septième os.
Bonne lecture!
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Marinette:
J'étais dans la Chambre, mon corps meurtris allongé sur mon lit, noyée de larmes de tristesse et de désespoir, j'en veux au monde entier, au destin, à la vie, et surtout, à la mort qui m'a arraché un être si chère à mes yeux.
Je n'avais plus personne a mes côtés.
Enfin, sauf peut-être un père drogué qui chiale tout l'temps et qui me bat par pure plaisir, sympa hein? Ah ouais, j'ai failli oublier, une Alya super chiante ça compte?
Ça fait seulement trois semaines et elle me manque terriblement.. Oh maman pourquoi tu me laisse seule dans ce monde pourri? Qu'avais-je fait pour mériter ça? Manquerai plus que mon père amène une p*te pour me servir de belle-mère et ça serait la Cerise sur le gâteau, bon, malgré ça j'ai jamais vu de cerise sur un gâteau moi ça existe au moins?
Bref, t'facon moi aussi je chiale tout l'temps alors ça sert à rien de critiquer mon pauvre père, j'ai plus envie de voir personnes, oui oui, même pas Adrien, en parlant de lui, je sais que c'est lui chat noir, faudrait être assez certains pour ne pas le savoir, en plus maintenant je suis tellement dégoutée que je ne sauve plus Paris, par contre je garde mon miraculous juste pour faire chier rien de grave hein à part que chat doit se démmerder pour sauver Paris sans moi, je suis sadique je sais.
L'enfer, demain j'dois aller au collège, pfff, tout l'monde me regardera bizarrement et me posera tout plein de questions aussi chiantes les unes que les autres, en plus, j'aimerais voir personne, et surtout pas alya, super nan?
Je décide de me transformer, ça me ferai sûrement du bien, et je vais peut-être m'excuser au près de chat noir, ce n'est pas de sa faute si je suis Flémmarde, j'espère juste qu'il me pardonnera.
Ou pas, la flemme.
LE LENDEMAIN !!!!
Je me lève, fait la routine matinale, je descend voir mon père, lui dis bonjour, auquel il ne répond pas.... Je suis triste de la voir ainsi, sachant que je ne pourrait pas le comprendre...
Je sort et me dirige vers mon collège pourri, c'est à ce moment que je suis triste d'avoir casser mon tel, je vois Alya au loin qui discute avec Nino et Adrien, je les évites et me dirige vers ma classe, en entrant, tout le monde me fixait, je soupir et m'assois sur mon siége habituel, tout l'monde me fixer, je me lève brusquement:
Moi: Pourquoi tout l'monde me fixe? Je vous est autant manquée?!
Les autres éclatèrent de rire, je sourit doucement et me rassois en attendant le début du cours, soudain, j'entends Alya, Nino et Adrien qui arrivent, je soupire, c'est les trois personnes que je voudrais vraiment pas voir pour l'instant!
En entrant, Alya me fixe en écarquillant des yeux, elle courre si vite et me saute LITTÉRALEMENT dessus en criant mon prénom, c'était tellement choquant que je suis tombée du siège et me suis péter la gu*ul* parterre.
Alya : MARINETTE MARINETTE T'ES REVENUES?! MARINETTEUH !!
quoi?! Ça fait TROIS semaines que je suis absente, c'est tout quoi faut pas dramatiser les choses.
Moi : ALYA J'ÉTOUFFE LÀ ! MAIS OH!
Alya se releva et s'excusa, je me lève et me réassis sans même lui jeter un regard.
Alya: Marinette DUPAIN-CHENG (ouais, souvent dans les fanfic' ils oublient qu'il faut écrire les noms avec la majuscule mais bon) pourquoi tu répond pas à mes messages et à mes appelles?!
Moi: j'ai casser mon téléphoneuh.
Adrien : tu nous a manquer en tout cas .
Nino: ouais mari' tu nous a fait peur.
Alya: ça va mieux....?
Je soupire sans répondre pour autant, je n'aime vraiment pas parler de ça, ni comment ou pourquoi, il n'y a personne pour me comprendre, cette sensation d'être vidée et étouffée, le coeur meurtri, l'âme perdue et le cervau off.
Je me force à répondre quand-même:
Moi : mouais ...
Adrien : on dirait pas...
Moi: si tu le dis.
Adrien n'a pas du tout l'aire convaincu en tout cas, je n'ai vraiment pas envie de parler.
