12🌖
Harry styles:
[1 p.m. 38] " Le manque n'est rien d'autre qu'une overdose de vide. " Frédéric Beigbeder
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Je suis là. Allongé dans mon canapé, une poche de glaçons fondues sur la joue. Enfin, ''je suis là''... Sans vraiment l'être. Mon esprit est ailleurs, il est loin. Il a décidé de se faire la malle, parce que les choses deviennent trop compliquées pour que je survive. Il préfère s'enfuir que de me tuer. Et pourtant, honnêtement, je ne souhaite que ça. Je ne suis encore pas allé en cours, ma mère est à la maison, par conséquent, je n'ai pas pris trop de médicaments. Elle m'a demandé ce qu'il s'était passé, et comme je me l'étais promis, je lui ai simplement répondu que j'étais tombé. La petite voix dans ma tête n'a pas pu s'empêcher de rajouter ''amoureux''. J'entends la sonnerie retentir dans toute la maison. J'espère qu'une chose, que ce ne soit pas Louis. Dans tous les cas, ma maman me protégera. Il ne me fera rien. D'ailleurs, celle-ci va ouvrir. Je l'entends parler quelques minutes, puis des pas résonnent dans la pièce. Je ne me lève pas pour autant. Je ne veux pas voir du monde. Je ne veux pas voir le monde.
-Harry, il y a un de tes amis qui est venu te voir.
J'écarquille grand les yeux, pitié, non. Je ne veux pas. Je ne peux pas. Ce serait trop dur. Ça ferait trop mal. Je me redresse doucement sur le sofa, le faisant grincer, puis tourne la tête, les larmes aux cils, priant pour ne pas me déchirer dès que je croiserai son regard. Mais à ma plus grande surprise, je me noie dans des orbes chocolat et non Galaxy. Je frissonne de soulagement.
-Liam. Soufflais-je.
-Styles. Il Hoche la tête en guise de salut.
-Je vous laisse monter dans ta chambre. Me sourit ma mère.
Je fais signe à Payne de me suivre, on monte les escaliers, je le fais entrer dans la pièce avant moi et ferme la porte derrière nous.
-Comment vas-tu? Lance t-il en s'asseyant sur mon lit.
-Ho,je t'en pris. Au diable la politesse, on sait l'un comme l'autre que nous ne sommes pas amis. Repondis je en me plaçant près de lui. Que me vaut ta visite?
Il hausse les sourcils, d'abord surpris, puis soupire, résigné.
-Je dois te parler de Louis.
À l'entente de son prénom, mon cœur se serre et ma douleur à la mâchoire se fait plus vive. Pourquoi Louis? Toujours Louis est encore Louis ? On ne peut pas me foutre la paix quelques minutes avec cet abruti ? Les gens ne comprennent donc pas que je ne supporte pas de le savoir partout autour de moi alors qu'il n'est plus là. Alors qu'il ne le sera plus jamais. Je ne veux plus le sentir, l'écouter, le toucher, lui parler. Je ne veux juste plus douiller. Mon camarade remarque que ça ne va pas. Il pose alors sa main sur mon épaule.
-Harry, je sais que ça va être compliqué à entendre mais je dois te parler de ce qu'il a vécu. Mes pupilles s'agrandissent comme des soucoupes. Comment ça? Je dois te parler de sa sœur, de son père, de sa mère. De pourquoi il ne marche plus droit sur le chemin de l'avenir, de pourquoi il lâche prise et de pourquoi il a besoins de toi.
-Tu ne penses pas que c'est à lui de m'en faire part?
-Il n'en serait pas capable. Il ne peut même pas prononcer son nom.
Son nom? Le nom de qui? De sa sœur? Mon interlocuteur voit que je réfléchi alors il me detailles puis murmure:
-Harry, qu'est-ce que tu sais?
Ce que je sais? Sûrement pas assez ou peut-être trop. Je sais que Louis est cassé. Je sais qu'il meurt. Je sais qu'il s'en sort aussi bien que moi. Je sais qu'on en crèvera. Je sais qu'il se fiche pas mal de moi.
