《 𝔪𝔞𝔩𝔢 𝔯𝔢𝔞𝔡𝔢𝔯,,, 𝔍𝔬𝔱𝔞𝔯𝔬 𝔎𝔲𝔧𝔬 ; 𝖑𝖊𝖒𝖔𝖓, 𝖋𝖊𝖑𝖑𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓, 𝖒𝖆𝖘𝖙𝖚𝖗𝖇𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓, 𝖚𝖆.❞❞

𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒 𝓍 𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒

 — « Tu as mal placé tes doigts Jolyne. »

— « Je les mets où ? »

— « Regarde la partition, tu as placé tes doigts une octave en dessous de ce qui est demandé. »

— « Ah oui. »

— « Merde c'est l'heure. Bon je dois recevoir ton père. »

— « Au revoir T/p. »

— « N'oublie pas de travailler le morceau, tu ne progresseras pas si tu ne travailles pas. »

— « Oui oui, mon père est là. »

— « Bonjour monsieur. »

— « Appelez moi Jotaro, rentre à la maison Jolyne, je te rejoins dans une demi heure à peu près. »

— « Je peux t'attendre dans la voiture ? »

— « Oui si tu veux. »

Jolyne partit et ferma la porte derrière elle.

T/p desserra sa cravate et s'assit sur la chaise les jambes croisées.

Il plongea son regard dans celui du grand brun. Il le regarda avec dédain et plaça sa tête dans sa main.

— « Je t'écoute de quoi veux tu parler ? »

— « Je suis là pour parler au professeur de piano de ma fille, alors de quoi je voudrais parler à ton avis ? »

— « C'est une question bateau, je sais de quoi tu veux parler, assieds toi là. »

Il lui montra la chaise en face de lui et le grand homme s'assit dessus. Ses jambes pliées, faute de hauteur. Les deux se regardèrent intensément. Dès la première rencontre il y avait eu une sorte de tension entre eux. Et depuis, à chaque « retrouvaille » cette tension régnait, devenant de plus en plus forte avec le temps.

Mais aucun des deux ne se décidait à dire les choses.

Le regard aguicheur de T/p parcouru le corps caché de Jotaro, on pouvait aisément comprendre qu'il était musclé, mais on ne pouvait pas le voir.

— « Tu me dis quand tu as fini de me reluquer. »

— « Qui t'as dit que je faisais ça ? »

— « Arrête de mentir, je vois comment tu me regardes, demande le moi, je ne dirai peut-être pas non. »

T/p roula des yeux et redressa sa tête. Il se leva et avança vers Jotaro jusqu'au moment où il se retrouva face à face avec lui, enfin, une fois qu'il était à sa hauteur. Il enleva d'un geste fluide sa casquette et passa sa main dans les cheveux bouclés du grand.

L'autre ne bronchait pas, indifférent à cette action.

Lassé de ça, T/p caressa le visage de son interlocuteur, descendant jusqu'à ses fines lèvres. Il les caressa du bout d'un doigt, avant de les écarter avec son pouce.

Et sans plus de cérémonie il se baissa et les embrassa. Un doux baiser s'en suivit, ils décidèrent de laisser jouer leurs langues entre elles avant de s'écarter aussi simplement qu'ils s'étaient collés.

Le silence régnait dans la pièce, seul leur regard suffisait.

T/p se releva mais laissa ses mains sur la mâchoire de l'adulte.

Alors instinctivement Jotaro agrippa ses mains à la ceinture de son amant, et la déboucla rapidement. Abaissant le zip de la fermeture et regardant l'élastique de son caleçon. Il descendit le pantalon de son « ami » ainsi que son boxer. Aucune érection à l'horizon. Seulement un sexe mou.

Jotaro rigola dans sa barbe inexistante. T/p avait passé l'âge de bander à un baiser. Et lui aussi d'ailleurs.

Il fit glisser ses doigts sur le pénis d'en face et approcha dangereusement sa bouche du gland. Soudainement, il passa rapidement sa langue dessus, arrachant un minuscule grognement à T/p. Il n'avait peut-être pas réussi à bander avec un baiser, mais il avait réussi à grogner avec un coup de langue sur son gland.

Et Jotaro en passa des coups de langue sur ce gland, jusqu'au moment où il prit tout en bouche. Surprenant le plus petit, habitué à des simples léchouilles.

Les joues de Jotaro rougirent légèrement et ses yeux se plissèrent. Sa langue parcourait le sexe de T/p, s'attaquant aux veines présentes un peu partout. Il pouvait sentir le pénis pulser dans sa bouche.

