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"Le temps est un frère ennemi."

↻ 9 juillet 2005
↻ Tokyo, Résidence Kumiwaraki
↻10h46

PdvTakemichi :

➟Entrée dans le subconscient

—On dit que les rêves sont les vécus d'une vie antérieur—

Une confortable chaleur envelopper mon corps. Un sentiment de sécurité et d'irréel parcourait mon conscient assoupi et je me sentais légèrement ballonné. M'efforçant d'ouvrir les yeux pour tenter d'apercevoir le bruit lointain qui retentissez désagréablement dans mes oreilles depuis maintenant une trentaine de seconde, je bougeais délicatement de mon cocon douillet. Ce désagréable sons répétitifs m'avais arraché amèrement de mon rêve qui maintenant m'est plus que flou et fort troublant. Mes paupières papillonnaient face à la vive lumière qui c'était jeter à moi avant de laisser la liberté à mes pupilles azur d'observer l'endroit, qui me parut pendant quelque centième de seconde, inconnus, identifier ma chambre.

Encore engourdi de mon agréable sommeil, je me contentais seulement de sortir de mon lit et éteindre l'abominations aux sons irritants qu'était mon réveil, m'affichant au passage qu'il était huit heures passées. Fronçant les sourcils face au nouveau boucan je m'avançai vers cette agitation qui m'était familière. Comme si un éclair discernant mon idée s'était abattu sur moi, j'accourrai maladroitement à ma fenêtre, cependant avec difficulté, mes mouvements étant lointain et confus. Et mes yeux s'écarquillai lorsque j'y vis un groupe de gens en bas de chez moi.

Je n'arrivais pas distinguer tous les visages présents, ils étaient comme des mirages et c'est surement dû à mon réveil tout frais. Des voix enfantines s'exclamer sollicitant davantage mon cerveau encore indolent pour d'élucider ce brouillard présent dans ma mémoire.

— C'était-il y a 11ans, ne l'oublie pas.

Cette phrase fit écho dans ma tête. L'atmosphère devenait de plus en plus lourde sans vraiment l'être, c'était une sensation extrêmement étrange et le temps semblait avancer à contre-courant.

Tentant de crier leurs noms qui étaient sur le bout de ma langue, ma voix s'effacer encore et encore avant de franchir la barrière de mes lèvres.

Comment s'appellent-ils déjà ? qui sont-ils ? Pourquoi diable je les connais sans les connaitre ?

Sans avoir des réponses à mes questions un flot de vision et d'émoi me pris. Regret, amertume, crainte, frayeur et encore les mots ne corresponde pas vraiment à cette batelée d'émotions. Et comme si le monde se comprimer, je me sentis basculé vers l'avant ou à ma plus grande horreur se trouvait un gouffre d'un noir éther. Tête la première j'obstruer mes prunelles dont l'espoir de me réveiller si tout cela était un rêve. Et comme si mes prières furent entendues, Mes pupilles auparavant voilé de noir entrèrent en contact avec une vive lumière.

—On dit même que certains d'entre eux sont des événements passés qui se produiront dans un future proche. —

Regardant autour de moi, ma respiration saccadée, mon esprit traversa une nouvelle face de confusion.

➟Sortie du subconscient entrée dans l'inconscient

Mais ou est-ce que je suis ?

L'odeur qui planait autour de moi ne m'était pas étrangère ce qui rassurer une partie de ma conscience. Etant allongée je me relevais, quoi que bouffi d'un sommeil assez mouvementé. Mon rêve était si étrange. Je ne me souviens vraiment de rien...Bon que de la chute je vous l'accorde.

Une seconde senteur émanait de ce qui semblait être...un salon ?

Maintenant conscient de l'endroit où je me trouvais, mes oreilles purent entendre tout un tas de bruit autour de moi. La télévision qui diffusé un shonen, ce qui semblait être les sifflements d'une cafetière et quelque rire d'enfants.

Relevant le plaide à mes pieds, j'enfilais ce qui semblait être des chaussons et m'avançai à pas hésitant dans la salle de séjour voulant découvrir qui vivait ici.

Je vous promets ce n'est pas chez moi ça.

