Médias : Charles et yeux de...

Précédant :

Elle me regarde avec des yeux vitraux et je comprend qu'elle est sur le bord de pleurer, mais elle se retient, renifle, puis la choses la plus belle de monde se produit pour son anniversaire, le sons le plus agréable qui va surement lui redonner le sourire et l'envie de tourner la page se produit...

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~PDV Aria~

Je me retourne pour croiser le regard de Dylan qui vient de murmurer mon nom faiblement, ses yeux son mi-clos et il me regarde comme si un de sais cauchemar venait de se finir et qu'il était enfin libre. Mon cœur recommence à battre, une chaleur prend possession de tout mon cœur, je frémis juste a l'entente de sa voix. Ses fou tout se qui a changer depuis que je suis déménager...

Bref, je ressent une de ses émotions quand son regard est dans le mis, comme des millions d'artifices qui exploses en moi, s'en n'est presque douloureux tellement il se tord.

-Dylan- Aria...

Sa voix est faible, terriblement faible. Il lâche cette phrase comme un souffle, comme un dernier soupir et la je commence a m'inquiéter sérieusement. Ses yeux recommence à se refermer petit à petit et mon cœur commence à s'affoler, genre crise cardiaque. Tu vois le genre.

-Moi- Dylan... Dylan, Dylan, Dylan répétai-je en le secouant légèrement, mais pas trop parce qu'il est dans un état de "fragilité". Je commence sérieusement à paniquer et à perde mon sang froid. Je ne veux pas le perde, pas encore. Je ne veux pas qu'il retombe dans le sommeil, mais d'après le sont état, ses yeux et son corps, ses se qu'il va faire ou du moins ses se que je pensais, car le bruit que je redoutais le plus se fit entendre et me déchira deux fois plus le cœur.

Vous savez, le "Bip" incessant qui se répète continuellement signalant que le cœur du patient ne bat plus et que d'ici quelque minutes si nous ne fessons rien, il cessera de battre pour toujours et bien ses se bruit et je l'aime pas du tout, je le déteste, je le hais, il me terrifie.

-Moi- Non, non, non, non, non... C'est pas possible putain ! DYLAN !

Tout à coup un médecin et quelque infirmière débarque dans la chambre et nous disent de sortir se que je ne fait pas, mais Ashley me force à sortir. Je me débat comme une digue, mais pas jusqu'au point de lui péter la gueule non plus. Elle réussis finalement à me sortir de la pièce péniblement et me plaque contre un mur.

-Ash- Aria ! Putain, reprend toi, tes plus forte que sa. Allez, il va s'en sortir, je...

À partir de se moment là, je ne l'écoute plus, je ne fait que me débattre et n'entend plus rien. Je suis dans ma bulle, mon monde.

Je retourne à la réalité quand je me fait gifler et oui, Ashley a oser me gifler putain.

-Moi- Non, mais oh ! Qu'est-ce qui te prend de me gifler comme ça ? Sa va pas la tête ? Tu veux que je te trucide ou quoi ?

-Ash- Désoler Aria, mais il fallait que je te sorte de t'a transes parce que sa devenais grave là. On aurait dit que tu étais posséder je te jure.

Je grogna de mécontentement et pour votre info, c'était vraiment pas chic et féminin mon affaire : ). Je me laissa glisser par terre et ramena mes jambes à ma poitrine. J'encercla mes bras autour de ceux-ci et mis ma tête au creux de celle-ci.

Pour un anniversaire ses pas la fête je doit dire...

Je sentit une présence s'assirent à coter de moi et devina que c'était Ashley bien évidemment.

-Ashley- Je suppose que je devrai appeler les autres pour leur dirent que... Que nous allons annuler le party du à l'état de Dylan et que...

-Moi- Oui. Je reste ici.

Elle souffla de tristesse et de peines. Avant quel ne disent quelque chose de plus je rajouta :

-Moi- Ses bon Ashley, on se reprendra dit-je dans un soupir.

Elle me toisa sceptiquement du regard d'un air pas sur du tout.

-Moi- Je t'assure que je vais bien Ash, ses juste que... Pour une fête, ses pas très jovial. Quand c'est t'a fête, ses supposé être l'une des plus belle journée de l'année, mais moi ses comme une des pires... Tu comprend ?

Elle souffla une seconde fois, me regardant avec un regard remplit de compassion - comme si j'en avait besoin me dit-je ironiquement- et encercla ses bars autour de me corps en signe de réconfort.

