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Ce que j'ai écrit dans ce chapitre 🔞💦
Et pour ne pas vous donner de faux espoirs, vous saurez qui est la personne qui a parlé à Adrianne dans le dernier chapitre que demain, bonne lecture 😅
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Justin
WASHINGTON, ÉTATS-UNIS.
MAISON DE LA FAMILLE BIEBER, 10:00.
Un silence régnait dans la maison. C'était si calme qu'on pourrait croire qu'elle était vide.
Et pourtant il y a encore une heure, Jayline pleurait à en casser les vitres.
J'aimais beaucoup notre fille, mais elle pleurait tellement la nuit.
Une longue semaine s'était écoulée, et ma vie avec Calvine et notre fille était tellement paisible, exceptée les pleurs de Jayline.
En parlant de Jayline, elle était entre Calvine et moi, dormant paisiblement.
Nous devions bien la garder dans notre lit, sinon elle continuerait à pleurer.
Calvine essayait de dormir au maximum, elle était réellement fatiguée.
Je les regardai donc dormir toutes les deux, elles étaient vraiment belles.
Je pris mon téléphone et vérifiai l'heure.
10:00. J'avais encore toute la journée devant moi.
Étant donné que je ne pouvais pas faire de la boxe, j'étais amené à faire une autre activité.
Et les autres m'avaient suivi pour me soutenir.
Wesley envisageait d'ouvrir son propre salon de coiffure, il fallait avouer qu'il était doué.
Arthur lui, prévoyait de suivre le chemin de ses parents, aillant abandonné ses études en médecine, donc les voyages d'affaires etc dans l'entreprise de ses parents.
Jaden allait travailler dans l'entreprise de son frère, comme étant le prochain patron de l'entreprise qu'il a fondé.
Je prévoyais de travailler aussi avec Jaden, et en parallèle donner des cours de judo, a des enfants.
Calvine trouvait que c'était bien que j'utilise ce que j'avais appris tout au long de ma vie à des enfants, mais légalement.
Je consultai donc mon agenda pour voir ce qu'il y aurait à faire aujourd'hui.
Et j'avais effectivement un entraînement à 16h. Je soufflai. J'avais pour une fois envie de profiter de ma famille mais le devoir m'appelait, comme on dit, même si je ne disais jamais ces merdes.
-Bonjour Justin, entendis je soudainement.
Je regardai Calvine qui était réveillée.
-Bonjour Calvy, dis je en souriant. T'as bien dormi?
Elle me regarda longuement.
-Est ce que ta question est pertinente? Demanda-t-elle.
-Excuses moi, j'avais oublié qu'on était parents de ce monstre, dis je en faisant allusion a Jayline.
-Tous les bébés sont comme ça Justin, dit elle en riant.
-Mais c'est pas une vie, tu m'expliques a quel moment tu as une vie sexuelle entre les pleurs toutes les deux heures et le fait qu'elle doive dormir avec nous pour qu'elle soit calme?
-Il faut s'abstenir Justin, je pensais que tu savais a quoi tu te confrontais en acceptant d'être papa.
-Pas vraiment non, dis je. Mais j'ai besoin de te faire mon câlin du matin.
-Et bien lèves toi et viens, dit elle.
-Tu vois très bien de quel câlin je parle, dis je en souriant malicieusement.
Je me penchai vers Jayline pour l'emmener dans son berceau.
-A ta place je ne ferais pas ça, c'est une très mauvaise idée, dit Calvine.
-Alors on fait quoi?
-On l'emmène avec nous dans le salon pour prendre notre petit déjeuner et se faire autant de câlin que tu veux, dit elle en se levant.
J'acceptai ça comme ça, c'était moins pratique mais ça revenait au même.
Je pris le nourrisson tandis que Calvine mettait une chemise bleue, ne trouvant pas son soutif qu'elle avait dû balancer quelque part dans la pièce la veille.
Elle restait vêtue que de ça et de sa culotte, descendant les escaliers froids pieds nus.
Elle gémit légèrement en touchant le sol froid.
Je posai le bébé dans son couffin et rejoignis Calvine dans la cuisine, alors qu'elle préparait des oeufs.
Je collai mon ventre à son dos, alors qu'elle était concentrée dans ce qu'elle faisait.
-Et si on partait en week end, juste nous deux, proposai je.
-Ahah très drôle, on a une fille de même pas un mois, tu as des cours à donner, et j'ai mon année à terminer, tu ne crois pas que c'est un peu tôt pour parler de week end tout les deux?
-Mais je libère un week end pour nous, tu lâches tes cahiers juste deux jours, et j'appelle ma mère pour qu'elle garde Jayline, dis je.
-Et tu comptes nous emmener où? Dit elle en mettant l'omelette dans la première assiette.
-Qu'est ce que tu dirais de, je sais pas, Los Angeles?
-Trop basique.
-Paris?
-A l'autre bout du monde pour deux jours, j'en serais malade.
-San José?
-C'est beaucoup trop à côté et puis c'est pas la saison.
-Putain t'es chiante, finis je par dire.
Elle se retourna et me donna nos assiettes.