—Ces lieux qui nous semblent inconnus sont en réalité la maison de notre subconscient—

Alors que je m'approchais de ce qui ressemblait à un cadre photo ou de loin, distinguer une dizaine de personne, une main froide vint faiblement serrer la mienne me faisant sursauter. Me retournant à la hâte vers la source de ma frayeur je vis d'abord une jeune fille au long cheveux ébène, le visage éclaircis telle un ange se tenir à quelque pas. Ces yeux amande émeraude me regardait pétillant me faisant inconsciemment sourire. Abaissant mes prunelles au sol je vis une enfant de bas âge, court-cheveux châtain, de grands yeux noisette, une tétine a la bouche tenir mon index faute à ces petites mains.

— Te voilà enfin réveiller Michi. Sa voix posée contrasté avec l'ambiance chill qui régnait dans, ce que ma petite visite me confirma, l'appartement. C'était une sacrée chute quand même heureusement que mon père était la !

Une chute ?

La jeune fille se mis à rire gentiment avant de s'avancer un verre d'eau a la main. Quand est-ce qu'elle la prit ?

— Ces gens sont des safes place pour notre inconscient—

— C'est normal que tu te n'en souviennes pas ! Ça te reviendra ne t'en fait pas.

Mon visage exprimer de la confusion mais à l'intérieur de moi c'est le bazar. Je veux savoir ce qu'il ne tourne pas rond ici !

— N..., qu'est-ce qu'il se passe ? Ou suis-je ?

Hein ??? quoi ?? Je viens de dire son prénom ?? C'était quoi ? pourquoi je n'arrive pas à me souvenir ?!

— Deux rêves peuvent s'enchainer et cacher alors un lourd secret—

Commençant à me frapper la tête à l'aide de mon point croyant que ça va m'aider, la jeune fille voyant ma bêtise se précipita vers moi mais semblait s'éloigner de plus en plus me faisant arquer un sourcil avant de revenir tel un boulet de canon et de chuter dans ce qui semblait être un ravin me faisant lâcher le tas de paperasse dans les mains.

—WAAAaaa- Ma voix jura dans le silence me faisant tousser. E- eh ! N...R- Reviens !

Mes mots s'était transformé en crie étouffer. L'horreur qui se produisait actuellement allez me rendre fou. Une sorte de tremblement de terre avait assombris l'appartement qui en même temps s'effriter à mes pieds et s'éloigner en, fond une énorme horloge qui avançait le temps a folle vitesse me donnant l'impression de traverser les dimensions. Le crie de la jeune fille au cheveu ébène continuer de s'élever me donnant la chair de poule. Diable, ce ravin n'avait pas de fin ? Je ne veux pas mourir !

L'enfant en bas-âge avait disparue et maintenant je me retrouvais en plein milieux du néant ou seulement du noir combler les trous inexistants. Je flottais. Me mettant à pleurer de peur mon visage palis lorsque mon regards – après avoir courageusement ouvert les yeux- tomba nez à nez avec une énorme planète qui se diriger vers moi en criant a la mort. Me mettant également à plaider ma mère même si ma voix avait décider de prendre bagages, je m'agitai et tenter de bouger mais mon corps demeurer figée.

La vitesse auquel la planète se rapprocher se tripla et-

— Ou peuvent alors se cachaient sous le mirage d'un mauvais rêve—

➟Retour au conscient

—WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH NON-MAMAN !!!!

Mon front couvert de sueur je me relevai en sursaut mes yeux s'ouvrant violement.

Oh non-ça recommence. Ou suis-je encore cette fois-ci ??

Sentant une dizaine de regard sur moi, je me tournai avant de remarquer qu'effectivement comme le pensait mon inconscient une salle de classe. C'est le super instinct ça haha !

— He ? fis-je paumé.

—Hanagaki, vous voulez faire un tour chez le directeur ? La voix monotone de ce qui semblait être mon professeur réussis à me réveiller.

Le dirlo ?? quoi pourquoi ??

—Euh c'est-à-dire que-

—Epargnez-moi vos arguments. La prochaine fois vous éviterez de vous époumoner telle un gamin de 5 ans cauchemardant de Dinosaur. Relever donc vos épaules et lisez moi le texte numéro 3 sur la culture des Maorie page 45 et que ça saute !

Je sursauter et me dépêcha d'ouvrir mon fameux livre et de commencer ma lecture.

ARGHH C'EST EN ANGLAIS-

Tentant de déchiffrer le fameux document il n'en épargne pas mon esprit de se poser un milliard et une tonne de question.

