Gangster 3/3

TW: Actes 🔞

Enfinnnnn 👹

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Lucas me fixa un instant, puis, sans attendre une seconde de plus, il me souleva brusquement, m'emportant avec lui dans un élan de passion. Mon dos heurta le mur, mais la douleur se perdit dans la vague de sensations qui me submergeait. Je pouvais sentir la chaleur de son corps contre le mien, la force dans ses gestes, mais aussi une certaine fragilité, dissimulée derrière son assurance.

— Lucas, t'es sûr que t'as pas besoin de te reposer avant...?  tentai-je de dire entre deux baisers, mi-sérieux, mi-amusé.

— Baptiste, j'ai survécu à bien pire que ça, rétorqua-t-il avec un sourire en coin. Puis il ajouta, en mordillant légèrement mon oreille , Et crois-moi, je préfère largement ce genre de "combat".

Il m'entraîna vers le lit, ses mains ne quittant pas mon corps, comme s'il craignait que je m'échappe. Mais s'échapper était bien la dernière chose à laquelle je pensais. Je répondis à chacun de ses gestes, mes doigts explorant les contours de son dos, évitant avec précaution ses blessures. 

— Alors, c'est ça le fameux « traitement de faveur » ? plaisantai-je, tentant de détendre l'atmosphère alors que la situation devenait de plus en plus intense.

— C'est ça, oui, sourit il, sa voix teintée de malice. Et tu vas voir, normalement c'est bien plus agréable que d'être menacé avec un flingue.

Je ne pus m'empêcher de rire, mais mon rire s'étouffa rapidement lorsque Lucas captura à nouveau mes lèvres, cette fois avec une urgence plus palpable. Sa main glissa sous mon tee-shirt le long de mon torse, envoyant des frissons sur son passage, tandis que la mienne retrouvait son chemin vers son dos, l'attirant encore plus près.

— Lucas, chuchotai-je, mes lèvres effleurant les siennes. Tu sais, c'est pas parce que t'es le chef que t'es obligé de tout contrôler...

— Ça tombe bien, répondit-il en me suçotant le cou , parce que là, c'est toi qui me rends fou.

Malgré la nature douteuse de l'homme qui me chevauche, ses gestes restent d'une précision chirurgicale, presque un ballet en slow-motion. Ses mains explorent chaque parcelle de mon torse, sans même avoir besoin de me déshabiller. Sa bouche, quant à elle, fait un véritable marathon sur ma peau, léchant, suçant, et mordillant chaque centimètre carré comme s'il traçait une route invisible... le tout en étant confortablement installé sur mon entrejambe qui commence sérieusement à s'éveiller.

Lucas émit un râle frustré quand mon tee-shirt se mit en travers de sa route. C'est là que je me suis rappelé qu'un homme comme lui, même en étant blessé peut avoir la délicatesse d'un bulldozer. D'un coup sec, il tira sur mon vêtement et le déchira sans aucune cérémonie.

— J'espère que ce n'était pas un tee-shirt Louis Vuitton, parce que sinon, c'est 500 balles qui partent en lambeaux poussin !dit-il en souriant, un air de satisfaction sur le visage. Bon, au moins, ça me permet d'admirer ce chef-d'œuvre digne de Léonard de Vinci...

— Bah dis donc, je ne savais pas que les gangsters étaient aussi cultivés, le taquinai-je.

J'aurais peut-être dû faire attention au regard noir qu'il m'a lancé... Ça m'aurait évité la surprise de cette morsure directe sur mon téton, qui m'arracha un long gémissement.

— En... Enfoiré !

— Faut pas me chercher, Baptiste.

Sa main franchit les frontières de l'intimité, glissant sous mes bas, et un petit couinement m'échappa malgré moi.

Lucas, un sourire en coin, continua son exploration audacieuse, sa main devenant de plus en plus entreprenante. Chaque caresse semblait calculée, comme s'il connaissait déjà toutes mes faiblesses, et il n'avait clairement pas l'intention de me laisser reprendre le contrôle de la situation.

— T'as l'air surpris, murmura-t-il en mordillant doucement l'autre téton, histoire de maintenir l'équilibre.

