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━━ ･ ❖ L'univers « The Puppeteer » ainsi que ses personnages m'appartiennent

━━ ･ ❖ Je rappelle que ceci est un univers horrifique au style TPN ou Fnaf. Si le genre de contenu horrifique, mystérieuse ou gore vous dérange, cette histoire n'est pas faite pour vous

━━ ･ ❖ Maintenant et jusqu'à la fin de l'univers, les italiques représenteront les flashbacks

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75
Je choisis le combien ? ❞
#Clara#

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— Alors, vous êtes revenus finalement ? », questionna Hack, un sourire vainqueur sur son visage.

— On déclare notre échec », lâcha Klee, montrant et agitant le drapeau blanc qu'elle tenait dans sa main.

Le président observa et analysa la bande : ils ne portaient rien de particulier hormis le petit drapeau blanc.

— Mouais. Où est Gameur ? », répliqua l'homme, sortant son arme devant les enfants.

— Sûrement retourné au Quartier des Miroirs, chez toi », avoua Rémon.

— Et Billy ? »

— Elle aussi je suppose », déclara Mei.

— Et [...] Victorine ? »

— Elle nous a abandonné... »

— Je vois. Vous êtes au courant qu'on a prit des mois pour enfin vous mettre la main dessus ? Vous m'avez fait perdre mon temps, j'avais d'autres trucs à faire aussi. Enfin bref, La Marionnettiste vous attend.
Fin, j'ai pas besoin de préciser puisqu'il y en a deux qui connaissent cet endroit comme leur poche, au point qu'ils l'ont explorer pour s'échapper »

À cette dernière ligne du dialogue, le Président avait regardé de manière insistante, le noiraud et la blanchâtre, d'un regard terrifiant.

Mais ce n'est rien pour eux.

Il n'est qu'une allumette allumée.

Alors qu'ils vont allés à la rencontre de la flamme de l'enfer, elle-même.

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Ils montèrent lentement les marches.
C'était la nuit donc tout les élèves étaient actuellement en train de dormir.

Ils passèrent la Porte Dorée, la Grande Fenêtre, les chambres, les salles de classe, les salles d'examen, la cantine, les autres salles...

Quelle fut leur surprise lorsqu'ils virent Hack se diriger vers la Salle Commune.

— La Marionnettiste vous attend là-bas »

Ils restèrent abasourdis avant de finalement hocher la tête.

Klee toqua à la porte (qui était étrangement fermé).
Hack les laissa entrer et descendit en bas.

Elle est là.
La manipulation elle-même.
Elle est assise à une table, d'un air posé.
À côté d'elle, se trouve Cassidy, étrangement pas attachée, et habillée de superbes vêtements riches.

— Salut », fit la femme, toujours souriant d'un air serein mais moqueur, ainsi qu'un signe de la main. « Alors ça gaze ? »

— Cassidy ? », s'écria Klee, en voyant la blonde assise à côté de la noiraude.

— Klee... Je suis désolée de m'être faite attrapée... j'ai tellement tout gâché... j'ai fais n'importe quoi... si j'aurai été plus prudente, je ne me serai pas faite attrapée... »

La rousse était surprise : comment pouvait-elle s'excuser alors qu'elle n'y était pour rien ?
Elle avait encore plus mal au cœur : c'était elle qui avait constitué les groupes pour aller à la rencontre de Gameur. Elle aurait tout simplement dû rester ou demander à Rémon ou Billy de rester avec les élèves, eux qui connaissaient la ville comme leur poche.
Si elle aurait bien constituer les groupes, peut-être que personne n'aurait disparu.

— Tu n'y es pour rien Cassidy », répondit Rémon, la regardant droit dans les yeux. « De toute façon, c'est la fin : on a échoué »

— Quoi ?? », pâlit la concernée, les yeux écarquillés.

Bientôt, la menteuse se mit à avoir des larmes aux yeux.
Elle qui pensait qu'ils venaient la sauver, c'était raté.
Enfaite, ils ne venaient même pas pour elle.
Ils venaient pour supplier La Marionnettiste d'arrêter de les traquer.

Ce sont des lâches.
Mais pas aux yeux de Cassidy.

Aux yeux de Cassidy, c'est des héros.
Des héros qui ont sauver beaucoup plus de personnes qu'ils ne le pensent.

C'est pour ça qu'elle les pardonne et qu'elle ne les en veut pas.

— C'est pas grave.. Vous avez fait votre maximum », répondit la blonde dégradée en rose.

