Charles x Oscar


Le soleil se levait doucement sur le paddock de Monza, baignant le circuit d'une lumière dorée. Les garages étaient déjà en effervescence alors que les équipes préparaient les voitures pour les essais libres.

Oscar terminait son briefing avec son ingénieur. C'était sa première saison en Formule 1, et bien que les résultat aient été prometteurs, la pression ne cessait de monter. Cette journée à Monza serait dure et il le savait.

Alors qu'il sortait du garage, il aperçut une silhouette familière à quelques pas de là. Charles Leclerc, le pilote vedette de Ferrari, discutait avec un membre de son équipe. Depuis le début de la saison, Oscar avait observé Charles avec une admiration silencieuse. Le talent, le charisme, et la passion de Charles pour la course étaient évidents à chaque tour de piste.

Les regards des deux pilotes se croisèrent, et Charles esquissa un sourire en direction d'Oscar. L'australien ressentit une chaleur envahir son corps, un mélange de nervosité et d'excitation qu'il n'avait jamais ressenti auparavant. Ils ne s'étaient jamais vraiment parlé en dehors des conférence de presse, mais Oscar savais qu'il y avait quelque chose de spécial dans ce sourire.

Le week-end passa à une vitesse folle. Les qualifications furent un moment décisif. Oscar, plus déterminé que jamais, réussit à se placer en troisième position, juste derrière Charles. Leclerc, quant à lui, décrocha la pole position, comme on pouvait s'y attendre de la part du chouchou de Ferrari sur son circuit national, malgré les quelques erreurs niveau stratégies ces derniers temps

Le jour de la course, l'atmosphère était électrique. Monza était un circuit rapide, impitoyable, où chaque erreur se payait cher. Oscar se concentra intensément avant le départ, mais il ne pouvait s'empêcher de penser à Charles, à la manière dont il conduisait avec une fluidité et une grâce presque poétiques, et surtout à son visage, à son corps, à sa façon de marcher, de parler, à son odeur et à tout ce qui le concernait.

Le départ fut d'onze, et les moteurs rugirent ensemble. Oscar garda sa position, suivant Charles de près, essayant de trouver une faille dans la défense du Monégasque. Mais Charles était inébranlable (j'ai été chercher « synonyme de » su google pour ce mot). Les deux pilotes se livraient une bataille ardue, sans jamais se toucher, mais avec une intensité qui captivait les spectateurs du monde entier.

Dans le dernier tour, alors qu'ils se battaient pour la première place, Oscar trouva une opportunité dans la dernière courbe. Il se glissa à l'intérieur de Charles (oula chelou tout ça) mais les deux voitures se touchèrent légèrement, envoyant Charles hors de la piste. Piastri traversa la ligne d'arrivée en premier, mais il n'éprouva aucune joie. Il savait que l'incident serait examiné de près par les commissaires, et il s'en voulait à lui-même, ne voulant pas se fâcher avec un mec qui n'était même pas son ami.

Après la course, Oscar se dirigea immédiatement vers le garage Ferrari. Il trouva Charles, casque encore sur la tête, discutant avec son équipe. Le regard que Charles lui lança était indéchiffrable, surtout à cause du casque.

Oscar s'arrêta net, sentant le poids de la situation. Les bruits du paddock semblaient s'estomper autour de lui, laissant place à une tension palpable. Il s'approcha lentement de Charles, cherchant ses mots.

« -Charles... je suis désolé, j'ai merdé je sais...murmura-t-il, la voix pleine de sincérité. C'était grave pas mon intention de te sortir de la piste. »

Charles, toujours casqué, fixait Oscar avec intensité. Après un moment, il enleva son casque, révélant un visage marqué par la fatigue et la déception, mais aussi par une lueur d'intérêt. Il savait que dans ce sport, les incidents faisaient partie du jeu, mais il y avait quelque chose de différent avec Oscar, quelque chose qu'il ne pouvait pas ignorer.

« - C'était une belle manœuvre, répondit finalement Charles, sa voix plus douce que ce qu'Oscar avait anticipé. Un peu agressive, mais belle. C'est audacieux de ta part mec »

Le soulagement envahit Oscar, mais avant qu'il ne puisse répondre, Charles ajouta, avec un sourire en coin :
« -Je me vengerai sur la prochaine course. Oscar laissa échapper un rire nerveux, mais sincère.
« - J'attends ça avec impatience. »

Leur conversation fut interrompue par les journalistes et les membres des équipes qui affluaient, impatients de recueillir les premières réactions après cette course mouvementée. Les deux pilotes furent rapidement entraînés dans des directions opposer pour les interviews d'après-course.

Plus tard dans la soirée, après les conférences de presse et les obligations médiatiques, Oscar retourna à son hôtel, épuisé mais incapable de dormir. La journée avait été pleine d'émotions contradictoires. Il repensait sans cesse à ce moment dans le garage Ferrari, au regard de Charles, à la façon dont son cœur avait battu un peu plus fort que d'habitude.