-Je sais qu'il a tué sa sœur.
Liam baisses les yeux d'un air desolé. Ça le blesse.
-Officieusement, c'était un accident Styles.
Je me doute bien qu'il ne l'a pas planté volontairement.
-Que s'est-il passé ?
En y pensant, je suis en train de gagner mon pari. Je ne suis pas sur de pouvoir le dire à l'affreux Tomlinson. Et puis quel pari? Plus rien ne tient. On s'est lâché.
-Tu dois savoir que Louis et moi avons toujours été amis. Cela n'a pas changé, même quand Zayn à commencé à le traîner plus bas que terre. Baiser avec n'importe qui, se droguer, boire, juste avoir les crocs, essayé de se montrer plus fort que le temps, que la vie. Raconte t-il d'un ton mélancolique. Tout à changé lorsqu'il s'est mis à prendre plus que de la fume. Il a complètement sombré.
-Que prenait-il? Le coupais je.
-Tu n'as pas à savoir où tu le lui demandera. Je Hoche la tête. Je comprends. Dès que les choses ont dégénéré, j'ai pris mes distances. Je ne voulais pas tomber aussi la dedans. Malheureusement, Louis n'était jamais clair, sa petite sœur l'a vite remarqué.
-Quel âge avait-elle?
-Seize ans. Je lui fais signe de continuer. Lorsqu'elle a vu que son frère prenait des produits illicites, elle a voulu faire un marché avec lui. Elle ne dirait rien à leurs parents si il acceptait de la faire essayer des choses fortes. Mes yeux s'agrandissent, mon Dieu. Il était coincé, mais malgré ça, il a refusé. Il voulait prendre soins d'elle. Elle était son trésor, cela quitte a partir en désintox. Je soupire de soulagement. Seulement, elle avait plus d'un tour dans son sac. Alors, elle lui a dit que si ce n'était pas avec lui, ce serait avec quelqu'un d'autre, qu'elle serait moins en sécurité. Là, il était réellement bloqué. Il n'avait pas d'autre choix que d'accepter. Sans même qu'il ne prononce la suite, j'avais compris. Ce qu'il fit. Un soir, il avait les idée brumeuses, comme d'habitude, il lui a dit qu'il était d'accord mais qu'elle ne devait plus jamais essayer. Ils se sont mis dans la chambre de Louis. C'est lui qui s'est occupé des doses. Mais comme je te l'ai dis, tout était brumeux. Il a trop chargé la seringue, il a merdé. Elle a succombé dans la nuit suite à une overdose. Louis n'a pas pu réagir, lui même était ailleurs. Il s'est réveillé au matin, le corps sans vie de sa petite sœur dans les bras. Depuis, il s'est complètement éteint. Sa mère refuse désormais de lui adresser la parole ou même de le regarder. Et son père s'en prend a lui dès qu'il en a l'occasion. Il ont fait passer ça pour un suicide histoire que Louis n'ai pas de problèmes. Il ne dors plus chez lui, il va chez Zayn, ou chez moi et maintenant chez toi. Mais tu sais, Harry, tu ressemble beaucoup a cette fille. T'es un véritable rayon de soleil. Louis a vraiment besoins de toi. Tu le sauve. Harry, tu l'éclaire. Je t'en supplie, ne le lâche pas. Pas alors qu'il se relève.
Et mon cœur se brise. Mes larmes roulent sur mes joues et je ne peux rien y faire. Cette histoire est horrible. Réellement des plus affreuses. Louis voulait bien faire. Il voulais protéger son soleil. Il a tué sa lumière. Il s'est plongé dans le noir sans le vouloir. Je comprends mieux sa réaction face aux cachets et a Zayn. Je ne peux faire autrement que d'avoir de la compassion. Que de vouloir le retrouver. Je ne savais pas que ça avait été si dur.
-Comment s'appelait-elle? Demandais je la voix cassé.
Il lève des yeux triste vers moi et chuchote :
-Félicité. On l'appelait Fizzy ou F.