-Ash- Je sais. Allez, repose-toi, je vais te réveiller si on n'a des nouvelles, ok ?

J'hoche la tête encore et ferme les yeux. Sa ne prend pas beaucoup de t'en que le sommeil m'emporte dans le monde des... Pas des rêve, mais des cauchemars...

-Éclipse de 4 mois-

Mon dieu, j'en peut plus... Sa fait six mois qu'il est dans se foutu comas et son état ses aggraver quand il a ouvert les yeux le jour de ma fête. Il était au stade 2 du comas, mais la il en est au 3 et sa me fait peur si sa continue d'évoluer comme sa il ne va dépende que des machine pour respirer. Il ne réagit plus au stimuli douloureux et se n'est vraiment pas bon signe.

L'électroencéphalogramme - machine qui montre le rythme du cœur - montre un rythme plus ou moins ralenti. Il faut vraiment qu'il se réveille bientôt, il me manque...

Le jour de ma fête, le docteur nous a dit que quand qu'il c'était réveiller de son hypersomnie, son corps n'avait pas pu le supporter, se qui avait causer quelque problème d'ont il ne voulait pas me faire par, mais il m'a tout de même assurer que tout allais s'arranger et que pour l'instant, il n'avait aucune lésion cérébral se qui était un miracle selon lui.

Malgré tout se qui se passe, je continue mes études en médecine. Je sais que ses dur de percer dans se métier, mais je suis persuader que j'en suis capable. Ses un gros défi, mais j'adore les défis !

Je vais toujours voir Dylan chaque jour et son état me brise toujours autant le cœur...

Il est 18h30 et je viens de finir mon dernier cours à la fac... Ah oui, j'ai oublier de vous dire. J'avais envoyer une lettre de demande pour plusieurs université et j'ai finalement choisi " State University of New York ". Elle est assez réputer et pas très loin de chez moi.

J'ai eu mon diplôme avec brio, tout comme Ashley et le reste du groupe. Dylan n'a pas pu le recevoir à cause qu'il est encore dans se foutu comas de merde... Zen Aria... Reste Zen putain de merde !!!!

Enfin bref, vous comprenez que mon état d'esprit ne pette pas le feu et la joie. Son état dégrade mon état mentale de jour en jour, sa me ronge comme pas possible et sa fait un mal de chien si vous voulez savoir. Vous savez quand vous ressentez un vide en vous, comme si il vous manquais quelque chose et que vous n'êtes pas capable de le comblé et bien ses sa que je ressent.

Ont est en début septembre et je suis en pleins milieu de mon trimestre. Je fait mon premier cycle dans se domaine parce que pour devenir médecin, il faut en faire deux. Sa dure 4 ou 5 ans, selon le rythme choisi par la personne, le programme de doctorat de 1er cycle se divise en 2 étapes : le préexternat et l'externat. Le préexternat se déroule principalement sur le campus universitaire. L'externat se passe majoritairement dans les établissements de santé... Enfin bref, ses compliquer. Je ne vais pas tout vous expliquez parce que sa prendrais le reste de la journée.

Je suis soulager, car ses les vacances et que je vais pouvoir me détendre un peu. Du moins, le plus que je vais être capable de faire. Mon comportement est toujours aussi froid envers les gens, mais s'améliore de jour en jour. Je suis de plus en plus sociale avec les gens, je leurs sourie même parfois en guise de salutations et ses un exploit venant de ma par. De toute façons, il faut bien que je le devienne, car si je veux devenir médecin, il faut que je le sois.

Revenons au moment présent si vous voulez bien, car là je trouve que je commence à radoter comme une grand-mère et ses pas super, super ça. Je suis assez crever de ma journée, le prof d'anatomie humaine est vraiment chiant. Je suis rester assis pendant trois heures et 34 minutes exactement a l'entendre parlez de si et de sa... Le pire ses que la moitiés de son temps, il divaguait sur un sujet "no-air". Une chance que j'ai pris de l'avance, car sinon je serais totalement perdu...

Je sort du bâtiment totalement exténuez et prend mes clés de voiture quand tout à coup quelqu'un m'interpelle alors je me retourne et vois Charles Casting un gars dans ma classe un peu trop collant si vous voulez mon avis, mais je m'efforce de rester polie, car si je ne le réussi pas avec lui et bien comment ferai-je avec une dizaines, voir même une vingtaine et plus de personne par jour qui risque de me tapé tout aussi sur le système ? Voilà la question mesdames et messieurs.

