ℂ𝕙𝕒𝕡𝕚𝕥𝕣𝕖 𝟠


Le mois de décembre arriva bien vite et avec lui, la fièvre de Noël. D'autant plus que les professeurs avaient eu la bonne idée de faire un père noël secret. En quelques mots, on devait piocher une personne au hasard et offrir un cadeau a cette personne le dernier jour de cours avant les vacances de Noël. J'avais eu de la chance, car la personne que j'avais pioché était Makomo. Elle était amie avec moi l'année dernière, puis on s'était un peu éloignés avec l'arrivée de Giyū. C'est a dire combien on était devenus proches tout les deux ! Je m'extirpai de mes pensées et essaya de soutirer des informations a Giyū par rapport à son lutin ( oui oui, on les appelait comme ça, c'est pas mon idées ) mais rien a faire, il refusait obstinément de me répondre.

- Si je te dis qui j'ai eu, ça n'aura aucun intérêt ! S'écriait-il avec un air quelques peu blasé.

- Mais alleuh ! Et je te dis le mien ! 

- Toujours pas, c'est pas comme ça que ça marche avec moi ! 

Je poussa un long soupir et décida de lui faire la moue. Peut être que ça marcherait mieux ? ...

Okay pas du tout. Il ne m'adressait même pas un regard, concentré sur son cahier. Si on ne peut même plus discuter ! Je décida alors de parler un petit peu avec Tenma. Depuis qu'il était arrivé, je m'étais lié d'amitié avec lui, et d'emblée avec Daki et Gyutaro, au grand désespoir de Giyū qui ne pouvait même pas les voir en peinture. J'entama une conversation peu intéressante avec Tenma, mais assez entretenante pour faire passer le cours plus vite. Je ne pus que remarquer combien discuter avec Giyū était plus plaisant. C'était mon meilleur ami après tout ! Les cours passèrent longtemps et je finis par m'écrouler le soir sur mon lit, extenué. 

- T'a une idée de ce que tu vas offrir toi ? Demandais-je a Giyū.

- J'ai ma petite idée et toi ?

- Absolument pas ! Mais c'est pas grave je trouverai bien un truc . Tu voudras venir avec moi. 

- Si tu le veux... On ira samedi ?

- Oui je pense. Ça te dérange pas j'espère. 

- Non non , c'est juste que j'aurais quelques courses à faire moi aussi. 

- C'est quoi ? 

- Quelque chose ! On t'a jamais dit que t'étais lourd ? 

- Hum... Non jamais ! 

- Argh, t'es insupportable vraiment. Bon bref, tu penses que y'aura de la neige cette année ? 

- Il n'y en a pas eu l'année dernière mais, qui sait ! Peut être sur ton arrivée nous portera chance et qu'il y en aura. En tout cas, prévois quelque chose de chaud parce que neige ou pas, il fera sacrément froid ! 

- Okay...

- Pourquoi cet air déprimé tout à coup ? T'aimes pas la neige ? 

- Si si, c'est pas ça... C'est que ça me rappelle... Des souvenirs douloureux disons. Mais je ne veux pas en parler, j'ai des devoirs a faire. 

Je fixai Giyū sans répondre. Je le connaissais assez pour savoir que quand il prenait cet air froid et distant, c'est que ça n'allait pas. Et ça me brisait le cœur de l'admettre, mais je ne savais pas comment réussir a pénétrer cette défense de glace et réussir a le réconforter. Je tendis la main pour la mettre sur son épaule, histoire de lui dire que j'étais là et que je le soutenais, mais je me ravisai au dernier moment et le laissai travailler en paix. Le reste de la soirée se passa bien et je finis par tomber comme une souche dans mon lit après avoir fini mes devoirs. Le reste de la semaine se déroula avec lenteur. Et je n'avais toujours pas trouvé d'idées de cadeaux pour Makomo... Et on était déjà au huit décembre. Mais bon, je trouverai bien quelque chose ! Et puis, il y aura Giyū pour m'aider, aucun risque qu'on ne trouve rien. Et, au pire du pire je lui offrirai des chocolats. Tout le monde aime les chocolats ! Je traversais la cantine, perdu dans mes pensées, quand je percutai soudain Sanemi. Il se retourna vers moi .

