4 ~ Chaud, chaud, chocolat...

PDV Natsu

Mes jambes me guident sur le chemin de l'appartement, après avoir enfin finit ma semaine de boulot dans la future, enfin dans ma future entreprise. Comme vous le savez, mon père tient absolument à ce que je la récupère, ce que je comprends. Après tout, je suis son fils et il est fière de moi, de mon soutien et de mes efforts fournit. Je ne veux pas le décevoir, même si récupérer l'entreprise n'était pas ce que j'envisageais étant petit, mais j'y ai pris goût en grandissant. Et puis, je n'ai pas de question à me poser en ce qui concerne les études supérieur, mon future travail est déjà tracé.

Cependant, l'heure n'est pas au discussion boulot mais plus au vautrage de canapé. Aaah... Et revoir ma Lucy aussi. Elle m'a manqué aujourd'hui, comme tous les autres jours à passer sans elle et son rayon de soleil qui boost mes journée un peu longue et ennuyante.

Je baille à m'en décrocher la mâchoire et lève le nez, regardant le ciel orangé du soir. Je suis crevé de cette fin de semaine et je n'ai qu'une seule envie : m'affaler dans le canapé et me mâter un petit film pour adulte entre ma main et ma queue.

... Hum hum...

Nan, je plaisante. J'ai une adorable et magnifique jeune femme qui m'attend pour notre rendez-vous ponctuel de fin de semaine, alors pourquoi utiliser un Android pour se satisfaire. J'esquisse un petit rictus tout en continuant mon petit bout de chemin.

J'ai hâte de rentrer.

Je passe le pas de la porte et une douce mélodie vient caresser mes oreilles. Notre playlist chantonne doucement dans l'appartement. Content d'être enfin chez soi, je pose mes affaire et soupire de relâchement. Sans faire de bruit, je me dirige vers la source de musique qui me guide vers la cuisine. Je me stop net devant la porte, faisant de grand yeux et mon cœur rate un battement à la vue de cet ange.

Ooh... Elle a osé...

Dos à moi, ses cheveux miel balayent doucement ses épaules dénudées, ses courbes féminines presque nu sous un tablier noir et blanc, se dandinent au rythme de la musique alors qu'elle mélange de la crème pâtissière dans un saladier.

Aïe...

Mon pantalon se serre et mon sourire se crispe en coulant un regard aguicheur sur sa petite culotte noir qui ne tient... que par deux petits nœuds. La tension qui règne dans mon pantalon augmente rapidement et je tourne le dos vivement. Ok, tranquille Natsu, respire tout va bien. J'inspire et expire calmement en fermant les yeux. Mon cœur danse doucement dans ma cage thoracique et je tente de le calmer en respirant calmement. Bon sang, mais qu'est-ce qu'elle fiche comme ça ? Ce n'est pas pour me déplaire mais je ne m'attendais pas à la voir dans cet tenue en rentrant. Est-il vraiment possible d'avoir envie d'elle à ce point ? Elle ne m'a toujours pas remarqué, je peux encore faire comme si je n'avais rien vu et revenir, plus sur de moi.

- Tu vas me tourner le dos encore longtemps ?

Sa voix douce et innocente me percute et je me retourne face à elle. Ses grands yeux noisette brillant me fixent alors qu'un tendre sourire se dessine sur ses lèvres pulpeuses. Elle se penche et je déglutis.

- Tu veux venir cuisiner avec moi ? me demande-t-elle doucement.

J'avoue... que j'ai du mal à la regarder dans les yeux, dans des secondes qui me paraissent durée une éternité. Mes pupilles glissent lentement le long de ses lèvres rosées avant plonger dans son décolleté.

Ça craint...

- Je fais un fondant au chocolat et j'aurais besoin d'aide pour le chocolat fondu. Tu veux bien m'aider et t'en occuper, s'il te plaît ? reprend-elle avec le même sourire et le regard suppliant à deux doigts de me faire craquer.

De retour sur terre, je détourne le regard et me gratte la nuque en faisant mine de réfléchir. Pendant ma silencieuse réflexion elle me dévisage tout en me souriant innocemment.

Et si je dis non ?

