~Concours écriture 1°

Heyyy
Je participe au concours de la chère Garffymel
C'est un concours d'écriture nommé "Concours des cent"
Le thème est : HP au bal d' Halloween
(pas le personnage lui-même fin vous m'avez comprise)
Je vous préviens tout de suite : ça peut partir en wtf à n' importe quel moment - parce qu' en fait, je vais m' inspirer d' un de mes rêves - non pas celui ou Voldemort fait du trapèze avec Harry - alors c' est vous qui faites le choix de lire ce truc et d' accepter ma personnalité, ou de partir parce que vous n' aimez pas rire (votre vie doit être bien triste d'ailleurs)

Ici, j'incarnerai mon oc - que je dévelloperai dans l'écrit pour me présenter.
Je n' ai aucune idée de dans quelle truc je me lance, j'essaierai de me corriger au maximum pour qu'il y ait une pointe de logique pour que l'histoire ait une bonne intrigue
!attention: il est possible que je fasse faire des couples gays ou lesbiens, alors les homophobes DEHORS!
Merci de votre compréhension, sur ceux on y va ! (178 mots)
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Un éclair de rayon de soleil me réchauffe le visage, à travers la vitre. J'ouvre un œil, et détourne le visage, sentant une présence juste au dessus de moi. D'un coup d'oeil, j' arrive à percevoir des doigts fins qui s'agitent dans tous les sens en suspension de mes cheveux. Une boucle d'oreille à l'apparence d'un radis apparaît dans mon champ de vision. Après de nombreux efforts pour faire fonctionner mes cordes vocales, je demande d'une voix enraillée :

– Qu'est-ce que tu fais, Luna ?

La blonde s'arrête soudainement au son de ma voix. Elle reste d'abord silencieuse, fixant autour de mon lit quelque chose d'invisible à mes yeux.

– J'ai senti les Joncheruines dans ton espace de vie. Il faut que tu fasses plus attention lorsque tu te lave, le soir. Elles peuvent t'envahir à n'importe quel moment, et t'embrouiller le cerveau.

Je baille en me relevant en position assise, repoussant ma couette d'un bleu nuit. Chaque matin, c'est une routine d'entendre les discours incohérents de ma camarade de chambre, et la voir se coiffer la tête à l'envers, avec ses grosses lunettes roses excentriques. Au début de ma première année, je la prenais pour une folle, comme bon nombre des autres élèves. Puis au fil du temps, nous nous sommes découverts plein d'intérêts communs, comme le goûts du pudding, notre patronus identiques, la métamorphose et l'astronomie... Désormais, chacun de ses gestes me parait attachant, et nous sommes devenues les meilleurs amies du monde. Je ne suis pas du genre "populaire" à l'école, mais je m'entends bien avec les gens en général - même les Serpentards, c'est peu dire ! Cette école réussi à me faire oublier un peu ma famille, à mon grand soulagement.

Luna retourne à son baldaquin pour enfiler sa cape. Elle est déjà propre et habillée depuis un moment. Nos trois autres camarades de dortoir sont déjà sorties. Heureusement que nous sommes en vacances, je peux prendre tout mon temps. Je venais d'à peine poser un pied à terre que la Lovegood s'exclame de sa voix pourtant tranquille :

Ne tarde pas trop à te préparer, on doit s'occuper de l'organisation du bal.

Je cligne plusieurs fois des yeux, encore dans les vapes du sommeil. Un bal ? Quel bal ? Sans que je n'ai dis un mot, Luna me répond :

– Tu sais, le bal d'Halloween. Tu n'as pas oublié ?

Tête en l'air comme je suis, cela m'est pourtant sorti de la tête. Je me remémore soudain : l'annonce de McGonagall, notre directrice, dans la grande salle, peu avant les vacances de la Toussaint. Il fallait deux organisateurs par maison, garçon ou fille, et Luna et moi nous étions portées volontaires avant que les Serdaigles ait pu dire quoi que ce soit. Je ne me souviens vraiment pas des autres organisateurs en revanche. Je reviens sur terre en pensant à ce bal ; je ne suis pas du tout prête ! En moins de trois minutes, je fais ma toilette et m'habille, puis je rejoins Luna qui était aller m'attendre à la salle commune. Je dévale l'escalier - sans chuter, une première - et arrive aux côtés de mon amie. La sortant de ses rêveries, j'engage le pas puis nous sortons en descendant les marches cylindriques. Dans les couloirs, je ralentit l'allure pour permettre à Luna de me rejoindre, celle-ci ne marchant pas très vite. Je lui demande, l'excitation me gagnant :

– Où devons-nous aller ? Qu'est-ce qu'on fait une fois là-bas ? Et qui sont les autres organisateurs des autres maisons ?

