PDV Externe :

Ce soir-là, le futur PDG se presse de sortir du métro. Sa sacoche en main et un petit carton de l'autre, il esquive la foule et s'avance d'un pas rapide vers de grandes tours en résidence. Il se pince les lèvres. Il ne la voit pas souvent, et tente de contenir son excitation. Ce contenté d'une soirée une semaine sur deux, c'est plutôt frustrant. Mais leur emploi du temps sous tous deux chargés, il n'y a pas d'autres choix que de s'adapter. Ses doigts fourmillent et son cœur s'agite dans sa poitrine. La joie qui l'emporte à chaque pas qui le rapproche de chez elle est de plus en plus forte. Rien ni personne ne lui fera opérer un demi-tour.

Et si notre cher jeune homme aux cheveux rose se précipite, ce n'est pas uniquement pour la voir, mais pour la simple et bonne raison de lui déposer ce carton, un colis, qu'elle lui avait gentiment demander de récupérer. En raison d'un entretien, elle ne pouvait pas s'absenter pour aller le récupérer. Notre cher Lucy rêve d'obtenir un bon diplôme et se donne corps et âme à la tâche. Les places valent cher. Elle ne peut pas se permettre de rater une opportunité pour rentrer dans l'une des plus grandes agences de design.

Cependant, le jeune homme n'avait pas que l'intention de lui rendre son colis. Sa journée avait été longue et fastidieuse et il ne se voyait faire qu'une seule chose : plonger entre les bras réconfortant de sa belle qui l'attendait. Rien qu'eux deux. Et rien de plus. Du moins, s'il décidait que les choses s'arrêtent là avant d'aller davantage dans la dentelle. Eh bien... Il se pourrait que ses plans changent du tout au tout. D'autres projets qui trottent dans sa tête et dont il avait hâte de conclure le dessein.

À présent, il fait nuit lorsqu'il monte les marches devant l'immeuble de son amie de cœur. Après avoir pris l'ascenseur jusqu'au 5e étage, il frappe à sa porte. Son bras n'est pas encore descendu que la porte s'ouvre. C'est alors qu'un sublime petit bout de jeune femme se penche dans l'encadrement.

Un ange... Pense-t-il au plus profond de lui-même.

Ses yeux de nature gourmands s'attardent sur son ensemble de toilette et son torse se gonfle en retenant son souffle. Son regard coulant court sur ses longues jambes, ses cuisses moelleuses qu'il est le seul à savourer, son mini short bleu clair, pour finir sa trajectoire sur un top rose pastels à bretelles. Ses cheveux miel sont remontés en chignon tenu par un crayon de bois et elle seule connaît la technique pour les faire tenir. Seules quelques mèches rebelles encadrent son doux visage. Un battement de cœur et il respire enfin.

À croquer... Il se mord la joue.

Le temps semble se suspendre, sauf pour la bretelle en dentelle de son haut qui semble fatiguée et qui glisse sur son épaule dénudée. Une douce chaleur remonte dans le ventre du rose qui déglutit péniblement à la vue de sa peau laiteuse. Cette femme callipyge va avoir sa peau et il esquisse un petit rictus. Il sait qu'elle en est parfaitement consciente.

Lui, n'avait pas pris le temps de se changer chez lui et était encore dans son uniforme de fac, portant une simple chemise blanche entrouverte et un pantalon noir. Sans oublier sa fameuse ceinture en cuir brun à la boucle gravée de flamme qu'elle lui avait offert.

Alors que le temps ne semble pas reprendre tout de suite, il se résout à détourner son regard sur le colis. Il est encore trop tôt pour s'attarder à l'irrésistible envie de lui descendre son mini short, de la plaquer contre le mur en prenant sa gorge dans un baiser langoureux et de briser la fermeture éclair de son pantalon.

- Oh, c'est toi. Viens, entre. L'invite-t-elle avec un sourire, le chassant de ses pensées pour le faire revenir à la réalité.