J'ai bien envie de l'embêter un peu mais... Mon regard se pose sur elle et mon corps réagit au quart de tour. Une vague de chaleur intense parcours mes veines. On se regarde silencieusement et j'inspire longuement, me retenant de me jeter sur ses lèvres, qui m'appelle désespérément.

Ça craint...

- Tu ne veux pas ? Redemande-t-elle, ne me voyant réagir.

- Si si ! je m'exclame vivement sans le vouloir avant de rire nerveusement, la faisant sourire.

Je réagis comme un gamin ! Allez reprends-toi !

Elle tourne les talons et retourne en cuisine, un sourire innocent au coin des lèvres. Je reste sur le pas de l'entrée de la cuisine et secoue la tête pour me remettre les idées en place.

Bon, finit la comédie, on arrête de se comporter comme un puceau et on agit en homme. Je sens bien qu'elle essaie de m'entraîner dans un petit jeu, et j'avoue que j'adore jouer. Mais si elle croit m'avoir encore une fois, c'est se fourrer le doigt dans l'œil.

Souriant bêtement sur le pas de la porte, je l'observe un moment reprendre sa crème pâtissière tout en faisant du playback. Mon rythme cardiaque est revenu à la normal et la tension de mon pantalon s'est légèrement dissipé. Un sourire mutin au coin des lèvres je m'avance dans la pièce, confiant.

La roue est lancée.

Et elle s'arrêtera que lorsque l'un de nous deux tombera. Ce sera comme jouer au loup, sans savoir qui l'est. Le chasseur étant le loup et la proie l'innocent petit lapin qui se dandine sous mon nez. Alors qui du chasseur ou de la proie craquera en premier ?

Je ne me laisserais pas embobiner aussi facilement. Ce gâteau sera les préliminaires d'un défi que je compte gagner haut la main. Alors faisons ton petit fondant au chocolat ma chérie, mais ce n'est pas lui que je mangerais...

***

Assis sur une chaise, je fais mine de lire la liste de préparation du chocolat fondu. Mes yeux ne cessent d'être attirés par ses fesses qui remu sous mon nez, alors que leurs propriétaires se dandine en remuant la crème pâtissière. Et j'ai la fâcheuse et désagréable envie d'arracher les nœuds de sa petite culotte.

- Tss

C'est de la torture visuel.

Ses fesses rondes sont si bien dessiner, je n'arrête pas de m'imaginer croquer dedans. Et ses seins... bon sang ses seins, j'aimerais tant les libérer de se tablier beaucoup trop serrer. Ne serait-ce que les libérer, afin de pouvoir leur donner ce qu'ils méritent.

Par pitié Natsu, reprends-toi...

Je sers les dents et me donne une claque mental puis baisse les yeux sur mon pantalon. La bosse est plus grosse que tout a l'heure mais pas encore douloureuse. Allez, arrête de baver, pense à autre chose, je ne sais pas... la vieille voisine qui te taille une pipe ?... Ok... c'est bon, j'ai plus envie.

J'entends toujours Lucy qui bat les œuf en neige pour la chantilly et je repense à ce qu'elle m'avait fait subir il y a une semaine. Au volant de la voiture, sur la route du restaurant, ses doigts s'enroulant autour de mon membre gorgée de désir... Je me mords la joue et fronce les sourcils. Bordel...
Eh mais ? Ça me fait penser que je ne me suis toujours pas vengé. Je devrais ?...

J'esquisse un sourire qui en dit long sur mes pensées. Je sors brusquement de ma léthargie lorsqu'elle pose le saladier sur la table face à moi. La main sur sa hanche et l'autre sur la table, elle me juge du regard un moment.

- On rêvasse ? Debout Médor, j'ai fini la crème pâtissière. On s'attaque au chocolat. me lance-t-elle avec un sourire innocent.

"Médor" ?... Elle me prend pour son chien là !
Tu ne sais pas de quel bois je me chauffe très chère, parce que tu vas prendre cher...

Tout en gardant mon calme extérieur et intérieur, je me lève, remonte mes manche de chemise et me lave les mains. Elle m'adresse un regard amusé en posant ses yeux sur mon pantalon et j'essaie d'ignorer son sourire satisfait.

