⛩️💀𝐌𝐞𝐬 𝐩𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐧𝐞𝐜𝐝𝐨𝐭𝐞𝐬💀⛩️
✩。:*•.───── ❁ ❁ ─────.•*:。✩
꒱࿐♡ ˚.*~Vous allez bien ?🥐
📌Moi, personnellement, plutôt pas mal !☕
⚔︎Je ne sais pas si vous vous rappelez, mais dans les débuts de mon rantbook, j'avais fais un chapitre où je racontais des anecdotes passées et nostalgiques, idée qui m'avait été donnée par notre chère Kitsunefan2manga !☆
➤👑Et bien là, j'ai décidé de vous raconter mes pires anecdotes. Donc celles desquelles j'en garde un plutôt mauvais souvenir...💀
𝐂'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢 !
https://youtu.be/coRXCHD1L7c
Petite playlist pour lire ces anecdotes avec de la musique <3
* ◄ ◊ ► ◄ ◊ ► ◄ ◊ ► ◄ ◊ ► ◄ ◊ ►*
𝑨𝒏𝒆𝒄𝒅𝒐𝒕𝒆 𝒏°𝟏 : 𝑱'𝒂𝒊 𝒇𝒓𝒐̂𝒍𝒆́ 𝒍𝒆 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒆̂𝒕𝒓𝒆 𝒌𝒊𝒅𝒏𝒂𝒑𝒑𝒆́𝒆
➤Je l'avais dis, dans mon 100 things about me, que j'avais failli me faire kidnapper ; alors pourquoi pas en raconter l'anecdote ?
Tout s'est passé lorsque j'étais en 6 ème ; je venais de sortir d'une petite grippe dont je m'étais rétablie. Sauf qu'en fréquentant mes amies en étant malade, j'ai fini par les contaminer, mes deux amies ont donc été malades et absentes (par ma faute, un peu 🥲). C'était donc un mercredi après-midi, et je devais me rendre chez mes amies pour leur donner les cours qu'elles avaient loupés.
L'intéressant de cette anecdote se déroule au moment de me rendre chez ma seconde amie, sachant que cette dernière habitait un peu loin de chez moi, mais c'est faisable à pieds en dix minutes. Je m'étais donc rendue chez elle, et avait donné les cours à son grand frère qui m'avait ouvert, mon amie étant clouée au lit, puis je repars, toute seule, en direction de chez moi.
Le trajet se passe bien, comme à l'allée, jusqu'à une intersection entre 4 rues, dont la mienne. C'est donc à cette intersection, peut avant d'aller à gauche pour rentrer dans ma rue, que je vois une petite voiture blanche arriver dans le croisement. Au début, cette dernière roulait à une allure normale, mais en me voyant, a bizarrement ralenti.
Voici un magnifique schéma réalisé par ma personne sur Paint, pour que vous puissiez vous imaginer la scène :
(Les flèches orange indiquent mon trajet, et les flèches rouges, celui de la voiture).
Au début, je me dis qu'elle est sûrement conduite par des personnes âgées, peut-être en difficultés pour conduire, donc je ne stresse pas tant que ça, jusqu'à ce que la voiture s'arrête à mes côtés. Paniquée, je la regarde, tout en continuant de marcher, et vois les vitres de la voiture se baisser, puis là, j'ai pu voir deux vieux hommes avec de la barbe et des longs cheveux, au volant. Les deux m'ont regardée en souriant, avant de me faire coucou, et de me faire un signe de la main pour m'indiquer de venir vers eux.
J'accélère donc le pas, comprenant la situation, stressée, puis là, les deux se mettent à klaxonner pour attirer mon attention, ce qui me fait sursauter. Là, mon instinct de survie, la seule chose qu'il me dit, c'est : cours. Dans la panique, je me mets donc à courir, et à tourner dans l'angle de ma rue, en avançant assez loin dans cette dernière. Arrivée en plein milieu de ma rue, je me retourne, essoufflée, pour voir si les deux ne m'ont pas suivie, mais heureusement, ils étaient partis.
Je suis donc rentrée chez moi, saine et sauve, mais pendant près d'un mois, lorsque j'avais à rentrer toute seule, je stressais énormément en empruntant cette voie, car je devais passer par la même intersection pour rentrer chez moi.
Morale de l'histoire : Fuyez les vieux qui roulent en vieux modèle de voiture blanche.
