À CO

POV'S '' interne '' de Shaw

Sans la voir venir, elle se retrouve devant moi la main poser sur mon épaule. Une vague de chaleur traverse tout mon corps, je suis emporté par un tourbillon de plaisir jusqu'à qu'elle retire sa main de mon épaule, je retombe directe dans la réalité...

- Un monstre

Réentendre ce mot sortir de sa bouche me brise, mon coeur saigne, je retiens ma respiration pendant quelques instants.

- Tu m'avais kidnappé, et vous, vous ne m'avez rien dit, Quentin, dit-elle en le regardant tristement

Elle se tait avant de sortir de la salle à manger pour se rendre au salon afin de récupérer son sac, on la suit essayant de lui parler, enfin surtout eux moi j'étais derrière eux.

- Il faut que vous parliez, essayant de dire Quentin

Elle rigole nerveusement, mon coeur se serre douloureusement dans ma poitrine, ma bête grogne, je serre la bouche pour empêché le son de sortir de ma bouche.

- Parler de quoi, on ne se connaît pas, dit-elle durement

Quentin secoue la tete en allant vers elle, mais elle recule en foudroyant son ami du regard.

- Ne me dit pas sur tu ne ressens pas cette attirance entre vous.

Avant de se dirige vers la porte, elle nous regarde avant de s'adresser à son ami.

- Malheureusement si, je ne sais même pas pourquoi, c'est un homme ford, et pour information je démissionne.

Mon coeur rate un battement violent, je pose ma main sur mon coeur qui se serre douloureusement dans ma poitrine, j'ai l'impression qu'il saigne, je ne veux pas la faire souffrir mais vivre loin d'aller c'est une torture quotidienne.

Je ne la laisserais pas s'éloigner de moi, elle doit succomber, elle succombera...

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Deux jours plus tard

Je suis devant chez elle assis sur le perron une bouteille de bourbon à ma main droite, il est vingt-deux heures, plus personne ne passe dans cette rue, le peu de personne qui traversent cette rue me fixent longuement des fois de la peur danse dans leurs yeux ou de la colère, mêmet de l'admiration avec une pointe de désir.

Je la supplie de m'ouvrir mais elle m'ignore totalement, je sais qu'elle est là, mais elle préfère ne pas me répondre.

À vingt deux heure et demi, la porte de sa maison s'ouvre doucement, je me retourne vers elle, ouvrant et fermant la bouche plusieurs fois, elle est magnifique, tellement sexy, elle est habillée d'un short rose et un haut de la même couleur moulant parfaitement son corps, à travers son haut je peux voir ses tétons pointe fièrement, c'est un pur délice de la voir ainsi, mon membre se dresse douloureusement, et mes yeux virent instantanément au violet.

Comme un automate, je me dirige vers elle, je ne me suis même pas rendu compte que j'étais debout entrain de bave sur ce corps de déesse qui se trouve devant moi, lorsque je fais un pas en avant elle recule légèrement, je continue d'avance, elle se met de côté me laissant entre chez elle, son odeur me frappe en plein fouet, je me délecte de cette magnifique odeur, elle sent tellement bon. Je ferme la porte en avançant vers elle, elle se dirige vers le salon, j'en profite pour la relooker, son corps est sublime, tout mon corps réagit face à elle .

Ne tenant plus en place, je la plaque contre un mur du salon, je n'hésite même pas en posant mes lèvres sur les siennes, ses yeux sont contractés par le désir et les miens sont d'un violet pétillant, ses douces lèvres m'avait manqué, elle gémit en passant ses mains dans mes cheveux...

Cette nuit risque d'être torride.....

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"Le véritable amour peut vivre de privations et survivre à toutes les épreuves. ''
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