Ah... Si seulement il pouvait.

Aucun mot ne veut sortir de sa bouche, et il se contente de hocher la tête en lui tendant son colis. Elle le réceptionne et le simple contact avec ses doigts lui procure une décharge. Un frisson qui descend jusqu'à ses reins et il se pince les lèvres. Bon sang. Il vient à peine d'arriver. Un peu de tenue.

Il traverse le hall d'entrée, sans la quitter du regard et s'assoit à la table du salon. Elle s'éclipse un instant pour ranger le colis et revient les cheveux détachés. Il soupire en s'étalant sur sa chaise, et la regarde s'asseoir face à lui, la salive au bord des lèvres. Pourquoi diable cette femme est-elle aussi attirante ? Et pourquoi se comporte-t-il comme un bouffon à qui l'on aurait coupé la langue dès qu'elle se retrouve à moins de 2m de lui ? De plus que ça ne fait que s'empirer avec le temps. Il craint ne pas pouvoir s'en échapper.

Durant plusieurs minutes, elle lui compte le déroulement de son entretien avec entrain. Cependant, il est ailleurs, ne sachant pas regarder ailleurs que ce qui trouve en face de lui. Et il s'avère que cela devient de plus en plus difficile de ne pas loucher plus bas que son menton. Elle l'hypnotise.

Il n'entend pas vraiment ce qu'elle lui raconte. Son regard la balaye, son cou pâle et démuni d'imperfections, il aimerait le lui en laisser. Des marques plus ou moins grosses, juste, goûter à la douceur de sa peau. Il s'accroche à sa bouche, et il voudrait la faire taire. Ses pupilles sombres l'embrassent déjà et il se lèche les lèvres.

Ses yeux la balayent lentement, et la déshabillent. Ses pensées virent à la luxure rapidement et il défait le deuxième bouton de sa chemise. La température de la pièce est bien trop élevée selon lui. Ou bien, son corps décide lui-même du Celsius.

La jeune femme ne semble pas distraite. À croire qu'elle fait exprès d'ignorer son regard liquide qui louche sur sa bretelle suspendue et la naissance de sa poitrine. Il s'agace tandis que son bas-ventre se contracte involontairement. Ses dents raclent sa lèvre inférieure alors qu'elle continue ses explications.

Soudain, elle pose ses bras croisés sur la table et se penche en avant. Trop tard. Son souffle se coupe et son boxer se serre. Le regard plongé dans son décolleté, il déglutit une nouvelle fois. Remarquant son émoi, elle sourit et tente de récupérer son attention désespérément perdue entre ses seins.

- Natsu ? Tu ne m'écoutes pas...

Ces paroles suffisent à le refaire respirer et revenir sur terre. Il relève aussitôt les yeux sur son visage et rencontre ses grands yeux pleins de malice. Elle le fixe longuement, sans cligner des yeux et ses prunelles chocolat le cernent un instant. Elle se met à glousser. Elle n'est pas dupe. Elle a très bien deviné que celui-ci était absorbé par autre chose que par son récit.

Ah... Celui-là.

Elle se pince les lèvres en reculant sa chaise. Une jambe après l'autre, et d'une lenteur mesurée, elle grimpe sur la table en bois, à quatre pattes. Un mouvement après l'autre, elle pousse les affaires qui encombrent la table et qui les séparent. Confiante, elle s'avance à pattes de loup et plante ses yeux dans le regard du rose qui s'efforce de le maintenir. Arrivé au bord de la table, son visage se rapproche de lui. Le rose soupire. Leur nez se touchent et elle frôle ses lèvres dans un souffle chaud. Un intense frisson parcourt leur échine et il serre les poings.

- Lucy...

