Chapitre 10 : conseil foireux.

Plus tard,

Son regard restait figer sur une photo. Beaucoup trop de souvenirs revenaient à la surface...

Après lui avoir prouvé par A+B qu'ils n'avaient rien fait et que ce qu'il s'était passé remontait à 1912 ( dernière année inscrite sur le carnet ), la jeune femme avait pâlit. Doucement, elle s'était retournée pour faire demi-tour.
Après avoir échangé un regard avec Cassie, les deux jeunes firent demi-tour, rencontrant leur professeur en passant.

- Qu'est-ce que vous faîtes ? s'était-il enquit. Et qui est donc cette personne qui viens de passer ?
- Justement on cherche à le savoir ! avait répondu le jeune homme.

Rapidement, ils étaient arrivés dehors. Ils n'étaient que tous les trois : Cassie, John et la mystérieuse jeune femme.

- C'EST IMPOSSIBLE ! hurla cette dernière, accroupit sur le sol, les mains agrippées sur le bord de sa tête.

Puis, plus calmement, elle avait rajouté :

- Qu'est-ce que je vais faire maintenant ? Je lui avais promis de veiller sur lui aussi longtemps que possible...

Doucement, John avait posé sa main sur son épaule.

- Euh... Toi.. ?

Elle l'avait violemment repoussé avant de se redresser et de s'éloigner d'eux.

- Ne me touchez pas misérable humain !
- « misérable humain » ? avaient-ils répété à l'unisson.

- Tout ça, c'est de votre faute ! avait-elle continuer.

- On a rien fait et tu le sais très bien ! avait répliqué Cassie. Et puis, c'est quoi cette histoire de Néant ? Il va vraiment détruire la Terre ?

Elle avait tourné la tête.

- Ça ne vous regarde pas.

- Je m'appelle John Phoenix, avait finit par se présenter le jeune homme après un long silence.

- Et moi, c'est Cassie Sun.

La jeune femme les fixa de son air hautain.

- Et alors ? leur avait-elle lancé. Je n'en n'ai rien à faire de vos noms et prénoms.

- Nous venons de famille qui nous ont apprit la politesse, mademoiselle, avait répliqué John.

- Ma famille m'a bien éduqué, avait sèchement répliqué la jeune femme à son tour.

- Alors qu'est-ce donc que ces manières ? Vous devez savoir qu'il faut se présenter.

La jeune femme avait poussé un profond soupir avant de déclarer :

- Je m'appelle Solia Chaos.

- PAPA !

Il sortit soudain de ses songes.

- Ah... Euh...

Un peu perdu, il referma le dossier et le rangea à sa place. Là où il avait été avant que sa fille adoptive ne le fasse tomber par incident.

Devra-t-il un jour lui avouer ?

- PAPA ! continua de hurler la voix à la porte.

- J'arrive Philippe ! répondit-il en se dirigeant vers la porte.

C'est en ouvrant celle-ci qu'il remarqua le regard blasé de son fils.

- Ça fait cinq minutes que je t'appelle.

- Ah... Euh... Désolé. J'étais plongé dans mes recherches...

- Ça ne m'étonne pas. Mais bref, on va passer à table.

- Hé ! Tu n'oublies pas Linoa ! me lança Cassandre alors que nous sortions de sa chambre.
- T'inquiètes. On...

Ma voix s'estompa quand mes yeux tombèrent sur mon père et Philippe.

- .., regarde ce film après.
- Mais qu'est-ce que tu...

Son regard tomba sur eux.

- ... Ouais... Un bon film.

Ni une, ni deux, nous filâmes au salon. Là-bas, Astroméria semblait quelque peu... Inquiète. Yuki finit de disposer les biscuits apéritifs sur la table tandis que la jeune gardienne se leva pour se diriger vers mon frère.

- Cassandre.

Sa voix avait un ton inquiétant. Celui d'une mauvaise nouvelle.

- Qu'est-ce qu'il y a ? lui demanda-t-il.

