3 ~ Délire au volant, regarde droit devant !

PDV Externe :

Ce soir-là, alors que le soleil commence tout juste à se coucher, notre cher Natsu invite sa promise au restaurant.

- On se fait une bouffe ? lui avait t-il demandé.

Pourquoi refuser une si bonne idée ? Elle avait accepté tout de suite, et son ventre aussi. Elle allait enfin profiter d'un bon repas après de longue heure de travail, et c'était bien mérité. Nous sommes en fin d'après-midi et elle l'attend. Sous le petit perron de son immeuble, pianotant sur son cellulaire. Lui ayant donné rendez-vous devant chez elle, elle regarde une énième fois sa montre, lui indiquant qu'il est 19h30

Un klaxon l'a fit légèrement sursauter et elle lève les yeux. Une voiture noir se stationne devant elle et elle sourit. La portière passager s'ouvre et une touffe rose se penche pour découvrir la jeune femme.

- Votre taxis est avancé ma chère. Si vous le permettez ?

Elle s'avance avec assurance, descendant les quelques marches qui bordent la route, pour venir à sa rencontre.

- Avec plaisir. Mais où m'emmenez vous donc, beau garçon ? répond-t-elle, un sourire amusé au coin des lèvres.

- Surprise ma belle, surprise...

Elle roule des yeux puis rentre sans en demander plus. Lorsqu'elle lève les yeux sur lui, son cœur palpite et ses prunelles chocolat glissent lentement sur le jeune homme qui se tient à ses côté. Un air d'assurance dans la posture, il vérifie les alentours, tandis qu'elle coule sur lui un regard approbateur. Celui-ci est plutôt bien habillé, et ce n'est pas pour lui déplaire. Ses pupilles brillent et une douce chaleur remonte de ses pieds, affluant dans tout son corps.

Couvert d'une chemise blanche, le col entre ouvert, il laisse apercevoir le début de son torse sculpté. Son pantalon noir, remonté de sa ceinture cuivrée qu'elle lui avait offert, lui donne une allure de bad boy sexy.

La belle blonde est toute charmée et ses dents rencontrent nerveusement sa lèvre inférieur. Son regard se détourne vers la fenêtre, les joues chaudes. Ce nargueur a réussi à la déstabiliser.

Alors que Lucy regarde par dehors, le bras accoudé à la portière et le menton au creux de la main, le rose pose sur elle un nouveau regard. Il admire sa dulcinée, magnifique ce soir-là. Vêtue d'une robe bordeau dont les épaules sont couvertes de dentelles transparent. Le tissus lui arrive à mi-cuisses et ses yeux onyx rasent un instant sur ses magnifique jambe. Douce, fine et élégante...
Ce n'est pas comme s'il n'avait pas senti son 5eme membre valider l'idée de glisser quelques doigts à des endroits interdit...

Il sourit et appuis sur un bouton. Soudain, les verrous se bloquent et elle se tourne vers lui suspicieuse. Elle lit l'amusement du rose sur son visage et fait la moue.

- Tu ne peux plus t'enfuir. annonce-t-il avec un petit rictus sadique.

- Mais oui. Aller, vas. soupire-t-elle, abusée des petites farces de son conjoint.

Il passe la 1ere et reprend la route. Le chemin en direction du restaurant est plutôt long et le rose s'assure de prévenir sa belle blonde de la longueur du trajet. Ils discutèrent un petit moment avant que Lucy ne penche sa tête vers la fenêtre, l'air pensive, laissant son chauffeur les conduire. Ne trouvant plus de sujet de conversation, elle commence à éprouver un léger ennuie. C'est alors qu'un sourire malicieux s'étire sur son jolie visage dans le dos du rose. Une idée plutôt intimidante vient lui titiller l'esprit.

Ses doigts fin s'activent discrètement et glisse sur la cuisse de son chauffeur. Elle le caresse doucement, tout en regardant la route devant elle. Celui-ci sent bien la main de sa belle parcourir sa cuisse et profite de ce moment. Ce n'est pas tout le temps qu'il s'autorise des caresses en voiture, alors autant en profiter. Ce geste est loin de lui déplaire. Cependant, il reste attentif à la route, faisant d'elle son seul objectif.