En quel années somme-nous ? Maintenant que ça me revient j'ai remonté le temps après...Mais oui !! après avoir serré la main de Nao ! Mais c'était quoi se rêve étrange ? Et j'ai dormi combien de temps pour en faire un aussi long et farfelus ? Fin c'est en rapport avec mon voyage dans le temps ? Et puis...Ai-je réussis à entrer en contact avec le fameux boss du Toman ? Je suis toujours le baratin de Kyomasa ? Et Nao...Qu'est-elle advenue ? Dans mes souvenirs depuis les vacances de fin d'année scolaire et annuel je n'avais plus aucune nouvelle d'elle et je ne la croisais plus du tout, je ne sais vraiment plus ce qu'elle est devenue au cours des 6mois qui avait précédé entre les vacances et la reprise des cours.

Bon de ce que je vois...Je suis actuellement en cours. D'anglais en tout cas- J'aimerai bien savoir a quelle heure je fini...Non pas que je déteste le collège mais je veux savoir aussi POURQUOI je me suis réveillé en plein cours et non pas je sais pas moi dans une poubelle comme d'habitude ?

—Hanagaki. Combien vais-je devoir vous répétez ? on ne dit pas « Who lying to you like that » mais « Who lies to you like that ». Et puis tu es en train de lire, pourquoi déforme-tu les phrases ?

Sa voix se faisait de plus en plus ennuyés et désespérer faisant rire certains élèves. L'anglais n'a jamais était mon domaine de prédilection haha...Me décidant de reprendre la lecture avec sérieux, je me concentré sur le texte qui parlait des colonisations australiennes vraiment inintéressante à mes yeux.

—Hanagaki...Ce n'est pas-...Oh et puis vous savez, laissez tomber. Sanemi, poursuivez.

Me foudroyant du regards le prof retomba sur sa chaise totalement désemparer accentuant les rires de mes « camarades ». Ricanant de ma débilité dont je veux me débarrasser sans succès je me cacher le visage derrière le livre.

Reprenant : D'après Naoto, dans quelque jours le Toman s'apprêtera à affronter un gang adverse connus sous le nom de...de...

— Hanagaki.

Quoi encore ??

— Vos épaules. Redressez-les et décourber moi donc votre dos. De même pour vous Kiyuru et Romiya. Sauf si vous souhaitez finir comme le bossu de notre Dame. Tiens, connaissez-vous l'histoire de ce Célèbre personnages ? Disney en a fait une adaptions-

Ah voilà ! Nishi-Kim (le bossu de l'ouest*) Ah non-...C'est le nom de leur chef ça...Oh ça me revient ! Le nom de leurs gang est Tsurugi (*Le Tsurugi est une épée à double tranchant qui était principalement forgé durant l'âge de bronze au Japon. )!! Ne me demandez pas pourquoi voulez-vous ?

Naoto ma mis en garde contre trois de leurs membres voulant tuer le boss du Toman, estimant que celui-ci aurait pris trop d'ampleur en agrandissant son territoire ne les séparant que d'un seul quartier. Le toman de l'est et Tsurugi de l'ouest et le Toman aurait annexer trop de territoire penchant vers l'ouest à leurs gouts.

Une histoire de gang vous me direz, quoi de plus banal.

Cependant J'AI une mission : Sauver Hinata et Nao en empêchant Tetta Kisaki d'entrer au Toman. Et il se pourrait qu'il aille jouer les justiciers en protégeant le boss de l'Est lors de la confrontation. Les seuls indices sont...Kyomasa et sa bande. Je dois réussir à leur soutirer des informations si je veux me rapprocher du boss !

Mais d'abord je vous résume ce qui se passe, je viens de revenir dans le passé et j'ai donc atterris dans une salle de classe. Je me suis tapé la honte parce-que j'ai fait un cauchemar et le prof m'a fait chier pendant mon monologue et...C'est la fin je crois ?

— Hanagaki. La voix littéralement morte du prof me parvint aux oreilles. Pour l'amour de Kami-sama, quand est-ce que tu apprendras à écouter en classe, hum ? Ça a sonné imbécile ! Je veux profiter de ma pause et que tu profites de la tienne alors ouste de là je ferme à clés !

— O-oui ! désolé !

