𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 12
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Pdv maïko
3 jours sont passé depuis cette soirée et je suis enfin en vacances.
Une semaine entière rien que pour moi. Même si je pense m'ennuyer c'est moins chiant que de ce dire que je suis obligé d'être chez moi.
Mon frère n'est pas là aujourd'hui, je suis donc seule à l'appart.
Hawks m'a envoyé plusieurs messages le lendemain de cette soirée.
Message de : hawks
9:56
Salut, je m'inquiétais,
hier tu n'avais pas l'air
bien en rentrant, tout
vas bien ? Vu
S'il te plaît réponds moi. Vu
Je veux juste m'assurer que tu ailles bien.
Oui tout vas bien ne t'en fais pas
Je suis là si tu as besoin.
Ça ira merci.
Depuis il me parle souvent, trop souvent.
Non pas que ça me dérange, je l'aime beaucoup, on a presque le même âge, et on se rejoint sur certaines choses. Mais.. c'est tout.
Je pense être sur de ce que je veux maintenant, et ce n'est pas avec lui que je vois les choses.
Je me suis levé de ma chaise de bureau. J'ai ouvert la fenêtre.
Maïko : je sais que tu es la, tu veux pas venir deux minutes ? J'ai à te parlé.
...
Le silence. Aucune réponse, aucun mouvement.
Maïko : dépêche toi mes voisins vont me prendre pour une folle à parler toute seule à la fenêtre.
J'ai vue les feuille de l'arbre en fasse trembler. Je me suis reculé et quelques instants après il était debout dans ma chambres avec un léger sourire moqueur sur le visage.
Dabi : salut princesse.
Maïko : *soupir* salut. Bon écoute, je ne vais pas te le répéter deux fois. Il est vrai que ce soir la tu avais raisons, pour.. tout. Et je sais que je n'arriverais pas à ne plus y penser tant que ce qu'il doit se passer ne se saura pas produit. Donc oui je suis peu être attiré par toi, mais je peux pas.. je- et puis merde. Je suis un hero, et toi un vilain nous ne sommes pas censé être si.. proche. Tout mon entourage est constitué de hero, m'afficher avec toi serais comme montrer que je suis de votre côté et ça n'arrivera jamais.
Dabi : qui à parler de s'afficher ?
Maïko : joue pas à ça, je sais comment tu fonctionnes, rester discret n'est pas dans ton vocabulaire pour ce genre de chose. Tu serais près à tout pour provoqué les héros et je veux pas faire partie de ce « tout ».
Dabi : Mmh.
Il c'est approcher de moi toujours de sourire sur les lèvres.
Dabi : malgré ça tu reconnais que tu n'es pas insensible à moi ?
Maïko : ... peu être pas.
Dabi : ne joue pas les réserver avec moi.
J'ai levé les yeux vers les siens.
Un sourire en coins viens déformer mon visage initialement impassible.
Je me suis mise sur la pointe des pieds et c'est en gardant mon sourire que j'ai scellé mes lèvres aux siennes.
C'est officiel, je me lance encore dans un gros bordel.
Jiyu : maïko ? Tu es la ?
Oh.. manquait plus que lui.
J'ai regardé dabi dans les yeux en répondant à mon frere.
Maïko : ouais j'arrive !
J'ai activé mon alter.
Il s'est mis à sourire.
Maïko : *chuchote* n'y pense même pas ! Sors de la avant qu'il arrive.
Dabi : je ne vois pas de quoi tu parles~
Sa main ses glisser sur ma taille jusqu'à ma hanche.
Mon frère a toqué et la porte et la ouvert deux secondes après.
Je l'ai regardé, paniqué
Jiyū : bah alors qu'est-ce que tu fais ici ? Tu vas bien ?
Maïko : e-euh
J'ai regardé derrière moi, évidement il n'était plus là.
Maïko : ouais ça va, viens on va dans le salon, j'ai faim.
