la beauté givrée doit être mien pt.2

Wei WuXian n'a pas lâché l'affaire depuis sa première confession rien de plus ordinaire. Mais dans ses dires il y a bien quelque chose qui a changé, il était sincère. Parce que au file du temps, ce visage givré s'avérait faire surgir des sentiments incontrôlables pour lui. Wei WuXian n'a jamais eus honte de ses actes ou de ses dires alors lorsque l'occasion se présentait à lui il ne se gênait pas à suivre son compagnon de chasse nocturne lui révélant ses sentiments mot à mot sans recevoir de réponse de la part de ce dernier.

***

Les deux cultivateurs ont descendus la montagne désormais silencieuse, la brume noir s'est dissipée maintenant que le mal a été neutralisé. Wei WuXian jouait avec sa flûte entre ses doigts toujours avec son sourire espiègle colé aux lèvres. Mais rapidement l'ennuie le titilla.

- Lan Zhan, on est au milieu de nul part sans haut ni de quoi manger, cette aventure m'a donné faim et soif je ne peux plus tenir.

- Tais-toi t'auras moins faim.

- Comment est-ce possible? On m'a dit que quand tu as faim il est recommandé de faire des activités sinon en restant silencieux tu vas ressentir encore plus la faim. Je me suis occupé comme je peux depuis le debut mais c'est pas facile surtout quand on voyage avec toi, Lan zhan, tu es tellement ennuyeux c'est trop triste.

Lan Wangji s'est arrêté regardant net devant lui. Wei WuXian fière de son cou sourit en coin.

- Je ne t'ai pas invité.

- Je sais. Mais je suis un homme, un gentleman qui plus et en tant que tel je ne peux pas me permettre de laisser ma femme aller où il veut sans être à ses côtés. C'est contraire à mes principes.

Lan Wangji serra fort la monture de son épée avant de déglutir à ces mots.

Wei WuXian reprit:

- Si les autres le font, pourquoi je devrais sortir du lot ? Et puis, je veux être le plus proche de toi que possible ( Son interlocuteur le balaya d'un regard froid qui le fit reculer d'un pas, mais il continua tout de même en pointant ce dernier de sa flûte) rejettes-moi tant que tu veux, je ne tiens pas à ma dignité si c'est pour toi. J'ai l'intention de te faire comprendre mes sincères sentiments, de changer l'opinion que tu as de moi et lorsque ce moment sera venu, je te demanderais en mariage comme il se doit d'être, qu'en penses-tu ?

- Récalcitrant, fit Lan Wangji en balançant les manches de ses robes dans son dos, il reprit ensuite sa marche effréné.

- Hé comment ça ? Je suis sincère !

Ils ont repris la route descendant la montagne avec pour but de retourner à GusuLan. Ils ont fait un tours rapide à la ville de CaiYi, Wei WuXian adorait cette ville, à l'opposé de GusuLan ici les femmes s'étalaient aux rebord du lac BiLing tel des poissons frais que l'on venient de pêcher; elles étaient souriantes et de toutes beautés, chantaient ou dansaient. Certaines parlait le Wu, le dialecte de GusuLan fortement connu et apprécié dans la région où il n'y régnait que prospérité constance, lorsque les bateaux s'enchoquaient ou que des jarres de vin se brisaient, les disputes sonnaient comme des gazouillis de l'oriole, Wei WuXian était surpris par cela à chaque fois qu'il venait ici, car les gens de Gusu eux étaient complètement différents de ceux aux pieds de la montagne. Cette consultation le fit rire aux éclats, il virvolta la tête vers son partenaire de chasse, les larmes en coins des yeux, il s'assied outrageusement.

Lan Zhan, c'est vraiment drôle tu ne trouves pas?

Quoi ?

Les gens ici s'expriment de manière douce même lorsqu'il sont en colère il est difficile de les cerner, sont-ils furieux ou parlent-ils contrairement à vous de Gusu qui êtes dotés d'un sérieux qui fairait peur à un cadavre ambulant. À Yunmeng quand il y a une dispute qui éclate les gens ont peur de la mort !

