Ce n'est pas la première fois qu'ils se rencontrent.

Ce n'est pas la première fois qu'ils lui viennent en aide.

Ce n'est pas la première fois qu'elle les aides.

Ce n'est pas la première fois qu'ils souffrent.

Et ce ne sera jamais la dernière fois.

Ou du moins...jusqu'à ce que la mort les séparent...pour de bon.

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Tracy s'ennuyait.

Elle venait de finir un boulot et elle se retrouve maintenant dans un bar, observant un concours complètement idiot de bras de fer.

A côté d'elle se trouvait une cyclope assez énergétique.

Elle la reconnait comme étant Cherri Bomb.

De l'autre côté, par contre, se trouve un damné qui tente de la draguer.

"Hey...elles s'ouvrent quand, tes jambes ?? Hic...tu m'écoute, salope ??"

Ayant marre, Tracy allait lui donner un coup de poing.

Jusqu'à ce qu'une bouteille d'alcool rencontre la tête du damné lui-même.

Une chose entraîne une autre.

Une bagarre commence.

Tracy évite la plupart des objets volants à travers le bar, tout en buvant sa bière sur le comptoir.

A un moment donné, la situation dégénère.

Elle est obligée de se cacher derrière le comptoir, préparant son armature de guerre, Cherri Bomb sortant ses bombes.

"Utiliser tes bombes est une manière trop radicale pour finir cette bagarre." Elle lui dit, empêchant Cherri de détruire le bar.

Cherri ne comprit pas pourquoi, mais quand elle vit Tracy en action, elle ne dit plus rien.

Rapide, agile, forte, Tracy fait rêver.

Aucun damné ne put suivre son rythme. C'est elle qui mène la danse.
__________________________

Depuis plusieurs semaines, maintenant, Tracy alterne entre son entrainement et sa vie privée.

Sa relation avec Angel évolue de jour en jour et passe souvent plus de temps avec lui qu'avec le reste de ses amis.

Même Cherri commence à en devenir jalouse.

Pourtant, Tracy reste Tracy. Il lui arrive parfois d'avoir besoin de temps pour elle seule.

Alors un soir, elle a décidé d'aller dans l'un des bar appartenant à Valentino, avant entendu parlé d'un concours de billard.

N'étant pas douée au bras de fer, qui est une activité physique, Tracy est plus douée pour tout ce qui est logique et stratégie.

Et n'essayez pas de jouer au billard contre elle, elle vous humiliera sans problème. Surtout si vous êtes un homme.

Mais lorsqu'elle entra dans le bar, elle fut surprise.

Le bar est vide, sale, et en son milieu, la table de billard où y est attaché Valentino, le ventre couché dessus, un anneau dans sa bouche attaché autour de sa tête.

Son corps est couvert de bleus et de suçons, et ses ailes sont hors de leur cachette.

Il était là, sifflant et grognant, ne reconnaissant pas Tracy. Sûrement à cause de l'effet de contre jour.

"Putain bordel de merde...qu'est-ce qui a bien pu se passer...?" Elle se dit, s'avançant vers la table de billard.

Valentino essaie de dire quelque chose, mais l'anneau dans sa bouche l'en empêche. Clairement, il est ici depuis un long moment.

Tracy détache l'anneau de sa tête et l'enlève de la bouche de l'overlord, jetant l'anneau de côté.

"Détache moi !" Il exige.

"Je ne pense pas que tu sois en position d'exiger quoique ce soit." Elle lui répondit avant de lui tourner le dos et de se diriger vers le bar, se servant elle-même une bouteille et se dirigeant vers la sortie.

"Tracy, attend !" Val appela.

"Quoi ?"

"S'il-te-plait...ne me laisse pas seul ici...détache moi..." Il supplie.

Tracy fixe Valentino d'un regard mortel, le faisant presque regretter de demander son aide.

Elle se rapproche de nouveau à grands pas de lui et lui prend fermement la mâchoire avec sa main droite.

"Regarde moi dans les yeux et ose me dire que tu n'as pas traité Angel de la même manière. Dis le." Elle exige d'une voix froide.

Valentino regarde Tracy droit dans les yeux et tremble de peur et d'angoisse. Il n'a jamais vu Tracy aussi en colère de toute son après vie et il ne s'attend pas à ce qu'elle soit gentille avec lui, surtout après ce qu'il a fait avec Angel ou qui que ce soit d'autre.

Sans réponse, il ne dit rien, ses antennes collés à l'arrière de sa tête.