Voyant que son chauffeur réagissait peu, elle prend l'initiative d'aller plus loin. D'un geste lent et mesuré, ses doigts remonte le long de sa cuisse, vers l'intérieur, jusqu'à son entre jambe. Un fin sourire étire ses lèvres en passant quelques doigts sur le dessus de son pantalon, le caressant là où elle le sait plus sensible, faisant retenir le souffle de son chauffeur. Sans réfléchir, ses dents raclent sa lèvre inférieur, ce qui n'échappe pas à Lucy, malgré que l'habitacle soit dans le noir.

Voyant bien qu'il ne réagissait pas, ou peu, elle défait subtilement sa ceinture en l'espace de 2 seconde. Surpris par le clic de sa ceinture, il regarde en bas une seconde. Il change de vitesse et soupire en se réinstallant nerveusement dans son siège. Les doigts de la blonde défont sa pression ainsi que le zip de sa fermeture éclair. Elle écarte les pans du tissus et passe lentement sa main sur son caleçon. Les mains du rose s'agrippent au volant. Il refoule un grognement, essayant de rester concentré sur la route. Ne pas accélérer inconsciemment sur la pédale d'accélération. Il en retient presque son souffle, ses joues picotent.

Elle touche. Caresse du bout des doigts là où il faut, la, où ça fait du bien. Elle sait comment l'exciter, et s'amuse à observer du coin de l'œil les réaction de son partenaire. Ses doigts monte et descende sur cette bosse qui trésaille dans son cocon de coton. Après avoir passé 5 bonnes minutes à le torturer, elle décide d'introduire son pouce sous son boxer, venant à la rencontre de ses poils pubien. Lorsqu'elle atteint la base de sa verge, celui-ci ne put s'empêcher de lâche un petit grognement, qui sorti tous seul malgré lui. Elle ricane intérieurement et se mord la lèvre. Elle est satisfaite du résultat, voyant qu'elle ne lui est pas insensible.

Elle entoure ses doigts autour de son membre long et épais alors qu'il bascule la tête en arrière sur l'appuis de tête. Et alors qu'elle empoigne sa verge, il lâche un soupire rauque, jusque-là retenu. Son cœur palpite dans sa cage thoracique alors qu'elle entame de langoureux va et vient en se mordant la lèvre.

Putain ... Elle sait y faire.

Les joues de la belle blonde picotent alors que l'adrénaline coule lentement dans son organisme qui brûle de l'intérieur. Cependant, elle reste consciente de la situation et garde un œil sur la route. Il conduit et il serait compliqué d'expliquer à un quelconque policier, après un quelconque accident, qu'elle a volontairement déconcentré son partenaire... en le masturbant.

Et rien que d'y penser, son bas ventre se contracte.

Même en essayant, en vain, de rester concentré, le véhicule a pris quelques vitesses sur le compteurs. Et ce n'est pas comme s'il ne sentait pas chaque parcelle de sa peau se contracter à chaque mouvements de poignets de sa partenaire. Sa chemise colle à sa peau et sa respiration se saccade.

Son pouce caresse son gland soyeux et il grogne. Mon dieu, retenez le de garer la voiture en vitesse sur le bord de la route et de lui en faire voir de toute les couleurs.

Il lutte, lutte contre la chaleur qui l'envahi de plus en plus, se fait violence contre l'envie qui l'appelle, ses jointures de doigts blanchis à force de serrer le volant. Elle accentue ses mouvements, caresse le bout de son gland mouillé. Et c'est un miracle qu'il n'est pas encore garé la voiture, se dit-elle. Il est bien obligé de se l'avouer, mais sous son caleçon se cache une putain de belle et forte érection.

Le sourire de la belle et jeune femme s'agrandit et elle se pince les lèvres en le regardant furtivement du coin de l'œil. Les pupilles du rose fixées avec ardeur sur la route bouillonnent de désir. Elles sont aussi sombres que les idées qui lui traverses l'esprit à ce moment même. Son torse se soulève au rythme de sa respiration bruyante et il sa respiration se coupe par moment.