— Asseyez-vous au lieu de rester debout », proposa La Marionnettiste au trio, toujours souriante.

Ils hochèrent la tête, et prirent place.
Des gâteaux et un service de thé étaient posés sur la table, mais ils refusèrent : après tout, il pouvait y avoir du poison ou autre chose.
Comme de l'acide.

— Alors comme ça, vous voulez finalement arrêter cette bataille entre vous et moi ? Vous savez, au final je savais que tôt ou tard vous finiriez par revenir : c'est d'ailleurs pour ça que j'ai laissé Rémon et Mei partirent. Je l'ai poignardée pour uniquement continuer de faire semblant et ne pas être soupçonnée. Désolée chérie de t'avoir poignardée pour rien d'ailleurs », déclara La Marionnettiste, souriant toujours de la même façon.

— On se déclare vaincu », répondit Klee, d'un regard sombre. « Je regrette d'avoir été trop curieuse et d'avoir gâcher tes plans »

— Je m'en doute. Mais bon, je vais tout de même faire comme si c'était le cas », fit simplement la femme fatale.

— Donc, ça y est ? Tout est fini ? », demanda Rémon, croisant les doigts pour qu'elle dise « oui ».

— Je l'ignore honnêtement. Il y a tellement de choses que vous avez faites après tout »

Un silence pesant s'installa. D'un côté, Klee avait tout de même envie de gifler leur antagoniste, puisqu'elle avait fait clairement pire qu'eux.
D'ailleurs, ils n'avaient rien fait de mal eux ?
Donc pourquoi elle disait ça ? Ça n'a pas de sens.

— Comment va ta blessure au dos ? », osa demander Mei, baissant son regard. Après tout, c'était elle la responsable de la blessure presque mortelle qu'avait désormais La Marionnettiste.

— Je pense que je m'en remettrais. Merci de demander. Dites-moi, vous êtes sûrs de ne rien vouloir boire ou manger ? Je pense que ça fait quand même pas mal de temps que vous n'avez plus rien non ? », demanda la noiraude, légèrement surprise.

Klee leva son regard vers elle, avec insistance.

Il était hors de question qu'elle mange un seul truc venant de La Marionnettiste.

— Pour vous rassurez, il s'agit de la nourriture distribuée au Pensionnat. Cassidy mange ça elle aussi », ajouta la femme.

La rousse se retourna vers la mentionnée, surprise.
Cassidy baissa le regard.
Au même moment, les ventres du trio résonnèrent face à la quantité énorme de nourriture qui se trouvaient devant eux.

Mei résista quelques secondes avant de prendre le plus petit des gâteaux et d'en croquer un bout. Elle fut choquée : il était délicieux et elle ne ressentait rien d'étrange dans le goût, ni de symptômes secondaires ou autre. Rémon la regarda pour le verdict et, il fit bientôt de même.
Klee en voyant ses deux amis manger, se mit à son tour à le faire.

Elle devait l'avouer : les gâteaux étaient bons et ne semblaient pas empoisonnés.
Dans ce cas, pourquoi La Marionnettiste faisait ça ?

— Je ne rentrerai pas dans sa manipulation. C'est mort », pensa fortement Klee dans sa tête.

D'ailleurs elle se répéta ces phrases dans sa tête de façon si forte, que son expression avait changé : elle avait les yeux écarquillés et les sourcils froncés.

— Où est Riley ? », demanda Mei, pour cesser le blanc.

— Je l'ai laissée dormir : je sais à quel point elle travaille dur pour moi. Elle mérite les étoiles du ciel », répondit La Marionnettiste, d'un ton assez nostalgique.

— D'ailleurs, pourquoi t'as encore cette apparence ? J'croyais que ton but était de reprendre ton ancienne apparence. C'est d'ailleurs pour ça que t'as tué Julia et opéré Riley non ? », questionna la blanchâtre.

— C'est vrai mais je n'ai pas le temps, à force de devoir vous traquer. Je suis d'ailleurs contente de voir que tout est fini », expliqua la noiraude.

— Tout n'est pas encore fini : il nous reste tellement de choses qu'on doit comprendre », ajouta Rémon.

