La terre continu sa route, elle tourne et tourne encore. Rien ne peu l'arrêter, comme rien ne peu arrêter les cœurs de deux amoureux de battre l'un pour l'autre, ou les pieds de deux danseurs de bouger. C'est immuable, et c'est bien mieux de cette façon. Peu importe où ils se trouvent, ils continueront de s'aimer et de danser.

Aujourd'hui Hélène et Zac danse sur le plus haut plateau d'une montagne. l'endroit est étroit, alors ils se serrent pour ne pas tombée. L'endroit est froid, alors ils bougent pour se réchauffer. l'endroit est sombre, alors les étoiles brilles un peu plus pour eux. l'endroit n'est pas idéale, alors leur danse et leur amour l'est.

Pas besoin de musique pour rythmé leur pas. Ils n'écoute que le battement de leur cœur et le chant des oiseaux. Et pour les cœurs, rien de mieux que le bruit du vent dans les feuilles des arbres environnant.

Un peu de rock, de valse, pas trop de salsa mais beaucoup de slow. Leur rêve serai de passé professionnel ensemble. Mais qui remarquerai deux jeunes rêveur de la campagne. Ils continu cependant d'y croire, parce qu'après tous pourquoi pas ? Et en attendant ils garde les pieds sur terre et la têtes dans les étoiles, littéralement. Parce qu'ensemble ils sont plus fort, ils sont plus confiant, ils sont plus entier.

Alors ils dansent. Un pas en avant, un sur le côté, un pas en arrière et encore deux devant. Deux pas sur le côté, c'est un pas de trop, le plateau n'est pas assez large. Ils tombent. La terre tourne, c'est inévitable tout comme son attraction des corps.

Ils chute. De plus en plus vite. Ensemble certes mais vers le sol. Pourquoi allé dansé sur une montagne ? Pourquoi avoir fait deux pas et non un ?
Leur chute est sans obstacle mais sans porte de sortie. Il n'y à qu'une issus, la terre. Alors pourquoi ils sourit ? Peu être qu'ils savent qu'après leur chute, leurs rêve deviendront réalité.
Ils tomb...

Il fait noir, il fait chaud. Le sol est mou et agréable. Les oiseaux ne chante pas, le vent ne souffle pas. C'est la mort ? Le paradis ?

Non c'est mon lit, quel rêve étrange. Je ne connais même pas de Zac ou d'Hélène. Et je danse comme un arbre mort. Mais quel rêve étrange, magnifique, en un sens.