Jiyū : ouais, et pense à fermer ta fenêtre.
Il est sorti de ma chambre, je me suis avancé vers ma fenêtre, j'ai souris en direction de l'arbre. Je savais qu'il était encore là, qu'il me regardait. Puis je l'ai fermé avant de rejoindre mon frère.
Jiyū : bah alors, t'es plus en phase déprime ?
Maïko : hein ? Quelle phase déprime
Jiyū : ces derniers jours tu tirais une de ses têtes et là te voilà toute souriante. Je peux connaître la raison ?
Maïko : mmh.. non.
Jiyū : qu-quoi ? Mais je suis ton frère tu peux me le dire.
Maïko : ce n'est pas une excuse valable.
Jiyū : tu fais quelque chose le week-end prochain ?
Maïko : tu es bien en avance, on est que dimanche et tu penses déjà à la fin de semaine prochaine.
Jiyū : ouais mais je travaille cette semaine donc les seuls moments où je peux sortir c'est le week-end. Je préfère préparer a l'avance.
Maïko : ok, tu as quelque de prévu ?
Jiyū : ca depends, si tu ne fais rien je vais rester avec toi sinon je vais voir Yüna.
Maïko : Yüna ? C'est donc ça son nom
Jiyū : ouais.. du coup ?
Maïko : oui j'ai des choses à faire.
Le samedi, mon frère était sorti des 13:30. Personnellement je ne sais toujours pas à quelle heure je- enfin il va arriver.
Mon telephone se mis à vibrer. Argh.. c'est hawks.
Maïko : Allo ?
Hawks : salut maïko, dis moi tu sais où es ton frère ?
Maïko : Il est sorti mais pourquoi tu ne l'appelles pas directement ?
Hawks : tu es toute seule ?
Maïko : euh.. oui
Hawks : tu veux bouger ou tu préfères rester chez toi ?
Maïko : n-non j'avais prévu de faire quelque chose.
Hawks : c'est important? Tu peux être faire plus tard non ?
Maïko : je ne peux pas vraiment repoussé ca à plus tard.
Hawks : aller s'il te plaît, je connais un endroit cool où on pourrait aller. Tu vas voir qui pour que tu ne puisses pas décaler ?
Maiko : ça ne te regarde pas et puis j'ai dis non. Je suis vraiment occupé, et-
Des mains on entourer ma taille. Bordel il m'a fait peur.
Hawks : maïko ?
Maïko : e-écoute je vais devoir raccrocher, désolé mais je suis occupé aujourd'hui à la prochaine.
Hawks : attends-
J'ai raccroché.
Dabi : il te tourne beaucoup autour le Piaf.
Maïko : un peu, mais ça va encore. C'est la première fois qu'il me fait une scène comme ça.
Dabi : c'est une fois de trop.
Il m'a retournée pour que je sois fasse à lui et m'a embrassé assez brutalement, enfin à sa façon quoi.
C'est si.. normal. Comme si ça faisait déjà un moment que nous étions ensemble.
Évidement je ne sais toujours pas comment gérer le fait que ce soit un vilain, je ne partage pas ses actes, je ne suis pas en accord avec ses agissements.
Malgré ça je l'accepte tout comme lui accepte le fait que je sois du côté des héros.
Mais ça les autres ne le voit pas de la même manière. On ne peut pas se permettre d'aller n'importe où.
On a donc passé la journée ensemble chez moi, mon frère ma prévenue qu'il rentrait le soir.
C'est devenue comme habituelle de se voir sans que les autres ne le sache, jiyū envoie toujours un message avant d'arriver pour être sûr que je sois à l'appart. Donc soit nous sommes déjà dehors et je rentre chez moi, soit il est a la maison et je le fais sortir avant que mon jumeau arrive.
Pour l'instant tout ce passe bien. Mais pour combien de temps ?
𓆙
1207 mots
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