Lan WangJi se mur dans le silence sans lui lancer un regard, il tira les lèvres en arrière peu ravie d'être ignoré par l'amour de sa vie jusqu'à ce qu'un sourire malicieux ne teinte les coins de ses lèvres, rapidement il se tourna vers un groupe de filles vendant des nèfles.

Les deux partenaires se tenaient dans un bateau, Lan WangJi était devant, le regard droit et impénétrable semblant l'air inébranlable face au ridicule de Wei WuXian, ce dernier commença même déjà à fleurter avec les filles commerçantes qui lui proposaient gentillement des nèfles sans de pièces en retours en raison de sa gentillesse mais aussi de sa beauté. Alors que le bateau avançait plus loin, Wei WuXian se hâta de demander aux filles:

Dîtes les gentilles Demoiselles, comment trouvez-vous ce jeune homme ? Wei WuXian pointa la silhouette immaculée à ses côtés le sourire aux lèvres.

Il est tout aussi beau que vous jeune maître.

Enthousiaste par la tournure des choses, Wei WuXian se leva sur ses deux jambes faisant légèrement tanguer le bateau.

Comment vous nous trouvez-vous ensemble ?

C'est un combo que nul ne pourrait battre jeune maître.

Oh vous nous flattez jolies Demoiselles, votre gentillesse me va droit au cœur.

Haha Haha.

Pensez-vous que nous ferons une bonne union ?

Ne serait-ce pas un couple fait par les cieux? se demandèrent-elles entre elles. Elles ont alors adjugés la question puis on données la même réponse, le bateau s'est alors éloigné du groupe de filles alors Wei WuXian profita pour leur laisser un dernier salut de la main.

Merci beaucoup jolies demoiselle !

Ne soyez pas si poli ! Vous êtes bien trop beau !

Merci ! Vous êtes aussi toutes belles je vous souhaite de trouver de bons maris !

Elles ont glousser flatté par ces dires. Wei WuXian regardait la rue marchande disparaître peu à peu, ça le fit soupirer.

C'est triste de savoir que nombreux choses ne durent pas éternellement. Mais c'est toujours un plaisir d'entendre le dialecte Wu. Hé Lan Zhan ( Wei WuXian se tourna vers ce dernier qui lui donnait toujours son dos ) Sais-tu parler le dialecte de Gusu? J'aimerais t'entendre me dire quelque chose. Complimentes-moi comme ces filles !

Mais leur bateau est arrivé à destination des pieds de la montagne, Lan WangJi n'attendit pas une seconde de plus pour descendre mais avant cela, le ton de sa voix baissa dans les octaves alors qu'il dit:

Pathétique.

Les yeux de Wei WuXian s'est écarquillés, durant un court instant il crû que ses oreilles avaient cessés de fonctionner, il a rapidement rejoint Lan WangJi qui se pressait déjà loin devant lui.

Lan Zhan tu as dis quelque chose ! Je ne l'ai pas entendu répètes un peu pour l'homme sourd que je suis.

Le visage de Lan WangJi retrouva ses couleurs d'avant comme si rien ne s'était passé, Wei WuXian lui tournait autours en répétant les mêmes mots le sourire aux lèvres, ses yeux grisés scintillaient tel des diamants exposé au clair de lune.

Tiens-toi tranquille, fit Lan WangJi, terne.

Wei WuXian cessa ses taquineries en boudant.

J'aurais dû m'en douter. T'es pas assez courageux de le dire plus fort c'est ça ?

Lan WangJi le regarda d'un air dépité par ces absurdités. Bien que au fond ce fût vraiment le cas.

Ça sonnait pourtant bien quand tu l'a dis, mais j'aurais préféré que tu utilises un autre mot que celui-là. Comme par exemple que je suis beau, je suis talentueux, je suis un homme juste et bon qui-

Tiens-toi tranquille.

