Médias : Aria dans un lit d'hôpital

Précédant :

Et après se "fabuleux discours" plusieurs infirmiers prirent en charge Dylan, le déposèrent sur une civière et le transportèrent rapidement je ne sais où. D'autre infirmiers nous prirent en charge, je regardais autour de moi et je vue Sky et Jacob, à mon plus grand soulagement il jouait la comédie. Attendais, je vais vous expliqué. Pendant ses interminable dix minutes dans l'auto nous nous étions monté un scénario et nous devions nous en tenir sur sa pour que tout concorde quand les policier vous venir pour avoir une déposition ou je ne sais quoi d'autre.

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~PDV Dylan~

Je crois que je me suis évanouie... Je ne sais plus où. Aria à pris ma main, me disait de rester éveiller, de rester conscient, de se concentrer sur sa voix et ses se que j'ai fait, mais quand nous sommes arriver dans l'hôpital, il y avait des t'à de bruits.

Il y avait des enfants qui pleurais, des bruits de personnes qui fessait les cent pas surement parce qu'il y avait un de leurs membres de famille dans un état critique, d'autre qui te critiquais pour passé le temps du à leur mauvaise journée et pleins d'autre truc d'ont je ne voulais rien savoir.

Jacob me portais vers je ne sais où, je me sentis déposé sur quelque chose de moelleux, puis des voix me demandant si je les attendaient... À partir de là, tout deviens flou et se fut le trou noir complet.

Je sombrais et sombrait dans un endroit très sombre. Je voulais me battre, sortir de là, mais je n'avais plus de force, j'était à bout, je voulais lâchez prise, me laissez allez, quitté se monde merdique et en partir vers un meilleur, mais je ne pouvais pas, il fallait que je me batte... Comme toujours. Pour Jacob, pour Skylar, pour ma famille, mais surtout pour Aria.

Ses assez surprenant qu'une personne, qui en passant est une fille, est prit autant de place dans mon cœur en si peut de temps. Je... Ses assez dur à dire, mais... Mais je croie que j'aimerait faire ma vie avec elle... Je sais, je sais ses un peu trop vite, même beaucoup, mais je ne croit pas que je ferait ma vie avec quelqu'un d'autre...

Je vous explique. Dans le premier des cas, si entre moi et Aria sa ne marcherais pas par tout hasard, je crois que je ne me remettrais plus jamais en couple de ma vie par peur de me faire briser le cœur pour une troisième fois dans ma minuscule vie et oui, vous avez bien lu, si Aria me quitterais pour un autre - se qui m'étonnerais en passant vu sa résistance aux garçons- ou je ne sais qu'elle raison, j'aurais vraiment le cœur briser en mille miette, déchiqueter, broyer, réduit en cendre, je pense que sa serais bien plus pire que mon histoire avec Émily...

Je crois que sa serait la même chose pour Aria si les situation serait inverser - se que je ne ferait jamais en passant -, sauf qu'elle aurait bien plus besoin de s'exprimer que moi, du genre... Faire une tuerie en abattant pleins de garçons, hommes, qui pourrisse la société ou peut importe... Vous comprenez le genre qu'elle ferait...

Moi, je serait plus du genre à coucher de droite à gauche pour oublier la douleur et pêter un câble pour rien et surement refaire le portrait à des gars que je ne connaît pas, qui ont rien fait, mais sa me ferait pensez à autre chose, sa me ferait oublier la douleur intérieur et la remplacerait par une douleur physique et non mentale...

- Wow, vachement mieux qu'Aria dit donc... Ah et ses sarcastique en passant dit ma fameuse conscience...

- Tes encore là toi ? Je croyais que tu avais disparue... Puis... Ont s'en fou, je suis surement entrain de mourir à cette heure ci alors ont s'en fou carrément...

- Super, monsieur disait au début qu'il devait se battre pour sa famille et Aria et maintenant il s'en fou de mourir ? Aria avait raison... tu est un putain de bipolaire mec...

- Super, merci de ton soutien conscience...

- Ses toujours un plaisir ! Non, mais tes vraiment sérieux là ? Allez ! Secoue-toi un peu voyions. Bat-toi, fait quelque chose, mais ne reste pas comme sa à ruminer comme ca sur ton sort et à t'en foutre. Je veux pas mourir moi, j'aime bien t'emmerder moi.

- Cool, sa me donne encore plus envie de me battre pour vivre ton discours... Mais tu à raison...

- J'ai toujours raison dit ma conscience fièrement.

- Hum... Non, pas vraiment...

- Si

- Non, bref, il faut que je me sorte de là, ses le principale.

Bon... Comment je me sort de là ? Je suis surement entre la vie et la mort sur une table d'opération avec un médecin et je ne sais combien d'infirmer et infirmière alors...