Fourrant mon livre et mon unique stylo à moitié mort dans mon sac je me précipitai et sortie de la classe en courant. Je vous épargne mes chutes et bousculade contre les tables et chaise de la classe et des lamentations de mon professeur. Il me rester encore deux heures de cours ainsi que les clubs mais honnêtement je n'en avais pas envie. Je décidai alors de retrouver Akkun et les gars dans la cour, parce-que oui là c'était la récréation.

— Mais qu'est-ce qu'il lui arrive à celui-là ? résonna la voix de monsieur Omashi mon professeur de langues.

Oh mais j'y pense ! A la fin le prof ma tutoyer ! M'enfin bref c'est surement qu'il avait la flemme...Ce n'est pas professionnel du tout ça !

—« Et c'est sous la légère brise d'été que le temps cessa de fonctionner. »

Pdv Omniscient :

La légère brise vint soulever avec agitations les feuilles d'arbre dont la couleur verte rendait le paysage du parc harura féerique. Les fleurs de différente variété trônaient sur les espaces qui leurs sont dédiés et dont les admirateurs ne pouvaient les toucher. Les cris de joie et d'amusements des enfants présent dans les aires de jeux varié , qui camoufler avec amertume ce des victimes des pari immorale.

En effet, a quelque pas du parc se trouvait un lieu où des escaliers en demi-cercle encercler toute personne qui se trouvait plus bas donnant donc cette impression aux habitants du quartier Azarawa que c'était une arène.

Une cinquantaine de collégiens étaient éparpillés sur tout le long des estrades ne laissant donc personne d'autre passait. Des houlements et des cris d'encouragements agité le lieu. Des paris étaient acclamés haut et fort assurant sur le vainqueur de cet affrontement.

— Ok ! Ecoutez-moi tous ! s'éleva la voix de Kyomasa.Comme on vous l'a dit par texto, le combat du jour oppose Kojima de Sakurachu ! Des applaudissement et sifflements s'élevèrent parmi les collégiens et lycéen puis Kyomasa pointa du doigts l'adverse de Kojima : et Yamamoto de Mizuchu !!

— Va crever avec ta coupe de merde !

— Téma il chie dans son froc !

Cette fois des insultes dominait le lieu au plus grand damne du jeune collégien contraint de se présenter ici.

— La cote et de quatre contre six en faveur de Kojima ! railla Kyomasa. C'est parti !

Une goutte de sueur traversa la tempe du jeune blond. Regard sérieux qui, quoi que laissez une once de peur apparaitre, son buste était penché en avant et ses poings en postions. La peur ne voulait pas le laisser entamer le combat, il savait que c'était fichu, il ne fait pas le poids contre l'élève de Sakurachu. Son adversaire lui, déterminer à lui faire sa peau, s'impatienter avec le public de plus en plus agiter.Et comme si une bonne étoile décida d'accorder les prières intérieur du jeune Yamamoto le public se tut et se retourna vers la source de leurs stupéfaction et agacement :

— Pas si vite ! s'éleva la voix de Takemichi.

— Takemichi ?? s'égorgilla Yamamoto.

—Qu'est-ce que t'a connard ? cracha un collégien. T'es taré ??

— Rien, souri-t-il, Mais ça ne vous soule pas de voir tout le temps le même genre de match ? Vous ne voulez pas des combats plus kiffant ? du genre...le Roi contre un esclave ?

Tous les mondes présents s'exclamèrent de stupeur face à l'acte suicidaire du blond aux yeux azur. Des « Oh le taré ! » , « Qu'est-ce qu'il raconte ? » accentuer l'ébranlements des jeunes « caillera ».

— Allez Kyomasa...Toi et moi, en un contre un ! fit-il en le pointant du poing.

Kyomasa le regardait du coin de l'œil, sa cigarette entre ces lèvres. Ces prunelles le foudroyaient du regard, agaçait par la tournure des évènements.

— Hein ? Ne faudra pas venir chialer après. Une veine apparus sur la tempe du boss de ces matchs qui se dirigea vers Takemichi après avoir écraser sèchement son mégot au sol à l'aide de son pied.

Dans un coin des escaliers deux figures féminine étaient discrètement posé et observer avec intention l'enchainement spécial des évènements. Une cigarette coincée entre ces fin doigts vernis, le regards éther de la blonde se dilatait d'amusement au fur et à mesure des minutes. Ces lèvres s'étirèrent formant un sourire avant d'apporter pour la troisième fois sa clope a ces lippes pour inspirer une bouffé de nicotine qui avait l'effet de la rendre totalement cool et zen. Quant à la seconde personne à ces côtés, l'impatiente et le dégout se lisais sur son visage. Si son amie appréciée ces matchs totalement idiot et immoral, la rousse elle les détestait. Une brique de lait à la fraise dans la main, elle tenter le tout pour tout pour convaincre sa cheffe et amie de s'en aller mais sans résultat.