Luna tarde un peu à me répondre, le regard dans le vide.

– Elles sont vraiment venues tout t'embrouiller.

Elle tourne la tête vers moi.

– À Poufsouffle, c'est Michel Merguez et José Truduc (j'invente) , à Griffondor c'est Harry Potter et Seammus Finnigan, et à Serpentard, Théodore Nott et Drago Malefoy. On doit se réunir à la grande salle.

– Super, on sera les seules filles, dis-je en soupirant. Moi qui pensait que les filles aimaient organiser.

Je me mets à constater que Luna est la seule élève qui appelle les autres par leurs noms complets. On dépasse l'escalier de marbre pour se retrouver dans le hall. Mon excitation avait un peu ralentit depuis que ma meilleure amie m'avait annoncé le nom de nos "camarades". Peut-être parce qu'il est composé de mon ex, un mec qui me fait tout le temps des croches-pieds, un autre qui est mon partenaire de potion catastrophique, et un qui a volé les affaires de Luna pour les suspendre au plafond ? Sûrement. Heureusement que Drago est là.

Luna passe devant pour nous ouvrir la porte. En prenant mon courage à deux mains, je la suis et nous atterrissons dans la Grande salle complétement vide par rapport à d'habitude. Seul le groupe de garçon nommés précédent est présent, ainsi que de nombreux cartons qui s'empilent de toutes parts et dans tous les sens possibles. Ça a le don de me mettre hors de moi, le désordre. Apparemment nous arrivons juste à temps : le groupe était déjà partit en belle engueulade. Les deux fameux rivaux se frittent comme à leur habitude. Je signale en même temps notre arrivée et la fin de ce vacarme.

WOOH ! C'EST QUOI CE BAZAR ?

Tous les visages se tournent vers nous, soudainement passés au silence. Je vois les deux Poufsouffles se raidirent dans leur coin; ils ne devaient pas participer à cette embrouille. A l'opposé, Théodore et Seamus se tenait au côtés de leurs "héros" et encourageaient sûrement cette tirade. Le Griffondor et le Serpentard se tenaient face à face, prêts à en découdre aux armes du sort. Malefoy fut le premier à parler :

– Alors, on est en retard, on se refaisait une beautée ?

Je ne peux m'empêcher de sourire intérieurement.

Drago Malefoy a été mon premier véritable ami, aussi bizarre que cela puisse paraître. On s'était rencontrés sur le chemin de Traverse, mais il était avec son père, et moi avec les DelaCour, donc nous il nous était impossible de discuter à ce moment là. C'était en correspondance où nous nous "parlions" en toute vérité. Lui comme moi était comme prisonnier de sa famille, et Luna est à ce jour, la seule personne au courant de notre amitié. Il doit bien jouer son rôle, et moi le mien.

– Dans tes rêves, je m'appelle pas Pansy Parkinson moi !

Il garde son masque froid, mais je sais qu'en vérité, il aurait éclaté de rire en me racontant des horreurs sur sa lèche-botte. Je comprends qu'Harry me dévisage alors je reprends en l' ignorant :

– Et sinon, vous allez répondre à ma question ? C'est quoi tout ça - je désigne les cartons.

Luna, un peu en retrait, s'extirpe d'une des grandes boîtes.

– Ce sont des décorations rouges et vertes, dit-elle de sa voix fluette, coiffée de fausses toiles d'araignées pendants à ses cheveux.

– Hum hum, je comprends, continuai-je. Je dois vous rappelez que le thème c'est "Halloween" et pas "Noël Enchantée" ?

Cette fois, c'est Harry qui répond, reprenant de l'assurance :

– On voulait décorer avec les couleurs de notre maison.

Il se tourne vers Malefoy et Théodore.

– Et "ils" ont eu exactement la même idée !

Je soupire rageusement.

– Alors c'est ça votre sujet de dispute ? Des décorations ?

Les deux garçons se regardent un peu honteux. J'ai l'impression d'être une maman grondant ses deux enfants.

– En principe, un bal, c'est pour rassembler tout le monde et renforcer les liens des élèves. Alors mettez vos différents de côtés, et on se bouge pour s'organiser !

