Le.s rêve.s
Tirais de mon sommeil par le soleil, je m'étire.
Je n'ai jamais aussi bien dormi qu'ici.
Les parisiennes de la fenêtre dévoilent un soleil matinal. Je m'assois, je tourne la tête à droite à gauche puis je me rallonge.
Cette fois je remarque Valentin. En boule sur le rebord du lit.
Il a le visage calme, apaisé.
Je met ma main dans ces cheveux et entreprends de lui masser le crâne.
Il ouvre ses petits yeux bleu encore endormi.
— Bonjour.
Sa voix n'est qu'un faible murmure.
— Salut beau gosse.
Il m'attire à lui, me fais des bisous dans le cou.
Je sais ce qu'il fais et sa marche.
Il descends toujours plus bas pour atterrir sur ma poitrine.
Il s'arrête là, son souffle chaud me donne des frissons.
— Valentin ?
Il est inactif. Il n'a pas bougé de son endroit.
— Valentin ??
Je prends son menton et relève sa tête. Il a les yeux clos.
— Tu t'es rendormi ? Dis-je pour moi-même.
Je me lève du lit. Je remarque que je ne suis quand petite culotte.
Oh mon dieu. Je prends à la va vite un tee shirt qui traînent par terre.
Je l'enfile et me dirige vers la porte.
Je l'ouvre.
Du bruit.
Trop de bruit.
Je la referme.
Rien.
Pas de bruit.
De grandes mains me tiennent fermement par la taille. Je me retourne vers mon beau br... blond ?
Je regarde Valentin. Qui n'est pas Valentin mais Jake. Une tâche rouge sur son crâne.
Du sang...
Je bégaie :
— OH NOM DE ZEUS !!! JAKE ??? Mais qu'est ce que...
Je ne fini pas ma phrase.
***
Pour me réveiller je hurle. Enfin mon subconscient hurle.
Je me retrouve dans la chambre. Valentin est debout près à agir.
Oh non de Zeus.
Je contourne le lit et le prends dans les bras et pleure toutes les larmes de mon corps avant de me souvenir de mon rêve.
Je déglutit, relève ma tête et vois un Valentin fatigué, mais toujours aussi canon.
Je souffle de soulagement.
— Salut ma belle. Bien dormi ?
— Oui. Mais toi en revanche non hein ?
— Non, en effet.
— Qu'est ce qui s'est passé ?
— Tu... tu a hurler la moitié de la nuit. Mais d'un cri qui arrache les tympans. Mais j'étais là pour te surveiller. On c'est pas pourquoi tu hurlais alors... alors Circé t'a donné une boisson, tu t'en souviens ? Dedans il y avait un somnifère puissant. Très. Puisque après tu n'a fais que bouger.
Je le regarde, le creux de ses cernes son visible.
Puis il continue :
— Tu m'a même éjecté du lit. Trois fois !!
Je rigole.
—Merci. Pour tous ce que tu à fais cette nuit. Je le prends dans mes bras. Et désolée de t'avoir poussé.
Ma main tremble sur la poignée.
Je me retourne vers mon fiancé pour être certaine qu'il est là et qu'il va bien.
Valentin est là à m'a regarder.
J'ouvre la porte.
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