- Tu peux pas faire attention ou tu marches, connard ! S'écria-t-il en me poussant avec violence 

- C'est bon, calme toi j'ai pas fait exprès. Répondis-je en le poussant en retour. Il était encore plus de mauvais poil que d'habitude lui.

- D'où tu me pousse sale fils de pute ! Il me lança un regard haineux et se planta devant moi.

- T'insultes pas ma mère enfoiré ! Hurlais-je, hors de moi. Je lui sautai dessus et tentait de lui frapper le visage. Le balafré esquiva mon poing et me lança un coup de pied dans le ventre. Celui-ci me propulsa a terre et, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, le teigneux sans sourcils se rua sur moi pour me frapper au visage. Il m'atteint une fois au nez et je sentit quelques chose couler sur ma lèvre supérieure. Sans me soucier de mon nez qui me faisait souffrir, je ripostai violement d'un coup de pied dans le tibia et me remis debout d'un bond. Je tentai de lui baffer le visage, mais il s'était volatilisé. Je sentis quelques chose m'attraper par le dos du T-shirt et me soulever en l'air. Sanemi me retourna pour que je me retrouve face à lui et afficha un air narquois.

- Alors, on fait moins le malin fils de pute ! 

- J'ai dit ... INSULTE PAS MA MÈRE ! Je lui donna mon meilleur coup de pied dans ses couilles et le laissai tomber a terre. Il resta par terre quelques instants pour se récupérer du coup qu'il avait reçu et j'en profitais pour lui donner un coup de poing dans l'œil. Il me gifla en retour et m'attira vers le sol pour mieux le tabasser. La bagarre dura quelques instants de plus puis un surveillant vint nous séparer. Un foule c'était formée autours de nous, que le pion se dépêcha de disperser. J'étais dans un piteux état, mais Sanemi n'était pas mieux. Après nous être pris quelques heures de colles, je pus rentrer enfin à la maison. En ouvrant la porte, j'entendis Giyū me crier.

- Et c'est a cette heure que tu rentres ? Tu faisais quoi dehors ? Ça fait cinquante ans que je t'attends !

- Oh rien, juste un petit accrochage. Rien de plus ne t'inquiètes pas ! Je vais b-...

J'entendis un grand fracas et quand je levai les yeux, je vis Giyū, le visage livide et une pile de livre au sol devant lui.

Pdv Giyū :

J'entendis la porte d'entrée claquer et j'en déduis qu'il était enfin rentré. Il en avait mis du temps.

- Et c'est a cette heure que tu rentres ? Tu faisais quoi dehors ? Ça fait cinquante ans que je t'attends ! Lui criais-je, un peu énervé qu'il ait pris autant de temps.

Il marmonna une réponse et je le dirigeai vers la porte pour lui donner ses cahiers qu'il avait oublié en math. Je levai les yeux et mon cœur fit un bond dans la poitrine. Sabito se tenait devant moi, blanc comme un linge et couvert de sang. Il avait le nez gonflé qui saignait, un œil au beurre noir et un hématome énorme sur la joue recouvrait sa cicatrice. Je fit un pas en arrière et cligna fortement des yeux pour me remettre du choc et chasser les larmes qui avaient commencé a sortir sans que je le veuille. La première surprise passé, je me précipitai vers lui et lui attrapa le bras. Je l'assis sur son lit et lui lança un regard noir tandis que je prennait la trousse de premiers secours.

- Sabito, avant que je me fâche et que je ne te gueule dessus, réponds a ma question. Dis-je en un souffle en crispant mes mains sur la compresse que je tenais plaquée sur sa joue.

- Oui ? Demanda-t-il en grimaçant pendant que je lui appliquait du désinfectant sur sa joue meurtrie.