Je me mordis la lèvre pour étouffer un nouveau gémissement, essayant tant bien que mal de garder une certaine dignité. Mais comment rester stoïque quand chaque mouvement, chaque pression me faisait vaciller un peu plus ?

— On dirait que t'aimes bien ça, me taquina t-il, sa voix chargée de malice.

— Je... je te déteste, réussis-je à articuler, même si mon corps semblait crier tout l'inverse. Lucas éclata de rire, un son qui résonna à travers la pièce, profond et presque moqueur.

— Ah, Baptiste, si tu me détestais vraiment, tu serais déjà en train de m'envoyer valser. Mais regarde-toi... tu te laisses faire, tu en redemandes même !

Je voulus répliquer, lui lancer une pique bien sentie, mais son autre main choisit ce moment pour se glisser un peu plus bas, jouant avec l'élastique de mon sous-vêtement. Mon souffle se coupa, mon esprit devenant un brouillard de sensations et de frustration.

— Lucas... avertis-je, ma voix trahissant une certaine supplication que je n'arrivais plus à contrôler.

Il leva les yeux vers moi, une lueur triomphante dans le regard.

— Oui, Baptiste ? Un problème ?

— Si tu continues comme ça, va falloir assumer, dis-je en essayant de garder un semblant de défi dans ma voix.

Il se pencha vers moi, son souffle chaud contre mon oreille.

— J'ai bien l'intention d'assumer, murmura-t-il, avant de capturer mes lèvres dans un baiser qui fit voler en éclats ce qu'il me restait de résistance.

D'un geste rapide, il m'ôta enfin ce qui restait de mes vêtements, et je ne pus m'empêcher de frissonner sous l'air frais qui caressa ma peau. Pourtant, la chaleur qui émanait de Lucas, cette tension palpable entre nous, suffisait à me maintenir dans une sorte de fièvre brûlante.

— Maintenant que j'ai découvert le trésor, c'est l'heure du pillage, souffla-t-il en riant, son regard brûlant de désir.

- EH ! C'est un peu injuste , Dis je outré, il pencha la tête attendant la suite perplexe, Pourquoi est ce que je suis nu alors que toi .... Bah t'es encore habillé  ? C'est pas juste ...

Lucas, un sourire en coin, recula légèrement, laissant ses mains glisser de mes hanches. Il me fixait avec cette étincelle malicieuse qui, je le savais, annonçait qu'il était sur le point de me provoquer.

— Tu sais, Baptiste, si tu veux vraiment que je sois aussi déshabillé que toi, c'est à toi de faire le boulot, dit-il en croisant les bras sur son torse. Après tout, je ne suis pas du genre à me livrer si facilement. Ça manquerait un peu de défi, tu ne trouves pas ?

Je le fixai, mi-amusé, mi-frustré. Il jouait sur mes nerfs avec une précision redoutable, et même si une partie de moi avait envie de l'envoyer balader , une autre partie, bien plus grande, était attirée par ce jeu qu'il lançait.

— Donc, monsieur le gangster refuse de faire un effort ? demandai-je en haussant un sourcil. On dirait que ta blessure au bras te rend paresseux, Lucas.

Il éclata de rire, secouant la tête, et c'est là que je remarquai que le mouvement le faisait grimacer, même s'il essayait de le cacher.

— Blessure, blessure... Tu me sous-estimes, Baptiste. C'est pas une petite égratignure qui va m'empêcher de te faire tourner en bourrique. Mais si tu tiens tant à me voir nu, t'as qu'à t'y mettre, poussin . Prends les devants !

Je fronçai les sourcils, un sourire en coin se formant sur mes lèvres. Le défi était lancé, et je n'étais pas du genre à reculer. Lentement, je m'approchai de lui, mes mains glissant sur son torse. À ce moment-là, je sentis ses muscles se contracter sous mes doigts, mais pas normalement . C'était plus... tendu, presque douloureux. Mon sourire disparut peu à peu , me convaincant que ce n'est rien .

— Si c'est ce que tu veux, Lucas, alors ne bouge pas, murmurai-je en glissant mes doigts sous le tissu de son tee-shirt.

— C'est ce que je pensais... T'aimes bien te salir les mains, hein ? répondit-il, sa voix toujours aussi taquine, mais avec une pointe de tension.

