Bye bye la Lance !

Je m'installe dans la voiture prête à enterrer une bonne fois pour toute la tueuse de Dieu.

Mon père a eu la formidable idée de la cacher aux yeux de tous devant la vue de tous le monde : le Parthénon.

La statue d'athéna est immense, les dorures faites sur sa tiare sont belle. Ses cheveux bouclés, sa posture, tout est tellement réelle.

— Nous attendrons la nuit.

Nous passons le reste de la journée dans un parc, à l'ombre d'un arbre la vie est bien moins chaude.
Mon père et pouliche qui bien sûr a pris de la brume, court après un Frisbee. Ses deux petites jambes sont trop mignonne.

Elle rigole de partout, essayant en vain d'attraper le jouer.

Je regarde Jake, la main posé sur mon ventre bien arrondis.

— Elle va être magnifique, comme toi.

Je regarde mon monde, le monde ou j'ai grandi, l'obscurité pointe le bout de son nez.

Le monument est vide, nous réussissons à y rentrer grâce à un garde assommé allonger par terre.

— Tiens, dis-je à Jake en lui tendant la lance.

Ses yeux bleu se plongent dans les miens :

— Aller cache là.

Je me retourne, mon père fais de même, on sait jamais. Pouliche est rentré faire le dîner, elle veut absolument me servir comme une princesse.

Elle prétends que chez elle ce sont les enfants qui font tous lorsque la femme est enceinte.

Jake est le seul à pouvoir se faire oublier la mémoire. Donc c'est lui qui doit la cacher.
Nous ne trouverons plus jamais la Lance Du Destin. Personne ne l'a trouvera.

Jake s'en va, je ne sens plus son souffle sur ma nuque lorsqu'il m'a embrassé.

— Ça va ? Me demande mon père.

— Oui et toi ?

— Tant que tu va bien et elle aussi, alors oui.

Je lui sourie, il a changé.

— Je... je suis désolée de t'avoir menti.

— Je ne te pardonnerai jamais papa, tu m'a menti pour te protéger. Tu sais que je ne me suis jamais senti bien dans ce monde. Pourtant tu a continuer. Une sale gosse de riche j'étais.

Après une minute de pose je reprends :

— .... Mais je t'aime. Enfin je t'ai aimé comme mon père. J'avais une vie que tous le monde aurai voulu.

Jake reviens, tous souriant.

— C'est bon ! Une bonne chose de faite.

Athéna, je t'en prie protège la.

— T'es désirs sont des ordres ma belle.

Jake me prends la main et là baise.
Nous rentrons tous à la maison, voire Pouliche.

Les mois qui suivirent furent identiques : petit déjeuner à 8h30 ; promenade ; déjeuner à 12h00 ; sieste ; brunch à 16h15 ; activité ; dîner à 21h00.

La routine s'installa comme la peste sur un rat.

Jusqu'à un soir de Septembre où je perdis les eaux.

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