~PDV Aria~

Je suis partit prendre des radiographie un peu plutôt et je suis présentement sur un lit d'hôpital entrain de me faire soigner par un infirmier qui n'arrête pas de me mater et sa m'énerve, j'ai le goût de lui foutre mon poing sur le gueule - quel surprise, notez l'ironie dans cette phrase - à cette adolescent en chaleur pleins d'hormones et de testostérones qui ne cherche que la première fille qui acceptera de coucher avec lui pour le dépuceler.

Qu'elle con celui-là, une chance qu'un docteur viens d'entrer dans la pièce, car je pense que sa aurait mal fini pour lui malgré mes blessures qui me font affreusement mal... en parlent de sa, sa fait un mal de chien, la drogue dans mon corps ses dissiper et l'adrénaline est redescendue alors je ressent la douleur à sont maximum.

Je sort dans mes pensez par le docteur qui m'interpelle. Je relève la tête pour le regarder et constate avec soulagement qu'il est âgé dans la quarantaines...

-Docteur- Bonjour mademoiselle... ?

-Moi- Hamilton.

-Docteur- Bien, alors bonjour mademoiselle Hamilton, je suis le docteur. Graveman et je vais être celui qui va vous prendre en charge pour votre séjour ici et qui s'occupera de vous.

-Moi- Séjour ?

-Dr. Graveman- Oui, vous avez plusieurs os de déplacer, quelque côtes casés, plusieurs hématomes, des plait profonde qui on endommager vos nerf et quelque muscle plus une commotions cérébrale alors vous allez rester un petit bout de temps ici mademoiselle. Je ne sais pas comment vous vous êtes fait sa et j'ai la forte conviction que quand je vais le découvrir je vais être désoler pour vous ?

-Moi- Pourquoi seriez-vous désoler ?

-Dr. Graveman- Parce qu'une jeune fille comme vous ne mérite pas sa, vous avez toute la vie devant vous et vous subissez déjà ses inconvénients et je vous pleins jeune fille, j'espère que cela ne vous arrivera plus jamais.

-Moi- Oui répondit-je sur un ton neutre et sans conviction.

-Dr. Graveman- La police ne devrait pas tardez, pendant se temps, je vais vous faire une prise sang si cela ne vous dérange pas pour voir si vous ne faite pas de filebytes ou autre.

J'hocha la tête pour toute réponse et il sortit tout se d'ont il avait besoins pour faire la prise de sang.

3 heure plus tard, la police était passé, je leurs avais racontez se qu'ont n'avait convenue avec Jacob et Skylar, ils ont eu l'air de nous avoir tous crus. Je croit qu'ont devrait s'en sortir avec eu. Le Dr. Graveman avait fait sa prise de sang, il avait sogner le reste de mes blessures, m'avait mit un bandage autour de la tête, mit du bandage autour de mes côtes, pensez toute mes blessures, donnez des antis-douleur et de la morphine.

Je commençais à être fatiguer et je n'avais aucune nouvelle de Jacob et Skylar alors je m'inquiétais pour eux.

-Moi- Dr. Graveman ?

-Dr. Graveman- Oui ?

-Moi- Est-ce que vous savez si mes amis vont bien ?

-Dr. Graveman- Hum... dit-il en réfléchissant. Vous parlez des deux jeunes hommes et de la jeune fille qui était avec vous ?

-Moi- Oui.

-Dr. Graveman- Hum... Et bien... Le jeunes homme qui transportais ton amis et la jeunes fille vont bien, il n'avait que de petites blessures superficielles qui se soigne facilement, mais...

-Moi- Mais ? dit-je anxieuse parce qu'il allait parler de l'état de Dylan.

-Dr. Graveman- Mais je crains que ton autre amis n'en sorte pas aussi idem que les autres. Il a fait une hémorragie interne, il a plusieurs contusion interne aussi, des hématomes, il a aussi plusieurs plait qui se sont infecter alors sa à été dur à soigné et aussi une fracture interne à sont avant-bras blesser où une balle ses loger...

-Moi- Fracture interne ? C'est quoi ? Dit-je en commençant à paniqué, au fur et à mesure qu'il récitait toute ses blessures, je commençais à paniqué de plus en plus. Est-ce qu'il était toujours vivant au moins ? J'en ses rien et je pense que ses qu'est-ce qu'il me terrifie le plus. Je ne voulait pas le perdre, pas maintenant, pas tout de suite, je viens de commencer à trouver un peu de joie dans ma vie et de sérénité et il faut qu'ont me l'enlève ? La vie est injuste !