- Comment t'a fait ça. Je dus me faire violence pour ne pas rajouter "imbécile" la fin de ma phrase.

- Je me suis battu avec Sanemi. Il avait insulté ma mère ce connard ! Mais je l'ai bien défoncé !

- MAIS TU T'ES VU ! Tu as plus de bleus sur tes bras que de cahier qu'on a pour les cours ! Et encore je n'ai pas vu ni tes jambes ni ton ventre ! Et tu oses parler aussi fièrement de ta bagarre ! Tu sais combien j'ai eu peur au moins ? En te voyant arriver comme ça, le corps couvert de sang j'ai cru revoir le cadavre de ma sœur ! Et tu te vantes en plus... Ma voix de brisa a la fin de la phrases et je sentis couler des larmes sur mes joues que je ne pouvais retenir. Sabito m'enlaça de ses deux bras et le serra contre lui sans un mot tandis que je pleurais a chaudes larmes sans essayer de me retenir. Je savais que ma réaction était démesurée mais ... Ça m'avait rappelé ma famille morte et le fait que je n'avait pas pu la sauver. Je restais contre lui un bon moment, puis, quand mes larmes furent taries, je recommençai à soigner ses bleus. Et je n'avais pas exagéré sur la comparaison !

- Enlève ton T-shirt Sabito .

- Eh bien Giyū, on est entreprenant a ce que je vois... Susurra-t-il a mon oreille. En temps normal, j'aurais rougi mais j'était encore trop chamboulé pour avoir une réaction aussi puérile. Je me contentai donc de répéter l'ordre avec un regard glacial. Il s'exécuta sans protester et je pus reprendre mon travail.

 À la fin de ma séance d'infirmier, il était recouvert de petits pansements et de bandages de fortune.

- Bon, ça ne devrait pas être trop mal... Mais la prochaine fois que tu fais ça compte pas sûr moi pour t'aider. 

- Ne t'inquiètes pas, je saurais m'arrêter avant ! Il allait retourner dans son lit quand il se figea soudain et se retourna. Il me fit un sourire, le sourire magnifique dont il avait le secret et murmura

- Merci Giyū. 

Cette simple phrase me fit monter le rouge aux joues tandis que mon cœur s'affolait. Je marmonna un " de rien " antipathique et montai dans mon lit. Mais cette nuit là, j'eus beau me retourner dans tout les sens dans mon lit, je ne parvint pas a trouver le sommeil. Et c'est pour ça que, à 11 heure du soir, je me retrouvais dans le lit de Sabito. Et, plus précisément dans ses bras. Mais ce n'était pas moi qui avait demandé a venir avec lui, c'était juste que, comme je faisais bien trop de bruit en le retournant dans mon lit, il avait dit " Giyū, je sais très bien que tu n'arrives pas a dormir. Viens avec moi, tu seras mieux ". A ce moment là, je n'avais aucun envie de protester et je me contentai donc d'accepter sa demande en me souvenant combien j'avais bien dormi lors de ma première nuit, quand j'avais dormi avec Sabito.

La nuit fut hantée de cauchemars sanglant. Je marchais tranquillement dans une forêt sombre quand soudain, des mains pleines de sang sortaient du sol et m'agrippaient pour m'enfoncer dans le sol. Au moment où je commençait a disparaître sous la surface, une personne s'avançait vers moi et, au lieu de m'aider, restait plantée devant moi. Je levai mes yeux vers le visage du garçon qui n'était autre que Sabito. Il me regardait d'un air neutre quand soudain, sa bouche se fendit en un affreux sourire et il tendit une main sanguinolente vers moi. Que je l'attrapai, le visage de Sabito partit en lambeaux et a la place laissa place à ma sœur. Elle murmura " c'est de ta faute" avant de partir en fumée et que je m'enfonce totalement dans le sol.