Je me dirigeai vers le canapé a coté de Jayline endormie.
Elle apporta nos cafés et s'assit a coté de moi.
-Tu veux aller où alors ?
-Dans un coin tranquille, tu vois? Si tu veux qu'on soit que tout les deux, faudrait qu'on soit dans un endroit où les gens ne nous dérangeront pas non plus.
-A London?
-Par exemple, j'adore le Canada, dit elle en commençant a manger.
-Mais ma grand mere ne nous laissera jamais tranquille si elle sait qu'on va à London.
-Ta grand mère vit où?
-A Toronto, répondis je.
-Et bien voilà, on n'est pas obligé de lui dire qu'on va au Canada, si tu veux vraiment qu'on soit seul, soit discret.
-Tu es un petit génie toi, tu sais? Dis je en lui chatouillant le menton.
-Oui je sais, dit elle fièrement.
Je secouai la tête en riant.
-Je te propose qu'on fasse un récapitulatif pour savoir comment éviter au maximum mon frère, dit elle soudainement.
-Très bien, mais ça ne sera pas facile, on ne sait pas ce qu'il prévoit de faire, ni quand, et on est même pas sûr d'être réellement en sécurité ici.
-Le plus important c'es déjà que Jayline soit en sécurité, non?
Je regardai la petite fille endormie, elle avait raison.
-C'est vrai.
Elle prit un stylo et un tableau a feutres qu'elle accrocha sur le mur du salon.
-Je savais que ça me servirait un jour, dit elle en regardant le tableau blanc.
-Tu jouais à la maîtresse dessus? Demandai je ironiquement.
-Non. Je l'ai trouvé dans le grenier de ma tante et j'ai pensé qu'il me servirait, dit elle sèchement.
-C'est bon bébé je rigole, vas y commence ton enquête, dis je en me levant pour entourer sa taille de mes bras.
-Alors. En sachant que Adrien est mort, elle écrivit Adrien puis bara le prénom ensuite, et que mon frère a tué nos parents, nous sommes plus que deux composants la famille Hanley. Avec ma tante en plus.
Je pris le stylo et écrivis à mon tour.
-Donc de mon côté, il y a ma mère, mon père est mort et mon frère et ma soeur vivent avec leur mère, d'ailleurs je n'ai plus de nouvelles d'eux.
-Adrien a tué le père de Marcus, ce qui a causé le suicide de sa mère et le sien, juste après.
-Il a aussi tué la famille de Mia, qui a été tuée par Nash.
-Nash travaillait pour Miller et Aaron pour nuire a nous, son frère est mort, et lui aussi.
-Vlad a été assassiné par Miller et Aaron.
-Quand à Taylor et la compagnie de Jackson sont mort.
-Aaron a tué aussi Kalya. Où ça nous mène tout ça?
-Absolument nul part. Ça ne nous dit pas ce que Adrianne va nous faire.
-Il serait capable de s'en prendre a tante Nora. Ou même a ta mère?
-Il sait que ça nous blessera mais je ne vois pas quel malin plaisir il aurait à tuer ma mère et ta tante. Non. Il va vouloir toucher des personnes plus proches, comme...
-Jaden? Demanda la brune en se tournant vers moi.
Je me détachai d'elle.
-Jaden?
-Oui, Jaden.
-Pourquoi il tuerait quelqu'un qui est capable de se défendre?
-C'est vrai tu as raison, dit elle en posant ses mains sur la table.
-Regarde, pour en finir avec nous, ils ont tous fait en sorte que notre couple soit directement brisé. Regarde, Nash était l'élément perturbateur qui me rendrait jaloux, Ylia, enfin Mia, te rendrait jalouse, la fille avec qui j'ai couché après ton départ pour New York. Bref, au final ils utilisent tous la même tactique, et si ça échoue, ils essaient de nous tuer, aussi simple que ça peut être.
-C'est vrai putain, mais du coup, tu penses que Adrianne se servira de quelqu'un pour que notre couple batte des ailes?
-J'en suis même sûre, dis je.
Elle repartit vers le tableau le stylo a la main.
Elle écrivit quelques choses, puis entoura un prénom.
-Notre objectif, c'est de protéger Jayline, tout simplement, dit elle en me souriant, alors que je m'étais assis sur le canapé.
-Exactement, souris je.
Elle se baissa pour rajouter quelques petites choses. A ce moment-là je n'avais envie que d'une seule chose, lui faire l'amour.
Je ne savais moi-même pas pourquoi, mais avec la semaine que nous avions eu, je n'avais pas pu profiter d'elle comme je le voulais.
Je m'approchai d'elle, cette dernière s'était relevée et lisait le tableau.
Je posai mes grandes sur ses deux seins, recouvert du bout de tissu bleu qui les couvrait.
Je commençai a les masser fortement, l'entendant inspirer et expirer longuement.
-Justin, dit elle en posant ses mains sur les miennes. Arrêtes s'il te plaît.
-Ça fait une semaine que je ne t'ai pas touché Calvy, me plaignis je.
Elle ne réagit pas mais essaya tout de même d'arrêter mes gestes.