[9 p.m. 37] " Je pensais que les mots faisaient mal, mais enfaite, c'est ton silence qui me tue. " Anonyme
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On est vendredi soir, je n'ai toujours pas parlé à Louis, nous sommes actuellement dans la voiture de mon cher Horan.
-Niall! Ralais-je. Je t'ai dit combien de fois que je ne voulais pas y aller?!
-Roh! Mais aller Harry! Voir du monde ne te fera pas de mal ! Et puis peut-être que tu trouvera quelqu'un a te mettre sous la dents. Je fronce les sourcils, il me lance un clin d'œil. Ça fait longtemps que t'as pas baisé !
J'ai un mouvement de recul. Mes yeux s'ouvrent grand. Oui, effectivement, ça fait longtemps, Niall... Très longtemps. Et je n'ai jamais été consentant pour ça. Je ne sais pas pourquoi, mais en ce moment, tout revient et il enfonce clairement le couteau dans la plaie.
"Harry, tu sais que je t'aime, hein? "
-Haz', je m'excuse. Je... J'ai pas réfléchi.
"Je t'aime tellement. "
-Harry, t'es avec moi?
"Papa t'aime grand comme l'espace. "
-Il m'aimait trop. Soufflais je.
"Si je te fais tout ça, c'est que je t'aime, d'accord ? "
-Je sais. Crois moi, j'en suis désolé.
"Fermes les yeux, serres les dents, fait moi confiance, je ne te fairait pas mal. "
-J'aurais tellement voulu pouvoir m'aider. Chuchotais-je.
"Tu sais ce qui arrivera si tu dis quoi que ce soit à maman? C'est notre secret, notre petit jeu. "
-Moi aussi. Moi aussi j'aurais voulu pouvoir t'aider, mais j'étais trop jeune. Je n'ai rien vu.
"Comment ça, ''non''? Je suis un adulte, d'autant plus ton père. Tu n'as rien à me refuser. Je t'ai tout donné. "
-Je crois que je n'ai rien vu non plus...
"Maintenant, lèches. "
-On a tous fait les aveugles.
"Arrête de pleurer, c'est pas jolie. "
-Personne n'est à blâmer.
"Touches. T'as vu dans quel état tu me met quand tu me supplie d'arrêter? "
-Si, lui il l'est.
"Tout ça c'est de ta faute. Tu ne peux t'en prendre qu'a toi même. Mais je ne t'en veux pas. Je te l'ai dit, papa t'aime comme la galaxie. "
-Dieu, que je haïs l'univers.
-Les choses iront mieux, Harry.
Et qu'est-ce que tu en sais, Niall ? Tu n'étais pas là lorsqu'il venait me voir le soir. Je sais que tu aurais voulu me protéger, mais tu n'aurais rien pu faire contre celui qui était censé prendre soin de moi. J'aimerais remonter le temps pour faire les choses autrement, avoir les armes. Gemma avait aussi peur que moi. Elle était trop petit pour voler à mon secours. Qu'est-ce que j'appréhendais ses doigts, son corps... Je passais mon temps à me demander s'il viendrait me toucher. Je ne veux plus jamais vivre ça. Plus jamais pleuré de dégoût. Plus jamais me sentir aussi sale. Plus jamais me déchiqueter l'âme. Plus jamais m'ouvrir la peau. Plus jamais mentir.
-Harry, n'y penses pas. S'il te plaît. Profites. Passons une bonne soirée.
Plus facile à dire qu'à faire.
-D'accord.
-Allez, on est arrivé, descends.
Je fais ce qu'il demande. Il contourne rapidement la voiture, me rejoins et embrasse mon front en murmurant qu'on s'amusera. Louis me manque. Je ne veux pas m'amuser. Je veux Louis. Rien que Louis.