Elle se demande alors comment fait-il pour ne pas craquer. Son sang pulse dans la paume de sa main et elle le sens aussi chaud que de la braise, crépitant. Un regard échangé. Fou de désir. Elle crève de le sentir en elle. 2 secondes. C'est le temps d'un regard posé sur elle, la pénétrante de ses pupilles sombres et brûlantes.

Elle baisse timidement le regard et se mord la lèvres. Elle sert les cuisses en fermant les yeux, sentant sa petite culotte trempé, le cœur battant entre les cuisses. Son cœur palpite et ses seins deviennent soudainement trop lourd et trop serrés. Elle se souvient alors qu'elle ne porte pas de soutient gorge et se mord la lèvres en sentant ses tétons dressés sous le tissus.

Ses mouvements de poignet se sert et deviennent plus saccadée et elle tourne la tête vers lui en l'entendant soupirer lourdement. Elle le constate tremblant, la respiration plus forte, serrant le volant comme un fou, ses pupilles rivées sur la route.

Va-t-elle réussir à lui faire perdre complètement les pédales ?

***

Elle retire sa main et range son membre dans son boxer. Il ne reste que quelques minutes avant qu'ils n'arrivent à destination et elle préfère le laisser au comble du désir. Par pure intérêt.

Il dirige vers elle un regard confus. Elle sert les cuisses et détourne le regard vers l'extérieur. Si elle le masturbe plus longtemps, c'est elle qui finira frustrée.

Voyant sa fuite, il sourit à la regarde se tortiller sous ses yeux.

Putain, qu'il en crève d'envie.

Elle regarde un instant l'heure sur le tableau de bord puis soupire. Soudain, une main bouillante se pose sur sa cuisses et elle sursaute. Un courant électrique la parcours et elle frissonne en sentant les doigts du rose courir le long de sa cuisses. Il remonte jusqu'à son entre jambe palpitante. Ce n'est pas sans dire mais elle est presque sûr d'avoir mouillé plus que sa petite culotte.

C'est alors qu'il plonge sa main sous le tissus de sa robe. Malgré la gêne, elle se laisse faire et apprécie le contact électrisante de ses doigts sur sa peau brulante. Sa main se faufile lentement jusqu'à effleurer son bouton à travers le tissus. Natsu grogne, il a très bien senti à qu'elle point elle est trempée et sa queue saute. Bon sang, il le ferait sienne s'il n'était pas derrière le volant.

Son regard se pose rapidement sur l'heure du tableau de bord. Le restaurant n'est plus très loin mais l'envie de la faire sienne est, elle, très proche... Il écarte le bord de sa culotte et vient titiller son bouton de rose sensible. Elle couine et se mord le doigt, retenant un gémissement. Son corps se contracte involontairement alors que son index s'active dans de petits rond. Elle tremble et essaie de rester naturelle, alors que son cœur manque de lâcher.

A son tour de subir.

Sa main sur sa bouche, elle se retient de gémir alors que les doigts de son conjoint roulent sur son clitoris. Incapable de se restreindre plus longtemps, un couinement sort de sa bouche. Excité par ce son, le rose glisse ses doigts entre ses lèvres et la pénètre. Son phallus gorgé de désir, réagit et se sent davantage à l'étroit.

Bon sang qu'elle est mouillée...

Il se pince les lèvres et accélère ses mouvements. Son index plonge en elle facilement et entame de savoureux aller-retours. Lucy gémit, les cuisses tremblantes. Elle en veut plus. Son bassin ondule sur le siège alors qu'il plonge en elle plus profondément.

- Natsu...

Sa queue tremble d'envie de jouir en elle. Il soupire, sentant son membre se contracté en l'entendant gémir. Il la fait venir alors qu'elle agrippe son bras. Le corps secouer par de léger spasmes, elle laisse tomber sa tête contre son épaule et murmure :

- J'ai envie de toi... maintenant.

