Teacher tell me what's my lesson
Où Louis souhaite envoyer une photo osée à sont petit ami, mais qu'il se trompe de numéro et l'envoie à son professeur d'histoire.
Mi-présence de 🍋
PDV:Louis
J'ai peut être un peu bu, mais pas assez pour ne pas être conscient de mes gestes.
Zayn n'est pas venu à ma fête. Enfin notre fête. Ce soir, c'était nos trois ans de couple. Il ne s'est même pas pointé cinq minutes.
Notre histoire à pris un mauvais tournant. Je crois qu'on ne s'aime plus. C'est vrai, tout été fort, intense et splendide au début, lors de nos dix-sept ans. Puis une fois à l'université, ça a dérapé.
Il a rencontré ce Lyum ou Lima, ils ont couché ensemble, puis Za' est revenu la queue entre les jambes pour s'excuser. Je lui en ai mis une. Il l'avait mérité. Non? Il m'a brisé le cœur plus d'une fois, mais à ce moment là, c'était comme si tout s'arrêter, mes sentiment pour lui, cette envie de le prendre dans mes bras, de l'embrasser, de ne pas le partager. Tout s'est envolé. Mais j'ai fermé les yeux, j'ai serré les dent et je l'ai pardonné.
Je ne sais pas combien de fois c'est arrivé. Je ne les compte plus. Mais il revient toujours ramper à mes pieds. Parfois j'ai la sensation que ça me manque, nos fou rire, nos bisous, notre amour, lui, il me manque. Et ce soir, c'est le cas. J'ai envie de tout rallumer. Je veux lui faire comprendre ce qu'il perd. Je veux lui mettre l'eau à la bouche. Je veux qu'il regrette de ne pas être ici. Je prend une photo.
J'ouvre l'application S. M. S. allant dans ma première conversation, c'est forcément Malik. Je l'ai complètement incendié tout à l'heure. Mais par colère j'ai supprimer son numéro...
➡+352 693 5687
On aurait pu s'amuser, dommage, tu n'es pas là...
✔1 a.m. 23
Mon message est lu instantanément. Je respire fort. Je veux qu'il me rejoigne, qu'il se glisse dans mes draps, qu'on s'aime comme avant. Je veux juste qu'il soit présent. Et mon téléphone vibre, mon souffle de coupe.
⬇+352 693 5687
Bonsoir, Tomlinson. Ici ton prof d'histoire. Je t'avais seulement demandé de me rendre le travail du second trimestre. Je ne m'attendais pas à un tel projet... C'est dommage, le message est hors sujet. Je suppose que tu t'es trompé de numéro. Fait attention la prochaine fois. Bonne nuit, Louis.
H.
✔1 a.m. 25
...
HO MON DIEU.
Homondieuhomondieuhomondieuhomondieeeeeeu.
Non?! J'ai pas fait ça?! Je lis, relis et Re relis le message. Mais si. Si putain. J'ai envoyé une nude à mon putain d'enseignant. Mais c'est pas possible! Y'a que moi pour faire ça! Je suis tellement pas doué! Argh, merde, il faut que je m'excuse... J'ai trop honte... Je suis sensé lui dire quoi moi maintenant ?!
De plus, c'est Monsieur Styles... J'ai le beguin pour lui depuis que je suis à dans cet établissement. Il n'a que trois ans de plus que moi. Si avec Zayn c'est fini, je viens de ruiner mes chance avec Harry fucking Sexy Styles.
Mes joues me brûlent tant elles rougissent. J-je... Wow... Bon... Je dois avoir trop bu. Ouais, c'est l'alcool. C'est ça. J'hallucine complètement. Je... Je vais éteindre mon truc et je vais dormir. Voilà.
C'est un bon plan ça non? Si. Si. Si. Je fais les choses ditent. Et une fois allonger, mes yeux se ferment seuls. Quel incroyable connerie...