Je me réveilla en sursaut, le cœur encore battant suite au cauchemar que je venais d'avoir. J'avais le visage trempé de sueur et sûrement un teint a faire pâlir les zombies. Je me retournai et fit face au visage endormi du rouquin. Le voir raviva le sentiment de culpabilité qu'avait fait pointer en moi la mort de ma famille mais je secoua la tête pour chasser ces idées noires. J'essayais de me glisser hors du lit pour monter dans le mien mais, dans ma précipitation, je le réveillai. Il me lança un regard ensommeillé et me questionna.

- T'es réveillé Giyū ? Pourquoi tu voulais sortir du lit ? Ça va au fait ? T'es tout blanc.

- N-Nan ça va t'inquiète. Je voulais juste remonter dans mon lit.

- S'il te plaît, je te connais assez pour savoir quand ça ne va pas bien ! T'a fait un cauchemar c'est ça ? 

-... Oui, mais c'est bon c'est passé...

- Tu penses vraiment que tu vas réussir à te rendormir tout seul dans ton lit après un cauchemar ? 

Je réfléchis quelques instants puis finit par avouer

- Non... C'est d'accord, je reviens.

Même dans la pénombre de la chambre, je pus voir son visage rayonner a l'entente de cette annonce.

Dès que je fus dans les draps, il s'empressa de m'entourer de ses deux bras et de me caresser les cheveux tandis que les dernières bribes de cauchemars s'envolaient dans l'atmosphère accueillante de notre chambre.

Pdv Sabito :

J'eus beaucoup de mal a me réveiller ce matin là. J'étais tellement bien, au chaud dans les draps là. Pourquoi devrais-je sortir de mon lit et travailler alors que je pouvais rester au chaud sous les couettes ? La vie est tellement injuste. Après quelques réflexions sur le sens de la vie et ce qui était injuste ou non, je me retournai vers Giyū qui dormait toujours. Il avait le visage détendu, bien plus que quand il était réveillé. Et, je n'allais pas le mentir, il était vraiment beau comme ça. Je me retiens de caresser son visage, troublé. Depuis quand je pensais ça moi ? A vrai dire, ça faisait déjà quelques mois que je pensais ça. Mais, tout compte fait, c'était normal de penser ça pour un ami ? Était ce seulement de l'amitié ou... Autre chose ? 

Je n'eus pas le temps de contempler plus longtemps son visage car il commença a s'éveiller lentement. Je m'empressai de sortir du lit et de me préparer avant qu'il ne trouve bizarre que je le fixe pendant qu'il dorme. 

- Ça te dit qu'on aille prendre un petit dej' au café d'une amie ? Elle fait des muffins incroyables ! Lui proposais-je quand il fut réveillé

- Meilleurs que les miens ? Laisse moi rire ! S'exclama-t-il, joyeux.

- Jamais ! 

Quand il fut habillé, nous descendîmes dans la cour, ou un spectacle magnifique nous attendait. Il avait neigé pendant la nuit et un manteau blanc épais de 10 bons centimètres recouvrait toute la cour. La neige brillait au soleil, étincelait sous ses rayons et se reflétait sur les cheveux noirs corbeau de Giyū. Je restai sans voix quelques instants puis je me retournais vers Giyū, excité comme une puce.

- T'a vu ça Giyū ?! De la neige, de la vrai neige comme il n'y en avait pas eu pendant des années ! Ah c'est magnifique regarde moi ça ! Ce blanc immaculé que personne n'est venu souiller !

Il m'adressa un sourire tandis que je m'accroupissais au sol pour former un boule.

- Hou, c'est gelé ! Heureusement que j'ai pensé à prendre mes gants ! Allez viens, je commence a avoir faim pas toi ? Dis-je en lui agrippant la main. 

Nous arrivâmes devant le café nommé Lama Café. Derrière le comptoir de trouvait Eva, celle qui tenait le café en question. Dès qu'elle me vit, elle me dit signe d'entrer avec insistance.

- Eva, je te présente Giyū, mon meilleur ami du lycée. Giyū, je te présente Eva, un amis d'enfance. 