Alya vint s'assoir à côté de moi, je grogne en sachant que je vais la supporter toute la journée!
Alya: tu.... Tu.... Tu veux pas que je m'assois avec toi?!
Sérieusement?
Moi: franchement, oui!
Alya: mais pourquoi tu me fait ça Mari'?!! Je t'es fait quelque chose de mal?! Tu as changer!
Tout le reste de la classe nous fixait et suivais notre discussion, ils sont vraiment pas discret ceux-là!
.
Adrien : je viens à côté de toi....?
Je répondais pas, je vais sûrement bégayer et faire la folle devant lui et il me prendra pour une terrée.
Nino : et moi meuf?
Je ne peut m'empêcher de sourire au coins, il n'y a pas mieux que lui pour remonter le moral à quelqu'un, un vrai clown, surtout qu'on se connaît depuis qu'on porte des couches.
Automatiquement, en voyant mon sourire, il s'assied à mes côté, il me taquinais, me raconter des blagues nulles, et surtout, il nous rappelait notre tendre enfance.
ah oui, j'avais oubliée de le dire, avant l'arrivé d'Adrien, Nino était mon meilleur ami, on était inséparables, il a t out gâcher!
Malheureusement, les cours sont terminés, alya m'a forcée à venir me balader avec elle, je devrait arrêter de jouer la gamine, Alya ne m'a rien fait, ce n'est sa faute si ma mère est morte, et d'ailleurs, je vais m'excuser, ou pas.
On marchait dans le parc, un silence imposants et gênant s'installe entre nous, Alya décide de le briser.
Alya me fixait.
- quesque tu me veut Alya? -- Je dis sèchement
- Marinette! Pourquoi tu me fait ça? Qu'avais-je fait? Je suis ta meilleure amie! Si tu es triste, je suis triste, si tu es seule, je le suis aussi, tu ne ressent Pas la même chose? -- Dit-elle
- non non, figure toi que non Alya je ne ressent pas du tout la même chose. -- je dis, franchement -- alors lâche moi.
- NON je ne te lâcherai pas Marinette! Tu es ma meilleure amie! Et je ne te laisserait pas tomber. -- cri a-t-elle
- tu ne comprend donc pas? Toute personne qu'on s'autorise à aimer est aussi quelqu'un qu'on risque de perdre? Je ne supporterai pas si toi aussi tu mourrait Alya...
Doucement, elle commence à pleurer, elle se cache le visage, les larmes coulent comme une cascade salée sur ses joues rosies.
- je ne mourrait pas! Je te le promet Marinette! Si pour te rassurer, j'insrallerai des systèmes de sécurité partout pour je ne sais quel raison, je le ferait! On mangera bio tout les jours pour éviter les maladies et j'engagerait un garde du corps super costo' pour qu'il nous surveille partout! promis...
Je rigole doucement, elle abuse là non? Manquerai plus qu'elle invente un médicament qui pourrait guerrir le concers.
- ça me fait tellement plaisir -- me dit-elle --
Je lui souris doucement, elle est si gentille! Je n'aurait jamais dû Lui faire ça, en fin de compte, c'est moi le monstre sans coeur.
On se fait un petit câlin amicale.
- dis moi tout! -- me dis la métisse--
- je..... Je ne sais pas par ou commencer.
- tu sais, j'ai lu sur Internet qu'il faut parler pour évacuer le stresse et le mal-être.
- o-ok...
Je prend une grande bouffée d'aire comme pour m'encourager moi-même à me lancer.
- ma....ma mère me manque tellement...je n'arrete pas de penser à elle, c'est terrible ! Oh je.... Je m'en veux tellement de ne pas avoir été là, de ne pas avoir passer plus de temps avec elle, de ne pas l'avoir embrasser et câliner ce jour-là, je me disait que j'avais toute la vie devant moi, que j'aurais le temps, que j'étais jeune et j'avais beaucoup à vivre et à apprendre,mais je me trempait alors, je me disait tout le temps et sans cesse de ne pas être triste, d'oublier, mais comment peut-on oublier de tels choses? Je me disait toujours que malgré tout, il fallait être fort et continuer à tout surmontée malgré la douleur, la difficulté et la tristesse, et que tout ce qui m'arrive est écrit, et que la vie est une épreuves, et qu'il faut y gagner.
