- 𝐓𝐡𝐞 𝐬𝐜𝐫𝐞𝐞𝐧 𝐛𝐞𝐭𝐰𝐞𝐞𝐧 𝐮𝐬 -

Tom x Reader 

Étant séparé par des milliers de kilomètres, le seul moyen de vous amuser est via un écran d'ordinateur. 

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Tu entras dans la pièce, passant devant ton ordinateur pour ce qui semblait être la centième fois. Mordillant nerveusement le bout de ton pouce, tu ralentis le pas et observas du coin de l'œil ton ordinateur portable. L'incertitude te gagna rapidement. Tu te demandais si c'était le bon moment, ou même si c'était une bonne idée...

Tu restas debout, à regarder la machine pendant plus d'une minute. Finalement, tu pris une décision. Attrapant l'ordinateur, tu te dirigeas rapidement vers ton lit et te laissas lourdement tomber dessus, l'ordinateur fermement posé sur tes genoux. Hésitante, te demandant toujours si c'était une bonne idée, tu tapas ton mot de passe avec réticence et vérifias l'heure. Si tu avais juste, il aurait fini sa journée de travail, et si tu le connaissais assez bien, tu pouvais parier qu'il serait seul.

Super. Juste ce que tu voulais.

Hochant la tête, tu ouvris Skype et cliquas sur le nom de Tom. Le moment où la sonnerie résonna dans la pièce parue durer une éternité, cela te rendit nerveuse, alors que tu jouais avec tes doigts, comme une ado anxieuse. Le fait que tu étais seule dans ta chambre te rendit encore plus consciente du fait que ton cœur s'accélérait.

Enfin, l'attente prit fin avec l'apparition du visage de Tom sur l'écran. Tu ne pus t'empêcher de sourire en remarquant son sourire et ses yeux brillants.

— Bonjour, chérie ! S'exclama-t-il en se penchant un peu plus près de l'écran pour mieux te voir.

— Salut mon amour ! Dis-tu joyeusement, en lui offrant ton sourire le plus sincère.

Tu ne pouvais pas t'en empêcher. Cela faisait maintenant deux ans que tu avais une relation sérieuse avec Tom mais tu avais toujours ce sourire stupide sur ton visage chaque fois que tu le voyais.

Tu étais si heureuse et soulagée de le voir, être loin de lui était difficile, même si ce n'était que pour quelques jours. C'était surtout dû à son travail. En tant qu'acteur, il n'était pas souvent à la maison et le seul moyen de le voir était via un écran d'ordinateur, comme c'était encore le cas ce soir.

Essayant de penser à autre chose, tu tentas de regarder derrière lui, un froncement de sourcils sur le visage.

— Je ne dérange pas, n'est-ce pas ?

— Non, ne t'inquiète pas. Nous avons fini de filmer pour la nuit, te rassura-t-il, un petit sourire sur les lèvres mais tu pouvais facilement voir la fatigue dans ses yeux.

Il était épuisé et ses épaules tendues te disaient que le tournage était difficile.

— Ok, bien, tu souris un peu, en essayant de cacher ton inquiétude pour lui.

Tom n'aimait pas vraiment quand tu te faisais du souci pour lui.

Trouvant rapidement un sujet de conversation, vous vous mettez à parler de tout et de rien. Et pendant ce moment, alors qu'il te parlait de son film, de ta journée et de comment tu t'occupais seule à la maison, tu n'arrêtais de sourire. Tom était l'amour de ta vie, même si cette vie n'était facile pour aucun de vous deux. Être loin l'un de l'autre, devenait plus difficile chaque fois que vous étiez obligés de vous séparer.

Après lui avoir dit tout ce qui te passait par la tête, vous tombez tous les deux dans un silence confortable. Cela ne dura que quelques secondes cependant car tu regardas son beau visage et un petit sourire triste se glissa sur tes lèvres.

— Tu me manques tellement, chéri, tu chuchotas comme si tu avais peur que quelqu'un puisse t'entendre.

— Tu me manques aussi, Y/N. J'aimerais pouvoir être avec toi.

— J'aimerais que tu sois là avec moi aussi... Même si..., je suis fière de toi pour ton film, mais quand même, tu sais..."

Divaguer était la chose que tu faisais le mieux quand tu parlais avec Tom. Il avait le pouvoir de te faire sentir timide et à chaque fois, tu ne pouvais pas t'empêcher de te mordre les lèvres pour te forcer à garder le silence. Et à chaque fois, les yeux de Tom se posaient sur tes lèvres, comme hypnotisés par elles.

— Oh chérie, j'aimerais pouvoir t'embrasser, grogna-t-il, frustré d'être arrêté par un écran et quelques kilomètres.