"C'est ce que je pensais. Le grand et puissant Valentino, je rêve. Tu as beau être puissant, niveau force physique et magique, tu ne vaut rien. Juste une sangsue suçant un autre overlord pour son propre profit." Tracy crache, lâchant la mâchoire de Valentino avec force.

Et elle a raison.

Valentino a beau avoir un pouvoirs, il ne vaut rien sans ses cigarettes.

Il ne vaut rien sans Vox, Velvet ou son empire.

Pathétique.

Néanmoins, Tracy sort un couteau et coupe les liens qui retiennent le papillon de nuit.

Une fois libre de ses mouvements, Valentino se glisse hors de la table de billard, se traînant contre un mur avant de s'y asseoir douloureusement et d'entourer ses bras autour de lui dans une pathétique tentative de se couvrir.

Tracy regarde autour d'elle et finit par trouver par terre un short noir et un débardeur en filet, supposant appartenir à Valentino.

Elle prend et les ramènes vers lui, ne trouvant pas ses bottes puisque depuis tout ce temps, il les as sur lui.

Jusqu'à maintenant, Valentino ne portait que sa paire de bas en filet et ses bottes à talons hauts...sûrement pas idéals pour marcher après s'être fait baiser durement.

Valentino enfila doucement ses vêtements peu couvrant, faible dans ses mouvements.

"Je n'ai pas trouvé ton manteau." Tracy lui informa.

"Tans pis." Il lui répondit.

"Il fait froid, dehors. Et tu n'as pas en forme." Elle lui fit remarquer.

Une fois "habillé", Valentino se redresse lentement en s'appuyant sur le mur et se dirigea vers la sortie.

"Tu veux venir chez moi ? Nous sommes plutôt loin du studio." Tracy lui propose, le voyant partir.

Valentino s'arrête, réfléchissant à ses options.

"Ma maison n'est pas loin. Ma vraie maison."

"Pourquoi perdrais-tu ton temps avec moi ?" Valentino lui demande.

Tracy se rapproche de lui et le regarde droit dans les yeux. "Entre victimes, on peut s'entraider, non ? De plus...je ne crois pas que ce soit la première fois que ça t'arrive...n'est pas ?

Tracy a touché un point sensible. Valentino grogne, prêt à rejeter sa requête. Mais il se rend compte qu'il n'a pas assez de force ne serais-ce que de voler vers le studio. Et il fait froid...

"Je viens."

Tracy le fixa encore en fois avant de sortir ses deux autres pairs de bras, sa bouteille d'alcool tenue par celle sur ses hanches, un bras envoyant un texto à Vox, lui demandant de venir avec quelques affaires personnelles de Valentino chez elle.

Tracy fait passer Valentino sur ses épaules et le sécurise avec les bras sur son dos. Au moins, il n'aura pas à marcher.

Comme Tracy l'a dit, elle ne vit pas loin de son bar. Ils sont très rapidement arrivés chez elle.

Valentino fut presque surpris par la taille de sa maison, pensant qu'elle aurait une maison plus petite.

"Pas mal, hein ?" Elle lui dit alors qu'elle le dépose par terre, le laissant trouver son équilibre.

"Je m'attendais à ce que ce soit plus petit." Il admit, s'appuyant un peu sur Tracy.

"Ma maison fait 5 fois ma famille au cas où je reçoit de la visite." Elle lui répondit.

Tracy sortis ses clés et ouvrit la porte, le faisant entrer à l'intérieur.

"Enlève tes bottes et tes chaussures, t'en aura pas besoin." Elle lui dit, enlevant négligemment ses bottes et les jettans ailleurs et refermant la porte derrière elle.

Il obéit, enlève ses bottes et les mets de côté.

Dès qu'il a enlevé sa paire de bas, Tracy lui fit signe de se lever et de la suivre, le conduisant vers une chambre d'ami.

"Derrière cette porte se trouve la salle de bain. Je vais te chercher une serviette." Elle lui dit avant de sortir de la chambre, laissant Valentino seul face à lui-même.

Entre-temps, quelqu'un sonne la sonnerie de la maison de Tracy.

Serviette à la main, Tracy se dirige vers la porte de sa maison, l'ouvre et découvre Vox.

"Salut. Entre." Elle lui dit d'entrée en lui prenant par le poignet et le fait entrer à l'intérieur.

Vox ne comprend pas la situation et entre, un sac sur l'épaule.

"Enlève tes chaussures. Tu as ce que je t'ai demandé ?" Elle lui demande.

"Oui. Tiens." Vox lui répondit tout en lui passant le sac.