⬛⬛⬛
J'entre dans le bâtiment pour la deuxième fois de la journée, après la pose midi, une capuche sur la tête, trop gêné pour l'enlever.
Figurez vous que ce matin, j'ai eu le malheur de découvrir que tout ça n'étais pas qu'un cauchemar. J'ai peur de croiser Styles. Dans tout les cas, je me dois de le voir. Je suis avec lui en dernière heure aujourd'hui. Niall mon meilleur ami est à côté de moi, il soupire bruyamment.
-Il ne nous reste plus qu'un cour.
Ha Oui, et la dernière heure, c'est maintenant...
La sonnerie retenti. Je suis mort, mort, mort et archi mort de gêne. J'enfonce ma tête dans mon sweat en attendant devant la salle qu'Harry ouvre.
Je sens une main se glisser dans le bas de mon dos, me faisant frissonner sans le vouloir. Quelqu'un retire ma capuche et je grogne.
-Je ne veux pas de couvre chef dans ma classe, Louis... Me mumure t-on à l'oreille.
Et merde. Encore lui. Je rougis immédiatement, détournant la tête, honteux. Je l'entend pouffer bêtement en tournant la clé dans la serrure. Il ouvre et nous fait entrer. Je part tout de suite au fond de la classe, m'assoie et laisse mon visage tomber entre mes bras. Je sens que ça va être long.
Je n'ai pas vu mon petit ami aujourd'hui. Liam non plus... Je suppose qu'il ont fêté notre trois ans ensemble. MES trois ans à MOI et Zayn.
Je crois que c'est bel et bien fini. Je trouve ça douloureux, mais honnêtement, c'est supportable. Quand quelqu'un te blesse trop, arrive le point de non retour, le moment où tu ne ressens plus ce qu'il cherche à te faire éprouver. J'ai trop pleurer, ça n'arrivera plus pour lui.
Je lui enverrai un message pour rompre ce soir. Je sais que c'est lâche, mais je n'ai pas la force de le regarder dans les yeux et d'effacer nos promesses en quelques mots. Ho, toute cette histoire me prend la tête et je n'ai presque pas dormi cette nuit. Je suis épuisé.
Je me permet de fermer les yeux quelques instants...
⬛⬛⬛
Une odeur enivrante d'after shave flotte autour de moi. Puis un souffle chaud dans ma nuque me pousse à me remuer.
-Je peux comprendre que tu ais mal dormi. Je soulève brusquement ma tête et celle-ci se cogne contre son torse. Doucement, je ne vais pas te manger. Chuchote t-il en riant. Je regarde autour de moi, il n'y a personnes. Ça a sonné, Louis. Tout le monde est parti. J'ai demandé à Horan de ne pas t'attendre. Il passe sa tête au dessus de mon épaule, regardant mon cahier. La page est vierge. Tu t'es visiblement bien reposé.
-Désolé... Soupirais-je. Désolé pour la... La photo... Et le message...
Il s'assoit sur le Bureau a côté de moi, me fixant, un rictus étrange en coin. Il n'a pas l'air dérangé par ce qu'il s'est passé.
-Ne t'excuse pas. On s'est tous déjà trompé de destinataire. Il marque un temps de pose, dévisageant mon t-shirt. Et puis, j'ai été surpris, pas déçu.
Mes yeux s'agrandissent comme des soucoupes. Comment ça ''pas déçu''?! Il ne serait pas en train de me draguer quand même?! Alors je n'ai pas ruiné mes chances avec lui?!
Je prends un air innocent, penchant mon visage sur le côté.
-Pas déçu? Demandais-je bêtement.
De ses grandes mains, il attrape l'une des petites miennes, caressant le dessus avec ses pouces. Il la fixe, un petit sourire narquois scotché sur sa gueule d'ange.