— J'aimerais que tu fasses bien plus que ça, tu souris timidement, les yeux baissés un moment.

Lorsque tu levas les yeux, il était difficile de ne pas remarquer le regard intéressé dans ses yeux. Et un nouveau sourire en coin se glissa sur tes lèvres. Il te manquait trop, tu ne te souciais pas de te sentir timide, tu avais besoin de lui. Et même si l'écran entre vous était embêtant, cela n'allait pas t'empêcher de l'avoir.

— Es-tu seul ? Tu lui demandas d'un ton calme.

— Oui. Je suis dans ma caravane, j'ai dit bonne nuit à tout le monde, répondit-il, puis il se pencha en avant pour être plus proche de toi. Pourquoi ?

Tu souris et haussas un peu les épaules, ajoutant un peu de mystère à ta question.

— Eh bien... tu n'es pas en ville et je suppose que les appels téléphoniques et Skype devront faire l'affaire.

Il n'eut pas le temps de te questionner, tes actions le rendirent silencieux. Très lentement, ta main droite s'approcha de la bretelle de ton débardeur et la fit lentement glisser sur le côté pour que ton épaule soit maintenant nue. Avec un mouvement expert de ta tête, tes cheveux volèrent vers ton épaule encore couverte pour que Tom puisse avoir une bonne vue de ta peau nue.

— D-darling ? Demanda Tom, rougissant un peu à tes actions.

— Oui ? Tu demandas, souriant un peu à sa voix.

Tu savais que tu le tenais exactement là où tu le voulais. Et ce n'était que le début. Lorsque tu levas les yeux sur l'écran, tu pouvais le voir bouger sur son siège et ses lèvres étaient légèrement entrouvertes.

— Q-Qu'est-ce que tu fais ? Il rassembla finalement assez de courage pour te demander.

— Eh bien, même si tu ne peux pas être avec moi, cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas nous amuser, tu dis en lui adressant un clin d'œil pas si innocent que ça, et sa langue sortit de sa bouche pour mouiller ses lèvres sèches.

Il n'ajouta pas un autre mot après ça, il ne pouvait pas faire confiance à sa voix. Tu décidas donc de continuer ton petit spectacle. Léchant tes lèvres, tu attrapas lentement l'ourlet de ton débardeur et tu pris ton temps pour le soulever. Au début, tu t'arrêtas au milieu de ton ventre pour que la seule chose que Tom puisse voir ne soit que quelques centimètres de peau. Puis, tu le soulevas jusqu'à ce qu'il soit sous ta poitrine. L'estomac découvert, tu levas les yeux pour voir Tom qui te regardait attentivement, sans manquer un battement.

— Tu veux que je l'enlève, Tom ? Tu demandas à voix basse, d'une voix douce.

Tout ce que l'acteur put faire, c'est hocher la tête.

— J'ai besoin de l'entendre, Tom, tu chuchotas. Dis-le pour moi.

— Oui. Ne t'arrête pas Y/N, murmura-t-il en retour, on aurait dit qu'il était déjà à bout de souffle.

Tu hochas la tête et tu soulevas lentement le tissu fin jusqu'au-dessus de ta tête, révélant un soutien-gorge noir à dentelles.

— Que veux-tu, Tom ? Tu demandas, en le regardant.

— Je... Je veux que tu te déshabilles complètement pour moi, murmura-t-il. Tu es si belle. Te voir comme ça mais être incapable de te toucher, c'est une torture. Pourtant je ne veux pas que tu t'arrêtes. Ne t'arrête pas chérie.

Je ne m'arrêterai pas, tu souris.

Une fois de plus, tu continuas ton petit spectacle. Tu fis glisser les deux bretelles de ton soutien-gorge et jetas tes cheveux en arrière. Tu te redressas un peu et tu tendis une main derrière toi. Avec un dernier regard vers Tom, tu dégrafas ton soutien-gorge, laissant ta poitrine maintenant nue.

— Tu aimes ce que tu vois ? Tu souris quand tu le vis se mordre un peu les lèvres et se déplacer dans son siège.

— Oh oui.

En souriant, tu décidas d'aller plus loin dans la lente torture que tu lui imposais. Tes deux mains remontèrent jusqu'à ta poitrine et attrapèrent doucement tes seins. Le spectacle que tu lui offrais t'excitait aussi et lorsque tes mains fraîches rencontrèrent ta peau chaude, tu soupiras de plaisir. Doucement, tu les massas, les yeux toujours sur Tom pour voir chacune de ses réactions.