Je ne sais pas d'où me vient cette autorité soudaine, mais tout le monde s'exécute autour des boîtes sans poser de questions, et Drago et Harry rangent leurs baguettes pour emmener leurs cartons.

~

– Yaya !

– Quoi la vipère ?

– Tu viens m'aider ?

– Alors ça c'est la meilleure, toi tu me demande de l'aide ?

– Allez steuplaît, il y en a trop de ces cartons, et je dois les ramener dans ma salle commune !

– Bon, d'accord ! dis-je en empoignant une des grosses boîtes posée au sol.

Nous sortons dans les couloirs vides. Pendant les vacances, l'école paraît désertique. Pourtant, de nombreuses personnes ont bien voulu rester pour ce bal, mais préféraient de loin le confort des salles communes que le parc froid, balayé par les vents d'automne. Une fois que nous nous sommes assez éloignés de la Grande Salle, je prends la parole :

– Tu voulais me dire quelque chose Drago, n'est-ce pas ?

Je me tourne vers lui. Tout en avançant, il regarde droit devant soi, la mine assez attristé et je sais très bien pourquoi.

– Drago... Quand est-ce que tu vas lui dire ?

Il ne répond toujours pas, et nous tournons à l'angle d'un mur.

– C'est compliqué, Yaya. Tu me vois annoncer ça comme ça, après des années ?

– Non, je te dis simplement que si tu te bouges pas le cu, quelqu'un d'autre t'auras volé la place. Et je ne veux pas que ça t'arrive.

Cette fois, c'est moi qui baisse la tête sur mes pieds, et lui qui me regarde, en jetant d'abord un œil à mes cheveux avant de les poser sur moi.

– Tes cheveux font encore des siennes. Tu n'arrives toujours pas à contrôler tes dons de métamorphomage, pas vrai ?

– Tu ne  peux pas comprends, toi non plus. C'était mon père qui était un métamorphomage et il est mort  !

J'avais fini cette phrase en hurlant presque, incapable d'arrêter mes larmes qui ruissellent sur mes joues. Mon meilleur ami m'entoure de ses bras, puis me chuchote :

– Crois-moi, quand tu as un père mangemort, c'est comme si ça l'était.

Je relève rapidement la tête en m'exclamant :

– Oh pardon, c'est vrai, je ne pense qu'à moi. Je suis désolé Drago.

Je me dégage de l'étreinte reprenant soudain des couleurs.

– Eh ! Mais tu es super fort pour détourner le sujet toi !

Il me fait un sourire en coin.

– Que veux tu, moi aussi j'ai des dons.

On finit par rire, tandis qu'il entre dans la salle commune. En ressortant, une idée de génie me traverse. Je chuchote à l'adresse du Serpentard :

– Dis-moi, ce bal, c'est l'occasion parfaite d'avouer tes sentiments à Potter !

~

– Luna !!! T'aurais pas vu mon collier ?

Je ressort la tête de la salle de bain. Elle est déjà prête - encore une fois avant moi. Sa tenue est superbe : elle porte une longue robe grise foncé, avec des ailes noires de chauves souris. Elle a enlever ses radis, sous les bons conseils de l'amie que je suis, pour en mettre des pendantes à perles. La blonde chauve-souris jette un œil à ma table de chevet.

– Il est ici ! Je te l'envoie ?

– Luna, par pitié, non !

Mais c'était plus une affirmation qu'une question. À l'aide du sortilège de lévitation, mon bijou arrive droit sur moi en traversant le dortoir, et je me le prend en pleine figure. La blonde éclate de rire tandis que je l'attrape dans ma main, l'empêchant de se fracasser au sol.

– Tu aurais dû voir ta tête, Yaya ! Complétement apeurée !

– Ouais, ouais, très drôle ! répliquai-je en ne pouvant m'empêcher de sourire. Viens plutôt m'aider à l'accrocher.

Elle entre dans la salle de bain derrière moi, et me fait passer la chaîne délicatement sur ma nuque. En me voyant dans le reflet, je me surprends à me trouver belle. Moi, belle ? La bonne blague ! J'avais trouver un costume de diablotin rouge vif, avec de petites cornes que j'avais fait pousser grâce à un sortilège de Badeea, une autre Serdaigle très créative. Comme toujours, ma meilleure amie réussi à lire dans mes pensées.