Le silence de Wei WuXian ne fût que de courte durée après avoir été radicalement coupé par la voix douce de Lan WangJi, y a pas à dire; le dialogue Wu sonnait plus doux et majestueux de la bouche de Lan WangJi, il y avait pas plus belles mélodies pour les oreilles.

Comment on dit aimer dans ton dialecte ?

Lan WangJi ne dit rien, sans se décourager il continua:

Manger ! Dormir ! Chasser ! Faire pipi ! Caca ! Ou alors ( Il se tourna vers Lan WangJi suivant son rythme ) Faire l'amour.

Présomptueux !

Wei WuXian éclata de rire alors que le visage de Lan WangJi était rouge de colère sur le point de laisser Bichen son épée se dégainer seule afin de donner une leçon à ce garçon sans aucun tacte.

Regardes comme tu es tout rouge s'en ai réellement hilarant tu réagis comme une fille vierge qui voit son fiancé pour la première fois.

Wei Ying ! Quel genre de personne es-tu ?

Un homme ! Je suis un homme ni plus ou moins, Un homme avec des rêves et des désirs comme tout autres.

– Silence !

– Et tu es celui que je désire le plus.

Lan WangJi avant anticipé cette phrase alors il avait tenté de faire taire cette bouche avant quil n'en sorte que des conneries mais Wei WuXian était inarrêtable lorsqu'il s'y mettait. Lan WangJi balaya la forêt du regard dans le but de fuir celui de son partenaire qui marchant à reculant devant lui, Wei WuXian croisa ses bras sans le quitter des yeux, et pour la première fois depuis le debut du voyage, ses traits devinrent plus dur, plus vertueux.

– Même si tu as l'intention de me faire taire, moi je n'ai pas l'intention d'abandonner alors cherches-toi autant de raisons que tu veux afin de t'éloigner de moi, ( Wei WuXian pointa ChenQing en sa direction) tu ne pas te débarrasser aussi facilement de moi. Je ne partirais que quand tu diras enfin oui. Cela me vient donc à l'esprit, je t'imagines souvent en robe rouge tout éclatante, brodée par des maîtres, tu serais tour tout beau, le continent entier serait jaloux de ta beauté mais dommage pour tous tu m'appartiens.

Un pas de plus et Wei WuXian perdit l'équilibre de son corps, a peine se demanda-t-il ce qu'il se passait qu'il roulait dangereusement dans l'herbe vers un lieu inconnu, il entendit cependant Lan WangJi hurler son nom à travers les arbres hautes, mais impossible de s'agripper à quelque chose de solide, tout se brisait dans ses mains dès qu'il tentait d'amortir sa chute. Il écarquilla les yeux en se voyant approcher de ce qui ressemblait à une falaise, il entendit un tintement au-dessus de sa tête et ne fit pas surpris de voir Lan WangJi voler sur Bichen, ce dernier sortit un corde de la largueur d'un doigt avant de le lancer dans sa direction.

– Attrapes-la !

Wei WuXian n'eut de choix que de s'exécuter en attrapant la corde avant de la rouler autours de sa main, Lan Wangji disparut dans son champ de vision étant partit attaché le reste de la corde à un arbre, il était descendu de Bichen, l'épée à ensuite continuer le périple tout seul allant s'enfoncer au sol du rebord de la falaise, Wei WuXian se rattrapa de justesse à sa monture au moment où il allait tomber, le reste de son corps dans vide, sous ses pieds la vue donnait à une étendue dense de verdure séparée en deux par une rivière rocheuse, une chute était équivalente à une mort assurée. Il entendit des pas précipités, en levant la tête il ne fût surpris de voir Lan WangJi lui tendre la main, il sourit avant de la prendre et de regagner ses côtes, Bichen retourna dans son fourreau.

– Pourquoi n'es-tu jamais prudent !?

– Personne n'aurait penser que cela allait arriver.

– Et cette personne ne peut être que toi parce que tu es trop insouciant ! Et si tu étais tomber ?

