Chapitre 4
Les vacances sont vites arrivées. Les vacances d'été. L'année prochaine, je rentre en 4e. Pour les vacances, mon père à prévu de faire un camping dans les bois. Je me demandais ou nous iront. Mon père m'avais expliqué que c'était dans le ville d'à coté. J'aurais espéré quelque chose d'un peu plus loin. Mais ni moi ni ma mère aurions osé défier mon père. On y partirais une semaine. La question qui me tiraillait : qu'est ce que j'allait faire après cette semaine ? Mon père et ma mère vont travailler, je seras seule à la maison. Si mon père dédaigne de me donner la clé de la maison. Je soupira. Assise dans mon lit, je faisait mes devoirs. Soudain, mon père entra en trombes dans la piece, le regard furieux. Il me cria à la figure :
« Fait moi voir tes évaluations ! Je commence à me demander quand je te vois faire tes devoirs son ton lit comme une clocharde ! D'ailleur tu es une clocharde !! Espece de grosse connasse ! Montre moi ça !"
Il me prit le cahier de mathématiques, et le parcouru très vite et sortit une feuille du cahier. Je baissa les yeux. C'était ma dernière note. Une désastreuse. Un 11/20. Je l'avais achée car j'avais peur de la réaction de mon père. apparemment, j'avais raison, vu le regard assassin qu'il me lançais à ce moment là. Il jeta le cahier par terre, et me prit par le col de ma robe. Il m'emmena dans le fameuse piece de punition et la torture commença. Je hurlais si fort que ma mère tembourinait à porte. Après avoir laissé par terre la ceinture avec la quelle il me frappait, il ouvrit brusquement la porte, et prit ma m ˋre par le coude en disant :
« Toi aussi je vais devoir t'éduquer hein ! »
Il l'a jeta contre le mur, et prit sa ceinture. Il lui fouetta le visage avec la ceinture, jusqu'à qu'elle s'effondre et hurle de douleur. Moi, à côté, j'était pétrifiée. Que faire ? Prenant mon courage à deux mains, je me leva, les poins fermés. Les sourcils froncés, je prit le bras de mon père qui allait encore frapper ma mère. Je hurla d'une voix forte, mais quelque peu tremblante :
« STOP ! »
Il tourna son regard furieux vers moi. Puis soudain, il fit un sourire méchant, comme machiavélique. Il répondit :
« Sais tu seulement ce que ça va te couter d'avoir dit cela ? Non. Bien sûr. »
Il me prit par le bras, et m'emmena dans sa chambre. Il me jeta sur le lit. Je regardait toute les échappatoires, horrifiée. Il déchira ma robe, et ce jeta sur moi. Il dit d'un ton essoufflé :
« Aller, c'est pas parce que tu es vierge que tu dois pas faire d'efforts ! »
Et là, je comprit. Je me tortilla pour fuir, mais il m'agrippait avec une poigne féroce. Soudain, la sonnette sonna. Furieux, mon père descendit les escaliers. Il ouvrit la porte. Je sortit de la chambre aussi vite que je le pouvait, et je me cacha au début des escaliers. Une jeune homme brun en costume dit d'une voix aimable :
« Bonjour, je suis de la police. (Il désigna un pistolet et son badge) on m'a indiqué qu'un malaise avait survenu au collège de votre fille et en l'examinant, nous avons repéré des bleus plus anciens que ceux qu'elle a eu lors du malaise. Je veux simplement vérifier si tout ce passe bien à la maison.
- Oh...euh...Oui, asseyez vous, je vais faire descendre ma femme et ma fille. "
Mon père courra dans les escaliers et me prit par le bras, entra dans la fameuse salle et attrapa aussi ma mère, et nous jeta dans sa chambre. Il me jeta une robe en tissu rouge, avec quelques fleurs cousues au niveau des hanches. Il balança à ma mère une robe légère de soie noire, et nous dit d'un ton brusque :
" Mettez ça en vitesse ! Je vais chercher du maquillage pour cacher vos bleus."
Il revint presque instantanément, ramenant un seau d'eau, une serviette, et du fond de teint. Une fois que nous étions habillées, il nous dit brusquement de nous laver le visage et de nous mettre du fond de teint sur nos blessures. Il sortit un sac de sous son lit, et sortit une panoplie de photos, qu'il accrocha un peu partout dans le chambre. Il ouvrit les rideaux, enleva vite fais la poussière et fit rapidement le lit. Il mit une chemise bleue à carreaux, et se brossa vite les cheveux. Il prit une liasse de photos de moi, et de paysages, prit une plaid rose et un coussin rose foncé, une lampe rose, en rentra en vitesse dans ma chambre. Il répéta la même opération que dans sa chambre, pendant que moi et ma mère finissons de mettre du fond de teint et brossons nos cheveux. Je me fit une queue de cheval avec un élastique rouge, et mon père me tira dans ma chambre. Le spectacle que se déroula sous mes yeux était incroyable : un plaid rose bonbon recouvrait mon lit, et des photos parsemaient les murs. La poussière avait été enlevée et mon bureau était propre, et une lampe rose était posée dessus. Mes livres étaient posés sur ma table de nuit, qui était à présent recouverte de quelques autocollants roses pastel. Mon sac était sagement posé à coté de mon bureau. Le monsieur monta dans les escaliers et entra dans la chambre, tourna doucement la tête et me regarda dans les yeux, tout en disant d'un ton froid :
"Allons n'aie pas peur ! Tout va bien se passer."
Puis il fit un sourire des moins rassurants possibles
Mais coucou ! Mon histoire continue ! Si des moments vous gêne, et bien, sachez que c'est uniquement pour dénoncer des gens comme ça, qui sont absolument ignobles comme ce père horrible !!!
Salut !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top