Imagine Michael

  *Dream*
Michael te prends dans ses bras, te soulève, te fais tourner dans les airs, te repose puis te set contre lui en te murmurant des "je t'aime, tu m'as manquée meilleure".
"meilleure" ce mot résonne et tourne dans ta tête, telle une musique chevronnée qui persiste à te faire du mal.Tu veux pleurer mais tu ne le fais pas, tu sais qu'il ne t'aime pas de la même façon que toi, c'est comme ça tu n'y peux rien.
Michael a remarqué que ton regard avait changé devant ses paroles, il te fais asseoir sur le sofa, tu lui fais un sourire aussi faux que ta bonne humeur et il l'a deviné, il te dit :
- Qu'est-ce qui a ?
- Mais rien, tout vas bien.
- Arrête je sais quand tu mens.
Tu t'énerve
- Ah oui ! Parce que toi tu vois tout ! t'es Super-Man !
- Héhé y'a pas mort d'homme pourquoi tu t'énerve, j'ai fais quoi ?
- Rien justement, tu ne fais jamais rien..
Tu pars en courant dans ta chambre, Michael te suit, il ferme la porte derrière lui.
- Je sais ce que tu as..
- Ça m'étonnerais beaucoup.
- Ce qui m'étonne moi, c'est que tu n'as pas vu que c'était réciproque.
- De quoi tu parles ?!
Michael ne réponds pas, il te prends par la nuque pour t'embrasser démesurément, passionnellement et émotionnellement.

*End of the dream*

Un rêve, unique moment d'évasion dans les tréfonds de ton âme et de tes désires les plus secret, armes dévastatrices de ton cœur et cause de tes innombrables larmes.
Oui, toi, Y/N, 17 ans, est atteinte de ce qu'on pourrait qualifié de "Maladie d'amour"..

*Un matin, 9H*

Tu te lèves, tu as un grand enthousiasme aujourd'hui, et un jour heureux avec des petites licornes mauves.
Non.
Aujourd'hui est un jour qui s'achèvera avec des pleures, tu en a l'habitude désormais et comme un malheur n'arrive jamais seul, voilà que la cause de ta tristesse émotionnel toque à ta porte, il trépigne d'impatience à en juger par les coups acharner qu'il donne sur ta malheureuse porte que tu finis par ouvrir. Michael. Quel étonnement de voir ton ami hors du lit, habillé, coiffé et non tu ne rêves pas, parfumé. C'est pas ton anniversaire pourtant.
- Tiens t'es tombé du lit ?
Michael - Très drôle, dis ta bouffé un clown s'matin ?
- J'ai pas encore mangé, et techniquement, à moins 'être cannibale, je ne peux pas manger de clown.
- D'accord qu'est-ce qu'y a ? t'as tes règles ?
- Tu m'énerve Mickey si c'est pour me faire chier dès le matin c'est pas la peine...
- Bien, parce que c'est pas mon intention..
Un blanc s'installe entre vous. Vous vous regarder fixement yeux dans les yeux, vos iris face à face. Michael te dévore des yeux tout comme toi, son regard divague vers tes lèvres avant qu'une mine contrite n'apparaisse, il semble mécontent de lui-même.
- Bon dépêche toi, on sort aujourd'hui.
Sa soudaine intervention te fis légèrement sursauté.
- Euh oui mais où ?
- Tu verras bien.

*P.D.V. Michael*
Elle.
Elle est la cause de mes pleures le soir, de mes joies le jour, de mes envies au fond de moi.
Elle est ma force, ma faiblesse, mon tout, ma moitié. Elle est tout ce que je désire. Elles est la perfection incarnée. Elle n'est pas mienne.
Oh je ne suis pas ignorant du fait que je l'aime plus que tout, que je suis amoureux d'elle et qu'elle m'aime plus que tout, qu'elle m'aime d'amitié, et sa me brise le cœur me le brûle à petit feu.
Je dois tenir, sa fais si longtemps que je tiens je peux tenir encore un peu. Non, je la veux près de moi, dans mes bras, à mes côtés, l'embrasser. Je veux qu'elle sache. Mais comment ? J'ai peur qu'elle me rejette, me renie, ne veuilles plus me voir, ne m'adresse plus la paroles.
J'en mourrais c'est certain, pourtant elle doit savoir, cette mascarade à assez durée. A présent dans ma voiture, se dirigeant vers l'endroit, qui pour moi est parfait et signifie tant de chose. Je la regarde, mon dieu que j'ai envie de m'arrêter, de la prendre dans mes bras pour ne plus jamais la lâchez. Retiens-toi Michael. Conduit.

*Fin du P.D.V. de Michael*

Vous étiez dans la voiture de Michael depuis au moins une bonne demi-heure. Tu te demandais où il pouvait bien bifurquer. Quand tu reconnus le chemin, les arbres c'est la que tu reconnus l'endroit, celui de votre rencontre. Il n'avait pas oublié.

*Flashback*

Tu étais avec ta petite cousine. Vous ramassiez des fleurs ensembles dans la clairière. Lorsqu'un blond arriva en trombe à vélo droit devant toi, tu n'eus pas le temps de te déplacer et lui de freiner que vous entriez en collision tout les deux. Tu fus projeter à terre. Le blond courut vers toi tandis que tu sombrait peu à peu dans l'inconscience, Lorsque tes yeux se ré ouvrirent tu te sentis ballotter, porter oui voilà porter, tu étais dans les bras du blond. Un blond aux yeux verts plutôt beaux garçon. Il te souris, tu rougis, il te donna son nom. Michael.

*Fin du flashback*

Depuis ce jour ne vous étiez jamais quitter.
Il s'arrêta, contourna la voiture pour ensuite t'ouvrir galamment la portière, il te dirigea ensuite vers la clairière.
- Voilà... Hum tu te souviens d'ici ?
- Bien sûr Michael comment oublier ?
- oui.. hum je suppose que tu te demande pourquoi je t'ai emmener dans un endroit si significatif ?
- Tu suppose bien.
- Et bien enfaîte je volais te dire ... enfin... je ..
- Allez accouche ! tu le pousse légèrement.
- Tu va regretter ce que tu viens de faire.
Michael te jeta dans l'herbe de façon a ce que tu sois allongé sur le dos et lui à califourchon et te chatouillait jusqu'à l'explosion de tes côtes. Michael n'oublier aucune partie, chaque parcelles fut touchés. Jusqu'à ce qu'un bruit de tonnerre suivis d'une avalanche de gouttes vous tombe dessus.
Tu rigolais encore plus alors que Michael se mit de façon à te protégeait de la pluie tout en arrêtant ses chatouilles, te regardant dans les yeux comme pour se donner du courage de t'avouer quelque chose. Prise d'un élan soudain, tu attrapas sa nuque et l'embrassa. Michael n'eut pas le temps d'y répondre que tu te recula te dégageant de ses bras en balbutiant quelques inepties d'excuses tout en t'enfuyant sous la pluie battante Michael à ta poursuite, il arriva à ta hauteur et te retourna pour plaquer avec force, urgence, espoir et amour ses lèvres sur les tiennes, tu resta de marbre quelques infimes secondes avant d'enfiler tes doigts dans ses cheveux tandis qu'il te susurrait combien il t'aimait, toi faisant de même.

"L'amour début d'un amitié pur et dur" - Shakespeare.

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