𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 15




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Pdv maïko

Il vient de me frapper.. mon frère jumeau a lever la main sur moi.

Pas comme dans ces petites disputes ou l'un d'entre eux tapote l'arrière de la tête de l'autre l'air de dire "espèce d'imbécile". Non la il vient de me donner une gifle, j'étais si surprise que par inadvertance j'ai mordu ma lèvre qui s'est mise instantanément à saigner.

Je regarde mon frère en mettant ma main sur ma joue deja rougis par le coup qu'elle venait de recevoir.

Je ne m'attendais pas à ça, je n'ai pas pris le temps d'utiliser mon alter. Apparement lui ne se gêne pas.

Jiyū : maïko hitsu tu vas sortir de cette maison. Je ne veux plus te voir ici ce soir.

Sous l'hypnose de jiyū, je me dirigea vers la sortie. Une fois dehors j'entend la porte se fermer violemment derrière moi. Je n'arrive pas à retenir mes larmes.

Ayant obéi à l'idée de mon frère je suis de nouveau maîtresse de mes mouvements.

Je suis aller dans le parc à côté de chez moi, il doit commencer à me connaître par cœur.

Évidement personne n'est dehors. Sauf moi.

Je me suis assise sur un banc avant de lâcher un soupir de frustration. Et voilà.. je suis à la rue pour la nuit.

J'ai regardé mes bras, ces cicatrices..

J'étais perdu dans mes pensées quand une goutte rouge et chaude tomba sur mon bras.

J'ai cherché dans ma poche pour en sortir un nouveau mouchoir que j'ai porté à ma lèvre.

Un mélange de sang et de larme se sont essuyées dans le tissu blanc.

J'ai fermé les yeux et des sanglots mon arraché de nouvelles larmes...

J'ai mordu une nouvelle fois ma lèvre sur la plaît le plus fort possible. J'avais envie d'avoir mal.. ça m'aide à contenir toute cette colère qui grandi envers mon frère.

Un filet de sang coula sur mon menton que j'ai finalement nettoyé. Après quoi j'ai laisser tomber ma tête, comme si plus aucun muscle ne m'habitait, plus aucune motivation.

Sans y donner beaucoup d'attention je sentis une présence puis des bras entourés ma taille.

Dabi : salut princesse~

Il a tourné mon visage avec sa main et a détaillé mon visage les sourcils froncés.

Dabi : qui t'a fais ça ! Pourquoi tu pleures ?!

Il à regarder de mouchoir plein de sang.

Je n'ai pas réussi à lui répondre, je me suis donc quasiment jeté dans ses bras.

Il n'a pas idée à quelle point il arrive au bon moment.

Un peu hésitant il enroula ses bras autour de moi et caressa lentement mes cheveux.

Dabi : raconte moi, qui s'en est pris à toi ?

A ces derniers mots il me serra plus fort.

Maïko : c'est mon frère.. il est au courant.. pour nous. Ça fait plusieurs jours qu'il me surveille quoique je fasse. O-on en est venu a des dispute rempli d'insultes et.. et une gifle c'est perdu. Il n'avait même pas l'air désolé..!

Dabi : il ne restera pas fière bien longtemps.

Je sens son corps bouger, il c'est levé et se dirige vers chez moi. Mais avant qu'il ne parte je me suis levé à mon tour pour lui attraper le bras.

Maïko : laisse.. je n'ai pas envie que tu partes, je ne peux plus mettre les pieds chez moi de la soirée en plus.. fichu alter de merde !

Il passa un bras derrière mon coup autour de mes épaules pour me ramener à lui. Mon front est plaqué contre son torse.

Dabi : Je pars quelques jours et voilà que ta vie devient n'importe quoi..

Maïko : tu m'as manquer.

Il a légèrement rigolé

Dabi : ouais toi aussi.

Je leva la tête brusquement.

Maïko : attends ! Je fais comment moi ?? J'ai pas d'endroit où dormir, et j'ai rien bouffer depuis ce matin !

Dabi : tu te poses vraiment la question ?

Maïko : euh oui ? C'est pas que le banc n'est pas confortable mais j'aimerais ne pas avoir le dos en bouillie demain.

Dabi : je veux dire.. tu penses vraiment que je vais te laisser dehors seule alors que j'ai enfin la possibilité de t'avoir pour moi une nuit ?