[1 a.m. 02]" Ce moment ou elle m'a pardonné. Elle regarde l'heure comme si notre temps était compté, puis, d'un geste tendre, elle ôte la fin de cigarette que je fume pour occupé mes lèvres, dans l'attente d'un baisé. Elle emprisonne mon visage dans ses paumes pour m'embrasser et inspirer la fumé qui se balade entre mes joues. C'est comme si elle me disait: Tu vois, de toi, j'accepte tout. Même ce qu'il y a de plus mauvais. " Lucas Clavel
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L'alcool me monte à la tête et Dieu que c'est plaisant. Plus rien n'a d'importance. Je vais bien, plus rien n'existe, seulement moi, la musique et l'instant présent. Je n'ai pas croisé Tomlinson. Je pense qu'il n'est pas ici. C'est une bonne chose parce que pour une fois, je ne ressens pas le besoin de le savoir près de moi. Je danse et c'est tout. Mais je crois que tout ça commence à redescendre, alors je me dirige ton bien que mal vers le bar, me glissant entre les corps en sueur qui se bousculent au rythme frénétique de la basse. Je m'assois à celui-ci et commande une tequila. J'ai perdu Niall, ce qui n'est pas étonnant. Il doit danser et boire comme un trou. Soudain, une main se pose sur ma cuisse et quelqu'un s'assoit en face de moi, me faisant sursauter.
-Harry! C'est étonnant de te voir là !
Cette voix légèrement rauque mais contrairement aux seules fois où je l'ai parler, enjouée.
-Euh... Zayn? Demandais-je douteux.
-Bravo! Tu connaît mon prénom ! Comment tu vas, amour?
Oula. Mais bonjour d'abord, non? Que se passe-t-il ? Comment ça, ''amour''? Il y a à peine deux semaines, il voulait me refaire le portrait et là, il vient me parler en boîte comme si on était amis de longue date. Il a quelques bleus et pansement sur son visage, ce n'est pas si amoché que je le pensais. J'en suis ravi. En revanche, ses bras sont pleins d'hématome. Si il est ici c'est que ce n'est pas grave. Peu importe, j'ai bu, tant mieux si il n'est pas là pour me casser la gueule, qu'il est défoncé et que tout roule, alors autant en profiter.
-Heu... Je vais bien et toi? Ça va depuis la dernière fois? Tes blessures ne sont pas trop graves?
Il rit doucement, ses doigts toujours sur ma jambe, il secoue la tête. Même si je ne l'aime pas beaucoup, et qu'il est légèrement balafré, je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'il a du charme. C'est vrai, Zayn est bel homme.
-Oui, t'inquiète, c'était superficiel. D'ailleurs, Louis est avec moi ce soir. On s'est réconcilié, seulement, il est resté avec Liam aux tables.
J'ouvre grand les yeux. Louis est là. Louis est là! Merde... Enfin... Merde ? Ou pas merde ? Argh! J'en sais rien. Je relève la tête et remarque le regard perçant de mon interlocuteur. Il me détaille sans-gêne, un petit sourire en coin. Sa main se resserre sur sa prise et je commence à paniquer. Ça ne sent pas bon. Ça ne sent vraiment pas bon
-Je trouve que toi et Louis êtes très proches en ce moment. C'est grâce à toi que je ne suis pas partie à l'hôpital. C'est plutôt étrange que tu ai stoppé ''la bête'', tu ne penses pas? Je déglutis, il hausse un sourcil. Qu'as-tu de particulier, Styles? T'es quoi, au juste? Son copain? Il s'approche doucement de mon tabouret et glisse sa tête jusque mon oreille. T'es bon au lit? Pour que Louis te retienne, tu dois être un sacré phénomène. On pourrait peut-être tenter un truc, un de ces jours? Toi, moi, un lit et des capotes...
Sa main allait passer dans le bas de mon dos, mais quelque chose la stop.
-Ne t'avise même pas de le toucher, Malik.
Et j'ose enfin ouvrir les yeux puis respirer.
-Tomlinson, quelle entrée fracassante.
-Tu mettais trop de temps, je venais te chercher. Dit-il séchement. Je m'occupe de commander, vires de là.
Zayn hoche la tête.
-Oui, maman! Rit-il.
Il part, me laissant seul avec Louis au milieu de cette foule. Il y a un long silence, remplit par le son de la fête. Mais pour moi, il n'y a personne. Personne sauf lui. On se regarde dans le blanc des yeux. Bordel, c'est trop dur. J'ai envie de le gifler, de lui sauter dessus, de l'embrasser, de pleurer. Tout se mélange. Et je ne peux pas soutenir son regard, alors je baisse les yeux. Je le sens approcher, il s'assoit en face de moi.