Ça t'amuse hein ? Tu souriras moins en la sentant tout à l'heure...

Je me rince les mains et l'observe du coin de l'œil ouvrir un placard en hauteur à mes côtés. Elle se colle au comptoir et tend le bras, voulant attraper une gamelle. Elle s'appuie sur le plan de travail pour se hisser mais ne parvient pas la prendre.

Je me sèche les mains et m'adosse au mur les bras croisés, profitant de la voir en difficulté. D'un œil moqueur je l'a laissé galérer dans son coin. Elle sautille et mes yeux s'attardent sur ses seins qui rebondissent légèrement. Mon sourire se crispe à cause de la tension présente entre mes cuisses et je ravale un grognement.

C'est alors qu'elle me jette un regard noir par-dessus son épaule et grimace en me voyant attendre. Je reste sans bouger et me délecte de son agacement.

- Surtout viens pas m'aider. lance-t-elle, des éclairs dans les yeux.

Je souris, fière de l'avoir nargué silencieusement dans mon coin et m'avance vers elle. Sa grimace s'efface et ces yeux brillent alors que je lui lance un furtif regard espiègle et désireux.

- Tu sais, il suffit de demander gentiment. je lui susurre d'un ton suave et moqueur en attrapant la dite gamelle sans un regard.

Lors de mon geste, je glisse discrètement ma main chaude le long de son dos et la glisse sur ses fesses que je presse entre mes doigts. Elle se tend sur place, surprise puis frémit avant de se dégager de moi. Je me retourne avec la gamelle à la main et sourit en l'a voyant bouder.

Une enfant, ce n'est pas possible.

- Tu vois, ce n'était pas si compliqué. Je lui tends la gamelle.


- Oui bah... Tu aurais pu le faire avant au lieu de me regarder galérer. Ce n'est pas sympa. rouspète-tt-elle, me prenant la gamelle des mains pour l'a poser sur le feu en ronchonnant.

- Reste pas planté au milieu de la pièce. Mes ton tablier et rends-toi utile un peu. Ronchonne-t-elle.

Je ricane et je l'entends grogner. Ah... je l'adore. Effectivement, je reste planté au milieu de la pièce et elle se retourne vers moi perplexe.

D'un geste lent, un fin sourire au coin de lèvres, mes doigts s'attardent au col de ma chemise. Ouvrant les boutons un par un, ses grands yeux de biches me jugent un instant avant de devenir sombre en suivant mes gestes.

- Je peux savoir ce que tu fais ? Questionne-t-elle sur la défensive, ses yeux trahissant son désir confus.

Mon torse à l'air, je laisse ma chemise ouverte et d'un pas me retrouve devant elle. Son corps recule et elle baisse le menton alors que je la regarde de haut.

- Je... je te préviens je... je n'ai pas l'intention de faire quoi que ce soit. soupire-t-elle déstabiliser par notre rapprochement.

Menteuse.

Bloquée par le comptoir, une lueur de panique traverse son regard alors que sa respiration se coupe. Les yeux fixer sur elle avec ardeur je retire ma chemise et me colle à elle. Sa respiration se bloque une nouvelle fois et son regard s'assombrit alors que ses seins se pressent contre mon torse. Ses joues se teintent de rose et elle soupire mon nom.

Un sourire étire mes lèvres et je tends le bras derrière elle, le lève et ouvre un placard au-dessus d'elle. Nos visage se rapproche dangereusement et elle frémit en sentant mon souffle chaud caresser ses lèvres entrouverte. Je plonge ma main dans le placard et ressors... un tablier.

Elle me sonde avec de grand yeux un moment, sans bouger. Je crois qu'elle a buguer. Je me recule et l'attache autour de moi. Je relève les yeux sur elle et la questionne du regard alors qu'elle prend une teinte plus rouge et stupéfaite.

- Quoi encore ? J'ai pris un tablier comme tu me l'as demandé.

- Que, mais... Je... IMBÉCILE !

Agacée d'avoir été prise au piège elle me jette une cuillère en bois au visage, que je rattrape in extremis. C'est évident qu'elle y a cru et maintenant elle rouspète. Désolé ma chérie mais c'est toi qui as commencé, tu ne peux qu'en tirer les conséquences. Tu veux jouer à la séduction, nu sous ton petit tablier ? Eh bien moi aussi. Et je compte bien m'amuser encore...