— Tom. Mon Dieu, j'aimerais que ce soit tes mains qui me fassent ça. Parce que ça fait du bien, tu soufflas dans un murmure doux et tranquille. J'aime la sensation de tes mains sur moi, si chaudes et si grandes, tu gémis un peu en continuant à masser tes seins. J'aime qu'elles soient si grandes qu'elles puissent empoigner entièrement mes seins. Et quand tu joues avec mes tétons entre tes doigts, j'ai juste envie de fondre sous ton contact.

Tu ajoutas le geste aux paroles et tu commenças à jouer avec tes tétons, les pinçant entre deux doigts, les tournant un peu et tirant dessus.

— Mon Dieu chéri, tu me tues, Tom se plaignit, sa voix tremblante de luxure.

Ses yeux étaient plantés sur toi, fixant chaque geste, chaque mouvement que tu faisais, mémorisant ce qui faisait sortir un gémissement de ta bouche, ce qui te faisait cambrer un peu. Et pendant que ses yeux étaient hypnotisés par ton spectacle, son pantalon devenait vraiment inconfortable. Il se déplaça plusieurs fois sur son siège, mais n'osa pas faire quoi que ce soit, trop absorbé par le moment.

Soudain, tu t'arrêtas et tu te levas. Et Tom ne put empêcher le son de protestation et de désespoir qui est sorti de sa bouche. Pourquoi t'arrêtais-tu maintenant ? Tu ne faisais que commencer !

— Tout doux, mon cœur, tu le fis taire en gloussant. Je ne vais nulle part.

Tu pris l'ordinateur avec toi et pendant un moment, Tom ne pouvait pas voir ce que tu faisais car il n'y avait que des images floues et des couleurs en mouvement. Lorsque l'écran se calma, il put te voir à nouveau. Mais cette fois, tu étais allongé sur ton lit, ton pantalon complètement disparu.

La seule chose qui t'empêchait d'être complètement nue était ta culotte noire lacée. Le changement soudain força Tom à retenir son souffle sous le choc. Tu étais si belle et tu étais aussi douloureusement trop loin de sa portée.

— Oh shit, chérie, tu es si belle, chuchota-t-il, se déplaçant une fois de plus sur sa chaise.

Souriant, tu attrapas tes seins une fois de plus, les malaxant un peu plus, avant qu'une de tes mains ne descende pour caresser ton ventre. Petit à petit, ta main descendit de façon aguichante. Tes doigts effleurèrent la ceinture de ta culotte, et tu te mordis les lèvres un instant, en levant les yeux vers Tom.

— Si belle chérie, ne t'arrête pas, grogna-t-il.

— Je ne veux pas le faire seule, chéri, tu gémis un peu.

Ta main était si proche de l'endroit où tu en avais le plus besoin, mais tu voulais que ce soit réciproque. Tu voulais qu'il prenne autant de plaisir que toi.

— Fais-le avec moi, tu chuchotas.

Il resta stupéfait un moment.

— Touche-toi Tom, tu ordonnas gentiment.

Comme si c'était une formule magique, la main de Tom s'envola vers le bouton de son jean et le défit à la hâte. La fermeture éclair descendit aussi rapidement que le bouton et le son te fit frissonner d'anticipation. En soulevant habilement ses hanches, il accrocha ses pouces à la ceinture de son jean et de son boxer et les descendit d'un mouvement rapide. Ton cœur battit encore plus vite à la vue de son membre désirable, dur et reposant contre son ventre. La qualité de l'image n'était pas vraiment bonne mais tu pouvais quand même voir du précum s'écouler de la tête de son membre. Cela te faisait saliver.

Sans attendre, Tom fit ce que tu lui demandas et sa main attrapa son pénis et il se caressa lentement.

— Comment tu te sens, mon amour ? Tu demandas, en te concentrant uniquement sur lui.

— Bien, expira-t-il, ses yeux se fermèrent un bref instant pour ensuite se rouvrir et se concentrer à nouveau sur toi.

— J'en suis sûre, tu souris. J'adore prendre ton pénis dans mes mains. J'aime sa longueur, son épaisseur et son poids dans mes paumes. J'aime la façon dont il s'échappe de ma portée lorsque je souffle dessus ou la façon dont il glisse si facilement contre ma paume lorsque je te caresse, tu énuméras, en terminant ta phrase par un gémissement.

— Oh mon Dieu, expira-t-il, sa main pompant plus fort et plus longtemps.

— Ce que j'aime le plus, c'est le son qui sort de ta bouche lorsque je caresse doucement la tête. Juste avec le bout des doigts, sans vraiment toucher, en bougeant à peine. Tu es si sensible là-haut.

Et inconsciemment, il fit ce que tu lui décrivais, le bout de ses doigts monta sur la tête de son membre et la caressa. Cela envoya une secousse de plaisir dans tout son corps qui le fit frissonner fortement. Et le son qu'il laissa sortir de sa bouche était exactement celui dont tu parlais.