-Allez Calvy, Jayline dors en plus, insistai je en lui déboutonnant la chemise.
Elle me regarda le temps d'un instant.
-T'en as réellement envie en plus, dit elle en haussant les sourcils.
-Tu sais que je ne mens jamais sur ce sujet, Calvy, dis je en entamant des baisers dans le cou.
Elle passa ses doigts sur ma nuque, en expirant bruyamment.
Ses doigts exerçaient de petites pressions sur ma nuque.
J'ouvris sa chemise complètement et la lui retirai.
J'étais devant sa poitrine dénudée. La façon dont je bandais a ce moment ci était inexplicable, mon pénis allait complètement sortir du tissu qui le protégeait.
Je mis son téton gauche dans la bouche, puis l'aspirai tout en le mordant.
J'imitai le même geste avec celui de droite. Et j'y prenais un plaisir pervers.
Calvine se contentait de gémir en tirant sur mes mèches blondes.
Elle devait être dans un état second.
Une fois que j'eus bien marqué son cou et sa poitrine, elle me poussa sur le canapé.
-Je vois que madame est entreprenante, dis je amusé.
Elle rit légèrement.
-Tais toi et laisses toi faire, dit elle en enlevant mon short.
Je me mordus la lèvre inférieure en l'observant faire.
Elle attrapa mon pénis dans ses mains, faisant glisser sa main dessus.
J'essayais de contenir mes gémissements, je ne voulais pas jouir comme un fragile face à elle.
Elle le mit dans sa bouche, et fit ce qu'elle devait faire avec, le sucer.
Elle n'y allait pas de main morte. Elle me regardait de temps a autre, alors que je souriais nerveusement.
Bordel de merde. Elle tenait ses cheveux avec ses mains, pour éviter de la déranger dans son activité.
-Putain Calvine, je vais venir, dis je en attrapant ses cheveux.
Elle sourit malicieusement.
-Ne me dis pas que tu serais capable de le faire? Dis je en la regardant, amusé.
Elle rit simplement puis enfonça mon pénis dans sa bouche de plus belle, alors que je venais petit a petit.
*
Je sortis de ma salle de judo, où je venais de donner mon cours.
J'avais qu'une seule envie, retrouver ma petite famille.
Je pris ma voiture pour me diriger vers ma maison.
C'était tellement dur parfois d'encourager des gosses de 7 a 12 ans, quand a leur âge on avait qu'une seule envie, en terminer le plus rapidement possible.
J'arrivai devant chez moi. J'ouvris la porte et vis Calvine, donner son sein a notre fille qui avait l'air de boire avec appétit.
-Bonsoir tout le monde, dis je.
Calvine me regarda avec un sourire aux lèvres.
J'allai a ses côtés et l'embrassai brièvement.
-Alors je t'ai pas trop manqué ? Demandai je.
-Oh non ça va, Sofia est passée, on a passé l'après midi ensemble alors non, je ne me suis pas ennuyée.
-Donc même pas un peu? Demandai je encore.
-Non, dit elle fièrement.
Je simulai un moue vexée.
-Bien sûr que tu m'as manqué idiot, finit elle par avouer.
-Je préfère ça, avouai je.
-Alors ton entraînement ?
-Les enfants étaient comme d'habitude, ils chahutaient un peu mais j'arrivais a les rappeler a l'ordre, dis je simplement. Tu sais, je trouve ça compliqué de les encourager quelques fois, a leur âge, je n'avais pas gout a la vie, malgré le départ de mon père. J'étais heureux avec ma mère mais a l'école j'étais mal vu, comme un bon a rien parce que ma mère ne m'achetait les dernières chaussures a la mode ou autre, pourtant elle aurait donné sa vie pour moi.
-Mais tu en retiens une bonne leçon pour ces enfants, tu leur apprends plus qu'un sport, c'est un sport de combat, et le combat ce n'est pas forcément la, dit elle en pointant mes mains, mais aussi la, continua-t-elle en pointant mon coeur.
-Tu as raison, je ne sais pas ce que je ferais si tu n'étais pas là, avouai je en lui embrassant le front.
On toqua soudainement violemment a la porte.
Qui ça pouvait bien être?
J'allai ouvrir, aillant pris Jayline dans mes bras, et fus choqué de voir la police.
-Sommes nous bien chez mademoiselle Calvine Hanley? Demanda l'un des deux policiers.
-Euh oui pourquoi?
Elle s'avança légèrement vers la porte, entendant son nom.
-Vous êtes en état d'arrestation pour avoir aidé le détenu Justin Drew Bieber, en Janvier de l'an dernier, a s'évader du centre de détention national de Washington. Vous avez le droit de garder votre silence.
Ils embarquèrent Calvine si violemment que je n'eus pas le temps de comprendre.
-Je viendrais te chercher Calvine, je te le promets, criai je, réalisant que je n'allais peut etre pas la revoir.
Elle me regardait le regard poignant, versant quelques larmes le long de son visage.
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Désolée j'ai grave tardé pour mettre ce chapitre.
En passant j'ai changé les covers de FOB et FOP, vous aimez?
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