-Dr. Graveman- Oui, une fracture de l'avant-bras sont lorsque les os principaux de l'avant-bras, le radius ou le cubitus, voire les deux sont cassés. Le cubitus est l'os qui relie bras et avant-bras. Sa tête est l'os que l'on sent lorsqu'on plie le coude. Le radius, lui, fait le lien entre l'avant-bras et la main. Ces deux os sont par conséquent importants et leur bon fonctionnement est essentiel aux mouvements effectués par le bras.

-Moi- Ah... Alors... Est-ce qu'il est toujours en vie ? dit-je plus qu'anxieuse, mon rythme cardiaque battait à plus de cent à l'heure tellement j'était stresser, je prit intérieurement pour qu'il sois en vie et qu'il n'est pas de séquelle permanente. Je ne veux pas qu'il meurt pas seulement parce que je l'aime, mais aussi parce que sa voudrait dire que je serait la cause de sa mort et je ne veut pas avoir sa mort sur la conscience, je ne le supporterait pas... Jamais je ne le supporterait si cela arrivais.

Mon sang pulsais de plus en plus dans mes tempes en appréhendant sa réponse et mes mains commençais à trembler légèrement, ma respiration devenait saccader et je commençais à avoir de la misère à respirer correctement, car je retenais mon souffle. Je ne voulais pas qu'il me confirme mes soupçons, sa voulais quasiment dire que si sa vie n'était plus présente dans se monde que la mienne ne le serais plus non plus...

-Dr. Graveman- Oui...- Je soufflait un bon coup, soulager de sa réponse, mais appréhendant toujours ses séquelles, blessures et autres - il est présentement endormie dans la chambre à côté de la tienne, l'interventions à été très dur selon le médecin qui là pris en charge et selon lui, ses un miracle que la balle dans son abdomen n'est pas touché un organes vitaux. Il a eu vraiment beaucoup de chance, j'espère qu'il se rétablira vite...

-Moi- Pouvez-vous m'amenez le voir s'il vous plait ?

-Dr. Graveman- Je suis désoler, mais je ne peut pas, vous êtes blesser et...

-Moi- Mes je m'en contre fou de mes blessures dit-je en commençant à m'énerver, je veux le voir vous comprenez, ses mon petit ami, j'ai besoins de le voir, de m'assurer qu'il est bien vivant, que son cœur respire, qu'il pourra de nouveaux me dire comment je compte pour lui, que tout se que nous avons vécu est enfin fini et que nous pourrons enfin reprendre une vie normal sans tout ses problème... J'en est besoins, je vous en prit monsieur... Imaginez que sa soit votre femme, enfin, je suppose que vous en avez une, qui sois dans se lit d'hôpital, dans la pièce d'à côté, qui ses fait attaqué par un gang et que vous apprenez qu'elle viens de passé entre la vie et la mort et que vous ne pouvez même pas la voir ! Imaginez-vous à ma place !

Il me regarda quelque instant après mon "discours" et lâcha finalement après de longues minutes d'attente :

-Dr. Graveman- Ses d'accord, mais vous y allez en chaise roulante et ses moi qui vais vous y conduire pour m'assurer que tout ira bien. D'accord ?

-Moi- D'accord répondit-je sans hésiter une seul seconde.

Il partit chercher une chaise roulante et reviens quelque minutes plus tard avec ceci dans ses mains. Il là déplia, l'ouvris, s'approcha de moi, me souleva légèrement et me déposa dedans.

Une fois rendu devant sa porte, il l'ouvrit, me poussa à l'intérieur et ses la que je le découvris, allonger de tout son long sur se lit, blanc comme un linge, un plâtre au bras, enrouler dans les couvertures avec plusieurs machine brancher à lui et avec le bruit du "bip" régulier qui me confirma qu'il était belle et bien en vie. Cette dernière conclusion fit redescendre la pression, le stresse, l'angoisse, la peur d'un seul coup pour laissez place au soulagement...

Le docteur me dit qu'il allait revenir me chercher dans une quinzaine de minutes parce qu'il avait une urgence avec un autre patient alors j'hocha la tête et me retourna pour contempler Dylan dans toute sa splendeur malgré le fait qu'il sois pâle comme un linge, habiller d'une simple chemise d'hôpital, il restait tout de même beau.

Tout à coup, j'entendit un bruit derrière moi alors je me retourna pensant que c'était le Docteur. Graveman, mais chassa vite cette hypothèse, car sa ne fessait même cinq minutes qu'il état partit alors je fronça les sourcils et une fois retournez un grand sourire apparue sur mes lèvre, mais il disparues bien vite quand je vie la personne derrière lui... Burner. Je ne pue contenir mon crie d'horreur, de chagrin, de tristesse, de colère, de peur quand j'entendit le bruit qui avait faillit faire mourir mon amant coucher à côté de moi... Un coup de feu, mais pas n'importe où...

Fin de se chapitre, j'espère que vous avez aimez. Je vais faire mon possible pour une suite le plus vite possible.

A plus mes coco