Je soupire avant de continuer.
- et qu'il y a un destin, il faut le respecter, l'accepter et le laisser se réaliser, ça ne sert à rien de fuir et d'oublier, il faut laisser le temps faire son travail, et qu'un jour, tout cela passera, et je m'en remettrais sûrement, et ce jour-là, tu ne saura quand viendra-il, c'est quand tout est noir, flou, si nul, le jour où tu voudrais tout abandonnée et t'enfuir loin de tout le monde Et de laisser la tristesse t'envahir.
- oui.... Mais.... Pourquoi voulait-tu rester seule? -- me dit mon amie a lunette. --
- c'est... Ce n'est pas ce que tu crois, prendre des distances , jouer l'insousciante et la meuf qui s'en fout de tout, c'étais des conneries , et c'est beaucoup trop dûr de l'avouer , mais j'ai menti, en vérité, je me sentais si seule, je ne pouvait pas espérée me réveiller un jour, et ne pas trouver ma mère dans la cuisine, préparant à manger, un merveilleux sourire sur son visage...
Je m'arrête un instant,laissant ma copine digérée mes paroles.
- C'est parsque j'ai peur d'aimer quelqu'un, de s'attacher à lui, à penser à xxx tout le temps, mais que tout foiré, encore une fois, je ne m'en sortirait pas , pas une seconde fois imagine si... Si tu avais besoin d'amour mais que tu en trouvais plus? Ou que tu en demande, en cherche mais sans succès? Et que tu reconstruiser ton futur une deuxième fois, et que tout s'effondre, prenant avec ceux à qui tu tiens? Voilà pourquoi je préférait être seule, c'était mieux pour moi.
Je soupir pour l'énième fois.
- désolée de t'embêter avec ça alya -- Chuchotais-je --
-HEIN?! tu ose dire ça Marinette? Tu ne m'embête pas du tout! Tu es ma BFF et t'as intérêt à tout me dire ou je te fait bouffer une tarte chocolat épinards!
Je rigole doucement.
- aller continue ma belle! -- me dis ma copine --
- perdre l'amour... C'est de perdre le goût à la vie, c'est de se sentir mort, vider, mais la seule différence, c'est que la mort tg dure éternellement, mais cette douleur est tamporaire , elle s'envolera sûrement, Alya, promet moi qui si tu aime quelqu'un , dis le lui, tout de suite, haut et fort, avant que ce ne soit trop tard. --je dis en souriant --
- promis ma belle!
- et quand tout est aussi nul, difficile et aussi merdique dans la vie, dit toi que ça peut changer ! C'est comme ça qu'il faut faire, quand tu te dit que ça fait si mal et qu'un Jour, de toute façon, quoi qu'il arrive, quoi que tu fasse, à combien de sacrifice tu fera, ça changera, la vie retrouvera son goût sucré et la joie viendra, mais par contre, la chose vraiment nulle, et le truc qui gâche tout, c'est que le chagrin peut venir à tout moment, et qu'il est incontrôlable, mais ça, je ne peut pas t'en parler. -- fini-je en me levant -- je suis fatiguée alya, on se vois demain alors?
- oui ; sois à l'heure pour une fois -- rigole mon amie --
- j'essayerais hein... Je ne promet rien!
Je me met à courrir vers chez moi, mon coeur plus légé, ça fait du bien de parler aux gens qu'on aime, de voir leur sourire, de se remémorer les bons moments avec eux, le pire et le meilleur, le bien et le mal, la joie et la tristesse, mais j'ai toujours peur, car, ce n'est peut-être pas facile d'être celle qui reste, tout à tellement changé sans elle... Maintenant, je comprends Adrien.
Et c'est la qu'on comprend.
Que la vie vaut la peine d'être vécue.
Peut importe le mal ou le bien.
Il faut résister!
Soyons fort, extraordinaire ensemble, qu'ordinaires séparément.
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Burk ! Beaucoup trop de mignonitude! Mon pauvre coeur en Pierre ne supporte plus
*va vomir des paillettes et des olives roses*
Sinon, désolée du retard! Oh et j'ai pas trop aimer ce one-shot perso...
Et puis zut! Je n'ai pas écrit 2104 mots pour rien! Il fallait que je le publie, malgré tout.
J'espère que vous aimer tout de même ! Encore désolée pour les fautes... À demain pour un nouveau os!
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