La Marionnettiste le regarda surprise, avant de reprendre son sourire, et de détourner son regard.
Un nouveau silence s'installa dans la salle.
Enfin, La Marionnettiste prit la parole :

— Vous comptez aller où ? Ce serait étonnant que vous restez dans cette belle et célèbre ville qu'est The Puppeteer, après tout ce que vous avez vécu »

— Nous allons partir d'ici », répondit Klee. « Il y a tellement d'endroits que nous devons aller voir. Et rester enfermé dans cette ville n'est pas bon pour nous »

— Vous allez y aller seulement à trois ou d'autres personnes se rejoindra à vous, comme Billy, Gameur ou encore Victorine ? », demanda la noiraude, souriant toujours.

— Billy veut se racheter auprès de son père et sa tante alors autant la laisser ici. Gameur veut également vivre avec son père. Et Victorine veut en savoir plus sur son passé, et son rôle au Désastre »

— Donc, vous allez vous séparer pour de bon ? », fit la femme fatale, surprise .

— Oui. Au final, je pense que c'est mieux ainsi », se permit d'ajouter Rémon.

— Je vois.. Ils ne sont pas trop tristes ? »

— Ça va, ils ont su accepter la situation »

— D'accord »

Une nouvelle fois, un silence pesant régna dans l'atmosphère. Après tout c'était normal : imaginez que vous soyez en conflit avec une potentiel tueuse en série, et que vous preniez le thé avec elle. Seriez-vous actuellement heureux et rigolerez-vous avec elle ?
Telle est la question.

Le pardon existe mais le doute plane encore.

— Pensez-vous que nous aurions pu nous rencontrer dans une situation moins dramatique ? Enfin, sauf toi Mei. Et également toi Cassidy », demanda enfin La Marionnettiste.

— Non », répondirent sans hésitation Rémon et Klee.

— Mais si ça aurait été le cas, croyez-vous qu'on aurait pu bien s'entendre ? »

Klee avait actuellement de se lever et de la frapper.
Comment pouvait-elle dire ça après tout ce qu'elle avait fait ?
Ça la dégoûtait.

— Impossible », répliqua la protagoniste.

— Je m'en doutais au fond », répondit simplement l'antagoniste, reprenant son sourire.

— Et donc au final ? », demanda Rémon. « Tu ne nous as toujours pas expliquer ce qu'on ne sait pas »

— Tu sais Rémon, tu as un grand atout que pas beaucoup ont : t'as l'œil et trouve facilement des indices. Et à partir de ces indices, tu trouves des explications et à priori, certains réponses. Tu n'as pas besoin de moi pour comprendre le mystère qui entoure cette ville, le mystère qui entoure le Désastre, et le mystère qui m'entoure moi-même au final. Je suis sûre que tu sauras tout, sans moi »

— Que veux-tu dire ? », fit le noiraud, perplexe.

La femme le regarda un sourire au visage, avant de dire simplement :

— Je compte sur toi pour la suite »

La fenêtre qui se trouvait juste à côté de La Marionnettiste se brisa en miettes, laissant entrer une silhouette qui tenait quelque chose dans sa main gauche.
Actuellement, la personne avait tenté de toucher l'antagoniste.
La Marionnettiste avait esquivé avec facilité l'attaque, avant de se retourner vers la personne.

Billy.
Elle saignait d'ailleurs de partout mais c'était sûrement dû au fait qu'elle se soit blessée en cassant la fenêtre.
Ou peut-être dû à autre chose.

— Alors, on ne s'attendait pas à ça ? », lança Billy, essuyant son nez qui saignait d'un trait, essoufflée de cette attaque.

— Oh non ma belle, je savais bien que tu viendrais. C'est d'ailleurs pour ça que je vous ai attendu à la Salle Commune, au lieu de mon bureau », répondit simplement La Marionnettiste, souriant.

— Dans ce cas, tu ne t'attendais pas à ça », répliqua Violet, en prenant les mains de la noiraude.

Au début, l'antagoniste croyait que la violette voulait l'attacher. Ainsi donc, elle se débattue de l'emprise de la vairon.
Mais après réflexion, elle se sentait brûlante, et commença à avoir très mal.
Ce n'est que lorsqu'elle vit Billy se gratter la tête qu'elle pâlit :

— C'est pas vrai.. tu t'es mis des poux dans ta tête ? »

— Je suis prête à tout pour aider mes amis », déCLARA Billy.

De douleur, La Marionnettiste tomba à terre.
La violette était essoufflée mais eu quand même le réflexe de tenir l'antagoniste et de jeter un coup d'œil à Klee : c'était le signal.
La rousse lui lança le drapeau blanc, et Violet le rattrapa avec justesse. Après ça, elle déchira le tissu blanc du bâton et le mit de force devant le nez de La Marionnettiste de sorte à ce qu'elle le respire.