"Bien. Installe toi et fais comme chez toi. J'ai des choses à faire." Tracy lui dit avant de sortir de l'entrée et de se diriger à nouveau vers la chambre d'ami.

De retour dans la chambre d'ami, Tracy cherche Val et ne le trouve pas dans la chambre.

Elle se dit qu'elle est dans la salle de bain, mais le silence dans la chambre l'inquiète.

Tracy dépose le sac apporté par Vox sur le fauteuil et se dirige vers la salle de bain, la serviette pour Valentino toujours à son bras.

Elle toque à la porte mais ne reçoit qu'un faible gémissement en réponse.

Cela la rend encore plus inquiète.

"Val ? Ça va ?" Elle demande.

Pas de réponse.

"J'entre, ok ?" Elle demande avant d'ouvrir la porte de la salle de bain et d'entrée.

Elle retrouva Valentino par terre, sur ses genoux, une de ses mains essayant de passer entre ses jambes.

"Val...mais qu'est-ce que tu fais ?"

Valentino arrête ce qu'il fait et lève ses yeux vers Tracy, tremblant de douleurs.

"Il...il y a quelque chose...au fond..." Il gémit.

Curieuse, Tracy laisse la serviette sur le porte serviette et se dirige vers la boite à pharmacie, prend une lampe torche, une paire de gant medical, du lubrifiant et du gel antiseptique et se dirige vers Valentino.

"Appuie toi contre la baignoire." Elle ordonne.

Valentino obéit, montrant son dos à Tracy.

Tracy se place derrière et allume la lampe, écartant l'anus du papillon de nuit.

Elle remarque que son anus et anormalement étiré et large, et les saignements ne font que confirmer qu'il y a des déchirures.

Malgré la lumière, Tracy a du mal à voir une quelconque obstruction.

Elle n'a pas vraiment d'autre choix que de plonger sa main au fond.

Par mesure d'hygiène, elle devrait prendre un bain en vue de son entraînement matinal. Mais les circonstances lui demandent d'agir vite.

Elle se relève, enlève sa veste et lave méticuleusement ses mains avant de revenir derrière Val.

Elle prend une paire de gants medical de sa boite à gants et se désinfecte les mains avant de lubrifier un de ses bras.

"Val, ça va faire mal pendant un moment. Je ne sais pas à quel profondeur se trouve l'obstruction, alors tu vas devoir t'accrocher, ok ?" Tracy lui dit, ne recevant qu'un gémissement de sa part.

Elle prit cela pour un signe qu'il est prêt avant de faire entrer ses doigts en lui, puis sa main, et enfin, son bras.

Étant de petite taille, l'étirement ne fait pas trop mal. Juste...inconfortable et désagréable.

Au bout de plusieurs gémissement, de supplications et de soupire de douleurs, Tracy finit par sentir quelque chose.

"Il y a quelque chose...je le sens...je vais l'enlever." Elle lui dit avant d'écarter ses doigts et de l'aggriper fermement avant de le sortir doucement.

"Une...boule de billard ?" Tracy dit, la boule couverte de sang.

"Tu...tu sens encore quelque chose en toi ?" Elle lui demande.

"Oui...je pense..."

"Mince...bon bah...c'est reparti pour un tour...reprend ton souffle, c'est presque finit."

Cela fait maintenant 49 minutes que Vox est arrivé et il eut tout son temps pour se faire un café.

Pourtant, aucun signe de Tracy.

Il ne s'attendait pas à ce que Tracy possède une telle maison, pourtant réservée aux plus riches et fortunés.

Et sa maison est plus grande que ce à quoi il s'attendait, voir nécessaire.

Vox décide que, puisqu'il est ici, il peut sûrement explorer.

Alors il se lève et se met à explorer la maison.

Pour une si grande maison, il ne s'attendait pas à une décoration aussi basique.

Peut-être que Tracy n'y apporte pas une si grande importance.

Alors qu'il se promenait, Vox finit par arriver devant une porte entrouverte.

Curieux, il décide d'y entrer.

Au début, il n'avait trouvé qu'une chambre vide.

Mais lorsqu'il tendit l'oreille ( ou du moins...si on peut dire ça ), il entendit des gémissements.

Guidé par sa curiosité, Vox se dirige vers la salle de bain. Au début, il se dit que Tracy doit faire quelque chose de coquin...jusqu'à ce qu'il se rende compte que ce n'est pas Tracy qui gémit...mais Valentino.

Il ne sait pas pourquoi il est ici, et il réfléchit bien, il n'a aucune raison d'être chez Tracy, et encore moins de coucher avec elle, puisqu'ils sont comme l'huile et l'eau.