- Ça ne peux plus durer. Je ne veux pas te faire du mal. Je ne veux pas que tu meurs...

- De quoi est-ce que tu parles ?
- Non. Nous ne pouvons pas. Il faut qu'on s'éloigne. Je ne veux plus jamais que tu me parles ou que tu m'approches, compris ?

- QUOI ?
- Adieu Cassandre.

Et sur ces mots, elle fila à toute allure en direction des escaliers.

Moi-même j'étais choquée. Pourquoi avait-elle réagit comme ça ? Me serai-je finalement trompée ? Elle n'est pas amoureuse de Cassandre ?

Les larmes coulèrent sur les joues du concerné et il se laissa tomber à terre. Yuki et Callen se précipitèrent vers lui.

- Hé Cassandre, c'est pas la fin du monde ! lui dit Callen.
- Dit celui qui a un amour réciproque !
- Cassandre.., commença Yuki.

- Laissez moi ! hurla-t-il avant de se recroquevillé sur le sol.
- Faut que je parle à Astroméria, annonçai-je.

Et sur ces mots, je me dirigeai vers ma chambre. En entrant dans celle-ci, je remarquai Astroméria cachée sous sa couette. Elle sanglotait.

- Astroméria, qu'est-ce qui t'arrive ? lui demandai-je doucement en m'asseyant à côté d'elle.

- Je... Ne... Veux ... Pas...
- Pas quoi ?
- Je ne veux pas que Cassandre meure à cause de moi !

Puis elle éclata à nouveau en sanglots.

- C'est parce que tu es une gardienne ? m'enquis-je. Que tu as peur de mettre sa vie en danger à cause du Néant ou de l'Harmonie et du Chaos ?
- Non, répliqua-t-elle.

Je fronçais les sourcils.

- Si on s'aime, on finira par mourir !

- Euh...

- Je l'ai lue ! C'est ça qu'il voulait que je comprenne !

- Eh bien... Pour être honnête, je n'en sais rien. Du coup, Volt m'a prêté un livre pour que je sache ce que c'est.

- Ah... Tu parles du livre que t'as donné Volt ?

- Oui...

- Il est où ?
- Sur ton bureau.

Je me levai et allai chercher le livre. En voyant le titre, je restai paralysée.

- Att... Attends... Volt t'a prêté ce livre pour que tu comprennes tes sentiments ? m'assurai-je.

- Oui.

Quel crétin !

- Astroméria, tu as bien son numéro, n'est-ce pas ?

- Oui.
- Je peux t'emprunter ton téléphone ? Il faut ABSOLUMENT que je lui parle.
- Dans le salon.
- D'accord. Bon, avant, faut qu'on parle. Assit-toi s'il te plaît.

Elle hésita un moment avant d'obéir.

- Tu l'aimes, c'est ça ?

Doucement elle acquiesça.

- Écoute Astroméria, ce qu'il y a dans ce livre est un exemple bien spécifique. Toi et Cassandre ne faîte pas partie de familles rivales ou de quoique se soit qui pourrait t'empêcher de l'aimer. Et puis garde bien à l'esprit que si cette lettre avait pu atteindre son destinataire, Roméo et Juliette ne serait pas mort ainsi.
- Tu as raison... Donc, j'ai fait tout un scandale pour rien...
- Va voire mon frère. Il t'aime lui aussi.
- Je m'en doutais.., murmura-t-elle.

Elle prit une profonde inspiration.

- Je vais réparer mon erreur.

Et sur ces mots, elle se leva. Je l'imitai et nous sortîmes dans le couloir au moment où Cassandre rentrait dans sa chambre, visiblement déprimé.

- Cassandre !

Il l'ignora et ferma la porte.

- Vas-y, l'incitai-je en voyant qu'elle était perdu.

Elle acquiesça et rentra doucement dans la chambre à mon frère.

Je me dirigeai vers le salon où j'attrapai le téléphone d'Astroméria posé sur la table.

