Chapitre 46 " Frêle "

Médias : abdos Aria

Précédant :

Je ne salut même pas Charles, monte dans ma Lamborghini et par en furie direction l'hôpital.

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~PDV Aria~

Je roule à une des ses vitesse je vous jure. Je pense que j'ai même brûle plusieurs feu rouge... Oups. Je tourne au coin de rue Piquart et me retrouve directement devant le parking de l'hôpital. Je me gare à la vas vite, sort en trompes, barre mes porte et me rus à l'entrer de celle-ci. Je ne prend même pas la peine de monter dans l'ascenseur, je suis trop presser alors - bien évidemment - je prend les escaliers et les enjambes une à une à une vitesse fulgurante.

Je défonce presque la porte de la chambre de Dylan quand j'y rentre. Vous auriez du voir la face de Dylan et du Dr. Graveman, c'était hilarant, vous ne pouvez même pas imaginer. Ont auraient dit qu'il venait de voir une fantôme ou un extraterrestre passer juste devant eux.

Bref, j'aurai bien rit au éclat si la situation n'était pas aussi critique. Je porte tout de suite mon attention sur Dylan et le détail de haut en bas comme pour m'assurer qu'il ne lui manquerai pas un morceau, qu'il était bien réel et en bonne santé... Du moins... Dans les circonstance de son état. Je le regard dans les yeux, je les encres dedans et fait un petit sourire soulager.

-Dylan- Aria... Mon dieu... Je suis tellement content de te voir ,souffle-t-il. Ses horrible passé tout ses test et ne pouvoir rien faire...

-Moi- Je sais... Tu m'a manquer abrutie ,dit-je en affichant un plus gros sourire.

-Dylan- Et bien sa me réchauffe le cœur que tu te sois ennuyer de moi. Ah et merci pour ton compliment si délicat, je l'adore.

dyl-Moi- Sa me fait plaisir voyons.

-Dylan- Sa fait six mois que je suis dans cette foutu merde et toi tu me dit juste ça, sa me déçois dit-il en fessant mine de bouder - comme un gros bébé-.

-Moi- Pauvre choux... Tu sais... En se moment...

Je met des pauses entre chaque petite phrase pour faire durée le suspense et je trouve sa vraiment drôle de lire l'expression qu'exprime le visage de Dylan. Un mélange d'appréhension, de désespoir, d'admiration et d'incertitude.

-Dylan- En se moment... ,dit-il en m'insistant à continué ma phrase et en fessant de léger mouvement de bras en avant.

-Moi- En se moment..., repris-je, j'ai le goût... de te sauter dessus et d'embrasser chaque racoin de ton corps frêle...

-Dylan Hey, je suis pas frêle ! dit-il d'un ton offusqué.

-Moi- Désoler chérie, mais six mois de comas ne ton pas très bien réussi. Ton corps est tout blanc et tua les joue creuse... Mais si sa peut vous rassurez monsieur le badboy, vous êtes toujours aussi sexy.

Dylan se renfrogna dans son lit et croisa les bras.

-Moi- Et bien... Je viens de te retrouver et on se dispute déjà... Super... ,dit-je avec un petit sourire narquois au coin des lèvres.

Je ne ses pas pourquoi je réagis comme sa. Pourtant, si je prend en conte toute les fois que je suis venue ici, toute les fois que j'ai pleurer pour qu'il revienne bientôt, pour... Enfin bref, vous avez comprit, j'avais clairement l'air d'une fille accros à son petit-ami...

Je pense que m'a réaction est du à mon caractères de badgirl... J'ai une fierté tout comme Dylan et je ne veux pas passé pour la fille désespérer non plus alors...

Je m'approche de lui doucement avec un regard qui passe du narquois à sérieux et doux. Je suis maintenant juste à coter de lui et scrute chaque parcelle de son visage tout comme lui le fait avec le mien.

Je m'assis sur la chaise près du lit, l'avance jusqu'à être coller au lit et fait face à Dylan. Je m'approche de son visage, suffisamment pour sentir son souffle chaud percuter de plein fouet mon visage et me stoppe. Je regarde ses iris brun café se dilaté et devenir de plus en plus foncé jusqu'à devenir brun cacao super foncé...

-Moi- Tu ma manquer... Tune sais pas à quel point j'ai souffert avec tout se qui ses passé... soufflai-je dans un petit souffle qui exprimais toute ma peine, mon désespoir, ma tristesse...

-Dylan- Je sais... souffle-t-il à son tour.

Il me regarde avec un regard perçant et s'en en deviens quasiment étouffant. Je commence à respirer bruyamment tout comme lui... Nous attendons qu'une seul chose. Cette chose me fait complétement tout oublier des derniers six mois quand elle se produit. Quand c'est les percutes mes lèvres dans un baisser passionner, remplit d'amour, de désespoir, de peine, de joie... Plein de sentiment me traverse à se moment.

Je l'aime sa ses clair et je n'en reviens toujours pas... Ses tellement... Cliché tout en étant fou et farfelu. Il ses tellement passé de chose cette année...

Nous mettons fin à cette échange passionnante et continuons à nous fixer comme de vrai psychopathe.