Vox ouvre doucement la porte de la salle de bain et pensait au début que Tracy et Valentino faisaient bel et bien quelque chose d'intime...jusqu'à ce qu'il fasse un zoom sur les produits étalés à côté de Tracy.

Il repéra également les deux boules de billard couverts de sang et les bleus sur le corps de Valentino pour comprendre que ce n'est pas un simple fisting que Tracy fait...mais une extraction.

"C'est bon, Val, je l'ai. C'est presque finit." Elle lui dit, tirant lentement son bras de l'intérieur du corps de Val avec le dernier objet.

Valentino put enfin se détendre, l'épreuve finit.

"Je...aah...je ne jouerais plus jamais...au billard..." Il dit, clairement épuisé par la terrible épreuve qu'il a traversé, de la sueurs recouvrant son corps.

Pendant que Valentino reprend ses forces, Tracy elle enlève ses gants et les jettes à la poubelle avant d'essuyer son bras avec un jet d'eau.

Le sol est maintenant couvert de sang et de divers liquide corporels, les divers objets médicaux encore par terre.

Tracy range ses produits médicaux et prend les boules de billards qui étaient logés vers la fin de l'intestin grêle de Valentino, prêt à les jeter à la poubelle la plus proche.

Tracy sort de la chambre d'amis avec les boules de billards dans les mains, se dirigeant vers le salon, sans se rendre compte que Vox se cache d'elle.

Dès qu'elle croise une poubelle, elle y jette les boules de billards sans s'arrêter.

Tracy se dirige maintenant vers le salon où se trouve sûrement Vox.

Au moment où elle arrive, elle trouve Vox, assit sur le canapé, une tasse de café maintenant froide à moitié vide sur la table basse.

"Je suis de retour. Désolé d'avoir prit autant de..." Tracy commença, remarquant que la tasse de café de Vox est étrangement froide.

Le regard sur le visage de Vox semble aussi inquiéter Tracy.

"Quelque chose ne vas pas ?" Elle lui demande.

Vox ne lui répondit pas, repensant sans cesse à ce qu'il a vu dans la salle de bain.

"Vox ?"

"Ah !" Vox cria, surpris.

"Est-ce que tout va bien ? Tu semble...ailleurs." Tracy fit remarquer.

"Je vais bien, ne t'inquiète pas." Il la rassure. "Alors...c'est ta vraie maison ? Ta vraie vraie de vraie ?"

"Oui. C'est ici que je stocke deux ou trois bricole..."

"C'est plutôt...luxueux, comparé à tes apparts."

"En fait...c'est pour éviter que quiconque doute de l'endroit où je vis réellement. Bonne manière d'effacer ses traces. Mentalement, mes poursuivants pensent que je ne prend pour cachette que des apparts."

"Hm. Plutôt bien pensé. J'ai moi-même crut que parmis tes apparts, un seul était ta vraie maison." Il admit. "Et je ne m'attendais pas à ce que ta maison soit si grande."

"En fait...c'est pour que, au cas où j'ai de grands amis, je puisse les accueillir chez moi." Tracy explique.

"Malin. Et je suppose que tu as ces grands fauteuils pour "au cas où"." Il suppose.

"Oui."

"Et du coup...tu faisais quoi pendant presque une heure ?"

"Ah qu'est-ce qu'il fait froid ! Je vais aller me faire du thé !" Tracy dit rapidement, se lève et se dirige rapidement vers la cuisine où elle met de l'eau à chauffer. "Tu veux encore une tasse de café ?"

"Non merci."

Tracy se concentra sur son thé et lorsque l'eau se mit à bouillir, elle éteint le feu et verse de l'eau chaude dans une tasse avec un sachet de thé.

Son thé prêt, Tracy revient vers Vox avec, prête à continuer la conversation.

"Alors ? Que faisais tu ?" Vox lui demande à nouveau.

Tracy prend une gorgée de son thé brûlant, réfléchissant à la manière dont elle pourrait formuler une excuse.

"Disons que...je devais régler quelque chose." Elle sortis.

"Quel genre de chose ?"

Tracy détourna du regard, gênée.

"Une problème...qui arrive assez souvent en enfer."

Bip !!

Tracy allait continuer, jusqu'à ce qu'elle reçoit un message sur son téléphone.

Elle regarde rapidement sur son téléphone et se lève, posant le thé sur la table basse.

"Je suis désolée, Vox, je dois y aller." Tracy dit.