***

Encore satisfait de mon ancien coup, je verse un peu d'eau dans la gamelle sur le feu et attend qu'elle aille chercher les autres ingrédients. Elle revient à mes côtés et déballe le chocolat tout en la regardant faire. Elle casse la tablette en deux et me donne la moitié que je casse en petit morceau avant de les mettre dans la casserole. Elle fait de même avec l'autre moitié et une fois le chocolat dans la gamelle elle se penche et ouvre un tiroir à ses pieds. Levant les fesses innocemment je dégluti silencieusement, le pantalon serrer. Retiens-toi encore, c'est pas le moment de craquer, tu peux encore tenir. Ne laisse pas tes pulsions prendre le dessus, ça se voit qu'elle le fait exprès. Elle se redresse et sors une grande cuillère qu'elle me tend avec le sourire.

- Je te laisse avec le chocolat. Je reviens.

Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle file à toute allure hors de la cuisine. Bon... Je suis seul avec la casserole en main et la cuillère de l'autre. Qu'est-ce qu'elle va faire ? Une idée plutôt amusante me traverse l'esprit mais je ne sais pas si j'aurais assez de temps... Bon ! Elle veut s'amuser ? Alors autant m'amuser aussi. Je laisse tomber le chocolat et la cuillère et défais la boucle de ma ceinture. Je dois faire vite avant qu'elle n'arrive. Mon pantalon tombe lourdement au sol et je le pousse sous la table avec le pied.

Aaah... On est un peu moins serré.

Je reprends ma tâche précédente et mélange le chocolat énergiquement en sifflotant. Des pas se rapproche et je l'entends passer le pas de la porte, dos à moi. Un sourire fière dessine mes lèvres en l'entendant soupirer et murmurer un "garde ton calme Lucy". Ses pas se rapproche et elle arrive par-derrière en me prenant la cuillère des mains. Je fais semblant d'être surpris et la laisse faire.

- Attend. Il ne faut pas mélanger aussi vite. Si tu mélange le chocolat trop vite il ne sera pas bon. Me reprend -elle en me mélangeant doucement la préparation.

Rien qu'à voir ses joues rosées et ses yeux brillant je sais que mon petit coup ne l'a pas laissée indifférente. D'humeur encore plus taquine je plonge le doigts dans le chocolat brûlant et inspecte la moindre réaction de sa part. Elle m'accorde un furtif regard alors que je me lèche lentement l'index mais ne se laisse pas distraire. Déterminé à l'embêter une fois de plus, je replonge le doigts dans le chocolat et en fais goutter "maladroitement" sur ses seins.

- Oups ! Pas fais exprèeees.

Un sourire mutin plaquer au visage, je l'observe paniquer et me lèche le doigts alors qu'elle me fixe de ses grand yeux noisettes ronchon. Tu m'as cherché ? Tu m'as trouvé. Ta culotte. Elle est passée où ma chérie ?... Tombée en chemin ? Ça m'étonnerait. C'est dommage, moi qui me serais fait un plaisir de défaire discrètement tes petits nœuds. Ça m'en fera moins à enlever c'est déjà ça.

- C'est chaud !... gémit t-elle en secouant des bras.

- Laisse-moi faire...

Je chope ses poignets, l'immobilise et plonge m'a tête dans son cou. Son odeur emplit mes narines à m'en faire tourner la tête et je me retiens de la sauter. Là, sur le comptoir, tout de suite, maintenant. Je prends sur moi et descend mon nez à la naissance de ses seins. Les joues rosées, elle me regarde faire en frémissant. Lentement, je lape le chocolat et elle gémit au contact de ma langue brûlante. Son pouls s'accélère sous sa peau et une tension s'installe entre nous. Mon entrejambe me démange et mon cœur s'emballe. Je remonte mes lèvres dans son cou, laisse une trainée de salive et embrasse fiévreusement sa peau douce qui bat la chamade.

- Natsu... soupire-t-elle.

Je relève la tête, la gorge nouée et déglutit péniblement en posant les yeux sur ses lèvres. Elle en crève d'envie c'est sur... Tout comme moi maintenant.