-Tu as bu? Demande t-il.
Je hoche simplement la tête.
-Tu ne devrais pas, Harry. Même le plus hétéro des mecs de cette boîte payerai chère pour te ramener chez lui ce soir. Mais qu'est-ce qu'il lui prend? Je relève la tête, étonné de ce qu'il me dit. Je lui ai pourtant bien signalé que nous deux c'était fini. Enfin, comment terminer quelque chose qui n'a jamais commencé ? T'es mignon ce soir, sexy aussi.
Ho, j'ai compris...
-Tu crois qu'il suffit de quelques mots pour que je me jette à nouveau dans tes bras ?
Il pouffe bêtement et descend de son tabouret, il se glisse entre mes cuisses, posant ses mains dessus et rapprochant son visage du mien. Collant son front à mon front. Mon ventre se contracte par cette proximité, mes organes se retournent, il m'a manqué.
-Si seulement...
Il s'approche encore, je tourne la tête, ses lèvres effleurent mon oreille.
-Ce n'est pas le cas. Soufflais-je.
-Harry... Grogne t-il et je frémis délicieusement en fermant les yeux. Te voir avec quelqu'un d'autre me met vraiment hors de moi. Je veux ton sourire que pour moi, que tu ne rougisse que pour moi, que tu ne sois essoufflé que pour moi, que tu ne gémisses que mon nom. Laisse-toi faire. Murmure t-il en posant ses mains sur mes hanches. Laisse-moi m'excuser.
-Jaloux? Lançais-je amusé.
Il attrape brusquement mon menton entre ses doigts et me force à le regarder. Mon regard louche sur sa bouche, le sien aussi et la tension monte d'un cran, la chaleur au creux de mes reins aussi. Seigneur, que je veux ses lèvres. J'ai l'impression que mon corps se tord d'envie, que mon ventre crame sous le brasier qu'il allume.
-Non. Possessif. Je ne te partage pas.
Je souris stupidement.
-Je ne t'appartient pas.
Il resserre sa prise sur ma peau, ce qui me fait couiner, puis il ajouté doucement :
-Tu ne perds rien pour attendre...
J'attrape une de ses mains entre les miennes, elles sont douces, mais plus grandes que moi. Je joue en bougeant ses doigts. Un rictus fleurit sur son visage, il sait qu'il a gagné. Mais je compte bien compliquer la tâche. Tout ne sera pas si simple. Je sors un stylo de ma poche. Niall l'avait rangé là dans l'espoir que je note mon numéro sur quelques papiers, ce que je n'ai pas fait, évidemment. J'immobilise son bras et note quelque chose, puis je me lève, prends mes affaires, et envoi un message à Niall. Je sort de la boîte un sourire idiot accroché au visage et des millions de papillons dans le ventre. On se rendra fou. On s'entretura.
Louis Tomlinson:
J'aimerai te dire merci, harry. Merci de me sauver de moi même. Mais je n'en suis pas capable sachant que tu le fait au prix de t'emprisonner entre mes bras. Je suis toxique. Je suis toxique parce que je te brise le cœur, mais je ne peux m'empêcher de te vouloir. Je suis toxique parce que tu es irrécupérable mais j'ai très envie de te récupérer. Tu es toxique. Tu es toxique parce que tu as les yeux du même vert pétillant qu'elle. Tu es toxique parce que peu importe où je vais, tout me ramène à toi, comme tout me ramène à F. Seulement, les humains ont un don pour désirer ce qu'il leur fait le plus mal. Si on reste ensemble, le soleil ne nous enlacera jamais. Mais je t'apprecie à un point ou même l'infinie de cet univers est trop petit.
J'envoie un message à Zayn, en mentant bien évidemment sur la situation. Puis je regarde mon bras.
"2 a.m. Tower Bridge. N'oublie pas que je t'attends, n'attends pas que j'oublie. H. "
Tant pis pour le ciel bleu, c'est toi que je veux.
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