était fatigué, et énervé, deux émotions désagréable qui ne font pas bon ménage ensemble en général. D'un air un peu rêveur il essaya d'imaginer comment se serait passé la journée, si Zoro n'avait pas disparut. Ils se seraient amusé l'un comme l'autre, à dissimuler leurs sentiments au près de leurs compagnons. Oui sans doute,...
-..Nami et Robin se seraient rendu compte du changement....ce dit-il à lui même...L'instinct féminin et si puissant, difficile de leurs cacher quoi que ce soit...!
Et ensuite ? Ensuite, ils n'auraient été que tous les deux, dans cette belles chambres et...et ....
*Boum*
Quelques choses sembla tomber non loin du cuisinier, qui dû s'arracher à ses pensées. Doucement il se leva puis commença à chercher la source de se bruit. Peut-être était-ce un gros tas de neige qui était tombé des branches d'un sapin ? Il s'avança un peu et vit, une jeune femme allongé à plats ventre dans la neige, sans doute évanouie. Elle avait de long cheveux rouges , un pantalon en cuire qui serrait ses belles jambes...et des chaussures à haut talons.
- Est-ce que tous vas bien, Mademoiselle ? Se précipita le cuisinier afin d'aider cette " pauvre " jeune femme en détresse...Vous avez fait un malaise ?
Il entendit un faible gémissement, avec précaution, il la retourna et vit que le regarde de la belle était carrément bizarre, provoquant chez lui et léger mouvement de recule. Les iris étaient rétrécie, un sourire mauvais et malsain s'étirait sur son visage d'où émanait une terrible démence. Avec rapidité elle passa un bras autour du cou de Sanji afin de l'empêcher de s'éloigner de son champs d'action, puis murmura à son oreille.
- J'ai un petit problème...blondinet.
- Ah ? euh si je peux vous aider !
-..Mais ouiiii,.... absolument....! Puisque c'est toi mon problème...
Et sans même avoir eu le temps de dire quoi que ce soit, le cuisinier ressentit presque aussitôt une grande douleur juste en dessous de la clavicule droite. Le souffle coupé par le choque , il baissa un peu les yeux et vit un couteau planté à la source même de sa douleurs.
- Emparez-vous de lui ! Et empêchez le, de donner le moindre coup de pied ! Il parait qu'il tape fort, ce petit enfoiré !!! Ordonna Thalia.
- Enfoirée ! Qui êtes-vous ? Gueula Sanji, alors qu'un coup de poing s'abattait sûr sa mâchoire.
Un groupe d'homme, s'emparèrent du cuisiner des chapeaux de pailles, a l'aide de cordes ils lui attachèrent les mains et les jambes afin qu'il ne puisse pas leurs donner le moindre coup.
- Sale voleur d'homme ! Murmura Thalia en fixant son regard dans celui de Sanji..Je vais te tuer devant Zoro, comme ça après il sera à moi !
- Espèce de..c'est vous qui l'avez enl....commença à gueuler le blondinet, avant d'être bâillonné.
Une grimace de douleurs s'afficha sur son visage et des regards meurtrier était lancé en direction de cette folle qui selon toute vraisemblance avait réussi l'exploit d'enlever Zoro. D'un air méprisant elle l'observait comme si il avait été un objet répugnant. Sanji sentait le sang couler sur sa poitrine, la douleur était horrible, mais si ils l'emmenaient là, où était Zoro peut-être aurai t-il une chance de l'aider à s'échapper.
- Bon allons-y les enfants ! J'ai un homme un conquérir et un meurtre à commettre !
Ne prenant pas de précaution, pour ce second prisonnier les sous-fifre trainèrent Sanji par le manteau, laissant ainsi son corps ligoté faire de grande trace dans la neige. Avec difficulté il arriva à retirer un gant qu'il portait puis le laissa tomber à terre, afin que l'un de ses amis si ils passaient par là trouves le chemin à prendre pour les rejoindre.
- Espèce de petite Merde ! Beugla Thalia, lorsqu'ils ne furent qu'à quelques mètre de la grotte où était séquestré Zoro. Tu croyais pouvoir me le voler sans que je dise quoi que ce soit ! Hein ! Il est à moi !!!