-Et bien, disons que cela peut paraître mal placé, mais, mes yeux sont restés bloqué sur l'image. Ton corps est... Sublime. Ta peau paraît douce, sans imperfection. Son Index remonte lentement mon bras dénudé. Un peu comme une poupée de porcelaine. Puis il glisse délicatement sur ma gorge, ce qui me fait haleter. J'ai chaud. Ça donne sincèrement envie d'y goûter. Il fini sa course sur ma lèvre inférieure, ses prunelles louchant ainsi dessus. Il s'approche jusqu'à n'etre qu'a quelques millimètre. Sa respiration s'echoue contre la mienne. J'avoue être jaloux de la véritable personne visé.
Je rougis, j'ai l'impression d'être complètement en feu. Je meurs d'envie de l'embrasser. Juste comme ça, sans même lui répondre. Évidemment, c'est exactement ce qu'il attends.
Non. Ce serait trop simple. Il souris victorieux, alors que rien n'est encore joué. Je veux compliquer la tâche ce serait trop comme il le souhaite. Je ne suis pas quelqu'un qui te donne tout ce que tu veux sur un plateaux d'argent Harry, et tu vas le comprendre.
Je tourne la tête, me lève et prends mes affaire. Il a cette air perdu sur le visage, ce qui me faire rire.
-Ne crois-tu pas que ce n'est pas égale ? Je n'ai reçu aucune photo, moi. Si tu m'en envoie une, mon adresse est a toi, je laisse toujours la porte ouverte. On pourrais finir cette discussion. A bientôt j'espère.
Puis je passe la porte, la claquant derrière moi. J'avance dans les couloirs vides en ricanant seul comme un imbécile.
Je l'ai bien eu! C'etait tellement drôle, l'incompréhension dans ses yeux! Il ne faut jamais jouer avec moi, je suis toujours le plus fort, celui qui a le dernier mot. Si il décide de continuer, il le verra bien vite. Mon téléphone vibre dans ma poche. Je l'attrape et c'est un message de styles.
⬇+352 693 5687
Attends moi la où tu es, ton adresse est mienne.
✔3 p.m. 27
Qu-quoi?! Comment ?! Je m'arrête de marcher sous la surprise. Et là, c'est le choc. Ho merde, je bande. Louis fait un infarctus. C'est quoi ça?! C'est humain?! Il n'est définitivement pas humain. Tout ça en quelques minutes.
Non, c'est pas croyable. Ces traits, cette peau, ces tatouages, tout. Tout est fascinant. Tout est splendide, mieux que je l'imaginais. Puis soudainement, deux mains se glissent sur mes hanches, me poussant à avancer. Son souffle fait bouger mes cheveux. On se dirige vers la sorti.
-Cette photo... Tu l-
-Je l'ai prise hier soir pour te l'envoyer en retour, ce que je n'ai pas effectué, par peur de te faire fuire.
Fuire de quoi? Fuire de rien du tout! Moi je reste. Moi je suis la, et tant qu'il ne m'auras pas touché à en devenir fou, je ne pars pas.
On monte dans sa voiture. Je lui donne l'emplacement de mon appartement. Et dire que c'est la première fois qu'on parle en dehors du bahut. Il commence à rouler. Styles à toujours eu un comportement étrange avec moi. Sa main dans le bas de mon dos. Se coller à moi pour m'expliquer la leçon, ébouriffer mes cheveux en riant, me donner des surnoms. À mes yeux ce n'était qu'amical pour lui. Mais visiblement non. C'est une bonne chose. Une réel bonne chose.
Zayn n'a jamais trop aimé ma proximité avec lui. Et là, je m'apprete à le tromper. Comme il le fait depuis des mois. Mais je ne suis pas comme ça. J'ouvre mon smartphone pour lui envoyé mon message de rupture mais Harry place une main sur ma cuisse.
-Tu écris à qui?
-Jaloux?
-Curieux.
-Mon presque ex petit ami.
-Le véritable destinataire ?
-Sûrement.
-Tu veux rompre?
-Oui...