Ça craint...

Je veux la faire mienne mais je ne veux pas perdre ce petit jeu mené de toute pièce par sa propre volonté. Je veux la faire languir jusqu'à ce qu'elle me le supplie. La voir au bout du bout et aussi désespérée. Et une fois qu'elle m'aura supplié je lui ferais voir à quelle point ce jeu m'a exciter. Elle en deviendra barge et en redemandera jusqu'à ce que le désir nous consume à petit feu.
Toutes mes cellules me cries de la prendre et je me mord la joues en fermant les yeux.

Keep calm.

Je rouvre les yeux et sourit innocemment.

- Le chocolat est fondu depuis longtemps, il sera temps de passé au reste de la préparation. Je brise le silence en éteignant le feu.

Elle me regarde avec de grand yeux et je sens bien la pointe de frustration piquer son cœur.

C'est le jeu ma Luce.

Je prends la gamelle et la pose sur le plan de travail avant de prendre un autre saladier. Lucy se recoiffe et suit mes mouvements en sortant le reste des ingrédients. Alors qu'elle ouvre la portière du frigo je coule un regard sur ses fesses nu. Mon boxer se serre et une boule de chaleur se forme au bas de mes reins. Même le tablier n'est plus suffisant pour cacher mon désir bandant. Je vais devoir me retenir encore ?...

Tu veux le gagner ce défi oui ou non ?!

Elle ferme le frigo les mains pleine et m'adresse un sourire en posant les ingrédients. Alors qu'on continue la préparation je fais tomber "maladroitement", encore une fois, des ustensiles par terre.

- Mince.

Je m'accroupi et ramasse ce que j'ai fait tomber mais mes pupilles s'attardent à la finesse de ses jambes. Ses chevilles, ses mollets, mes yeux suivent son corps et je remonte doucement. Je glisse ma main sur sa cheville et la remonte lentement. Sa peau frissonne et je finis de ramasser alors que ma main frôle sa peau douce et brûlante jusqu'à l'intérieur de ses cuisses.

Mes gestes deviennent plus lent au fur et à mesure de ma monter jusqu'à son entrejambe humide. Je me redresse et pose les ustensiles sans la regarder. Mes doigts se frayent un passage entre ses lèvres et mon pouce presse son clitoris. Elle gémit doucement et serre le plan de travail les membres tremblant. Je souris silencieusement et range les objets un par un de mon autre main. Mon index glisse en elle et sa respiration se coupe avant de se tourner vers moi, les joues rouges et les yeux brumeux.

Je me tourne vers elle, un sourire innocent coller au visage et bouge mon doigts en elle. Son souffle se saccade tandis que ses pupilles sombres me fixent sauvagement. Son corps se penche contre le comptoir et se cambre afin de mieux sentir mes doigts. Ses dents rencontrent sa lèvres inférieur tout en me fixant d'un air brumeux et mon sourire s'agrandit. Je rentre un deuxième doigt et elle gémit avant de se laisse tomber contre moi à bout de souffle.

- Natsu... geint-elle dans un murmure désireux et désespéré.

Bingo.

Son souffle erratique caresse mon torse alors qu'elle s'agrippe à mon tablier. Mes doigts continuent de la ravager et je me délecte de ses petits couinements et des sons que produisent mes doigts à chaque allée et venue. Elle relève la tête et mon corps se tend en sentant ses lèvres dans mon cou. Je sers les dents et enfonce mes doigts plus profondément dans son antre palpitante, lui arrachant un gémissement plaintif au creux de mon oreille. Mon sexe se tend et je ravale un grognement.

Bordel ça craint.

Je glisse ma main dernière sa nuque et tire sur ses cheveux, l'obligeant à me regarder dans les yeux. Son visage déformé par le plaisir et suppliant me percute.

- Et puis merde !

Incapable de réfléchir plus longtemps, mes lèvres se plaquent contre les sienne dans un soupire affamé. Nos langue se cherchent rapidement et nos dents s'entrechoquent dans un ballet ardant de désir. Répondant à son baiser avec avidité, je glisse ma main sous sa cuisse et la soulève contre mon bassin, ayant meilleure accès à sa fleur chaude et humide. Sa cyprine coulant entre mes doigts je soupire en sentant ses parois se serrer autour d'eux.

