Save Me - Michael

Blottis sous la couette, écoutant la même chanson pour la énième fois, redoutant l'instant ou la porte claquera, ou il entrera dans ta chambre...

Tu ramène la couverture sur ton visage, comme pour te cacher, pour éviter son regards, éviter le coups...

La porte claque, les larmes te montent déjà, tu sais ce qui suit, tu ressens déjà ses lourdes mains claquer contre tes joues mouiller et rosies par les larmes, tu es effrayer.

Il entre dans ta chambre, hurlant toujours les mêmes choses, te reprochant les même chose jours après jours, il ne change jamais de disques, tes notes, tes fréquentations, le faite que ta mère soit partie avec un autre... Il te reproche toute ses choses alors que le seul a blâmer c'est lui...

-Sors de la dessous, ontdirait que tu a quatre ans! Sors d'ici!

Il t'attrape par le bras, te tirant du lit de force, ses mains autour de tes poignet te font tellement mal, tu ne peut te retenir de lui hurler de te lâcher...

-Laisse moi tranquille j'ai rien fais, lâche moi tu me fais mal!

-Ho mais ta pas fini de chouiner !

-Arrête ! Lâche moi !

Tu pleures mais il s'en fiche, il continu de te faire des reproches, toujours les mêmes, a chaque fois que tu essaye de
répondre, tu vois la colère monter en lui, ses yeux deviennent de plus en plus sombre, il te fais peur, tu redoute tout les jours, le moment ou il rentre du travail, ou du bar qui sais... Il te frappe depuis si longtemps, depuis que ta mère est partie, elle a eu peur elle aussi, mais tu lui en voulais, tu lui en voulais parce qu'elle t'avais abandonner avec lui, elle n'aurais pas du, elle aurait put te protéger mais elle n'a rien fais, elle ne vaut pas mieux que lui après tout...

Tu finis par partir de la maison, il te suis, et hurle sous le porche, il te dit de revenir qu'il n'a pas fini, mais tu cours, essayant de fuir le plus loin possible de lui, tu part et courut pour finir dans un parc, dans votre parc, là ou vous veniez jouer quand tu étais petite, quand il allait bien...

Tu reviens devant chez toi, trois heure plus tard, ouvre la porte en essayant de faire le moins de bruit possible, enlevant tes chaussure pour monter dans ta chambre, tu ne veux pas le revoir et subir ses coups encore une fois.

Tu te réveille en retard, il ne t'as pas réveillé et tu n'as rien dormis de la nuit, ayant peur qu'il revienne pour recommencer, tu hésite a aller en cours, comme chaque matin, tu as peur que quelqu'un s'en aperçoive, peur que les professeurs te pose des questions, mais tu regarde ton téléphone et vois un message "Hâte de te revoir, je t'attends a notre endroit habituelle, je t'aime xx". Un sourire se forme sur ton visage, tu décide d'y aller, pour lui, tu sais très bien que te retrouver dans ses bras allait te faire tu bien, que ses baiser t'apaiseront, comme toujours. Tu t'habille très simplement, puis passe du temps a te maquiller, essayant de cacher les quelques marques qu'il t'as fait, prends ton sac et part de la maison sans prendre le temps de prendre un petit déj'.

Tu te dirige vers le lycée, la musique dans les oreilles, repensant a hier soir, espérant que Michael ne se rende pas compte de ce qu'il c'était passer.

Tu arrive devant le lycée et part directement a l'endroit ou Michael et toi vous retrouviez tout les jours de semaine, quand tu allait en cours du moins, tu le vois, poser contre un arbre, dans le parc derrière le lycée, te cherchant du regard. Quand il t'aperçois, il te fais un de ses sourire, ceux auquel aucune fille ne peut résister, tu le vois déjà te tendre les bras pour t'enlacer alors tu t'empresse de le retrouver, tu te blottis dans ses bras, enfouis ton visage au creux de son cou, il t'enlace, enroulant ses bras autour de ta taille, tu te sens tellement en sécurité avec lui...