—Miariii, s'il te plait !! C'est super frustrant de rester !!

—Non, fis la concerner en crachant la bouffée de tabac par le nez, On reste ici, ces matchs nous sont des infos précieuses ! Notre témoignage nous permettra de nuire à ce connard là-bas là. Fit-elle en pointant du doigts l'organisateur de ces paris, Kyomasa.

—D'accord, d'accord mais ça ne se fait pas Miari, regarde !! Ils frappent les plus faibles !

Levant les yeux au ciel, la blonde soupira quant à la débilité et naïveté dont pouvait faire preuve son amie. C'était ce qui la rendait attachante, peut-être mais dans certaine situation c'est plus qu'une épreuve.

⨫Voilà pourquoi on reste Ruru. C'est injuste comme tu la dis et surtout, contraire aux règles du Toman. D'ailleurs, fait moi le plaisir d'appeler Draken je n'ai pas tous leurs temps et plus vite on met fin à leurs bordels, plus vite je pourrais rentrer regarder Hunter x Hunter.

Gonflant ces joues, Runa se mis à murmurer dans sa barbe inexistante. Prenant son téléphone elle contacta le dénommé « Draken » et lui expliqua la situation. Quant à Miari, elle se releva sentant ces jambes s'engourdirent et se tourna une nouvelle fois vers la rousse. Comprenant où est-ce qu'elle en voulait venir, Runa agita son téléphone avant de débriefer à la blonde son appel téléphonique.

— Mikey et Draken sont pas très loin, ils seront là dans quelque minute ! Ils nous ont dit qu'ils s'en occuperont alors on peut y aller ! s'exclama-t-elle soulagée de s'en allez loin de ce lieu de violence injustifié.

— Ah...-doit-ont vraiment s'en aller ? fit-elle déçue. Je voulais rester, je sens que ça va devenir très amusent.

— Eh bien je suppose qu'on le peut mais... non c'est non !! ajouta-t-elle en prenant le bras de la blonde aux yeux éther sous son bras et de la tirer toujours dans la plus grande des discrétions en dehors des marches.

Sans ajouter un mot de plus, les deux filles quittèrent, tel des chats noirs, le lieu où Kyomasa et sa clique avait l'habitude de se rendre. Et si leur pensait était tourner vers leur activité leur cœur demeuré curieux sur les circonstances prochaines. Et comme si elles lisaient dans les pensées de chacune, Runa et Miari se regardèrent avant d'éclater de rire. Et c'est sous cette petite humeur qu'elles rentrèrent chez elles, laissant alors « Mikey et Draken » s'occupait du reste.

—Une nouvelle pièce du puzzle vient de se mettre en place parmi les centaines restante. 11 ans passé devenus présent, aujourd'hui Takemichi apprendra que chaque mot, chaque geste auront un lourd impacte sur le futur de chaque être s'il ne les surveillent pas.

-N'oublie pas.

Bonjour/bonsoir !! 

Comment allez-vous ? VOICI MESSIEURS DAME le chapitre 2 de Gizen !! après deux ou trois mois, je sais plus d'attente je vous le publie !! Je m'en excuse d'ailleurs, mais plusieurs complication sont survenues interférant dans mes habitudes et qui m'ont donc retardé ! 

J'espère du fond du coeur que ce chapitre fut : compréhensif, clair, lisible et avec une présence de faute de langues d'orthographe et de syntaxes minime !

La suite n'a pas encore de date de sortie, désolé ! Cependant je vais essayer de minimiser le temps d'attende en un mois et demi max ! heureusement que les vacances sont la ! priez juste pour qu'on m'achève pas de devoirs et de contrôle ! 

Bref, je suis bavarde ce soir, priez aussi pour que  @afk_louiseet moi on n'est plus la flemme de rester dans nos lits et qu'on décide de sortir se VOIRE une après-midi, MA BESTIE ME MANQUE, oui Louise je me fait chier sans toi h24 👩‍🦯

AU REVOIR