- Enchanté... Murmura Giyū, un peu gêné.

- Enchantée ! D'ailleurs Enma est venue me filer un coup de main parce que mon serveur est tombé malade. Et elle a ramené en prime Adri qui était censé prendre les commandes mais qui ne fait pas grand chose a part fixer Enma où son téléphone finalement...  

Après avoir présenté a Giyū mes deux autres amies, nous nous assîmes a une table proche de la fenêtre et il me fit remarquer.

- N'empêche, t'a beaucoup d'amies filles... T'a beaucoup de succès auprès d'elles on dirait.

- Quoi !? Oh non, j'ai bien plus d'amis mec ! Et puis, elles ne sont pas amies avec moi pour me draguer. De toute façon, Éva a déjà quelqu'un et Enma et Adri sont en couple donc je n'ai rien a craindre. Tu vas commander quoi ?

- Un café-cannelle et un muffin caramel-spéculoos et toi ? 

- Moi ? Un chocolat chaud avec des chamallows et un assortiment de mini muffin. Je te ferais gouter si tu veux ! 

Après avoir passé commande, nous passâmes beaucoup de temps a parler de tout et de rien, à rigoler avec Adri qui sous ses abords de Dark-Sasuke était très drôle et Enma qui était sociable de nature. Elles étaient en train de raconter leur rencontre avec moi quand Éva apparut derrière Adri et lui donna un petit coup sur la nuque.

- Je te rappelle que si tu es venue ici, c'était à la base pour m'aider et prendre les commandes des clients. Donc tu vas me faire le plaisir d'aller attendre ce pauvre couple qui attend depuis déjà dix minutes ! D'ailleurs, voici vous commandes.

Adri grommela et se leva pour aller voir ce " pauvre couple " 

Je ris de bon cœur en croquant dans un muffin au chocolat. 

- C'est fou comme Éva a de l'autorité sur Adri ! Enfin, contrairement a toi Enma ! 

- Mais heu ! Tu sais bien que ce n'est pas de ma faute si je ne sais pas rester sérieuse. Le temps passé dans ce café vola a toute vitesse et sans qu'on ne se l'aperçoive, il était déjà onze heures et demie passée. 

- Oups ! Giyū je crois que si on ne se dépêche pas de partir on va arriver en retard au lycée ! Je vais payer la note, rassemble tes affaires. J'arrive devant le comptoir quand Eva arriva avec une boîte remplie de muffins. 

- Pour toi et ton petit copain., me dit elle avec un clin d'œil aussi discret que la cicatrice sur la joue. Le visage aussi rouge que les cheveux de Rengoku, j'essayai vaguement de protester mais j'y renonçai en voyant le regard espiègle qu'elle me lançait.

- Bon, c'est pas tout mais je vais être en retard. J'y vais, passe le bonjour à Alexy et Nils de ma part ! Sans attendre de réponse je partis en courant vers la sortie et agrippai la main de Giyū au passage. Elle était gelée d'ailleurs, elles étaient TOUT LE TEMPS gelées. Je savais déjà quels cadeaux j'allais lui faire pour Noël ! 

Nous courûmes sur le trottoir gelé, manquant de tomber plusieurs fois pour arriver a l'heure devant le portail imposant du lycée...


L'auteur qui mets le plus de temps a sortir ses chapitres BONJOUUUR !! Nan en vrai j'abuse parce que j'ai pas pris TELLEMENT de temps que ça. Juste un mois ^w^

Mais bref, ce que je voulais dire est que je comptais faire un recueil d'OS où on peut passer des commandes ... Est-ce que ce serait une bonne idée ? Moi j'aimerais bien en vrai, mais il faudrait qu'il y ait des commandes qui soient passés sinon ça servirait clairement a rien.

Sinon, je tiens a dire que si Giyū à la larme aussi facile, c'est parce que le souvenir de la mort de ses parents est encore frais et qu'il n'arrive pas à mentir là dessus à Sabito

Kiss 🤍

//Vanille 

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