– N'en faisons pas tout un plat. Et puis, tu es là, fit Wei WuXian le sourire aux lèvres, il ne peut rien m'arriver quand tu es à mes côtés.

Mais cette confession ne plus nullement à Lan WangJi qui ne savait se calmer.

– Je ne serais pas toujours là faudrait que tu y penses aussi.

– Sauf si tu m'acceptes.

– Ne fais pas le capricieux, Lan WangJi a presque hurlé méchamment comme un chien enragé.

Interloqué par sa réaction Wei Wuxian n'a pas hésité à répliquer.

– Je vais bien pourquoi tu t'énerves ainsi? C'est pas comme si je n'avais jamais vécu pire.

– Hmpf !

Lan WangJi tourna les talents et partis.

– Hé attends-moi ! Lan Zhan n'est-ce pas interdit de marcher vite selon les règles de GusuLan !

– Vas te faire foutre !

Énervé à son tours, Wei WuXian le rattrapa bien vite et saisi son poignet avant de le tourner dans sa direction.

– Qu'est-ce qui te prend au juste de parler ainsi ?

– Laisses partir !

– Non, tu dois d'abord me dire ce qui ne va pas avec toi.

Si il aurait pu, Wei WuXian aurait pu entendre les tremblements assommante du cœur de Lan WangJi. Ne recevant aucune réponse, Wei WuXian tenta de le faire réagir en tordant son poignet, mais d'un élan de lucidité Lan WangJi le suivit dans la cadence s'envolant presque, leurs yeux se sont alors rencontrer au moment où Wei WuXian jouait avec la manche de Lan WangJi le tournant autours de sa flûte, profitant de la position de Lan Wangji, il saisit ce dernier par la taille avant de le faire allonger dans l'herbe, il emprisonna ses bras au-dessus de sa tête.

– Dégages.

– Tu emploies encore ce langage peu recommandable à GusuLan, tu n'as pas peur que je le dise au vieux Lan QiRen?

Lan WangJi pivota la tête sur le côté, ils étaient désormais très proches l'un de l'autre leur visages séparés que de quelques millimètres à peine, c'est à ce moment que Wei WuXian pegçu nettement les battements frénétiques du cœur de Lan WangJi, il releva la tête, Lan Wangji n'avait plus l'air d'un homme qui venait de perdre sa femme, mais plutôt l'air d'un homme qui avait perdu le contrôle de soi-même. Ses cheveux traînaient sur le sol s'emmêlent avec les feuilles séchées, son ruban blanc à motifs de nuages sur les rebords des tempes pendait sur le, ses oreilles aussi rouge que Loropetalum. Le voir dans cet état titillait les sens de Wei WuXian, l'atmosphère avait changé, nul senteurs ne saurait égaler celle de l'homme au-dessous de lui, il avait toujours adoré l'odeur de Lan WangJi, des bois de sentals frais.

Tu es inconscient et sans vergogne, commença-t-il, il échangea ensuite leur position mettant alors Wei WuXian sous lui.

Mais encore ?

Tu fleurtes avec tour ce qui bouge alors que... alors que tu dis vouloir... Je-

Ça t'énerve ? murmura Wei WuXian levant sa main jusqu'à sa joue qu'il commençait délicatement à caresser, ce geste fit soupirer Lan WangJi. Leur jambes s'entremêlaient, leur souffles se touchaient et leur monde ne faisait qu'un avec l'autre.

Lan WangJi baissa la tête, afin de ne pas le brusquer et gâcher ce moment, Wei WuXian attrapa sa taille dans son bras encore libre le collant un peu plus doucement à lui, ils purent à ce moment-là sentir leur entrejambe se frotter dangereusement contre celui de l'autre. Mais Wei WuXian dû prendre sur lui afin de ne pas se transformer en une bête de chaleur. Le but était de mettre en confiance l'amant, et de le laisser doucement venir à lui.