Soudain pressé, je retire mes doigts et chope ses fesses que je presse avant de la soulever et l'asseoir sur le plan de travail. Ses bras et ses jambes s'enroulent autour de moi, m'emprisonnant de son envie pressante. La mienne est au bord de l'explosion et si je ne retire pas se fichu boxer dans les secondes qui suivent je mourrais étouffé.

Dans notre échange je pousse les affaires présentes sur le comptoir et continue de parcourir sa bouche avidement. Mes mains s'attardent à son tablier que j'arrache d'un geste brusque tandis que ses doigts vagabondent sur mon boxer qu'elle tente de retirer. Elle soulève mon tablier et caresses mon torse ferme de ses mains tremblantes de désir. Il tombe à terre comme le reste des vêtements et mon sexe sors enfin de son cocon serrer. Il rebondit sous ses yeux affamés, se dressant fièrement d'un désir ardant.

Ses yeux pétillent à la vue de ma queue rose et lisse et je souris avant d'enfouir mon nez dans son cou pour y aspirer sa peau. Ma bouche déguste son cou de baiser fiévreux avant que ma langue ne taquine son oreille. Elle gémit plus intensément, étant l'une de ses zones érogènes la plus sensible.

Mes mains pressent ses seins sans ménagements et mes doigts pinces ses tétons dressés qui ne demande qu'à être goûtés. Ses mains s'agrippent à mon cou tandis qu'elle affiche une légère grimace.

Ça, c'est pour m'avoir provoqué.

- Ne bouge pas. je lui ordonne d'un ton autoritaire et rauque. Ses yeux pétillent et elle reste sur le plan de travail, les jambes écartées.

Je me recule et d'ici, la vue est magnifique. Elle rougit et me fixe d'un regard timide et intense alors que le mien coule sur ses courbes qui me font tant fantasmer.

Si ça ce n'est pas bandant, c'est que t'es pas humain...

Sans la lâcher du regard, je prends la gamelle de chocolat dont il reste un fond de chocolat tiède puis la pose à côté d'elle. Je savais qu'elle n'avait pas vraiment l'intention de faire ce fondant au chocolat.

Super concept ma chérie. Tu devrais faire ça plus souvent. Je me ferais toujours un plaisir de te torturer...

Avec deux doigts, je les plonge dans le chocolat puis les pose sur ses lèvres.

- Lèche. Je souffle d'un ton lapidaire.

Sa langue sort et s'enroule autour de mes doigts, qu'elle suce avec délectation. J'enregistre chacune de ses expressions et imprime chacun de ses gestes au plus profond de ma rétine. Mon sexe tressaute lorsque ses dents mordillent mes doigts. Je les enfonce un instant au fond de sa bouche et elle gémit. Putain que c'est bandant... Je les retire et les replonge dans le chocolat.

Mes doigts glissent dans son cou, entre ses seins rond et ferme, ses tétons, sur son ventre plat et musclé, jusqu'à sa fleur humide. Une fois ma toile finit je l'admire un moment avant d'embrasser ses lèvres rosées. Ma langue glisse le long de sa mâchoire, sur ses seins, suce ses tétons, croque son ventre, lapant le maximum de chocolat. Au fur à mesure de ma petite ascension, la tension monte et ma langue se fait plus taquine. Ma Lucy est entre mes mains, elle ne peut pas s'enfuir.

Elle est à moi.

Je me penche et embrasse son pubis la faisant soupirer. D'une lenteur mesurée ma langues se fraye un passage entre ses lèvres humide et lape le jus de son désir. Elle gémit et ondule du bassin alors que ma langue s'enroule autour de son clitoris si sensible. Son corps se parsème de frisson et ses membres tremblent alors que j'entame de langoureux va et viens avec mon muscle en elle. Mon pouce roule sur son clitoris tandis que je découvre son antre chaude et sucré. Ses gémissements deviennent des cris et je sors ma langue pour retrouver son bourgeon rosé. Je le mordille et elle convulse, pris de spasmes ravageant alors que je sens son apogée proche. Je le suce encore quelques secondes et la voilà en train de crier son premier orgasme, tirant sur mes mèches de cheveux et le dos cambré.