– Tu es magnifique Yaya. Arrête de stresser, cela ne va que t'embrumer encore plus.

Elle se recule et continue de me parler, l'air plutôt lointaine de notre monde, tout en appliquant quelques touches finales à mon maquillage.

– Avant que ma mère ne disparaisse, elle m'offrait toutes les inventions qu'elle fabriquait. Je me rappelle d'un chapeau de lutin qui sentait le pet dès que l'on prononçait le mot "Edelweiss".

Je ne peut m'empêcher d'esquisser un sourire. Luna a le don de vous faire oublier vos craintes et de vous emmener dans un univers complètement différent du votre. Il y a des jours où j'aimerai partager sa vision des choses. Enfin, quand tout est prêt, nous nous dirigeons ensemble vers la Grande Salle, chacune plus impatiente et excitée que l'autre.

~

La fête bat son plein. Notre décoration rend super bien, encore mieux que ce que je m'imaginais. Les élèves semblent apprécier aussi, je ne peux qu'être fière du travail accompli. Il faut dire qu'avec le groupe, cela fut d'abord difficile : Chacun voulait faire à sa manière, et personne n'écoutait les autres propositions. Finalement, au grand étonnement de tout le monde, c'est les deux Poufsouffles, Michel et José, qui ont décidé de faire un mélange de tout ce que nous voulions. Je les vois d'un nouvel œil maintenant.

Les couleurs principales sont le noir et le orange, essentielles pour un bal d'Halloween. Plusieurs Jack'O lanterns flottent dans les airs, une lumière étrange filtrant à travers les fentes des visages effrayants. Sur les murs, des guirlandes de citrouilles et des fausses toiles d'araignées ajoutent un côté festif et dynamique. La piste de danse brille de milles feux, invitant quiconque à danser, et des chaises sont placées tout autour, formant un grand cercle. Le buffet est installé tout au fond, sur l'estrade des professeurs. Heureusement que McGonagall nous avaient donné carte blanche.

Je parcours la salle déjà rempli de monstres et fées, à la recherche de mon meilleur ami Serpentard. Je l'aperçois à une table, seul, déguisé en Croquemort. J'ai envie d'éclater de rire pour ce jeu de mot idiot, mais je m'abstiens pour prendre une chaise face au blond.

Hey !

Il remarque enfin ma présence, le regard toujours aussi triste que ce matin.

– Salut...

– Alors toi, tu ne m'as pas écouté, pas vrai ? Depuis quand tu ne suis plus mes conseils, Drago ? Qu'est-ce que tu attends au juste ?

Il soupire bruillamment , ennuyé.

– C'est pas aussi facile. Il y a tout le monde, et je ne veux pas que...

– Tu préfères le regarder avec un autre ?

Il sursaute à ma dernière phrase.

– Co...Comment tu l'as su ?

Je soupire, pas très fière de raconter cette histoire.

– Quand j'étais avec lui, il trimballait toujours des magazines qu'il lisait le soir. Des magazines moldus. Un jour, je me suis surpris à en ouvrir un et...

Je n'arrive pas à sortir la fin de ma phrase, comme si elle restait coincée dans ma gorge. Drago hoche la tête, compréhensif.

– T'inquiète, j'ai pigé.

Mais il se restreint.

– Mais ça ne veut pas dire que Potter voudra toujours de moi !

– Pour commencer, tu devrais peut-être arrêter de l'appeler par son...

Je ne finis jamais ma phrase. Un grondement sourd éclate, comme une explosion lointaine qui résonne dans toute la salle. Tout le monde s'est arrêté de danser, et jette des regards inquiets dans tous les recoins. Soudain, la grande fenêtre dominante se fracasse, juste au dessus du buffet, et une masse énorme écrase la nourriture. Sans hésiter, Drago et moi nous redressons en pointant notre baguette vers la "chose". Plusieurs personne nous imitent. Nous nous rapprochons, les professeurs accourant dans notre dos. Puis, sans prévenir, une forme se matérialise derrière un nuage de fumée. Il laisse apparaître ses yeux rouges, ses fentes et son crâne chauve, puis prend la parole d'une voix sifflante:

– J'ai besoin d'aide.