J'ai souris, même s'il n'est pas forcément doué pour réconforter et être attentionné, il se débrouille bien pour me faire penser à autre chose.

Plus je passe du temps avec lui moins je doute du fait que je ne devrais pas me séparer de lui. Je suis persuadé qu'il peut changer, qu'il n'est pas qu'une personne sans cœur qui assassine des personnes pour le plaisir.

On a commencé à marcher côte à côte. Je suis légèrement derrière lui, mes yeux se sont dirigés vers sa main qui se balança au rythme de ses pas tandis que l'autre était dans sa poche.

Je sais qu'il n'aime pas trop les contacts, mais après m'avoir serré dans les bras il peut bien faire un effort et accepter de me tenir la main non ?

J'ai tendu la main vers lui, après avoir frôlé la sienne il a comme sursauter et m'a regarder du coin de l'œil.

Il soupire mais souris en coins quelque secondes après. Je le vois ouvrir sa main et ses doigts, sans attendre j'ai entrelacé mes doigts dans les siens.

Ce geste peut paraître banal et anodin. Mais c'est bien plus profond que ça.

Je lui montre en quelque sorte que je suis décidé à assumer tout ça. Certes il n'y a personne dehors, mais quand bien même si il y en avait je m'en fou. Je sais que aujourd'hui je veux simplement faire ce qui me rends heureuse, et.. il me rend heureuse.

Ca risque d'en déplaire certains, je vais certainement perdre mon taff et des personnes dans mon entourage. Mais s'ils ne sont pas suffisamment ouvert d'esprit pour comprendre que j'ai enfin trouvé quelque chose qui donne un sens à ce que je fais bah tant pis. Je suis prête à faire ce sacrifice.

Il m'a changer et pas en mal. Il y as quelque mois de ça il était impensable que je demande et donne de l'affection à une autre personne.

Maïko : a-attends ! On va où ? Tu me ramènes pas.. là-bas hein ?

Dabi : non je savais que tu n'allais pas forcément apprécier que je t'emmène à notre base.

Maïko : du coup ?

Dabi : on va chez moi, ou veux tu qu'on aille sinon ?

Maïko : je ne pensais pas que tu possédais un chez toi. J'avais entendu dire qu'à votre base il y a des chambres, ça ne m'aurait pas étonné que tu vives la bas.

Dabi : ça t'étonne peu être mais j'ai largement de quoi me pailler un « chez moi »

On a continué à marcher pendant une quinzaine de minutes pour enfin arriver dans son appartement.

Il est.. incroyable.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il ai quelque chose d'aussi grand et clean. C'est même mieux que chez moi.

Maïko : c'est beau. Ça me rappelle la maison d'un des élèves dont je m'occupe.

Dabi : hein ?! Qui ça ?

Maïko : le fils du numéro 2, todoroki shoto.

Dabi : et je peux savoir comment tu connais leur maison ?

Maïko : j'ai eu l'occasion d'y aller quand il fallait faire passer un message à tout les élèves.

Il est resté silencieux.

Finalement la soirée est passé tranquillement, il m'a donné de quoi manger et me changer.

Je me suis donc retrouvé avec un teeshirt noir et long m'arrivant en dessous des fesses. Évidement je n'ai pas de nouveaux sous vêtements sur moi, et j'étais assez gêné au moment de retourner vers lui sachant que je suis "équipé" d'un bas rouge en dentelle.

Mais sous ce long t-shirt on ne la vois pas. Heureusement.

Comme une enfant j'ai senti son haut. Ça me rappelle la première fois où j'avais eu l'occasion de goûter à cette odeur. Si à ce moment là je me serais douter qu'on en arriverait à ça..

Une fois prête je suis retourné à ses côtés, il a souris discrètement à ma vue.

Je ne me souviens plus exactement de l'heure mais j'ai finis par m'endormir sur l'épaule du brun, fatigué de cette journée.

Pdv dabi

Ça fait quelques minutes que je la regarde dormir. Elle a le sourire au lèvre.

Elle serre son- enfin mon t-shirt dans sa main, je dois avouer que la voir comme ça dans mes vêtements.. ça me fait un truc.

Je l'ai porté pour l'emmener sur mon lit.

Avant que je ne me redresse du matelas elle attrapa ma main.

Maïko : attends..

