IV - Bacchus
Nous n'avons plus rien alors continuons à boire !
Ami! Partagez donc ce vase que je puisse voir,
une dernière fois tirer la joie sur mon visage.
Ivre, me commémorer de ces doux paysages
Suivre les sentiers battues de ces terres perdues.
Je défaille-saoul- face aux étendues disparues,
ma vue s'embrume, un arrière-goût âpre d'amertume,
je revois la mer battre contre les côtes et l'écume,
se briser en mille éclats sur les roches d'ivoire.
Le vin coule à flots lentement, je me sens choir,
et me laisse guider par cette mélodie joviale.
Dans ces souterrains, sous une ambiance conviviale
Nous savons tous que le lendemain ne sera pas.
Profitez des plaisirs ! Enlacez cette femme-là,
Prenez celui-ci contre votre corps, vos lèvres
que vos langues dansent, s'entremêlent à cette fièvre.
Glissez sur sa peau suante,tout perd de son sens
au bord de la mort il ne reste que la démence.
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