Elle frôle ses lèvres encore, et sert les cuisses alors que son bas-ventre se contracte à l'entente de son prénom. Elle pose ses mains sur ses épaules et une à une, enjambe son partenaire avant de s'asseoir sur ses cuisses. Au contact de son bassin, il sert les dents, retenant un grognement. Elle devine avec amusement le début d'érection de son partenaire à travers son pantalon et sourit avec amusement. Le jeune homme se laisse faire, malgré la pulsion de lui en faire voir de toutes les couleurs. Envoûté par son regard chocolat, il laisse les doigts de la jeune femme parcourir sa peau. Ils remontent le long de ses trapèzes, de sa nuque, jusqu'à retenir son visage entre ses paumes. Pris d'un violent frisson, il semble se déconnecter un cours instant. Ses mèches blonde caressent ses joues en rapprochant leur visage et elle frôle une énième fois ses lèvres.

- Natsu. Tu sais bien que je n'aime pas me répéter, alors tu devrais m'écouter... Souffle-t-elle en plongeant son regard brillant dans celui du jeune homme. 

Le souffle brûlant du jeune homme s'écrase sur ses lèvres et la chaleur la gagne en sentant le pantalon de son partenaire tendu sous son mini short. Sa culotte devient de plus en plus humide au fur à mesure que le regard du rose devient sombre. Il n'y a plus de marche arrière. Quelques secondes s'écoulent et les deux amants se dévisagent. La tension est palpable. Aucun des deux n'ose respirer. Pourtant, Lucy accompagne soudain son regard de petit mouvement de bassin.

- Je t'en prie... S'agace-t-il en voulant détourner le visage, mais elle le retient entre ses mains.

Pas le choix. Il sert les dents et plaques ses mains sur ses cuisses qui claquent sous ses paumes. Un rictus satisfait naît sur son visage alors qu'il lui arrache un hoquet de surprise. Elle reprend vite ses esprits et captives à nouveau le regard du rose. Il avance son menton, dans l'espoir d'obtenir ses lèvres. Mais la jeune femme esquive avant de revenir à l'attaque par un chaste baiser sur la joue. Il peste et empoigne ses fesses pour la presser davantage contre lui et elle ferme les yeux dans un soupir.

À présent, c'est évident. Tous deux savent comment la soirée va se finir. Un regard flou, leurs lèvres se frôlent encore et c'est insupportable.

- Luce...

Une torture... 

Une main presse ses fesses plus près de lui, lui faisant sentir son imposant désir à travers les tissus. Il y en a trop. Son autre main remonte sous le haut de la jeune femme qui se pince les lèvres. Du bout des doigts, il fit le contour de son mamelon et lui arrache un couinement en pinçant son téton.

- Bien sûr que je t'écoute. 

Ses doigts roulent sur elle, pinçant et pressant son sein gonflé par l'excitation qui commence à la consumer. Sa tête tombe sur l'épaule du jeune homme qui plonge son nez dans son cou pour le racler de ses dents. Sa langue sort et vient titiller sa peau sensible. Elle soupire et se dandine contre lui. Quel bonheur de goûter à sa peau, de sentir son pouls s'accélérer en l'aspirant. Un sourire narquois s'étire sur son visage et ses doigts glissent sous son mini short. Sa main descend sous le galbe de ses fesses et termine sa course sur un point chaud.

- Trempé, hein... Susurre-t-il au creux de son oreille.

Elle déglutit et se mord la lèvre tandis que deux doigts du rose glissent lentement sous le tissu pour venir à la rencontre de son sexe chaud et palpitant. Au contact de sa mouille, il grogne et vient mordiller puis aspirer la peau de son cou dans des bruits de succion. Elle gémit, sentant ses longs doigts glisser entre ses lèvres intimes dans de lent aller-retours et elle ferme les yeux. Elle se presse contre lui voulant le sentir encore plus et se dandine au rythme de ses mouvements. Elle empoigne ses cheveux et tire dessus, basculant sa tête en arrière pour reprendre son regard.

- Mon petit doigt me dit que tu n'as pas culotte. Sourit-il en frôlant ses lèvres.