Dîtes-moi Second Jeune Maître Lan, est-ce que ça vous met en colère que je fleurte avec les autres femmes.

Il y avait...

– Qu'est-ce donc ?

– Des hommes. Je l'ai vu.

– Comment est-ce possible? Tu es le seul homme que je vois.

– Tu les regardes longtemps.

– Pas plus que je ne le fais quand je te regarde.

Lan WangJi se mordit la lèvre inférieure, son cœur battait trop vite et il su qu'il venait déjà de perdre le contrôle de lui-même sans la possibilité de revenir en arrière. Toute la soustraction accumulée durant ces mois commençaient à se manifester comme un volcan qui se mettait en éruption.

– Hé. Je ne regardes que toi. Il n'y a que toi dans mon cœur Lan Zhan.

Aujourd'hui cette appellation dont il s'était habitué de la part de cet homme prenait une toute autre signification, c'était comme une confession intime entre eux. À chaque fois que les mots pendaient à ses lèvres, il trouvait toujours des raisons afin de les brouiller toutes pistes.

– Et puis d'ailleurs en toute honnêteté ces hommes ne sont pas de mon goût, moi je préfère ceux qui sont sculptés par la main divine et beau comme du jade que l'on vient de polir et... Ah !

Il n'eût le temps de finir sa phrase qu'il s'est mis à crier de douleur à tout va, Lan WangJi mordait le dos de son poignet avec une force intrépide. Mais il réussit tout de même à le dégager, son poignet était désormais rouge, la marque de dents fraîchement dessinée dessus avec quelques perles de sang dans chaque trou. Estomaqué, Wei WuXian le fusillait du regard.

– Pourquoi mords-tu ? Es-tu devenu un chien !?

Si il était énervé, l'expression que lui donnait Lan WangJi l'était encore plus, on aurait dit une avachalante qui va s'effondrer dans les secondes à suivre. C'était bien la première fois que Wei WuXian voyait Lan WangJi se comporter de manière aussi sauvage et déraisonnable. Il semblait fou et avoir été été mordue par un serpent venimeux, ses yeux lançaient des éclairs froids à en faire frissonner qui que ce soit e frayeur. Et puisqu'il était devenu déraisonnable, il agit selon tel collant violemment ses lèvres contre ceux de Wei WuXian après lui avoir croisé les poignets au-dessus de sa tête, dans cette même position il a retiré son ruban et menotté le cultivateur sous lui.
L'échange était si violente que Wei WuXian peinait à reprendre son souffle, Lan WangJi le maintenait captif avec une force terrifiante, il ne parvenait à trouver de traces de luciditées dans les actes précipités de ce dernier. La situation se dérobait complètement des mains, il pouvait sentir son corps être compressé comme si son adversaire était avide de le sentir plus proche de lui afin de l'anéantir complètement sans en laisser une miette, leur dents se claquaient, leur lèvres se frottaient. Soudainement, Wei WuXian a laissé un " Ah " douloureux sortir d'entre leurs bouches, il sentit un goût de fer rouillé dans sa bouche et par on ne sait quel miracle, il parvint à sauver son visage des grippes du dragon des glaces.

– Lan Zhan cesses de mordre et raisaisis-toi ! Où es donc passé ta conscience !? hurla Wei WuXian le souffle court, mais son ton cachait néanmoins un semblant d'excitation .

Son poitrine était à présent à d'écourter sûrement dû aux frottements de leurs corps qui a entraîné cela, Lan WangJi a touché sa peau, avant de la caresser, son dos s'est décollé du sol alarmé par le froid de ce toucher, il a même laissé un gémissement trahie l'excitation que produisait cet acte. Il a respirer fortement, sa poitrine se soulevait avec violence sur le point de se décoller, il a ensuite fermé les yeux en se mordant la lèvre inférieure, ses joues lançaient des coups de feux et de picotements incessants. Il a soupiré:

– Fais donc ce que bon te semble, j'ai pas l'impression d'être capable de t'arrêter.

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