Affalé sur sont trône de diamants, Heimska, dieu de toute chose celon lui, s'occupait des affaires des autres comme à son habitude. Toute la journée il reste là, assis, à se servire de ses pouvoir pour tout et rien. Cassé la patte d'un chien, en tué un autre, faire tombé des pots de peinture, transformé des lampes en montres, faire aparaitre des gens là ou il ne faut pas... Tout était bon pour le divertir.

Balou, son nounours avait disparut depuis deux jours. Absolument certain qu'on lui avait volé, Heimska passait tout son temps à le chercher et à blâmé puis punir tout le monde, sans bougé de son trône.

Sans résultat flagrant, sa quête semblait vaine mais il ne pouvait si résoudre. Balou était tout se qu'il avait réellement, son seul amis, son seul souvenir d'enfance, mais aussi une parti de son égaux. Ayant reçu un surplus de fierté durant son adolescence, il en avait placé une bonne parti dans son ourse en peluche, comme un catalyseur.

Un, deux, trois, cinq jours passèrent encore, sans résultats. La divinité faisait de plus en plus de choses inacceptables, impensables et folles. Brûlé des maisons sans raison, détruire des monument, faire s'écrouler le sol. Il n'y avait plus de limite à sa folie.

Rien d'étonnant pour le dieu. Heimska n'était en rien le dieu de toute chose, seulement celui de la folie. Mais avec son égo surdimensionné, il ne l'avait pas remarqué. Pour lui pas de doute possible, il était le père de toute choses, le dieu des dieux, le plus puissantes d'entre tous.

Dieu il était, et dieu il resterait, même si ce n'es que celui de la folie. Malheureusement pour la population, il avait réellement des pouvoirs , et des très puissant. Il en était très fière et adorait les montré. Si il pouvait détruire tant c'était qu'il emmenait ses sujets dans une folie dévastatrice. Et sur son trône de diamants, immobile, il jouissait, se pavanais de ses talents, de sa folie.

Et c'est peu être à cause de tous cela que son nounours, son seul ami, c'est enfuit. Pour enlevé à cette être abjecte, une partie de son égo, pour qu'au moins cela lui soit retiré.