Dans la foule, aucun mouvement. Mais les personnes présentes se dévisage, apeurées. Je décide d'avancer pour mieux voir. J'aperçois alors ce que tout le monde fixe : une merguez géante était posée de tout son long sur le buffet. Dans le silence qui suit, Voldemort reprend :

– Il faut trancher cette merguez avec l'épée de Griffondor. Mais je l'ai paumé. J'ai vu qu'il y avait une fête, c'était l'occasion de demander à tout le monde en même temps.

Je déglutit, comme bon nombre de personnes présentes. Tous les visages sont parsemés de question: Pourquoi Voldemort débarque à l'improviste alors qu'il est sensé être mort, pourquoi arrive-t-il avec une merguez, et surtout, pourquoi NOUS demander de l'aide ?

Je ne peut pas accepter ça plus longtemps. Je m'avance, baguette toujours pointée.

– Êtes-vous le vrai Voldemort ou un imposteur ?

Il se tourne vers moi, l'air soudain très content. Puis soudain, tout s'efface autour de moi : Drago, les élèves, la Grande Salle... Je me retrouve seule, face à face avec Voldemort dans une autre dimension. Nous sommes atteris dans un hangar. Angoissée, je me mets à hurler :

– Où m'avez-vous emmené ?! Que me voulez-vous ?

– J'ai besoin de toi. Avec ça.

Il pointe l'épée de Griffondor qu'il avait subtilisé au passage.

– Pour ça.

Il tend l'arme vers la grosse merguez toujours étendue derrière. Puis il me pose délicatement l'épée dans les mains. Je remarque alors que ma baguette a disparu.

– C'est à toi de le faire, c'est la prophétie qui l'a dit.

– Hein ?

– Deux.

– Quoi ?

– Feur.

– Mais...

– Juin.

– Bon ça va durer longtemps ? Depuis quand y-a-t-il une prophétie qui dit que je dois couper cette merguez ? C'est du délire !

– Non c'est la vérité ! "Aucun ne peut survivre tant que l'un n'a pas coupé la merguez"

– Bon d'accord, je la coupe ta merguez mais après tu me laisses tranquille !

Je m'avance vers la grosse masse. Je lève l'épée Griffondor bien haut au-dessus de ma tête, et je tranche la merguez. Aussitôt, un elfe en sort comme libéré, une musique démarre et la créature se met à chanter :

<<YEAH YEAH YEAH
CHANSON POUR VOLDEMORT
IL EST PLUS BEAU QU'UN PORC C'EST VOLDEMORT
L'ELFE MALEFIQUE CHANTEUR
VOLDEMORT, C'EST UN MESSAGE D'AMOUR QUE JE TE DONNE
JE T'AIME VOLDEMORT
OH OUI VOLDEMOOORT YEAHHH
C'EST VOLDEMORT, C'EST VOLDEMORT
IL SAIT JETER DES SORTS VOLDEMORT
IL S'APPELLE TOM JEDUSOR VOLDEMORT
EH OUI C'EST VOLDEMORT...VOLDEMORT>>

Puis comme par magie le décor de la Grande Salle d'Halloween revient. Abasourdie, je regarde autour de moi, prête à voir surgir de nulle part l'elfe maléfique chanteur. Mais je ne vois que Drago, enlaçant Harry, sur une chanson de slow. Je ne peux m'empêcher d'être heureuse pour mon petit Serpentard. Mais comment cela se fait-il que tout ai disparu ? J'ai sûrement rêvé. Je suis assise à une des chaises autour de la piste, et Luna me rejoint, deux verres de jus de citrouilles à la main.

– Tu n'es pas venue danser ? Je t'ai perdue de vue de la soirée.

Je hausse les épaules. Nous tournons la tête droit devant nous, vers nos deux tourtereaux qui s'embrasse sous les lumières magiques. J'en ai loupé des choses.

– C'est incroyable, non ?

– De quoi ?

– La danse. Ça te fait perdre les pieds de terre et oublier tes préjugés. Un peu comme les Nargoles lorsqu'ils chantent.

Je lui offre mon sourire le plus radieux, avant de lui prendre les poignets pour l'embarquer sur la piste de danse où nous faisons la fête jusqu'à n'en plus pouvoir, la musique devenue soudain dynamique. Je me souviendrai toujours de cette soirée, dansant aux côtés de Luna, et volant mon premier baiser aux garçons qui hante mes rêves depuis des mois. Bill Weasley m'enlace de ses bras, et c'est comme si je perdais pieds.
(3 173 mots)
~~

tadaaa
bon la fin est un peu baclé, mais j'avais hâte de finir !
shousss

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