Ni une, ni deux, Natsu repère une petite allé sur le bord de la route et tourne le volant brusquement. Il s'arrête au frein à main, surprenant Lucy. Ils s'échangent un regard quelques second avant de se jeter l'un sur l'autre. Lucy défait sa ceinture de sécurité et retire sa petite culotte tout en embrassant ardemment son chauffeur. Il déboucle sa ceinture de pantalon pour la deuxième fois et sort son sexe palpitant. Elle se redresse et enjambe le levier de vitesse ainsi que son partenaire. Il empoigne son sexe pendant qu'elle l'enjambe et l'attire vers lui. Sa tête plonge entre ses seins et hume son parfum excitant.

Ça ne peut plus attendre.

Sa gland fouille l'entrée de sa belle qui gémit avant de prendre ses lèvres en otage dans un baiser fougueux. Un mouvement de bassin et la voilà pénétrée. Ils gémissent ensemble. Frustré d'avoir patienté si longtemps. L'envie est à son apogée et Lucy entame des mouvements de bassin. Ses cuisses claquant sur celle de son partenaire. Sa queue glisse en elle jusqu'à en être totalement trempé. La sensation est exquise. La sentir serrée alors qu'elle vient de jouir est l'une des meilleure sensation. Elle se sent pleine et ignore les voitures qui passent à côté de la leur, éclairant l'habitacle quelques seconde durant leur passage.

Le restaurant peut attendre.

[...]

La voiture s'arrête sur le parking du restaurant et elle retire la main de son pantalon. Un long soupire passe la barrière des lèvres du rose et ils restent tous deux silencieux. Il ouvre la fenêtre pour reprendre de l'air. Son pantalon est au bord de l'explosion et ses veines en ébullition. S'il n'avait pas gardé son self contrôle, il aurait déjà passé le cap de son imagination. Lucy jouir sur ses doigts, trempé et sauter sur sa queue. Il l'a rêvé, tout le long du trajet. Et maintenant, il en paie les frais. Le fruit de son imagination l'aura un jour. S'il ne la prend pas maintenant, il risque de la forcer à le gober, ici, et maintenant.

Elle l'observe un moment, le rouge aux joues alors qu'elle remarque sa mâchoire serrer et quelques perle de sueur glisser sur son front. Son torse dont la chemise est entrouverte laisse apercevoir sa respiration forte. Elle soupire lentement. Par politesse, elle referme sa braguette et remet sa ceinture, malgré son imposante érection, gorge de désir non assouvie. Un sourire satisfait s'étire sur son visage, validant sa petite farce et enclenche la poignée pour ouvrir la portière. Mais celle-ci ne s'ouvre pas.

Les verrous sont toujours enclenchés et un violent frisson lui parcouru l'échine. Elle réalise alors qu'elle ne sortira peut-être pas si bien coiffer que maintenant si son chauffeur décide de lui rendre ce qu'il vient de subir tout le long de la route. Elle se tourne vers lui et remarque son petit sourire au coin des lèvres.

- Tu peux déverrouiller ?... S'il te plaît ? ose-t-elle quand même demander, d'une petite voix.

Il ne réagit pas tout de suite, puis ferme les paupières un instant. Il les ouvre et très lentement, voir encore dans les vapes, désactive les verrous.

Il ne se passera rien ?

Elle attend 1 minute dans le doute avant de descendre du véhicule. Elle s'avance jusqu'à l'avant du véhicule, dont les phares sont toujours allumés. Elle lui fait un signe de tête, lui disant de sortir et contre tout attente, sa réponse n'est qu'un simple appel de phare.

Un appel de phares ?

Elle fronce un sourcils, ne comprenant pas sa réaction. Ne la voyant pas réagir, il sourit et réitère l'appel lumineux. Elle le regarde confuse, de ses yeux de biches, et il soupire. Il ne fait rien pendant quelques seconde puis allume la radio.

Les mélodies sortent des enceintes et il augmente lentement le son, laissant les notes de musiques s'échapper par la fenêtre ouverte. Il s'agit d'une chanson plutôt rythmé, un peu pop. Elle finit par rougir et ricane nerveusement en comprenant enfin ses désirs. Il fit de nouveau un appel de phare en souriant et leurs regards se croisent, désireux et amusés.

- T'es sérieux ? Maintenant ? l'interroge-t-elle en regardant autour d'elle un peu gêner.

- Quand tu auras fini, on ira au restaurant... répond -il d'une voix grave et péremptoire.