Durant tout le chemin la rouge n'avait pas arrêté de parler, et parfois avec une voix hystérique elle l'insulter et le fusillait du regard . D'autre fois elle appuyait sur le couteau qu'elle avait refusé de retirer pour le moment du corps de Sanji et ricanait en entendant les gémissements de douleurs étouffé par le baillons.
- Pourquoi tu n'essayes pas de me répondre hein ?? Demanda t-elle en baissant la muselière de tissus.
- Peut-être parce que j'ai un baillons sur la bouche, connasse ! Beugla Sanji, choqué d'avoir lui même d'avoir sorti un telle insulte envers une femme ! T'es d'autre questions idiote ?
Dans sa cellule Zoro, continuait de mourir lentement de froid, et pourtant malgré cela ses sens étaient toujours en éveille, il entendait les discussions de ses geôliers qui étaient devant la porte en fer de sa prisons. Mais cette fois-ci il entendit d'autre éclat de voix, des rires, des cris, ....il crut distinguer une voix qu'il reconnaitrait entre mille, car plus d'une fois elle lui avait braillé dessus de cette façon. La porte s'ouvrit dans un grincement strident et pour changer Thalia s'emportait de sa voix hystérique.
- On ne dit pas connasse, à une jolie fille comme moi !!!
- ..Arg...gémie Sanji à cause du couteau qu'elle venait de retirer avec rudesse de son corps. Pour une fois je vais faire une exception, même si j'ai horreur d'être vulgaire envers les femmes ! Mais toi franchement , t'es une vraie conne !!
- Cook ??? S'exclama Zoro d'une voix épuisé, mais heureux pour une fois de l'entendre gueuler.
- ZO..RO ......souffla le blondinet, alors qu'il était jeté comme un vulgaire sac de détritus au sols.
Avec lourdeur le cuisinier atterrit sur le dos pile devant la chaise sur lequel était attaché Zoro depuis plusieurs jours. Malgré la douleurs de l'impacte les yeux du blond s'écarquillèrent lorsqu'il virent dans l'état où était le puissant chasseur de pirate, le visage tuméfié, des bleues partout, du sang séché sur le menton et sous le nez, les lèvres gercé par la soif, la peau dangereusement pale à cause du froid .... jamais il ne l'avait vu dans un tel état.....
- Zoro Chéri....minauda la folle, en venant comme toujours s'installer sur ses genoux à califourchon.
D'un œil sournois elle observait la réaction de Sanji face à son attitude. Et son sourire s'élargit d'avantage quand elle vit la colère animé de plus en plus le visage de celui qu'elle considérait comme un voleur d'homme. Elle nicha son nez dans le cou du bretteur, ou elle déposa un suçon....
- Dégage de là, dit une fois de plus Zoro, pour ce qui lui semblait être au moins la centième fois.
-ARRÊTE ÇA, beugla à son tour Sanji , Je t'interdit d'y toucher !
- Ferme-là ! Zoro est a moi ! C'est tout ! Toi tu es juste une erreur sur le chemin de notre bonheur... Bon mon bébé, parce que je suis adorable, je te laisse une demi heure pour discuter avec ce......cette....choses, et ensuite, je lui tranche la gorge !OK ?
- Quoi ? s'écria le blondinet... non pas OK !!!
- NE..NE fait pas ça, s'exclama Zoro d'une voix devenu roque par la soif.....
- Mais si je vais le faire ! Comme ça tous nos problèmes seront résolu, tu pourras m'aimer, comme j'en ai envi ! Et si tu veux je te ferais tous plein de jolie bébé ! D'accord !
- NON !
- Mais si, mais si tu es d'accord ! Tu ne le sais pas c'est tout. Bon, et bien à dans une demi heure, alors ! Et toi le blond ! Profite de tes dernières minutes de vie !!!
Disant cela, Thalia se leva des genoux de Zoro, donna au passage plusieurs coup de pied dans l'estomac du cuistot, puis quitta la pièce. Ils n'avaient plus qu'une demi heure pour s'en sortir, sinon s'était la mort assuré pour Sanji.
******
Prochaine chapitre peut-être Lundi...
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