— Mon Dieu, tu es si sexy, mon cœur, tu gémis avec lui. Je suis tellement trempée pour toi.

Tu accrochas tes pouces sous la ceinture de ta culotte et la fis descendre précipitamment de tes hanches. Tom pouvait voir ta vulve scintiller avec tes fluides. Tu étais effectivement trempée pour lui. Tes doigts trouvèrent rapidement ton clitoris et tu le frottas dans un rythme rapide. Tu étais tellement excitée que tu ne pouvais plus attendre.

— Chéri, comment te sens-tu ? Tu demandas à Tom en mettant deux doigts en toi, en faisant des mouvements de vas et viens.

— Tellement bien, Y/N, gémit-il.

Sa main était fermement enroulée autour de son membre et il se masturbait rapidement. Tu pouvais entendre le bruit de sa main qui tapait contre ses testicules et cela t'excitait encore plus.

— Y/N, fuck, gémit-il plus fortement.

— Oui, mon coeur, tu gémis alors que tes doigts touchèrent ton point sensible.

Tu imaginais que c'était ses doigts et pas les tiens, tu imaginais qu'il était là avec toi et pas dans un autre État. Entendre ses gémissements et ses grognements de plaisir rendait ton fantasme encore plus réel.

— Comment peux-tu me faire ça ? Grogna Tom, sa tête rejetée en arrière alors qu'il laissait échapper un long gémissement. Putain, chéri, je suis déjà proche.

— Moi aussi, Tom.

— Tu m'as tellement excité, tu es parfaite, te complimenta-t-il tout en travaillant plus rapidement sur sa queue.

Il était près du bord, il le savait, mais il avait besoin de t'entendre avant de jouir.

— Allez ma chérie, jouit avec moi.

— Je suis proche, tellement proche, Tom, tu haletas, ton dos s'arqua légèrement alors que tu te sentais de plus en plus proche.

— Dieu, tu es si sexy. Allez chérie, tu peux le faire. Jouis pour moi.

— Oh putain ! Tu crias presque alors que ton orgasme te frappait de plein fouet.

Ton dos se cambra fortement, te soulevant du lit, ta tête rejetée en arrière dans l'oreiller. Tom te regarda trembler sous l'effet de ton orgasme et le long cri de son nom sur tes lèvres lorsque tu jouis était tout ce dont il avait besoin pour déverser sa semence dans sa main avec un fort grognement.

— Oh Dieu ! Gémit-il bruyamment, ses jambes tremblant de l'intensité de son orgasme.

Lorsque vous redescendez tous les deux de vos orgasmes, vous étiez encore haletants, mais satisfaits. Le silence qui régnait ne dura pas longtemps et tu t'assis dans ton lit, ta vulve encore sensible alors que tu pressais tes jambes l'une contre l'autre.

— Mon Dieu, c'était trop sexy, souffla Tom, attrapant un Kleenex pour se nettoyer. C'est incroyable comme tu arrives toujours à me faire sentir aussi bien quand tu n'es pas là.

— Tu m'as vraiment manqué, tu lui souris timidement.

Tom se moqua gentiment de toi, étonné de voir que tu étais toute timide après ce que tu venais de lui faire.

Il allait te complimenter une fois de plus lorsqu'il entendit soudain un moteur provenant de l'extérieur de sa caravane. Son cœur manqua un battement et il se figea.

— Merde ! Grommela-t-il en remettant son boxer et son pantalon.

Il jeta le Kleenex dans la poubelle, essayant de cacher ce qui venait de se passer.

— Qu'est-ce qu'il y a ? Tu lui demandas, un tantinet inquiète de son changement soudain de comportement.

— Je suis désolé mon cœur. J'ai oublié que j'avais dit à Benedict qu'il pouvait venir ce soir pour revoir une scène. Je vais devoir mettre fin à l'appel, expliqua-t-il tristement.

Il ne voulait pas que tu disparaisses de son champ de vision mais il ne voulait pas non plus que Ben te voie nue sur l'ordinateur ou qu'il entende ta conversation privée.

— Ok, mon amour, tu acceptas, un peu triste.

Tu ne voulais pas qu'il parte.

— Je t'aime ma chérie, dit-il en t'envoyant un baiser.

— Je t'aime aussi. Surveille ton téléphone. Je t'appellerai bientôt, tu ajoutas avec un clin d'œil sexy.

Et juste comme ça, l'appel se termina. Mais tu étais impatiente de le rappeler. De nombreuses idées te trottaient dans la tête. Et tu étais loin de lui avoir montré à quel point il te manquait.

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