-Sa va?'

Tu te détache de lui et lui répond que oui, il sent ton mensonge, te caresse la joue pour te rassurer.

Il se frotte les doigts et tu vois le fond de teint sur son pouce.

-Il a recommencer

Michael se tend, il s'éloigne légèrement de toi pour d'observer.

-Michael c'est rien. Il..

-Non arrête, je sais qu'il a recommencer, j'ai envie de...

Il sert les point, sa mâchoire se contracte, il se détourne légèrement de toi pour te cacher sa colère.

-Michael s'il te plaît.

Dans la minute qui suit Michael commence a hurler, il déteste ton père, il te le dit tout le temps, il c'est aperçu de se que ton père te fait il y a déjà quelques mois, tu lui avais dit parce que tu savais qu'il avait des doutes, il avait vu des marques sur tes bras et avait compris ce qu'il se tramait chez toi. Il lève la mains en l'air, continuant d'insulter ton père, de te promettre qu'il allait lui faire payer ses gestes et comme instinctivement tu recule d'un pas, te souvenant des gestes de ton père la veille au soir.

-Pardon je ne voulais pas... Excuse moi.

Les larmes te montent aux yeux, il se rapproche de toi, te caresse le dos et te serre encore plus fort qu'il ne le faisait auparavant.

-Il va me le payer, il n'a pas le droit de te faire sa.

-Michael ne fais rien, s'il te plaît, je ne veux pas qu'il te fasse du mal.

Michael ne dit rien il continue de te serrer dans les bras, mais la sonnerie vous oblige a vous détacher, malheureusement Michael et toi n'avez qu'un seul cours en commun, la littérature, mais mais vous vous retrouverez au même endroit après les cours.

La journée se passa, les cours s'enchaînait, aussi ennuyant les uns que les autres, tu n'écoutes que partiellement les paroles des professeurs, tu préfère dessiner ou écouter la musique en cachette, essayant d'oublier la soirée d'hier et essayant de ne pas pensée a ton retours a la maison...

Après le cours d'histoire, tu t'empresse de retrouver Michael qui lui, n'étais pas encore sortie de cours, tu t'assois près de l'arbre et écoute la musique en l'attendant.

-Encore avec ta musique?

Il te regarde pencher au dessus de toi, t'admirant de ses beau yeux vert avant de s'installer a tes cotés, il te fait signe de venir dans ses bras et tu ne te fait pas prié, il te pique une de te oreillettes et écoute la musique a tes coté, tu te blottis dans ses bras, tu aurait voulu rester la pendant des heures...

-Tu veux venir chez moi ce soir?

-Je ne peux pas Michael tu sais qu'il va se douter de quelques chose, sa va le mettre en colère, encore plus que d'habitude.

"-Je ne veux pas que t'y retourne, reste avec moi.

"J'aimerais bien Mikey.

Il te serre dans ses bras et t'embrasse la tête, tu ferma les yeux et profite de se moment avec lui.

Michael te raccompagne quelque heures plus tard, après avoir passer le reste de la journée tout les deux, parlant de tout et n'importe quoi, de vos projet qui te paraissait tellement fou pour votre âge. Il eut du mal a te laisser partir, mais ton père sortie, et hurla, encore une fois, Michael se tendit et tu mis ta mains sur son torse pour le pousser, l'obligeant a te laisser ici.

Tu te dirige vers la porte et te retourne pour faire signe a Michael de partir, il te regarde, sachant très bien ce qui allait se passer quand tu aurais franchis cette porte.

Ton père t'attrape par le bras et te tire a l'intérieur de la maison.

-Je t'avais dis de pas le revoir ! Ce mec n'est qu'un nase, il s'en fou de toi, il cherche a te sauter, mais attends sa se trouve c'est déjà fais, t'es comme ta mère hein, puis c'est quoi cette tenue ! Regarde toi ma fille... Tu me déçois tellement, puis tiens le lycée ma appeler, encore recaler a l'exam, tu les accumule hein, sa c'est a cause de lui, il t'influence, tu ne le reverra plus et la prochaine fois que je vous vois ensemble je lui ferais comprendre mon point de vue, compris ?