Il me prend mon téléphone des main et le glisse dans sa poche.
-Laisse moi faire. Je m'en occuperais plus tard, on est arrivé.
-Tu n'as même pas mon code.
-Quatre zéro? Je baisse la tête honteux. Oui. C'est vrai. C'est très ingénieux. J'aurais pu trouver mieux mais j'aurais oublié à coup sûr. Moi et ma mémoire. Une courte histoire d'amour. Je m'en doutais. Je sors du véhicule, il sort également puis le verrouille. Il attrape délicatement ma main et enlace nos doigts. Je le regarde de manière Interogative. J'espère que ton adresse n'est pas seule à être mienne. Répondi t-il simplement.
Je souris, serrant mes phalanges contre les siennes plus fort. Il est plus doux que je ne le pensé.
Lorsque j'ouvre la porte il a encore ce tique de me tenir possessivement par la taille. Comme si j'etais son trésor et qu'il avait trop peur de me lâcher. Je trouve ça mignon. Enfaite c'est même carrément craquant.
J'ai à peine le temps de poser mes affaires sur la table du salon qu'il me pousse sur le canapé. Mon cœur loupe un battements puis se met à jouer de la batterie comme Keith Moon. Okay, il profite de ma position, autrement dit, du fait que je sois allongé pour se glisser entre mes cuisses.
Puis lentement, ses lèvres épousent les miennes pour la première et j'espère pas dernière. Un sensation incroyable envie tout mon être, jusqu'au bout de mes doigts. L'air devient électrique et il mouve délicatement ces délicieux croissants rosés. Je lâche involontairement un gémissements de satisfaction. C'est mieux que tout ce que j'ai pu imaginer ou espéré. Il a un goût exquis, ressemblant à de la framboise. Je souris à l'idée qu'il puisse mettre du labello. Il s'écarte doucement, l'air interrogateur.
-Ton baiser était fruité. Riais-je.
Il détaille chaque parcelle de mon visage puis il souffle et cette fois c'est moi qui le questionne sans parler. il fronce les sourcils en murmurant sérieusement:
-Ce n'est pas normal. Quand tu es près de moi, mon cœur bat vite. Trop vite.
Ma respiration se coupe, mes joues prennent une teinte rougeâtre et il a un rictus victorieux. Il tire sur mon pull, enlevant également mon t-shirt, me mettant torse nu. Sans que je m'y attende, il plonge sa tête dans mon cou. Je soupire fortement en le sentant embrassé fébrilement ma peau. Il laisse maintes et maintes marques, morsures, suçon, sa bouche effleure ma clavicule et je me cambre soudainement en poussant un grognements, serrant sa chemise. Il relève des yeux noirs de désire vers moi.
-Point sensible?
Je hausse les sourcils, haletant, en sachant pertinemment qu'il se moque de moi. Ho, il veut jouer? Je le pousse sur le côté, changeant les positions, puis je monte cheval sur lui, passant mes cuisses de part et d'autre de ses hanches. J'appuie mes fesses sur son bassin et il passe ses doigts le long de mon ventre en soufflant d'aise. C'est à mon tour de pose mes lèvres, d'abord sur sa joue, puis de suivre la ligne de sa mâchoire, arrivé sous son menton, il bascule la tête en arrière et je souris espièglement en me plaçant face à lui.
-Point sensible?
Il pouffe doucement et je defait sa chemise, lui arrachant presque. Il ne râle pas pour ça. C'est un bon point. Je parsème sont torse de mes mains, découvrant chacuns de ses traits, sous ses plaintes sourdes. D'ailleurs fait étrange,il à quatre tétons. Mais je trouve ça plutôt amusant enfaite. Je commence à rouler des hanches contre lui et il perds le contrôle. Il se redresse, me renversant violemment sur le sofa, une fois au dessus de moi, il retire aisément mon jogging pour venir jouer avec l'élastique de mon boxer et je ressens ce sentiments fou, cette excitation, cette appréhension, l'adrénaline. Je me sens bien.