NDA : Bon.. à partir d'ici ca va déraper un peu. Rien de choquant (normalement •-•) je préfère juste prévenir pour ceux qui se sentent gêné face à ce genre d'écrit. (Je vous comprends je l'ai été aussi au moment d'écrire) Rien de degueulasse, je pense que d'autre histoire son mieux pour ça :). En tout cas si ça ne vous tente pas passer au chapitre suivant dès maintenant. ^^







Aaah tu as continué~ et bah bonne lecture :)

Elle a encré son regard vert dans le miens. Nous sommes restés un petit instant comme ça, et sans contrôle je me suis jeter sur ses lèvres pendant qu'elle passe ses mains vers ma nuque.

C'est attractif entre nous, on ne peut pas contenir ce genre de pulsions.

Je sens peu à peu ses mains froides s'aventurer sous mon haut. Je me suis placé au dessus d'elle, sans pour autant stopper notre étreinte.

Son corps ondule légèrement sous le miens. Bordel.. elle me rends fou, je ne suis plus maître de moi même. 

J'ai finis par me détacher de ses lèvres. Elle me regarde en mordant ces dernières.

J'ai souris pour moi même avant de plonger la tête dans son coup. Entre deux baiser je lui chuchote.

Dabi : tu joues à un jeu dangereux..

Maïko : je ne vois pas de quoi tu parles~

...

Maïko : e-eh! Arrête imbécile !

Dabi : mais c'est moi qui gagnera.

Une trace rouges vif est désormais visible dans son coup. Suffisamment haut pour qu'elle ne puisse pas le cacher. 

Assez rapidement elle se retrouva sans en sous vêtements mais n'avait pas l'air gêné ou déstabilisé. Au contraire, elle me sorti un sourire en coin, comme pour le montrer qu'elle est plus forte que moi. J'adore ça.

Je retira mon haut en la regardant. J'aurais juré voir de légère rougeur sur ses joues, mais ça elle ne l'avouera pas.

Il fait de plus en plus chaud dans la pièce, la tension est plus que présente.

Je remonta mes doigts le long de son bras, son l'épaule, sa clavicule puis de descendit lentement vers sa poitrine.

Je fais tomber une bretelle puis l'autre. Avant d'aller plus loin je la regarda.

Elle me sourit, j'en compris qu'elle ne s'oppose pas à ce qu'il va ce qu'il va suivre.

Au bout d'un moment nous sommes finalement tout deux habillées que de notre bas. A ce moment elle a tenter de me faire basculer afin de prendre le dessus. Mais j'ai pas l'intention de me laisser faire.

J'ai emprisonné ses bras de part et d'autre de son visage.

Après avoir récupéré les deux poignets dans la même main, la libre descendu vers sont intimité. Elle laissa échapper un hoquement de surprise quand je fis descendre le petit bout de tissu.

Son désir était déjà bien visible, je suis donc allé titiller son point sensible.

La voyant se retenir je ne me suis pas arrêté bien au contraire.

Elle finit part jouir en lâchant un crie d'extase qu'elle avait tant chercher à retenir. Je libéra ses mains afin d'enlever à mon tour ce qui me couvre.

Dabi : tu.. es sur ?

Maiko : oui.

Je laisse donc mon envie de cette femme prendre le dessus.

En un simple geste, un simple temps, j'avais enfin lié nos corps. Je pouvais enfin déclarer qu'elle était mienne.

Après un moment je finis par a mon tout me laisser allé en elle.

Je me suis moi-même étonné voyant qu'avec elle.. je fais attention. D'habitude je ne suis pas si tendre mais là c'est différent. J'ai vraiment envie de faire attention à cette femme.

Si on m'avait dit que j'allais penser comme ça un jour.

Je ne saurais combien de temps ça à durer, mais c'est avec le sourire que maïko s'endormir dans mes bras après avoir pris soin de remettre son t-shirt

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Ouais c'est pas du lemon de haute qualité j'avais pas vraiment envie de tout détailler quoi et puis c'est la première fois que j'écris ça x) et puis pour les plus jeunes d'entre vous, je vais pas mettre un avertissement contenu mature comme ce n'est pas totalement explicite et hard. Enfin.. ouais contrairement à d'autre histoire quoi. Ce me tenais juste à cœur d'écrire le cap qu'ils ont passer parce que c'est quand même important. Voilà voilà.

Ah et j'en profite pour dire qu'il ne reste plus qu'un chapitre avant la fin ( oui c'est une histoire courte ^^')

2132 mots

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