-Moi- Oh, salut Charles dit-je le plus amicalement possible.

Comme vous pouvez le constatez, ma relations avec les garçons est quelque peut moins froide...

-Charles- Salut Aria dit-il avec un ton enjouer, trop enjouer à mon goût. Je me demandais si sa te dirait un restaurent un de ses jour avec moi ou un ciné ou peut impo...

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase que je le coupas tout de suite.

-Moi- Je suis vraiment désoler Charles, mais je te l'ai déjà dit, j'ai un petit ami, un vie compliqué et pleins d'autres truc qui ne son pas pour toi alors rentre chez toi et arrête de me coller.

Mais comme je le pensais monsieur je-suis-collant insiste encore et je décline encore une fois.

-Charles- Allez Aria, juste un rendez-vous après je te lâche. Tu devrai apprendre à me connaître, je suis un gars super sympas -Super collant aussi me dit-je- et tu va bien t'amuser avec moi.

-Moi- Encore une fois Charles ses non. Je suis fidèle et rein ne me ferais changer d'avis dit-je un peut plus durement.

-Charles- Allez, il est dans le comas, il en risque pas de le remarquez ou de le savoir un jour si tu ne lui dit pas et je suis sur que je ne te laisse pas indifférente à mon charmes naturelle dit-il avec un sourire qui se voulais charmeur selon lui, mais moi tout se dont j'avais el goût état de lui arranger le portrait.

Un jour, quand on discutait, je lui avait dit que mon petit copain et j'avais bien sur insister sur le mot "petit copain" pour qu'il comprenne que j'était prise et qu'il me lâche, qu'il était à l'hôpital et que j'étais prise, mais non, depuis se jour il n'arrête pas de me faire du chantage avec ça et sa commence à sérieusement me foutre la rage. Ont dirait qu'il fait par exprès, comme si il attendais le moindre faut pas de ma par pour me sauter dessus et en finir avec moi.

-Moi- Ne redit plus jamais sa pu... Redit plus jamais sa ok.

-Charles- Non, mais ses jusque je...

Il n'eu -encore- pas le temps de finir sa phrase que mon téléphone sonna et je me dépêcha de répondre pour me sauvez de cette situation qui commence sérieusement à me faire péter les plombs. Comme on dit, " sauvez par le gong ".

Donc, je décrocha rapidement et bafouilla un rapide allo.

-?- Bonjour mademoiselle Hamilton, désoler de vous dérangez, je suis le docteur qui suis en charge de votre petit ami et...

-Moi- Il va bien ? Qu'Est-ce qui se passe dit-je en commençant à légèrement paniquez. Je deviens folle je vous jure. On ne ses jamais, peut-être qu'il est mort et que le docteur m'appelle pour m'annoncer cette tragédie...

À cette penser, je me fige bien raide et mon cœur commence à sérieusement s'affoler.

-Docteur- Hum... Ses justement pour sa que je vous appelle madame Hamilton, il c'est...

-Moi- Il c'est... dit-je avec une vois légèrement tremblotante appréhendant une bonne nouvelle ou une mauvaise.

-Docteur- Il c'est réveiller madame, sa fait plus de quelque heure. Je suis vraiment désoler de ne pas vous avoir appelez avant, mais nous devions passer de nombreux teste et je n'était pas sur que sa serait très plaisant pour vous de manquer des cours pour rien.

Mon cœur a cesser de battre pendant quelque seconde... Il est vivant, il ses réveiller bon dieu de merde. Ses comme si je respirais normalement à nouveaux, comme un énorme poids d'enlever de dessus mes épaules et j'en suis soulager. Le docteur reprend :

-Docteur- Il n'arrête pas de vous demander madame, depuis qu'il ses réveiller. D'après les scanners, les prises sanguines, et les radiaux graphie, votre copain est en très bonne vois de rétablissement. Je suis très étonner à cause de son long comas, il ne semble pas avoir de perte de mémoire, mais sa serai important que durant les mois avenir qu'il se tiennes dans des endroit familier avec des personnes familière aussi...

-Moi- Hum... Oui, oui. J'arrive dit-je à la hâte de revoir Dylan.

Je ne salut même pas Charles, monte dans ma Lamborghini et par en furie direction l'hôpital.

Fin de se chapitre, j'espère que vous êtes contente, Dylan ses enfin réveiller. Votez et Abonner vous a moi, commentez aussi, sa me fait plaisir d'entendre des commentaire constructif.

A plus mes coco