Et de un...

Je finis mon traitement et me redresse, léchant la commissure de mes lèvres. Elle reprend ses esprits et m'attire vers elle, plaquant sa bouche contre la mienne. Elle s'agrippe à moi, m'embrassant avec passion et je la sers contre moi, pressant mon sexe contre le sien. Elle gémit en le sentant et je laisse échapper un grognement.

- Lucy...

Je malaxe ses seins un moment puis prend ses cuisses et les écartes, la positionnant sur mon sexe. Elle gémit et se frotte tout contre en ronronnant. Elle est trempée...

Elle va m'achever...

Nos langues se retrouvent amoureusement et langoureusement et je lèche sa lèvres inférieur. Je plonge mon nez dans son cou et suce sa peau douce en la calant contre moi. Elle enroule ses jambes autour de mon bassin et ses bras autour de mon cou fermement. Je chope ses fesses avant de la soulever.

Je traverse l'appartement et me dirige vers notre chambre en vitesse. Dans le couloir qui mène à notre chambre, je la plaque contre le mur, trop pressé pour attendre un seconde de plus. Le désir est trop fort, je ne peux plus me retenir. Je prends fermement ses cuisses, attrape mon sexe et la pénètre.

Alléluia ! Enfin !

Elle se cambre et sa tête bascule en arrière, haletante.

Putain, elle est si serrée.
C'est tellement bon...

Je l'embrasse et étouffe ses gémissement avant de la reprendre et nous enfermer dans la chambre.

On tombe sur le lit et je ne perds pas de temps avant d'entamer des coup de rein sec et langoureux. Bordel, j'ai l'impression d'avoir attendu une éternité avant de la sentir. Mon sang bouillonne dans mes veines et je l'embrasse avec avidité. Ses gémissements sont plus intenses et une vague de chaleur se propage dans mon bas ventre. Son bassin ondule au rythme de mes coups de bassin et en demande encore plus.

Je prends ses jambes et les remonte sur mes épaules en me redressant et l'a chevauche de tout le désir que j'ai contenu jusqu'à maintenant. Ses seins remuent au rythme de nos mouvements et je me perd dans la profondeur de ses yeux noisette qui me fixe dans le floue.

Ses mains agrippent les drap et son corps se cambre alors que l'orgasme la consume à petit feu. Son intimité se resserre autour de moi et j'explose dans un râle rauque. Les membres tremblant et le torse en sueur, je ralenti mes mouvements jusqu'à m'arrêter.

Le souffle erratique et cours je reste un moment dans les vapes à l'observe se remettre doucement de ses émotions, les seins montant et descendant au rythme de ses soupire d'aise. Elle rouvre les yeux, et nos regard se croise tendrement. La bouche ouverte, un filet de bave au coin de la bouche elle me fixe dans un trouble désir.

Elle a vraiment aimé ça...

Je me penche et l'embrasse. D'un chaste baiser puis d'un plus lent, plus doux. Je suis sur un nuage. Elle y répond avec passion et je glisse ma main dans sa nuque, caressant sa joue brûlante. Ses mains encore tremblantes plongent dans mes cheveux et me masse. Je laisse échapper un soupire et je rompre le baiser, un lien translucide reliant nos lèvres. Le regard amoureux, je me retire d'elle dans un soupire et m'allonge à ses côtés. Le corps lourd, elle se blotti contre moi et je passe un bras au creux de sa taille, la serrant contre moi. J'attrape sa main et embrasse ses doigts puis embrasse sa tempe. Elle soupire puis s'endort.

Je tire le drap sur nos corps nu et brulant et finis dans les bras de Morphée à mon tour, serrant ma douce contre moi.

On n'a même pas fait de gâteau au final...

***

Heureusement que c'est le week-end. Le lendemain matin, on a nettoyé toute la cuisine, le sol et jeter tout ce qu'on avait oublié. L'air tous de même complice, on se regardait discrètement avec des sourires innocent.

C'est sûr, si on nous met tous les deux en cuisine, on risque de recommencer où même, de faire pire...

FIN ^^

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