Elle déglutit et se pince les lèvres. Pas le choix, son ventre réclame famine mais elle ne peut pas allez au restaurant tant qu'elle ne l'aura pas fait. Il faut le faire. Pour lui, ainsi que pour elle.

Elle prend une grande inspiration, alors que la musique change, laissant place à une autre. Elle reconnaît immédiatement le titre. Il s'agit de Stolen car de Mylène Farmer et Sting, elle connaît cette musique sur le bout des doigts et sourit timidement.

De l'autre côté du pars brise, il se contente d'un petit rictus sadique ainsi que de lui lancer un regard brillant de désir et quelque peu de perversion. Elle plonge ses yeux dans les siens et le provoque en se mordant lentement la lèvres inférieur, faisant tressauter son membre déjà dur.

Oh oui, qu'il aimerait le lui faire sentir.

Le refrain sort des enceintes et elle commence à se dandiner. Elle commence par des mouvements simple puis, de plus en plus sensuel et rythmé, s'imaginant être sur scène. Seulement pour cet homme, elle, et ses beau yeux onyx perçant. Elle se dandine, bouge le haut comme le bas à la perfection, se déhanchant sous les pupilles dilatées du rose dont la respiration reste coupée.

Cette femme va le tuer...

Il passe une main dans ces cheveux avec agacement. Était ce une bonne idée de la faire se dandiner devant lui ? Son sexe est à deux doigts d'exploser sous son pantalon, beaucoup trop serrer pour lui, et il sert les dents.

Elle danse au rythme de la musique, son corps respire la sensualité et la taquinerie. Elle se retourne et lève les bras dans des gestes ample et souple. Il est alors ravi de voir à quel point ses poignets sont souple et tout émoustille en découvrant une robe à dos nu, sans soutient gorge. Il voue alors, de ses yeux dévoreurs, une attention particulière à ses seins fermes qui rebondissent légèrement à chaque mouvements.

Aaah... Qu'il aimerait les presser jusqu'à la faire jouir...

C'est alors qu'elle s'avance, une main dans ses cheveux, à pas de loup et le regard plein de malice. Elle pose ses mains sur le capot et se cambre en remuant lentement des hanches. Elle monte sur la carrosserie à 4 pattes et finit par se mettre debout. Heureusement pour elle, elle ne subira pas la colère du propriétaire du véhicule, contente d'avoir mis ses petites bottines. Ses talons, eux, auront creuser le beau par choque et elle en connait un qui aurait râler...

Son corps bouge toujours, faisant virevolter les pans de sa petite robe. Rien ne l'arrête. Et elle se fiche des passants qui la relooke avec de grand yeux.

Un sourire espiègle coller au visage, il se penche et s'appuie sur le volant, de quoi mieux voir ce qu'il y a sous sa robe. Elle le remarque et se baisse à son tour. Tous doucement, elle s'avance à quatre pattes et se rapproche du part brise, a l'allure d'une lionne affamée.

A quelques centimètres de la vitre, il s'échange un lourd regard, plein de sentiments. Elle dépose un baiser. Le cœur du rose rate un battement avant de faire de même. Elle détache ses lèvres et, d'un petit coup de langue, lèche la vitre là où ils venaient de s'embrasser indirectement. Il se détache lui aussi, dans les vapes et à deux doigts de d'encastrer la vitre pour se joindre à elle. Elle se redresse sur ses genoux et cesse de bouger, les mains poser entre ses cuisses. Sa respiration haletante et le regard affamé

- J'ai faim... murmure-t-elle, sans que ses mots n'échappe à l'ouïe fine du rose.

- On y va. Ordonne-t-il enfin.

Il éteint la radio et sors, réprimant un lourd grognement en sentant son sexe encore tendu. Elle s'assoit sur le bord du capot et il l'attrape par la taille. Leur corps s'attire, comme des aimants, tandis qu'elle écarte les cuisses pour qu'il place son bassin entre ses jambes. Elle enroule ses bras derrière sa nuque et il vient humer son doux parfum au creux de son cou.

Elle va le rendre fou...