Tu te retourne et murmure: 'je comprends pourquoi maman est partie'

Tu commence a monter les escaliers voulant échapper a ses coups cette fois si mais il te retient, il approche ton visage du tiens, te retenant par les épaules., te secouant de tout côté comme si tu n'était qu'une vulgaire poupée.

-T'a dis quoi la, répète un peu !!

Tu le repousse, et lui lance en hurlant:

-Je comprends pour elle est partie, tu n'es qu'un ivrogne, regarde toi papa, le problème c'est pas moi c'est toi, d'ailleurs tu n'es pas mon père, tu n'es plus mon père !

A peine tu finis ta phrase, que sa mains atterrie sur ton visage avec une force que tu n'avais jamais ressentit auparavant. Tu porte ta main a ta joue instinctivement, mais ne t'arrête pas la, tu en avait marre, marre de subir sa colère et ses coups...

Tu hurle, lui dis qu'il ne méritait pas ta mère, qu'elle est parti parce qu'elle avait peur, qu'il n'est pas un homme, qu'il frappe sa propre filles pour oublier ses fautes, a chaque reproche sa mains s'écrase contre ta peau fragile te faisant pleurer ou tomber au sol.

Puis la porte s'ouvre, elle s'ouvre sur Michael, il est en colère et serre les poings, il se rue sur ton père, le faisant tomber a terre, il se met au dessus de lui et le frappe, il écrase ses poings sur le visage de ton père...

-Michael arrête ! Arrête s'il te plaît.

Malgré tes pleures et tes ordres Michael ne s'arrêtait pas, tu tente de le relever en le tirant par les bras, mais il est bien plus fort que toi.

-MICHAEL ARRETE TU N'Es PAS COMME LUI ! Tu n'es pas comme lui Michael !

Il s'arrête, regarde ton père qui ne bouge que partiellement, il se releve et se dirige vers toi, te demandant pardon, la minute qui suit Michael prends son téléphone et appel la police, se que tu aurais du faire dès les premiers coups, dès la première fois ou ton père t'avais frapper, le jours ou ta mère est partie.

-Il ne recommencera plus, je te le promet, tu vas venir avec moi, on va partir, je ne le laisserais plus te faire du mal, tu m'as compris? Plus jamais.

Ton père se releve et vous regarde, il s'approche de vous, encore une fois, Michael se place devant toi, positionnant ses bras afin que ton père ne puisse t'atteindre.

-N'essayez même pas, la police arrive, c'est terminer, vous ne la toucherez plus.

Quelques minute plus tard, la lumière des gyrophares emplissent le maison de lueurs bleu et rouge, Michael te fait sortir après avoir expliquer la situation aux officiers, il te tient toujours dans ses bras, il ne te lâchait plus, tu vois les officier sortir ton père de la maison, Michael se replace devant toi, comme pour te protéger, tu empoigna son t-shirt dans le dos, et suis ton père du regard, comment il a put te faire sa, comment un père pouvais faire sa à sa propre filles, tu te souviens des moments passer tout les deux, mais il n'était plus le même, il ne serais plus jamais le même.

L'officier vous pose des question et te conseille de ne pas rester ici aujourd'hui, Michael lui dis que tu reste avec lui, que ses parents seront d'accord. Les voitures de police s'éloignent, te laissant seule devant chez toi avec Michael.

-C'est fini, je te le promet c'est fini. Il ne te fera plus jamais de mal.

-Michael j'ai eu tellement peur.

-Je sais mais c'est fini, va prendre des affaires, on s'en va, tu dormira chez moi ce soir, et demain, et ... On reste ensemble maintenant.

