Les deux rebelles

Dans une foret à l'extérieure de la ville, deux homme discutent.
- Allez accélère ! Tu vas nous mètre en retard, j'te rappelle que le convoi passe à 20h. En plus c'est toi qui m'a bassiné pour qu'on l'attaque. Oh et puis remonte ton froc, on va passé qu'elle genre de rebelle si t'as le pantalon sur les genou ? En parlant de passé pour des cons, cette fois pense à charger ton flingue. Par ce que la dernière fois t'avais l'aire beau à tiré à vide. Si tu peu évité de crier quand on charge. D-I-S-C-R-É-T-I-O-N. Sinon autant leur crié de sortir leur armes par ce que des méchant arrivent sur leur droite.
- Oh sa va je l'ai fait qu'une fois. Et puis je peu pas marché à ton rythme avec t'es grande guibolles. En plus c'est toi qu'as mis deux heures à te préparé. Un peu de gel par si, un peu de cire par là. Tu t'es même maquillé les yeux, les yeux ? Tu vas quoi, les assassiné avec ton regard ? T'es ridicule. Je t'es prit comme coéquipier pour tes techniques de combats pas pour ton look. D'ailleurs on peu faire ma technique d'approche pour une fois ?
- Celle où je fais la table ?
- Oui.
- Non
- T'es nul... Dis, tu t'souvient quand on avait pas à courir après des convoi pour avoir de la nourriture. Quand on arrivait à rentré dans les soiré mondaine pour séduire les princesses. Les châteaux en pierre, les faisans tué d'une flèches et cuits à la broche.
- Ah oui, les tournois de chevaliers, les bannières de toute les couleurs au vents. Et la fois où on est rentré dans la grande fête du Roi. On a finit, Dieu sait comment, dans la fontaine royale. Qu'elle poillade
- J'ai l'impression que sa fait des décennies qu'on à plus cette vie. Et qu'on à eu le temps d'en vivre plein d'autre entre temps.
- Peu être parce que c'est le cas. En tout cas moi c'est le moyen-âge que j'ai préféré, quand on avait encore nos familles.
-C'était bien.
-Oui et le rappe existait pas, quelle belle époque.
- La langue était plus belle, elles avait plein de nuance et de mots nobles.
- Et des expression colorées. Y'a pas à dire, c'était mieux.
- Parfois sa me manque. On c'est trop habitué à la langue française actuelle.
- C'est pas faux.
- V'a falloir accélérer.
- L'est quelle heures ?
- Moins dix
- Merde.
- Bouge.
Ils se mettent tous les deux à courir, se prenant en pleine tête les branche de fer. Ils sautent par dessus les tronc en métal et les rivière verte.
- Foutue années 2123.
- Foutue années 2123.



Le langage est devenu un dialogue, l'accélération une diminution de leurs ligne de parole et le rappe juste un mots placé, mais les contrainte sont là.

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