- Qu'est-ce que tu fais ? s'enquit Callen.

Je ne lui répondis pas et tentai d'allumer le portable de la gardienne. En voyant le petit logo, je grimaçai.

Plus de batterie.

- Linoa ?

Je poussai un soupir.

- Je sais pourquoi Astroméria à réagit comme ça et j'aimerai...

Si je l'ai au téléphone, ça va chauffer !

Mais je ne pouvais pas dire ça...

- ...Discuter avec Volt.
- Nel a son numéro, m'apprit Callen.
- Depuis quand ? m'exclamai-je.

C'est pas le genre à Nel d'accepter ou de demander le numéro d'un gardien...

- Après que vous soyez partit : il l'a convaincu qu'avoir son numéro pouvait toujours servir.
- Mais c'est génial ! Je vais enfin pourvoir hur... Enfin discuter...

Callen me lança un regard blasé.

- C'est à cause de Volt tout ça ?
- Oui et j'ai bien envie de lui foutre une claque pour sa stupidité. Bon, il faut juste que je cherche mon portable...

- Euh... En parlant de ça...

La petite voix de Lilo attira mon attention.

- Qu'est-ce que tu as fait ? m'enquis-je, sentant la bêtise arriver.

- Eh bien... Tu vas rire...

- Accouche.

- Euh... Et bien tu vois Astroméria et moi on a joué aux aventuriers cette après-midi et... Sans faire exprès, alors que j'avais pris ton portable pour le remettre dans ta chambre, une suite d'événements à fait qu'il... Est tombé dans l'aquarium...
- QUOI ? m'étranglai-je.

- Et si il y avait que ça.., lança Philippe.
- Qu'est-ce qu'il s'est passé d'autre ? 

- Eh bien... J'ai voulu l'emmener dans ta chambre et... Alors que j'arrivai en haut de l'escalier, il a glisser de mes mains...
- QUOI ? 

Il posa un petit paquet en tissu et le déplia, dévoilant ainsi un potable a l'écran explosé, tripé... Mort.

- MON PORTABLE !
- Désolé...
- Et je fais comment moi maintenant pour hurler sur Volt ? Je ne peux pas attendre que sa batterie se recharge et j'ai plus de portable !
- MON MATELAS ! hurla Cassandre à l'étage.
- POUSSE-TOI ! lui ordonna Astroméria.

Le cri de mon frère retentit puis plus rien.

Mon père leva les yeux à l'emplacement de la chambre.

- Qu'est-ce qu'il se passe là-haut ? demanda-t-il.
- Va savoir, lança Philippe avec un haussement d'épaules.

La catastrophe ambulante est de retour...

- Je vais voire, annonça Yuki en se levant.

Callen sortit le sien de sa poche, fit quelques trucs dessus avant de me le tendre :

- J'ai appelé Nel, déclara-t-il. Si tu veux lui parler...

- Merci Callen.

J'attrapai le portable après l'avoir embrassé rapidement.

- Allô, Callen ?
- Non, c'est moi, répliquai-je.

Silence.

- Nel ?
- Comment ça se fait que vous appelez avec son portable ?
- Eh bien celui d'Astroméria n'a plus de batterie, le mien a rendu l'âme et...

- Non. Je m'en fiche de savoir pourquoi.

- Pourtant...

- Callen est censé être à l'agence non ? Celle au centre-ville, à une demi-heure de chez vous ?
- Euh...

- Comment ça se fait, alors, que vous appelez avec son portable ?
- C'est une longue histoire... Compliqué avec des dragons et tout et tout...

- Ne vous vous foutez pas de ma gueule princesse. Il est chez vous, c'est ça ?
- Je t'ai dit que c'était compliqué.
- Je...
- Et puis je ne t'appelle pas pour me faire disputer, répliquai-je, reprenant tête au démon. Tu as le numéro de Volt, n'est-ce pas ?
- Euh... Oui. Pourquoi ?

Puis il poussa un soupir.