- Ferme là et continue.

Elle ne lui laisse pas le temps de répondre et l'embrasse avec fougue. Il se lève et fait tomber la chaise derrière lui tout en l'allongeant sur la table. Elle arrache les boutons de sa chemise et glisse ses mains dans son dos en enroulant ses jambes autour de lui. Il quitte sa bouche et attrape les pans de son mini short qu'il retire d'un geste brusque. Il écarte ses cuisses et se penche sur son ventre pour y déposer un baiser. Son souffle brûlant caresse son pubis et elle ferme les yeux dans un soupire. Sa bouche s'écrase entre ses jambes et elle gémit.

Il trouve vite son clitoris et vient l'aspirer. Elle se cambre et plaque sa main sur sa bouche pour ne pas faire trop de bruit. Son clitoris gonfle dans sa bouche et sa langue vient en faire le tour. Elle hoquette et attrape les cheveux du rose qui écarte ses lèvres. Il raidit sa langue avant de la faire descendre et la rentrer en elle.

Exquis.

Son pouce vient rouler sur son clitoris et il entend sa respiration s'accélérer encore. La bouche recouverte de mouille, il remonte un instant le regard sur elle et savoure le tableau qu'elle lui offre. Sublime et transpirante. Le plus beau des tableaux. Sa langue remonte sur son clitoris pour le titiller et ses lèvres le pincent. Il rentre deux doigts en elle et effectue de savoureux vas et viens pour trouver son point G.

- Aah !... Natsu, je vais...

Pas le temps de finir sa phrase que ses jambes se mettent à trembler. Tout son être se contracte sous les coups de langue et va-et-vient experts de son conjoint. L'orgasme monte et il rentre un troisième doigt. Pris dans le tourbillon de plaisir, elle agrippe le bord de la table et gémit son prénom dans un puissant spasme.

Lorsqu'elle reprend ses esprits, il est debout devant elle, se léchant les doigts en la fixant d'un lourd regard. Il est beau, intimidant et dur.

Il retire sa chemise et la jette à ses pieds. Il agrippe ses hanches et la rapproche du bord de la table. Il se penche et colle son bassin entre ses jambes pour y glisser son érection à travers son pantalon. Il retire son top à bretelles et vient plonger son nez entre ses seins rebondi. Il aspire son enivrant parfum et sa queue tressaute dans son boxer. La jeune femme ricane doucement en sentant la bosse qui se presse entre ses jambes.

Ses lèvres reprennent celle de la jeune femme en otage à en perdre l'haleine. Leurs souffles saccadés se mélangent, leurs muscles mènent une danse endiablée et passionnée. Elle soupire entre deux baisers et le serre fort contre lui. Elle le veut. Et ils arrivent à un point où cela devient vitale. L'envie est forte.

Tout en l'embrassant avidement, il glisse ses mains entre leurs corps bouillant et défait rapidement sa ceinture. Un rictus au coin des lèvres, il laisse tomber son pantalon à ses chevilles pour s'en débarrasser. Son boxer, qui commençait sérieusement à le serrer, finit à ses chevilles lui aussi, dévoilant sous les yeux dévoreurs de sa belle son sexe rose tendu et gorgé de désir. Son cœur tambourine dans sa poitrine en admirant les courbes nues de la jeune femme.

Bon dieu qu'elle est belle...

À présent nue face à elle et le membre à l'appel, il ne tarde pas à lui donner ce qu'elle désir. Ses mains puissantes attrapent sa taille et la rapprochent de lui. Sa queue glisse instantanément entre ses lèvres trempées et il grogne. Elle soupire et enroule ses jambes autour de son bassin en lui adressant un sourire charmeur. Leurs sexes se frottent et elle gémit en sentant le gland du rose taper contre son clitoris à chaque aller venu. Elle lui arrache un soupir rauque lorsqu'elle se frotte davantage à lui, voulant le sentir en elle. Amusé, il claque sa cuisse et lui lance un regard sombre. Elle se perd dans son regard lubrique qui l'a fait fondre et il soulève son bassin en passant une main sous son dos.