— Disons que je ne recule pas devant un bon challenge. Mais t'as intérêt à être un bon élève, sinon...

Il haussa un sourcil, un sourire en coin.

— Sinon quoi, Baptiste ? Tu vas me donner une mauvaise note ?

Je levai les yeux vers lui, un sourire joueur essayant de masquer la panique qui commençait à monter en moi. Je fis glisser son tee-shirt le long de ses épaules, révélant son torse... et les blessures qui parsemaient sa peau. Une profonde coupure ornait son ventre, et il y avait une contusion au niveau de ses côtes, comme si quelqu'un avait décidé de faire un cours de boxe sur lui. Sans parler de son bras gauche, où une plaie béante partant du haut du coude jusqu'au poignet semblait presque vouloir me défier du regard.

— Lucas... c'est quoi ce bordel ? dis-je, incapable de masquer mon inquiétude. Il haussa un sourcil, feignant l'indifférence.

— Oh, ça ? Rien de grave. Juste un petit accrochage . Tu sais comment c'est... les gens n'ont plus aucune politesse de nos jours.

— Rien de grave ?! Tu es en train de me dire que cette plaie béante là, c'est rien ?

Il haussa les épaules, une grimace lui échappant malgré lui.

— Bon, d'accord, j'avoue, celle-là pique un peu. Mais honnêtement, Baptiste, tu t'inquiètes trop. Faut bien que je garde un peu de mystère, non ?

Je fronçai les sourcils, hésitant entre l'engueuler pour être aussi inconscient ou l'engueuler pour m'avoir caché ça.

— Et tu comptais me dire quand que tu t'étais fais charcuter, Lucas ? Ou t'attendais peut être que je le découvre à la manière d'un Kinder Surprise ?

Il éclata de rire, malgré la douleur évidente que cela lui causait.

— Tu sais, Baptiste, t'es mignon quand tu t'inquiètes. Mais si tu veux vraiment te rendre utile, tu pourrais plutôt enlever mon pantalon. Ça me détendrait, je pense.

Je secouai la tête, mi-amusé, mi-désespéré.

— T'es vraiment incorrigible. Mais je te préviens, si je t'entends râler de douleur, je m'arrête direct et je me barre .

Il me lança un regard défiant.

— Ça vaudrait mieux pour toi, Baptiste, sinon je te promets que je prendrai ma revanche. Blessé ou pas, je suis toujours capable de te faire regretter de m'avoir cherché.

Je soupira, Cependant Lucas ne bougea pas, me laissant prendre le contrôle, pour une fois. Il semblait apprécier ce changement de rôle, mais je savais qu'il attendait le bon moment pour reprendre les rênes. Je me mis à déboutonner lentement son pantalon, savourant chaque seconde de cette petite victoire.

— Alors, monsieur le gangster est prêt à se rendre sans se battre ? le taquinai-je en jetant son pantalon sur le sol.

— Disons que je suis curieux de voir où tu vas avec tout ça. Mais ne t'y habitue pas trop, Baptiste. Je pourrais reprendre les commandes à tout moment, murmura-t-il en me fixant avec cette intensité qui faisait battre mon cœur un peu trop vite. Je le regardai droit dans les yeux, me penchant pour murmurer à son oreille :

— Prends ton temps, Lucas. Tu pourrais découvrir que ça fait du bien de lâcher prise de temps en temps.

Mais avant que je puisse savourer pleinement ma victoire, ses mains agrippèrent mes poignets, et d'un mouvement rapide, il inversa les rôles, me plaquant contre le matelas avec une force surprenante pour quelqu'un censé être "blessé".

— Qui t'a dit que j'avais envie de lâcher prise, Baptiste ? souffla-t-il en capturant mes lèvres avec une intensité brûlante.

— Enfoiré ! répliquai-je, mi-amusé, mi-excité.

— Je te l'avais dit... faut pas me chercher.

Et alors que ses mains se faisaient plus audacieuses, je me rendis compte que, blessé ou pas, Lucas était loin d'avoir perdu de sa fougue. Le jeu venait de prendre une tournure inattendue, et je n'étais pas certain de vouloir en sortir vainqueur.

— Allez, Baptiste on rentre dans le vive du sujet ..

- Hum.... D'accord mais si tu veux continuer à jouer les durs, faudra peut-être songer à éviter les couteaux la prochaine fois, non ?

