Chapitre 27
PREVIOUSLY IN "2 MOIS"
Pour les vacances d'été, Eren, Mikasa et Armin sont partis en vacances dans le sud de la France, chez le cousin de Mikasa : Livaï.
Avec des amis rencontrés en vacances, ils partent en croisière où Eren et Livaï finissent pas coucher ensemble avant de se disputer sévèrement. Au retour de la croisière et toujours fâchés, Eren suit Livaï au Castillo où il se fait drogué et découvre le métier de Livaï. Après avoir été relâché, ses amis et lui décident de repartir en vacances chez la tante de Sasha.
Alors qu'il se prépare, Livaï raconte son passé à Eren, qui apprend enfin la vérité.
END OF PREVIOUSLY
Une fois dans le taxi, je demande à Armin et Mikasa de ne pas me déranger. J'avais besoin de calme pour réfléchir à tout ce que je venais d'apprendre.
Livaï avait paralysé quelqu'un. Pour se racheter, il travail pour le compte d'un certain « directeur ».
C'est complètement tiré par les cheveux ! Et moi au milieu de tout ça, je suis dans le collimateur de ce directeur ? Mamma mia ! Mais qu'est ce que j'au fais pour me retrouver la ?
Tu es tombé amoureux de Livaï.
Je fais taire la petite voix dans ma tête et colle ma joue droite contre la vitre. Le paysage continue de défiler, la ville s'éloigne de plus en plus et la mer a depuis bien longtemps déjà disparu. De part et d'autres de la route, j'observe des cultivation de lavande. La campagne de Provence. Un cliché du début jusqu'à la fin...
Je finis par m'endormir et je me réveille seulement quand le moteur de la voiture s'est arrêté.
-Armin, regarde ! S'exclame Mikasa dans mon dos.
-Merci, dis-je au taxi en le payant avant de sortir de la voiture.
-Au plaisir, le répond-il.
Je referme la porte derrière moi et sors ma valise du coffre.
La maison devant moi, est plutôt grande et coquette. La devanture est beige, il y a de grands volets bleus et un toit en tuile rouges. Elle est entre deux autres grandes maisons similaires. Rien avoir avec le style architecte de la maison de Livaï.
-Eren, Mikasa, Armin ! Vous êtes les derniers, nous annonce Sasha en nous sautant dessus, vous avez fait bonne route ?
-J'ai faillis vomir dans les virages, dit Armin en devenant vert.
Entre les avions et les voitures, il n'est pas fait pour les transports en commun ! Je me demande comment il a survécu à neuf jours en mer...
-Il y a deux chambres et une salle de jeu immense, flingue commun accord on a décidé de tous dormir dans la salle de jeu, sans séparer les garçons et les filles.
-Bonne initiative, murmure Mikasa en détournant le regard.
-Je ne voulais personne dans la chambre de ma tante, j'espère que ça vous va ? Nous demande Sasha.
-C'est parfait, je réponds en mettant un bras autour des épaules de mon amie d'enfance, n'est ce pas Mika ?
Et là, le drame. Mikasa, aussi rouge que l'écharpe que je lui ai offerte, qui se dégage et secoue les mains et la tête.
-F...Faites comme vous le sentez ! S'exclame-t-elle en se cachant derrière ses cheveux.
J'échange un regard surpris avec Armin. Je n'ai jamais vue Mikasa aussi gênée de ma vie...
Toujours rouge, elle passe devant Sasha en tirant sa valise et s'apprête à rentrer dans la maison, lorsqu'Annie, Bertholdt et Reiner sortent pour nous accueillir.
-Mikasa ! Ça va ? Tu es toute rouge, s'inquiète Reiner en avançant une main vers elle.
-Laissez-moi tranquille ! S'écrie-t-elle en courant se réfugier a l'intérieur, laissant au passage sa valise traînée dans un nuage de poussière au sol.
-Mais... j'ai fais quoi ? Nous demande Reiner.
A l'unisson, Armin Sasha et moi haussons les épaules. Elle est étrange ces derniers temps... elle serait vraiment amoureuse ? D'abord Annie, puis maintenant Mika, quelque chose ne tourne pas rond ici.
Annie vient vers moi et prend ma valise.
-Vous n'allez pas dormir dehors ? Venez.
Nous suivons Annie à l'intérieur en saluant le reste de notre petite troupe.
Les liens entre nous, se sont resserrés à tel point, que j'ai l'impression de toujours les avoir connu. Ils sont comme une deuxième famille, celle que j'ai toujours rêvé d'avoir, grande et belle. Et barge.
-Viens là sal enculé ! Hurle quelqu'un a l'autre bout de la maison.
-Jean, ferme la un peu, t'es pas tout seul ! Lui répond quelqu'un d'autre.
-C'est Connie qui a commencé ! Se défend le cheval.
-Je t'ai juste prit un m&m's !
Je pose ma petite valise dans la salle commune et m'effondre sur un matelas installé à même le sol. Ils me fatiguent déjà. Livaï est bien plus calme, lui.
Si je commence déjà à penser à lui maintenant que je suis arrivé, je vais avoir du mal à m'amuser. Pendant ces deux semaines, je l'oubli ! Ça ne devrait pas être bien compliqué.
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