- Moi aussi... J'ai faim. susurre-t-il avant de déposer un baiser fiévreux sur sa peau sensible.

Elle soupire et le repousse légèrement.

- Attends... Allons manger, après on verra... Le sexe avant manger ça ouvre l'appétit alors qu'après, ça brûle les graisse. Si tu veux me faire l'amour, abstient toi pour le moment. La carte bancaire chauffera moins, hein, monsieur le grand gourmand. prononce-t-elle à deux centimètres de ses lèvres malicieusement.

Il grogne en léchant son lobe d'oreille puis la descend du capot en serrant les dents. Cette petite la bien eut... Ils se sourient puis prennent le chemin en direction du restaurant. Sur le chemin, il lui prend la main.

- Tu danses toujours aussi bien. Après manger, tu danseras sur mon membre, crois moi. elle rigole en rougissant. Ça me rappelle un bon souvenir tout ça. Tu t'en souviens ? reprit-il.

Elle sourit timidement. Comment pourrait-elle l'oublier. Elle lui avait déjà fait cette petite scène. Il y a longtemps, à l'extérieur d'une boîte de nuit. Ils étaient seuls, à moitié saoule, enfermé dans une voiture, des bouteilles de Despe à la mains. Sa bouche avait goûter son cou et il lui avait demander de danser. Elle l'avait fait, sûrement aider par l'alcool présent dans son organisme, jusqu'à ce que la pluie arrive et mouille ses vêtements.

Leurs lèvres se sont goûtées pour la première fois, ce soir-là, sous la pluie battante. Assise sur le par choque de sa voiture, ses puissantes mains sur ses fesses et son bassin entre ses cuisses... Si certains de leurs amis ne seraient pas arrivés, interrompant leur échange buccal fougueux, ils auraient fini en extase sur ce capot, alcool ou non, pluie ou non...

Elle reprit ses esprits.

- Bien sûr, je ne l'ai jamais oublié...

- Je me souviens, la premier fois que tu m'as fait ça, j'étais prêt à te sauter dessus... Même une danseuse professionnelle n'est pas à ta hauteur. Parce que toi, tu es une reine, ma reine. il marque une pause puis ajoute. Et puis, un jolie petit minois comme toi qu'on a envie de plaquer contre sa carrosserie, ça ne se refuse pas...

Elle ricane alors qu'il la prend par la taille, tous en marchant, et lui fait un de ses plus beau sourire accompagné d'un regard de tombeur. Elle rougit et tourne la tête un peu gêner. Au fond, elle adore ça, se regard, se sourire... Elle fondrait pour lui.

- C'est même cette nuit-là, que tu m'as...

- Embrassé pour la première fois... Oui. continu-t-il. Et tu sais quoi ? C'est la deuxième chose la plus excitante que j'ai vécu avec toi.

- La deuxième ?...

- Oui.

- Et c'est quoi la première ?

- La première... ?

Il s'arrête de marché et la colle contre lui. L'embrassant sans la laisser réagir. Il l'attire un peu plus contre lui, frottant son désir contre sa cuisses et elle soupire. Il finit par rompre le baiser, à court d'air et plonge sa tête dans son cou.

- La première... murmure-t-il suavement au bord de ses lèvres. C'était la première fois où j'ai pu toucher à ta peau si douce, goûter à tes lèvres sans limite. La première fois où je tes senti venir, et vibrer autour de ma queue, tellement dur que ce soir-là, j'aurais pu péter la table basse... Notre première fois.

Elle rougit de la tête au pied puis ricane nerveusement après sa déclaration. Il se redresse, à quelques centimètres de ses lèvres, ses pupilles profondément ancrées dans celle de sa belle sans voix, les yeux pétillant.

- La première fois que tu m'appartenais... ajoute-t-il.

Elle lui sourit en entendant ces mots.

- Et je t'appartiens... Dragnir.

Ses yeux onyx deviennent sombre quelques instant alors qu'ils restent comme ça pendant un certain temps, à se dévorer des yeux, désireux, et surtout, impatient de rentrer chez eux. Même si leur ventre cri famine, ou famine de l'autre. Ils se remettent en route vers le restaurant, main dans la main et le cœur palpitant.

FIN ^^

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