Il éclata de rire, mais cette fois, il sembla plus sincèrement amusé.

— T'as raison, Baptiste. J'ai toujours été meilleur avec les flingues de toute façon.

- Par contre on  est toujours pas égale , Je pense que t'as encore un truc ou deux de caché, Lucas.

— Ah, tu parles de ça ? répondit-il, désignant son boxer qui semblait lutter pour contenir ce qui se passait en dessous. Tu sais, Baptiste, il y a un vieil adage qui dit : "Habille-toi pour le job que tu veux, pas celui que tu as." Mais si tu insistes...

Il fit un geste théâtral, comme un magicien prêt à dévoiler son meilleur tour. D'un mouvement fluide, il fit glisser son Boxer , le jetant négligemment sur le sol.

— Et voilà, dit-il en levant les bras, tel un champion olympique après une performance parfaite. Maintenant, on est à égalité. Ou presque... A part peut être la taille qui n'est pas égale .

Je me mordis la lèvre, essayant de garder un semblant de calme.

— Bon, maintenant que t'es aussi déshabillé que moi, qu'est-ce que tu comptes faire ? lui demandai-je, un sourire en coin. Parce que si on est vraiment dans une chasse au trésor, je crois qu'il te reste encore quelques endroits à explorer.

Lucas se pencha vers moi, ses mains trouvant naturellement leur place sur mes hanches.

— Oh, ne t'inquiète pas, je suis très méticuleux quand il s'agit de fouiller les moindres recoins. Je ne laisserai aucun trésor inexploré.

Ses lèvres se posèrent à nouveau sur ma peau, traçant une ligne brûlante le long de mon cou.

— Si t'es un vrai gangster, tu sauras qu'un bon pillage, ça se planifie, murmurai-je, la voix un peu rauque. Faut être stratégique, éviter les pièges...

Il arrêta ses mouvements, relevant la tête pour me fixer avec un sourire malicieux.

— Et j'imagine que tu as quelques pièges en réserve pour moi ?

— Peut-être bien, dis-je en étouffant un sourire. Mais tu sais, les pirates les plus audacieux finissent toujours par tomber sur un os... ou un trésor caché .Il éclata de rire, un son riche et chaud qui fit vibrer l'air entre nous.

—Eh bien, Baptiste, je suis prêt à prendre tous les risques. Après tout, qui ne tente rien n'a rien, non ?

Et avant que je ne puisse répondre, il se jeta à nouveau sur moi, sa bouche capturant la mienne avec une intensité renouvelée, comme s'il comptait vraiment piller chaque fragment de moi. Sa main descendit lentement, franchissant une nouvelle fois les frontières de l'intimité en agrippant sauvagement mon pénis en érection . 

— Si c'est le trésor que tu cherches, Lucas, t'as intérêt à te munir d'un bon GPS, dis-je en souriant malgré moi.

— GPS ? Moi j'utilise pas ce genre d'engins , je me guide avec les étoiles , répliqua-t-il, sa voix teintée d'humour. Et crois-moi, je vais trouver la route la plus directe...

Cette fois, je ne pus retenir un éclat de rire, un rire qui se transforma en gémissement alors que Lucas venait de commencer à me doigter avec une détermination presque féroce. Le pillage venait tout juste de commencer, et à en juger par l'étincelle dans ses yeux, il n'avait pas l'intention de laisser un seul trésor intact.

Mon souffle se faisait de plus en plus court alors que Lucas continuait à rajouter des doigts , me faisant l'effet ciseau , étirant délicieusement mes parois interne .

- Hum... C'est bon Lucas ... Je suis prêt .. 

- Hein ? Je comprend pas ce que tu veux , sois plus clair Baptiste . Me provoqua t'il , le sourire en coin les yeux brillant de désir 

- Vas te faire foutre .... AHHHH ~~

- Tu devrais être plus polis , sinon je te punis bien correctement ,Dit l'homme qui venait de me mordre la cuisse y laissant une trace .

- PUTAIN METS LA OU JE ME CASSE VOIR UN DE TES HOMMES POUR QU'IL FINISSE LE BOULOT !

- Ah tu veux la jouer comme ça , très bien , mais tu viendras pas te plaindre quand tu pourras plus marcher Poussin .