Le grand brun le lécha, glissant sa langue sur sa longueur. Le c/c allait presque venir, il le sentait dans sa bouche, son sexe frémissait et tremblait.

Et chaque contact le faisait gémir.

Jusqu'à maintenant il avait réussi à ne pas se tenir à son amant, mais ce temps fut révolu et il se baissa, comme pour prendre son brun en sandwich. Il accrochait ses mains à son dos. La jouissance s'approchait, elle n'était pas bien loin.

Les grands doigts bronzés de Jotaro s'enfoncèrent dans les cuisses de son amant, le faisant gentiment grogner.

Et au lieu de ralentir, comme il le fait toujours pour le faire languir, il multipliait les coups de langue et les allers et retours.

Il sentit sa bouche se remplir et avala tout. Un goût salé, ç'avait un goût salé.

Il se redressa, encore T/p au dessus de son épaule. Un petit rictus étira ses lèvres, le corps de son amant tremblait.

— « Le rendez-vous est bientôt fini T/p. »

— « Putain... »

Il se releva brusquement et remonta son caleçon. Mais son visage se déforma pour former une grimace, il y avait du sperme dans son caleçon.

C'est dégueulasse pensa t-il.

Il jeta un coup d'œil à Jotaro, on pouvait aisément remarquer son érection.

— « Tu ne vas pas rentrer chez toi comme ça ? »

— « Bien sûr que non, je vais aux toilettes. »

— « Tss, je suis là moi. »

— « Oh tu accepterais de me branler ? »

— « Oui. »

— « Eh bien, il serait temps de t'y mettre. »

Sans aucune douceur il déboucla la ceinture de Jotaro et entreprit de faire tout pour terminer au plus vite. Mais quand il se rappela que Jotaro était long à venir et il eu comme une envie, de mourir.

Mais si il pensait trop il n'allait pas bien faire. Une fois les couches de vêtements disparues il attrapa son sexe et le masturba rapidement. La chaleur se rependait à l'intérieur de l'engin. Il grossissait de plus en plus, et une main ne suffira bientôt plus. Pourtant il n'en mettra pas deux.

Son index passa rapidement sur le gland mouillé et le corps de Jotaro trembla. Et alors qu'il essayait de rester de marbre, l'index de t/p ne faisait qu'aller et venir sur ce point faible.

La tête bronzée partie en arrière en quelques mouvements, ses lèvres s'écartèrent lentement et des grognement sortirent de sa bouche.

T/p appuya sa main gauche sur l'aine du parent et plongea son regard dans les yeux bleus d'en face.

Mais il enleva sa main et se remit près du pénis.

Sa tête était trop proche et il le comprit un peu trop tard. Car quand Jotaro venu, il reçut du sperme sur son visage, peu ragoutant.

— « C'est dégueulasse. T'as intérêt à plus refaire ça. »

— « Tu t'es mis trop près. »

— « Tu remets la faute sur les autres maintenant ? »

T/p était de dos, il se nettoyait le visage avec les mouchoirs qu'il avait trouvé dans son sac. Le grand bronzé attrapa doucement ses hanches et lui embrassa le cou.

— « Jolyne va chez une amie ce soir, tu viens ? »

— « Si tu insistes. Elle le sait ? »

— « Que je baise avec son professeur après ses cours de piano ? »

— « Bien sûr que non, elle a 17 ans tu ne vas pas lui dire ça. »

— « Oui je sais, c'est pour ça que je ne l'ai pas dit. »

— « Donc elle sait ? »

— « Oui elle sait que je sors avec son professeur de piano. »

— « Eh bien voilà. »

— « Emménage chez moi T/p, depuis le temps qu'on en parle. »

— « Et si ta femme revenait ? »

— « Ce n'est plus ma femme, j'ai divorcé depuis 5 ans t/p. »

— « Oui mais elle dirait quoi ? »

— « Elle n'a rien à dire. Allez, laisse toi tenter. »

Il lui déposa plusieurs bisous sur son cou, il résista à l'idée de lui laisser un suçon mais sa fille allait le voir, et son âme pure n'était pas prête.

— « Tu vas te décider à le laisser ce putain de suçon ? »

— « Ma fille va le voir. »

— « Mais tu sais, je pense qu'elle a comprit qu'on couchait ensemble. Tu viens après chaque cours de piano, tu la fait aller chez ses amies et pile quand tu fais ça je passe la soirée chez toi. Elle n'est pas bête. »

— « ... »

Pour toute réponse il lui fit ce satané suçon et la marque violette apparue, et elle était tout sauf discrète.

— « Allons-y t/p. »