Ne pouvant plus attendre, il trouve son entrée du doigt et positionne son membre imposant. Dans un coup de rein, il la pénètre de tout son long. Il râle, entamant de rapides petits coups, savourant sa chaleur humide. Il se penche et l'embrasse à pleine bouche, capturant ses seins dans ses paumes pour les presser. Il en met un en bouche et elle gémit en tirant sur ses cheveux. Il aspire son téton et en fait le tour avec sa langue, avant d'accélérer le rythme.

Une pile de feuilles tombe de la table qui vacille sous la jeune femme. Son torse dégouline de sueur et son cœur bat dans ses oreilles, savourant les gémissements de la jeune femme qui tente de se retenir. Il se redresse et prend une cheville qu'il pose sur son épaule. Il s'appuie sur la table avec un bras et la fusille du regard en entamant un rythme sportif. Elle agrippe sa nuque, la bouche grande ouverte et se laisse emporter le flot de sensation qui la submerge.

Il finit par prendre les deux jambes et se tient droit en les posant sur ses épaules. Il presse ses fesses galbées et ralentit ses mouvements pour des coups de bassin plus lents et sec. Son gland venant taper le col de la jeune femme qui s'arrête de respirer. L'adrénaline monte à chaque coups, de plus en plus fort. Le précipice est proche, mais il se retient encore un peu. Il préfère venir après elle. Les respirations saccadées résonnent dans la pièce en même temps que les grincements des pieds de table.

Ses parois vaginales se resserrent autour de son membre et il en profite pour taper un peu plus fort au fond. Les jambes de la belle blonde tremblent une nouvelle fois sur ses épaules.

Le septième ciel est proche...

Une boule de chaleur se forme aux creux de leurs reins, ses cuisses claquant contre les siennes. La pression monte. La chaleur de ses parois resserrées autour de lui, la sensation de l'apprivoiser. Les ongles de la jeune femme laissent des marques sur le dos de son partenaire. Son corps se tord de plaisir à chaque coups de bassin. Le sentir s'enfouir au plus profond d'elle lui suffit à atteindre l'orgasme. Elle adore ça, et elle ne saurait pas vivre sans...

Un coup de rien de plus, des griffures, une morsure, un gémissement, l'explosion, le vide... Puis l'extase.

Il plaque sa main sur sa bouche pour faire taire la jeune femme, cambrée à son maximum tandis qu'il explose en elle. Un jet chaud et épais se répand en elle. Il se stop après quelques allers-retours de plus, la gorge sèche, le front en sueur.

Leurs forces les abandonnent et une grosse fatigue se fait sentir. Il cherche le regard de la jeune femme qui peine à reprendre ses esprits. Elle ouvre les yeux, le souffle court et caresse la joue du jeune homme. Il soupire et ferme les yeux en tombant sur elle. Elle glisse ses mains dans sa nuque et ses cheveux et le caresse en le serrant contre elle. Leurs peaux collent et sont brûlantes. La table a cessé de grincer.

Il finit par redresser le menton et elle embrasse son front tendrement. Ses pupilles sombres plongent dans celle de sa belle et reflètent un amour affolant. Il fond. Il se remet de sa petite léthargie et se retire d'elle. Il glisse ses bras sous le corps de la jeune femme et la soulève. Elle enroule ses bras et ses jambes autour de lui, laissant sa tête tomber sur sa clavicule, et ils traversent la pièce. Il entre dans la chambre de sa belle et la couche sur le dos. Il la rejoint et la blotti contre lui tout en ramenant la couette sur eux. Leurs corps sont lourds, chauds, et fatigués après ce combat qui les a poussés à bout. Morphée ne tarde pas à les emporter, après des caresses et derniers baiser échanger. 

FIN