Sur ces mots, il me pénétra violemment, m'arrachant un long gémissement à la fois douloureux et enivrant. Par réflexe, je m'accrochai à la première chose venue , son dos ,et y plantai mes ongles, lui tirant à lui aussi une grimace de douleur. Le plaisir était si intense que j'en oubliai complètement qu'il était blessé

Sans me laisser le temps de m'habituer à sa présence, Lucas entama des va-et-vient lourds et impitoyables, chaque mouvement m'arrachant des gémissements plaintifs, mais avides de plus.

Lucas continuait sa danse endiablée avec une vigueur qui semblait ignorer complètement ses blessures. Chaque coup de rein était comme une décharge électrique, me secouant et me laissant haletant. On aurait dit qu'il avait pris le slogan « Pas de repos pour les braves » un peu trop au sérieux. Ses mouvements étaient puissants et décidés, et malgré les râles de douleur qui lui échappaient, il persévérait comme un vrai professionnel.

— Alors, tu prévois de m'achever avant la fin de la soirée, ou c'est juste une répétition générale ? lançai-je en riant, même si mon esprit n'étais pas vraiment en état de faire des blagues.

— Ah, je fais juste ce que je peux pour transformer ce moment en un souvenir inoubliable. Même si ça veut dire être un peu masochiste, répondit-il, ses hanches bougeant avec une intensité qui me faisait presque oublier la douleur.

Chaque poussée était accompagnée de grognements, de râles et de quelques jurons que Lucas essayait de réprimer. Il était évident qu'il faisait de son mieux pour ne pas montrer combien ses blessures le faisaient souffrir, mais chaque mouvement trahissait une certaine fatigue. Son souffle devenait plus court, et ses bras tremblaient légèrement à chaque fois qu'il essayait de me soutenir.

— Eh bien, si tu continues comme ça, tu risques d'avoir besoin d'une ambulance avant la fin de la nuit, plaisantai-je, même si je pouvais voir la sueur perler sur son front.

— Si tu me cherche encore , je vais vraiment devoir envisager d'appeler un médecin, mais pas pour moi si tu vois ce que je veux dire .. me rétorqua-t-il avec un sourire fatigué. Et puis tu sais Il y a un dicton chez les gangsters : « Quand la vie te donne des coupures, fais-en des souvenirs, » dit-il, tout en accentuant un mouvement qui me fit onduler comme une marionnette.

Malgré tout, ses mouvements étaient toujours incroyablement précis. Ses mains, bien que légèrement tremblantes, étaient fermement accrochées à mes hanches, chaque coup de rein me faisant gémir et me faisant perdre le peu de lucidité que j'avais encore. C'était comme si chaque poussée était une tentative de me faire oublier le monde autour de nous.

— Lucas, je pense qu'on a battu le record de la soirée la plus intense. Si je ne fais pas une pause, je vais vraiment avoir besoin d'un massage demain, dis-je entre deux respirations haletantes.

— Ne t'inquiète pas, je m'occuperai de ça aussi... après, dit-il en essayant de maintenir un ton joueur malgré son souffle de plus en plus irrégulier.

À force de persévérer, Lucas commençait à ralentir, ses mouvements devenant plus saccadés. Sa respiration était maintenant haletante, et il avait du mal à garder son rythme. Ses forces semblaient l'abandonner peu à peu, et je pouvais sentir la tension dans ses muscles.

— T'es sûr que tu vas bien ? Tu sembles un peu... épuisé, demandai-je en posant ma main sur son dos, en essayant de l'aider à trouver un rythme plus régulier.

— Je suis juste... un peu fatigué, avoua-t-il avec un sourire faible. Mais ne t'en fais pas pour moi. J'ai encore assez de... énergie pour quelques minutes , histoire que ce qui a à sortir sortes 

Je souris doucement, bien que l'inquiétude me rongeait. Lucas avait beau être le genre à jouer les durs, je savais qu'il avait un soupçon de bon sens caché quelque part. C'était un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une botte de foin, mais bon, on ne sait jamais, il pourrait bien y en avoir une.