-J-Je...
-Tu peux. Le coupais-je.
Il glousse bêtement, puis lentement, sa main passe dans mon sous vêtements. Tout mon corps se contract lorsqu'il me touche avec douceur. Je serre simplement les draps en suffocant. Il attrape fermement mon sexe déjà dur, le pompant avec précaution et je ne devient rien de plus qu'une boule gemissante. J'aime ce qu'il se passe, sa façon de me tripoter. J'en viens même à oublier qu'il est mon professeur, qu'on n'a pas le droit de faire ça, que je trompe mon copain. Je me sens léger, une chaleur indescriptible prend de plus plus d'espace dans mon bas ventre. Ce n'est pas suffisant. Je le veux lui.
-S-Styles, pl-plus...
Sa bouche s'écrase violemment sur la mienne. Sa langue taquine ma lèvre inférieure, me forçant à les ouvrir. Il explore sans gène ma voix buccal, me forçant à lâcher des bruits obscènes qui viennent mourir dans sa gorge. Il me rend fou. Je veux le déshabiller, le faire hurler. Je veux lui procurer un plaisir dingue aussi. Je m'occupe de le débarasser de son pantalon ainsi que de son boxer. Il frémit lorsque son érection entre en contact avec l'air froid de la pièce. Puis il s'écarte à contre cœur de moi pour murmurer.
-A-appelle moi Harry...
⬛⬛⬛
Tout ses membres tremblent tandis que je suis parcourue de spasme. Je viens subitement sur son torse en un cris aiguë et il ne tarde pas à me suivre d'un grognements, dans ce paradis orgasmiques, rien que tout les deux. Épuisé, je me laisse tombé contre son torse chaud, le respiration chaotique. Posant ma tête sur son épaule.
-Promet moi que ce n'est pas la dernière fois... Je chuchote.
Il rit doucement, amusé par la situation, sûrement aussi par mon ton de bébé fatigué.
-Je te promet que c'est la première fois d'une longue série. Il m'observe, l'air stupidement heureux. Tu sais, ça faisait longtemps que j'en avais envie. Je veux dire, juste être proche de toi, apprendre à te connaître...
-Quoi tu me stalkais? Je souris.
-Peut-être... Fit-il sur un thon mystèrieux et j'éclate de rire.
Je me blottie d'avantage contre lui en soupirant de bonheur. Il embrasse doucement mon front. Malheureusement, il se lève, me prend dans ses bras, comme une princesse mais je ne bronche pas.
-Où est ta chambre, Lou'?
Je lui pointe du doigts la porte à sa gauche et il nous y emmène. Il me pose sur le lit, me couvre, comme si j'étais une poupée, j'adore ça. Je le vois attrapé son Jean noir, puis il en sort un téléphone et les yeux se ferment, trop fatigué pour continuer d'essayer de suivre.
-
⬇+352 699 5683
Salut Zayn! Ici le nouveau copain et future mari de ton, je te l'annonce, EX! Tu sais, le gars avec qui tu devait fêter tes trois ans hier, il s'appelle Louis, au cas où t'as oublié. Sache que tu à été à chier, mais t'inquiète pas, je prends la relève et je suis bien meilleure. Il sera heureux avec moi. Il sera comblé. Même si tu l'as blessé, je doit admettre que vous avez sûrement du avoir de bons moments, alors merci. Merci de l'avoir fait sourire quand je n'était pas encore là. Vas te faire foutre pour les larmes que tu as fait couler. À présent, c'est avec plaisir que je t'annonce que c'est fini. Je prendrais soins de lui. Passe une bonne soirée, une bonne année et une longue vit. Tu peux avancer, il dort paisiblement.
H.
✔4p.m. 12
-Hazzy... Reviens dans le lit, j'ai froids...
-J'arrive chaton.
Endddd
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