- Un instant s'il vous plaît.

Puis il hurla, visiblement à quelqu'un pas très loin :

- TALIANE, LÂCHE CETTE DAGUE !

Taliane ou « Tali » pour les intimes... Et les suicidaires.

- Je vous le donne tout de suite, me dit-il.

Après avoir trouvé un bout de papier et avoir noté le numéro, Nel finit par me demander :

- Vous ne pouvez pas demander une faveur à Callen ?
- Quel faveur ?
- Je voudrai le numéro d'Esméralda.
- Le numéro d'Esméralda ? À ce que j'ai pu voire d'elle, elle n'a pas l'air très sociable... Et puis, pourquoi tu veux son numéro ?
- Pourquoi ? Parce que je lui ai promis – dans ma grande bonté – de lui apprendre la langue du Chaos.
- Tu es vraiment trop bon. Bref, à plus.
- À plus tard princesse.

Puis je raccrochai.

- Il veut le numéro d'Esméralda ? s'enquit Callen.
- Oui, pour lui apprendre une langue.

- Alors elle va accepter. Elle adore tous ce qui touche au langage.

- Bon je t'emprunte encore deux minutes ton téléphone.
- Il n'y a pas de problème. Ah et essaie de ne pas trop hurler sur ce pauvre Volt.
- T'inquiètes.

Je tapai le numéro.

Il ne fallut pas longtemps avant qu'il ne décroche.

- Allô ?
- Bonjour monsieur le CRÉTIN qui a donné Roméo et Juliette à Astroméria pour qu'elle comprenne ses sentiments !
- Ah... Elle l'a mal comprit.
- Si par mal comprit tu veux dire qu'elle a cru qu'en SORTANT avec mon frère, elle finirait par MOURIR avec lui, alors oui elle a mal comprit.
- Ah...

- Mais j'ai expliqué à Astroméria qu'ils ne mourraient pas.
- Tant mieux... Alors tu m'as appelé pour...
- Te dire que sur ce coup, tu as été un crétin.
- Tant que le malentendu est résolu... merci princesse.
- Ne prête plus jamais de tragédie, ok ?

- J'ai appris la leçon. Ne vous inquiétez pas.
- Heureusement.
- Bonne soirée.

- À toi aussi.

Et sur ces mots, je raccrochai avant de rendre son portable à Callen.

- Mission accomplit, annonçai-je en m'asseyant sur la chaise à côté de mon petit ami.


Quelques minutes plus tôt,

- Cassandre !

Il l'ignora et ferma la porte.

- Vas-y, l'incita Linoa en voyant qu'elle était perdu.

Elle acquiesça et rentra doucement dans la chambre tandis que la jeune blonde partait en direction du salon.

- Cassandre ?

Celui-ci était caché sous sa couette.

- Je suis désolée... Il faut qu'on parle.

- De quoi ? De comment tu m'as mit un râteau ?
- Je ne voulais pas...
- Parle toujours !

Bien décidée à lui dire ce qu'elle ressentait, elle se glissa sous sa couette au grand étonnement du jeune roux. Puis, elle alla se coucher en face de lui.

- Pourquoi tu...
- Je t'aime, l'interrompit-elle.

Ses joues virèrent au rouge ce qui la fit rire.

- Tu es trop mignon, déclara-t-elle.
- C'est pas drôle, répliqua-t-il.

Puis, il rajouta :

- Moi aussi je t'aime.

Entendre ça venant de Cassandre lui fit bizarre. Mais, en même temps, ça la rendait heureuse.
Doucement, il lui attrapa la main.

- Alors ça veut dire qu'on est ensemble ? s'enquit-il.
- On dirait bien, répondit-elle.

Elle hésita un instant.

- Ok, si tu veux tu pourras lui dire TOUT ce que tu veux. Mais il doit tenir sa langue.

- Astroméria ? l'appela le roux, sentant qu'elle s'absentait.
- Ah... Euh... Cassandre.
- Oui ?
- Tu n'es pas fou.