Soudain, alors que ses mouvements devenaient de plus en plus frénétiques, un coup particulièrement profond et précis envoya une onde de choc à travers moi. Il avait apparemment trouvé le chemin vers ma prostate. Une décharge intense parcourut mon corps, et un puissant gémissement s'échappa de ma bouche, trahissant le plaisir croissant que je n'avais pas vu venir.

— Putain j'aurais dû t'embaucher comme guide touristique ! plaisantai-je en essayant de garder le contrôle de ma voix, malgré les vagues de sensations qui m'envahissaient.

Il ricana légèrement .

— Hummmm ~~Lucas, c'est... c'est pas humain ! réussis-je à articuler entre deux gémissements, ma voix trahissant la mélancolie joyeuse du moment.

Il grogna en réponse, son souffle se faisant de plus en plus erratique. Sa main, qui jusqu'alors était occupée à explorer chaque recoin, se posa finalement sur ma queue, la saisissant avec une fermeté et une détermination qui faisaient frémir le moindre recoin de ma corps.

— On dirait que je suis sur le point de découvrir le trésor, murmura-t-il d'une voix rauque, sa main faisant des mouvements plus rapides et plus irréguliers. Tu devrais peut-être te préparer pour un sacré pillage, mon poussin !

Le rythme de ses mouvements se fit frénétique, et je sentais le plaisir monter à une vitesse vertigineuse. Avec chaque va-et-vient, chaque caresse, chaque pression, le plaisir devenait presque insupportable. Il était clair que nous étions tous deux en train d'atteindre un point de non-retour.

Alors que ses mouvements devenaient de plus en plus irréguliers, ses grognements se transformèrent en gémissements plus aigus. Je sentis une montée d'extase si intense que je ne pus plus contenir mes propres gémissements. Nous étions en phase, comme si nous avions atteint une sorte de synchronisation parfaite, où chaque touche, chaque pression, était exactement ce dont l'autre avait besoin.

— Lucas, je... je suis sur le point...

— Moi aussi, poussin...

Sans plus de préambule, un immense climax nous emporta tous les deux. Mon corps se convulsa sous l'impact de l'orgasme, mon cri se mêlant au rugissement de Lucas. Les vagues de plaisir se déversèrent en nous, un déluge de sensations brûlantes et d'extase pure.

Je me laissai aller dans l'abandon total, mes doigts encore enfoncés dans son dos. À cet instant, le monde sembla se réduire à cette vague d'extase partagée, nos corps entrelacés dans une étreinte épuisante mais inoubliable.

Même après la jouissance il continua ses poussées me faisant souffrir délicieusement, cependant ses gestes devenaient de plus en plus lents, et finalement, il s'arrêta complètement, la sueur dégoulinant de son front. Il se pencha en avant, ses forces le trahissant. Je le sentis se retirer et se décaler un peu , puis tout à coup, ses yeux se fermèrent, et il s'effondra doucement sur moi.

— Lucas ? murmurai-je, en essayant de le secouer doucement.

Il ne bougeait plus. Venant de s'évanouir d'un coup , tombant dans mes bras . Je pouvais sentir son souffle irrégulier contre ma peau, et je compris que le pauvre avait donné tout ce qu'il avait. Il était complètement vidé.

Je pris une profonde inspiration, le serrant doucement contre moi. Ses blessures et son évanouissement m'inquiétaient, mais à cet instant précis, il semblait enfin trouver la paix. J'avais encore un peu de force, donc je le maintins contre moi, en veillant à ne pas le déranger. J'étais à la fois préoccupé et touché par son état, mais je savais qu'il avait besoin de repos.

Finalement, bercé par le rythme régulier de sa respiration, je me laissai aller et fermai les yeux. Il était temps pour moi de m'endormir aussi, bercé par la chaleur et la présence de Lucas, malgré la fatigue et les incertitudes de la soirée.

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BON ! J'avais dis qu'il serait long ce Lemon mais là ... 4000 mots c'est vraiment pas humains ..

En tous cas j'espère qu'il vous aura plu , mais j'espère aussi que cette petite histoire vous aura plus en faite !

Il y a interet parce que pour écrire 3 chapitres avec plus de 2000 mots dedans bah j'en avais de la détermination 💪

Dites moi vos avis :

J'attend ici aussi :

Bref bah comme d'hab' je vous dis ...

Au prochain 👋.....














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