-Dylan- Je t'aime Aria ,dit-il rauquement tout en aillant un ton très sérieux.

-Moi- Moi aussi Dyl. Moi aussi.

Il colle nos front ensemble et dit:

-Dylan- Non Aria... J'ai dit JE t'aime.

-Moi- Je sais j'ai...

-Dylan- Je n'est jamais aimer quelqu'un comme je t'aime toi. Je n'est jamais aimer quelqu'un aussi fortement même pas ma mère, même pas Émily... Tu me fait ressentir des sentiments que je n'avais jamais ressentit. Tu peut être si têtu et fouteuse de trouble, mais le plus pire ses que j'ai ses deux qualités même si se n'en son pas vraiment et que se son plus des défauts... Tu me rend fou putain et...

Je le coupe en posant brusquement mes lèvres sur les siennes. Il a souffler ses mot avec t'en de désespoir, comme si il essayait de me prouver son amour pour ne pas que je l'abandonne ou je ne sais trop quoi... Mais le problème ses que mon cœur lui appartient déjà et cela depuis maintenant un bon 8 mois...

Il répond à mon baissé tout aussi brusquement que moi, s'en est presque bestial. Il allonge ses main vers moi, mais pas trop parce qu'il est encore faible malgré tout... en parlant de sa... Ou va t-il chercher toute cette énergie ?

Bref, je disais que je comprenais immédiatement se qu'il voulait que je fasse en fessant se geste et je l'ai fait.

Je monte à califourchon sur lui et lui prend ma taille en coupe et resserre sa prise autour de celle-ci comme pour s'assurer que j'était toujours là et que je ne le quitterais pas.

Je me détache de ses si douce lèvre malgré moi, m'allonge à ses coté et dit en chuchotant :

-Moi- Maintenant dors, tu en a grandement besoin...

Il allait rouspéter , mais je le coupa avant qu'il n'est eu le temps de faire quoi que se sois.

-Moi- Et ne t'avise même pas de rouspéter Carter, ses un ordre.

-Dylan- Je n'est pas d'ordre à recevoir de toi Miss Hamilton dit-il avec un ton qui se voulais hautain.

Il voulait joué... Alors on va joué.

-Moi- Sache que... Pendant ses six mois... Il ses passé beaucoup de chose...

-Dylan- Je sais souffla-t-il tristement. Jacob et Laura son... Mort...

Je voulais lui dire que ses moi qui avait repris les reines de son gang et que je l'avais arrêter, mais quand il a prononcer ses mots mon cœur ne fit qu'un bond.

Comment ses t'il sa ? Comment ?

Voyant m'a mine dépiter, il rajouta :

-Dylan- Quand j'était dans le comas... Quand tu venais me voir chaque jour pour me racontez t'a journée et bien je t'entendais, mais mon corps refusais de bouger, ses comme si se n'était juste que mon esprit qui était libre. Je voulais te répondre, te réconforter, mais j'y arrivais pas et sa me fessais chier... Tu ne sais pas comment de mal sa ma fait quand j'ai entendu se coup de feu... Ses crie... Tes crie... Ses pleure... Tes pleures... C'était horrible, j'avais moi aussi le goût de pleurer, mais je n'y arrivais pas et sa me fessais grave rager. Tu avais l'air tellement désespérer au son de t'a voix que sa me fessais encore plus mal... Quand j'ai enfin réussi à sortir de se comas le jour de t'a fête j'était tellement heureux tu ne pouvais pas savoir à quelle point et ses la que tout à dérapé et que je n'entendais plus t'a voix... T'a voix si réconfortante. Je ne sais pas comment je suis sortie de se foutu comas, mais je suis content, je commençais vraiment à en avoir rat le cul... La mort de Jacob m'a fait tellement de mal tout comme celle de Laura... Je suppose que j'ai fait un peu mon deuil pendant que j'était dans le comas... Ce n'est pas comme si j'avais quelque chose de mieux à faire que de penser...

Je ne savais absolument pas quoi dire -encore-. C'était vraiment émouvant se qu'il venait de dire, je n'en revenait pas, On dirait que ses t'en si, je suis toujours triste avec une mine dépiter et sa m'énerve un peu, j'ai vraiment besoin de me défouler et évacuer la pression... Pourtant je m'entraine chaque jour, je fait mon jogging, mes exercices et tout, mais je crois qu'il m'en faut plus... Alors ses pour sa que j'ai décider à l'instant qu'après ma visite à l'hôpital pour voir Dylan, j'allais me rendre dans des combat illégaux pour me défouler sur des mecs... Je vais tous leurs faire leur fête !

Fin de se chapitre, j'espère que vous avez quand même aimer le chapitre malgré sa longueur courte. Merci pour tout ses vue MERDE, 390 K DE VUE !!!! Oulala, je ne pensais jamais que j'atteindrai se nombre de lecteur un jour.

-MA FICTION EST CLASSÉ 6 EME DANS LA CATÉGORIE ROMANS D'ADOS, MERDE... J'EN REVIENS PAS. JE SUIS SOUS LE CHOQUE.

A plus mes coco


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