— C'est pas vrai.. c'est quoi ça encore ? »

— Des loufoques, mélangés aux tournesols », répondit froidement la vairon. « Bien évidemment, si Charlie serait encore là, je ne les aurais pas utilisé. Mais à cause de toi— »

Elle n'eut pas le temps de réagir : La Marionnettiste venait de lui planter un morceau de verre dans son poignet. Elle tentait de la tuer.
Mais Violet ne lâcha pas prise : il fallait qu'elle la garde sous contrôle.
Le liquide prendra effet dans quelques minutes, il faut qu'elle tienne bon.
Surtout qu'elle les a tellement déçue à plusieurs reprises.

— BILLY ! J'vais prendre le relais, t'inquiète pas », s'exclama Mei, en courant vers l'adulte et la jeune fille.

— Non Mei, va retrouver Gameur. Il a besoin d'aide lui aussi. Je peux m'en sortir, ne t'en fais pas ! Et puis, Victorine ne va pas tarder à me rejoindre ! »

— Victorine ? », demanda Cassidy, tremblante.

Elle savait.
Elle savait tout à propos de cette traîtresse : La Marionnettiste lui avait tout raconté fièrement.
C'est d'ailleurs pour ça qu'elle ne put se résoudre à le dire en face.

__________

— Je pense avoir un plan. Je viens de me rappeler d'un détail : mon père fait des expositions dans des buts précis », expliqua Billy. « Notamment pour des événements »

— Tu veux dire que le Bal était célébré pour quelque chose en particulier ? », demanda Rémon.

— Oui! D'ailleurs, mon père avait sorti les grands lots parmi ses œuvres j'ai l'impression. Il a même sorti le premier DVD sur son film où Charlie a joué l'antagoniste... Bref! Vu que les élections présidentielles ont lieu tout les 4 ans et que ça fait justement 4 ans que les dernières élections ont eu lieu, ça pourrait dire que— »

— Que ton père avait organisé le Bal pour inciter des gens à voter pour lui! », ajouta Mei.

— Exactement. Mais si les élections se déroulent, ce sera sûrement la fin pour nous : imaginez le nombre de personnes qui pourraient postuler dans le but de nous arrêter définitivement ? C'est tout bonnement grave et il faut agir »

— Ce sera sans moi... Je n'ai plus envie de voir des personnes mourir... », lança Klee, se sentant toujours coupable.

Billy la serra encore plus dans ses bras avant de lui dire :

— Pas de problème, tu n'es pas obligée de participer à ça. Vous aussi d'ailleurs. Moi personnellement, je le fais parce que je ne veux plus retourner chez moi et que je veux venger tout nos amis décédés ou disparus »

— Ne dis pas ça Billy : on ne peut pas t'abandonner! Et puis je suis sûr que ton plan sera incroyable! », répondit Rémon, lui souriant.

Elle lui sourit à son tour.

— Okay, je vais donc exposer mon plan! Déjà, faut savoir que j'ai planté quelques choses de spécial dans ton jardin, Klee! »

La rousse leva la tête, les yeux écarquillés.

— ..Quoi ? »

— Tu te souviens du jour où j'étais allée à Tisane Verte (le magasin de ta mère) pour aller cherche des biscuits pour Victorine ? C'était le même jour où Hack nous avait traqué, toi, Théo, Cassidy et moi, au Désastre. C'était aussi le jour où j'ai appris que La Marionnettiste visait Charlie.. Enfaite, j'avais également ramené des graines de loufoques et de tournesols. Les loufoques ont comme effets secondaires en fonction de la dose, des nausées, des envies de sommeil, du tournis, des hallucinations etc.. et les tournesols donnent le double de la dose d'un quelconque ingrédient. Alors imagine mélanger les loufoques avec des tournesols ? Ça pourrait faire en gros un tranquillisant, mais sans être implanté dans une arme! À tout moment, on pourrait le mettre dans un objet insoupçonnable et endormir quelqu'un avec. Ça m'a prit du temps pour m'occuper des plantes mais elles sont désormais prêtes à être cueillies! »

— QUOI ?? T'AS VRAIMENT FAIT ÇA ?? », hurlèrent le trio, choqués.

Mais bientôt ils sourirent. Ils pouvaient gagner.
Ça avait mit Klee de bonne humeur d'ailleurs.