Il s'était à peine installé dans sa chambre que son téléphone vibra. Un message de Charles :

« •Tu es toujours réveillé ? On pourrait boire un verre et discuter un peu. »

Oscar hésita un instant, puis répondit rapidement : « •Bien sûr, donne-moi cinq minutes. »*

Quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent dans le bar de l'hôtel, un endroit calme, loin du bruit et de l'agitation du paddock. Charles était déjà là, assis à une table dans un coin discret. Il sourit en voyant Oscar entrer.

« -Salut, dit Oscar en s'asseyant en face de lui. Merci pour l'invitation. »

« -De rien, répondit Charles, son sourire mystérieux toujours présent. Je me disais qu'on pourrait parler un peu, loin des caméras. »

Ils commencèrent à discuter, d'abord de la course, puis de leur passion commune pour la Formule 1. La conversation dériva ensuite sur leurs vies en dehors des circuits, leurs famille, leurs rêves, et même leurs doutes. Plus ils parlaient, plus Oscar se sentait connecté à Charles, comme s'ils partageaient quelque chose de bien plus profond que la compétition.

Au fil de la soirée, les deux hommes se rapprochèrent, littéralement et figurativement. Charles semblait être attiré par l'authenticité et la fraîcheur d'Oscar, tandis qu'Oscar admirait la maturité et la sagesse de Charles (un ieuv un jeun's) Leurs regards se croisèrent à plusieurs reprises, chacun d'eux cherchant des réponses dans les yeux de l'autre.

À un moment donné, un silence s'installa entre eux, mais ce n'était pas un silence gênant. C'était un silence chargé de sous-entendus, de questions non posées, mais de réponses pressenties. Charles se pencha légèrement en avant, ses yeux cherchant ceux d'Oscar.

« -Oscar, murmura-t-il, hésitant légèrement, je ne sais pas si c'est le bon moment, ou si ça l'est tout simplement, mais... depuis quelque temps, je ressens quelque chose de différent en ta présence. Quelque chose que je n'avais jamais ressenti avec un autre pilote. »

Oscar sentit son cœur s'emballer.
« -Moi aussi, répondit-il doucement. Je ne savais pas comment l'expliquer, mais... je ressens la même chose. »

Un sourire sincère se dessina sur les lèvres de Charles. Il tendit la main à travers la table, la posant doucement sur celle d'Oscar. Le contact était léger, mais il fit naître une vague de chaleur dans tout le corps d'Oscar. Il serra légèrement la main de Charles en retour, se sentant étrangement en paix, malgré le tourbillon d'émotions qui l'envahissait.

Leurs regards se verrouillèrent à nouveau, et cette fois, il n'y avait plus d'hésitation. Charles se leva lentement, tirant Oscar avec lui. Ils quittèrent le bar discrètement, leurs mains toujours liées, comme si le reste du monde avait disparu.

Ils montèrent dans l'ascenseur, le silence entre eux n'était plus lourd, mais plutôt complice. Arrivés à l'étage de Charles, ils s'arrêtèrent devant sa porte. Charles se tourna vers Oscar, ses yeux brillants d'une émotion contenue.

« -Oscar, murmura-t-il, sa voix pleine de douceur, je ne veux pas te presser, mais si tu veux bien, j'aimerais que tu restes un peu plus longtemps avec moi ce soir. »

Oscar hocha la tête, incapable de formuler une réponse verbale, mais son sourire parlait pour lui. Charles ouvrit la porte, et ils entrèrent dans la chambre.

À l'intérieur, l'atmosphère était intime, loin du circuits, loin du public. Juste deux mecs, deux pilotes, découvrant quelque chose de nouveau, de fragile, mais de profondément sincère.

Ils s'approchèrent l'un de l'autre, et Charles posa une main tremblante sur la joue d'Oscar, le regardant avec une intensité nouvelle. Oscar ferma les yeux, savourant ce contact, ce moment unique où le monde semblait s'arrêter.

Puis, lentement, Charles se pencha et posa ses lèvres sur celles d'Oscar. C'était un baiser doux, presque hésitant, mais remplie d'une émotion brute qui fit trembler Oscar. Ce baiser marquait le début de quelque chose de nouveau, de merveilleux.

Ils restèrent ainsi, dans l'intimité de cette chambre, leurs cœurs battant à l'unisson, savourant chaque instant de ce moment partagé. Le monde extérieur, avec ses courses, ses tensions, ses victoires et ses défaites, n'existait plus. Seul comptait cet instant, cette connexion qui venait de naître entre eux.

Ils se séparèrent finalement, à bout de souffle, mais leurs regards restèrent fixés l'un sur l'autre. Charles caressa doucement la joue d'Oscar, un sourire tendre illuminant son visage.

« -Je crois que nous avons beaucoup à découvrir ensemble, » murmura-t-il.

Oscar acquiesça, un sourire ému aux lèvres.
« -Oui, et je suis prêt à le faire, tant que c'est avec toi. »

——
Y'a rien qui va ici ⛺️
jnous ait dégainé de ces mots putain

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