Il te relève la tête et posa un doux baiser sur tes lèvres. Tu lui obéis et part faire un sac, tu prends le nécessaire, des vêtements pour quelques jours, tu reviendra forcement de toute façon. Puis tu jette un coup d'oeil dans la chambre, posant tes yeux sur ton cadre, une photo de toi et ton père, tu t'approche, la regarde et baisse le cadre avant de te retourner et de quitté la pièce.

Michael t'attend assis sur les marches du porches, tu t'installe à coté de lui et pose ta tête sur son épaule. Il t'embrasse les cheveux et pose sa tête sur la tienne.

-C'est fini Michael, tu me le promet?

-C'est promis, jamais plus tu ne reviendra ici.

Il se lève et te tends la mains, tu l'attrape et te relève, il attrape ton sac et vous partez en direction de chez lui. Il avait appeler ses parents pour lui expliquer la situation, ils ont accepter de t'avoir chez eux, une fois arriver, il te montre la chambre, sa chambre, là où tu vas passer tes nuit a partir de maintenant. Les parents de Michael ont été très gentil, ils vont t'héberger jusqu'à ce que tu décide de partir, ils vont t'aider dès que tu en aurait besoin. Une fois que vous avez fini de discuter tout les quatre, Michael et toi montez dans la chambre, vous ne prirent même pas la peine de vous mettre en pyjama, ni même d'enlever vos chaussure, tu veux être dans ses bras, maintenant, il s'allonge et te fais signe de le rejoindre, se que tu fais sans attendre, tu pose ta tête sur sa poitrine et fini par t'endormir sous les caresse de Michael.

Déjà quatre mois, quatre mois que ton père avait commis cette erreur, quatre mois que tu as décidé de partir vivre avec Michael et ses parents, aujourd'hui c'est un jours très spéciale, pour Michael, toi et tu les lycéens, la remise de diplôme.

Tu es habiller de ta robe et du 'chapeau des diplômés' tu attends que ton nom soit appeler.

-Et pour finir, la majeur de la promo du lycée va nous dire quelques mots. YN c'est a toi !

Tu t'approche du pupitre avec fierté sous les regards de Michael et ses parents, tu prononce ton discours, tu le préparait depuis déjà deux mois, depuis le jours ou tu avais su que tu avais réussi l'examen, avec les meilleure note de ton lycée, une revanche sur tout les moments passer a douter, tous ses gens qui disaient que tu n'y arriverais pas, une revanche sur ton père.

Tu termine, sous les applaudissement des élèves, des professeurs, des parents et de Michael, il te regarde avec tellement de fierté, personne ne t'avais jamais regarder comme il le fait, tu l'aime tellement, il est tout pour toi.

Tu descends, ton diplôme à la mains, rejoignant fièrement Michael qui t'attend le diplôme en poche lui aussi.

Les Diplômés formèrent un petit groupe, les chapeaux virevoltaient des les airs, comme pour dire au revoir aux année lycée.

-C'était parfait, tu étais parfaite, tu es parfaite, je suis tellement fière de toi. On a réussi!

-On a réussi Mikey!

Tu l'embrasse, il te soulève du sol, te faisant tournée comme une princesse, tu es sa princesse, il te le répète tellement souvent.

-Je t'aime.

Son souffle dans tes oreille te fit frissonner, ses trois mots, qu'il vient de prononcer t'avais fichu la chair de poule.

-Michael...

Tu le regarde des étoiles pleins les yeux.

Il te regarde lui aussi, amoureusement.

-Michael, je t'aime aussi. Je t'aime Michael Gordon Clifford !

-Ew ne m'appelle plus comme sa.

Tu rigoles avant de te blottir dans ses bras a nouveau. Ses bras sont comme ton chez toi, tu te sens en sécurité avec lui comme avec personne d'autre, et se sera encore mieux quand vous serez dans votre appartement, se qui arrivera dans deux mois. Deux moi avant que tu emménage avec l'homme que tu aime le plus au monde.

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