— Voilà le plan : vous trois, vous retournerez au Pensionnat en distrayant Hack. Pendant ce temps, j'irai au Rez-de-chaussée et avec la clé dorée de Klee, j'irai ouvrir la Porte Dorée pour me recouvrir de poux. Et après, je vous rejoindrai en escaladant le bâtiment. Quand on aura contrôler La Marionnettiste, il faudra trouver l'endroit où se sont regroupés les Présidents pour les arrêter pour de bon. Ils seront forcément là-bas pour les élections. Peut-être même dans son bureau »

— C'est une idée incroyable! La Marionnettiste ne verra pas le coup venir! », déclara Mei. « Elle est très ordonnée après tout! »

— Et puis maintenant qu'elle n'est plus vraiment Clara, elle reste imparfaite », rajouta Rémon.

La bande souriait désormais, ils étaient si heureux d'avoir enfin trouver un bon plan.

— Mais que fera Gameur ? », demanda Klee, curieuse.

— J'ai également pu comprendre que les loufoques étaient très inflammables », répondit simplement. Billy.

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1. Président du Commerce : Nathan
2. Présidente de l'Éducation : Gama
3. Présidente de la Cuisine : Carla
4. Président de la Médecine : Stan
5. Président de la Sécurité : Hack
6. Président(e) de ??? : ???
7. Président de la Création : Bradley
8. Président(e) de ??? : ???
9. Président(e) de ??? : ???
10. Présidente de la Présidence : Mary/La Marionnettiste

Ministre : Money

3 Présidents à découvrir l'identité.
0 Ministre à découvrir l'identité.

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— Allô ? », fit Hack, en répondant à son téléphone portable.

Il était actuellement au bureau de La Marionnettiste, avec pleins d'autres Présidents et Présidentes.
La fenêtre du bureau était entrouverte

— Allô ? On ne reconnaît plus son fils ? Hein papa ? », répondit d'un air sarcastique, une voix masculine.

— Gameur ? Que veux-tu ? Tu veux savoir si tes amis sont ici pour savoir s'ils t'ont bien abandonnés ? Et bien oui, ils sont là. Et ils sont malheureux hahahaha. Fallait voir comment ils avaient des visages déprimés, sortant presque d'un deuil »

— Je ne t'appelle pas pour ça mon cher papa », répondit calmement le vert, qui semblait sourire derrière l'écran.

— Ah ouais ? Et pourquoi donc ? J'te rappelle que c'est les élections ce soir, alors évite de m'appeler pour me troll ou aut— »

— Ne sens-tu pas cette odeur nauséabonde ? Elle se dirige vers la fenêtre du dernier étage, où t'es justement, avec les autres Présidents »

Le Président de la Sécurité écarquilla ses yeux : une odeur nauséabonde ?
Il renifla et sentit effectivement une odeur, suivie bientôt d'une fumée.
Ça sentait le brûlé.

Il regarda par la fenêtre et aperçu alors ce que c'était.

Le Quartier de la Ville était en feu. Il pouvait entendre des gens hurler, crier.

— Quoi ?? C'est quoi qui a fait ça ?? Réponds », vociféra Hack au téléphone, paniqué.

— J'suis pas au Quartier des Miroirs. Oh, tu diras à Bradley merci de ma part : il nous a beaucoup aidé, j'en attendais beaucoup de sa part car après tout [...] »

— HEIN ?? QU'EST-CE QUE TU RACONTES ?? »

— Au lieu de crier, tu devrais peut-être aller voir les habitants et les sauver non ? J'crois pas qu'ils seraient heureux de voir que le Président de la Sécurité est actuellement en train de faire la fête avec ses collègues parce que c'est les élections. Ça fait une mauvaise image, papa »

— GAMEUR, J'VAIS TE— »

— C'est fini »

Il ne finit pas sa phrase : le téléphone avait raccroché.
Il tenta de rappeler son fils, sans succès.

Il regarda une nouvelle fois vers la fenêtre : le feu se propageait, il fallait qu'il agisse.

Le feu se propageait tellement fort et était tellement violent qu'il touchait presque le ciel.
Le ciel devenait orangé littéralement.

Ce n'est pas un désastre.

C'est un Chaos.

• [ 🏰🚁🔥

━━ ･ ❖ À suivre...

━━ ･ ❖ Billy est innocente. Ce n'est pas elle qui a eu cette idée : elle a laissé carte blanche à Gameur, sans savoir ce qu'il allait faire.

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