Silence.

- Euh... Je le savais déjà, merci.
- Non. Ce n'est ni la fatigue ni le stress.

Soudain, il sembla comprendre.

- Tu parles de ce qu'il s'est passé à l'infirmerie ?

Elle acquiesça.

- Mais pourquoi...

- Tu dois tenir ta langue.
- Pourquoi ? !
- La personne qui avait prit l'apparence de Mélodie est de notre côté maintenant. Elle obéit à ta sœur et c'est la petite sœur de Nel.
- Et bah super la petite sœur...

Elle sourit.

- Mais pourquoi ça ne peut pas se savoir ? s'enquit-il.
- Parce que ce genre de choses doivent être cachées au humain.
- Mais tu l'es aussi...
- Je le suis d'une certaine manière contrairement à certaine personne...

Elle aurait voulu mentionner Linoa mais elle lui avait dit qu'elle ne lui parlerait pas de son secret.

- Et tu es quoi ?

- Je suis une sorte d'humaine à qui il reste des pouvoirs.
- Attends...

Il se redressa, levant leur cocon.

- Tu as des pouvoirs ? Comme les super héro ? s'exclama-t-il.
- Non plutôt à ce qui s'apparente aux pouvoirs des sorciers et des magiciens. D'ailleurs ça m'étonne que tu me croies aussi facilement...

- Après avoir vu une Mélodie pratiquement en train de se faire égorger par une autre Mélodie, c'est pas bien difficile.
- Pas faux.
- Fais voire.
- De quoi ?
- Un de tes pouvoirs.

Elle s'assit en face de lui et mit sa main à plat, paume vers le plafond. Elle n'eut qu'à imaginer une petit flamme pour que celle-ci danse dans sa main sous le regard émerveillé de la personne qui était à présent son petit ami.

- Depuis ma naissance je suis une prétendante gardienne, je vivais dans un petit village. À mes neuf ans, je suis devenu gardienne, héritant ainsi de plus grand pouvoir.

- À quoi servent les gardiens ?

- Les deux gardiens élu servent à maintenir l'équilibre du monde.

Le jeune roux repensa à ce que sa sœur lui avait raconté.

- Ah... Tu veux dire que tu protèges le Chaos et l'Harmonie.

Astroméria fut prise au dépourvu.

Comment sait-il ça ?

Elle ne remarqua pas que sa main baissait et que la flamme roulait sur celle-ci... Jusqu'à tomber sur le matelas du concerné.

- MON MATELAS ! hurla Cassandre

Reprenant ses esprits, la gardienne remarqua le feu qui commençait sur le tissu.

- POUSSE-TOI ! lui ordonna-t-elle.

Puis, paniquée, elle lança un sort d'eau un peu trop puissant.
Cassandre cria.
Les deux étaient tripés de la tête au pied. Le matelas ressemblait maintenant à une éponge. Poussant un soupir, il plaqua ses cheveux roux en arrière.

Le silence s'installa un moment.

- Je suis désolée.., murmura-t-elle.

Il lui sourit.

- Ce n'est rien.

Puis il rajouta :

- T'es sacrement puissante.
- Ce ne sont que des sorts basiques, répliqua-t-elle.

Puis la porte s'ouvrit sur la jeune femme aux cheveux de jais. Elle fit les gros yeux.

- Qu'est-ce qu'il s'est passé ? s'enquit-elle en entrant dans la pièce. Vous êtes tripés !
- Et mon matelas s'est reconvertit en éponge, lança Cassandre. D'ailleurs, tu ne devrais pas être dans le salon ?
- On vous a entendu crier. Du coup je suis venu voire ce qu'il se passait. J'aurais jamais imaginé une chose pareille... Mais bref, il faut que vous vous changiez et vite ! Sinon vous allez être malade.
- Ah... Euh... Oui.

Elle leur sourit.

- Je vais vous chercher des serviettes.

Et elle s'éclipsa. 

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