"Ce n'est pas grave. Je vais partir, de toute façon. J'ai des choses importantes à régler, et deux fois plus de travail puisque Val a disparut. Tu sais où il est, d'ailleurs ?"

"Heu...je ne sais pas trop...bref. Je dois filer."

Vox se lève et sort de chez Tracy après avoir enfilé ses chaussures.

Pendant ce temps là, Tracy est retournée auprès de Val où se dernier a clairement du mal à se lever.

Pendant qu'elle était occupée avec Vox, Valentino a put laver son corps.

A cause des événements de plus tôt, Val a du mal à tenir debout.

Il s'est lavé assit, et maintenant, il a des fourmis dans les jambes.

Alors il a envoyé un message à Tracy, lui demandant de l'aider.

Il se sent tellement faible et pathétique, et Tracy l'a comprit à la seconde où il lui a demandé de l'aide.

Lorsque Tracy entra dans la salle de bain, elle vit Valentino essayant de se lever, mais ne bouge pas d'un pouce.

Il ne l'a remarque pas lorsqu'elle entra, seulement quand ses pieds entrèrent dans son champs de vision.

"D'abord, ne panique pas. Hey ! Regarde moi dans les yeux, Val ! Ils sont ici ! Pas par terre ! Hey !" Tracy l'encouragea, espérant l'aider.

"Val, regarde moi ! C'est normal. Ok ? C'est normal." Elle lui dit, prenant sa tête entre ses mains. "C'est normal, respire."

Lorsque l'overlord reprit enfin ses esprits, Tracy lui amena une serviette, lui permettant de se sécher.

Puis, Tracy fit quelque chose à laquelle il ne s'attendait pas d'elle.

Après avoir enroulé la serviette autour de ses hanches, Tracy le prit dans ses bras malgré sa grande taille, en mode mariée.

Sa surprise fit rire Tracy, s'attendant à une telle réaction de sa part.

D'accord, elle n'est pas si forte, mais le poids de plume de Valentino et son entrainement lui permettent de faire cela.

Elle me dépose sur le lit et sort un sèche-cheveux, séchant le col de fourrure autour du cou du papillon de nuit.

Une fois sec, il ne restait plus qu'à passer un coup de brosse et le tour est joué.

Tout beau tout propre, Tracy peut maintenant se lever et donner le sac contenant les affaires de Val au propriétaire lui-même.

"Vox t'a ramené des vêtements."

"Il est ici ?"

"Non. Il est partis." Elle lui dit, se dirigeant vers la porte. "Je vais aller chercher de quoi nettoyer la chambre, elle est poussiéreuse. Ce n'est pas hygiénique et idéal pour dormir."

"Tracy." Il appelle.

Tracy s'arrête, prêtre à écouter ce qu'il a à dire.

"Merci."

Tracy sourit doucement et sort de la chambre, laissant Val s'habiller à son rythme.

Tracy a été maligne en demandant à Vox d'apporter des vêtements confortables pour Valentino, sachant que si elle ne le lui avait pas dit, Vox aurait probablement apportés que des vêtements de soirées ou autre.

Boxer, pull, jean, le tout y est.

Tracy est revenu plus tard dans la chambre après un tablier sur elle, des draps, housse, balais et un sceaux tenus par tout ses bras, ses cheveux tenues par un bandana, prête à faire un brin de ménage.

Elle dépose le tout sur une chaise et fair signe à Valentino de prendre son sac et de la suivre.

Tracy l'a conduit au salon où elle dit à Valentino de s'asseoir et d'attendre avant de lui montrer comment utiliser la télé.

"Au fait, tu veux quelque chose ?"

"De l'eau."

Tracy lui apporte rapidement de l'eau avant de se mettre au travail.

Elle en a eu pour une heure avant de finir.

Quand elle est revenue au salon, elle l'a retrouvé assoupis, allongé sur le canapé, en train de dormir.

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J'espère que vous avez aimé ce chapitre !

Y avait un petit but à ce chapitre là.

En fait, je voulais une manière pour rapprocher Tracy et Val pour renforcer en quelque sorte leur lien.

En effet, comme Angel, ils sont tout les deux bons avec des armes à feux.

Je compte même faire un trio avec Val, Tracy et Angel puisqu'ils ont beaucoup de points communs dans ma fic.

Et vous savez ce qu'on dit : deux amis sur le champs de bataille sont plus fort quand leur lien est fort !

Ah vous avez jamais entendu parlé de cela ?

Bref. Le prochain mettra Tracy en avant comme prof. Après, nous allons commencer le début du réel problème du chapitre entier. Et oui, ce n'est qu'une intro !

Aller, bye bye !