Le pire, c'est que presque 4 mois plus tard, avec mon amie, on s'est fait suivre par un homme dans la rue, et même dans le magasin, donc on est parties en courant après nos achats. Heureusement que nous avions toutes les deux sentis le danger, car sans que j'ai eu besoin de prévenir ma meilleure amie, elle avait remarqué l'homme.
𝑨𝒏𝒆𝒄𝒅𝒐𝒕𝒆 𝒏°𝟐 : 𝑴𝒐𝒒𝒖𝒆𝒓𝒊𝒆𝒔
➤Alors, cette anecdote s'est déroulée Mardi dernier. Je vous donne les circonstances : en fait, le Mardi avec une de mes amies que je vais nommer Marie pour ne pas dire son vrai prénom, on a un délire le Mardi, c'est à dire que ce jour est notre jour ✨kawaii✨, et ce depuis le début de l'année. Pour faire simple, le mardi, on est goodvibes, on rigole, et on doit être joyeuses avec tout le monde.
Sauf que ce Mardi là, ça ne s'est pas passé comme ceux de d'habitude. En fait, avant la pause déjeuner, nous avions permanence avec ma classe et une autre classe de notre âge, étant donnée l'absence de la professeure d'espagnol. Je suis donc assise à côté d'une de mes amies (pas de Marie), que je vais appeler Faustine, pour l'anecdote. Donc la perm se passe bien, on rigole, jusqu'à ce que un de nos amis accompagné de son pote de l'autre classe viennent s'assoir à côté de nous. On parle un peu avec eux, puis là, je vois que le pote de notre ami me regarde, donc je le regarde, puis là, il dit.
Le gars : Eh, mais t'as les dents écartées !
Sur le coup, je sourie, gênée, en me sentant rougir, et en faisant genre de rigoler, tout en lui disant de se taire ; Faustine, elle, lui disait de ne pas sortir des choses de la sorte. Durant tout le reste de la permanence, j'avais la gorge nouée, et la boule au ventre. Je me suis retenue de pleurer jusqu'au self, car il faut savoir que mes dents sont un de mes plus gros complexes. Déjà que j'ai un appareil dentaire pour corriger ça, mais qu'en plus je complexe sur l'appareil car je me trouve affreuse avec, le gars avait touché une corde sensible.
Tandis que mes amies révisaient notre oral de techno tout en rigolant, moi je mangeait mon plat, en baissant les yeux, jusqu'à ce que l'une d'entre elles me demande si je vais bien. J'avale avec difficulté ma bouchée, avant de me mettre à pleurer, couvrant mon visage de mes mains, de honte ; dans le fond, je ne pense pas que je me couvrais le visage car je me trouvais laide lorsque je verse des larmes, mais surtout parce-que j'avais honte de pleurer pour si peu.
Toutes mes amies viennent donc autour de moi, me demandant ce qui ne va pas, et Faustine leur a donc expliqué ce qu'il s'est passé en permanence. Le surveillant, remarquant que je pleurais, vient me voir et me demande ce que j'ai, bien que j'aurais préféré qu'ils ne s'en mêlent pas. D'autres amis viennent me voir, y compris le garçon qui m'avait blessée. Là, une dame qui était là pour s'occuper des élèves dans le besoin vient me voir, et me m'emmène à l'infirmerie. Heureusement pour moi, l'infirmière a été super gentille, et m'a parlé comme si elle était une psychologue, ça m'a fait du bien de vider mon sac.
Après ça, elle a convoqué le garçon, et ce dernier s'est excusé, puis je suis repartie au self, après avoir repris mes émotions. En retournant à ma table, mes amies m'ont sauté dessus pour me faire un câlin, ce qui m'a mit le sourire aux lèvres. Même un de mes amis dont je ne suis pas plus proche que ça est venu me voir, et m'a donné une petite tape sur les épaules en guise de réconfort. Et un autre a dit une phrase qui m'a grave touchée : "Comment peut-on insulter No***** ?" Dans le fond, heureusement que mes ami/es sont là, sans eux, je ne sais pas ce que j'aurais fait ! Ils m'ont même dit de ne pas culpabiliser, car je m'en voulais que le garçon se prenne des heures de colles car je n'ai pas su m'empêcher de pleurer 🥲.
Bon, le jour ✨kawaii✨ a un peu été gâché tout de même (en plus de ça, j'étais de bonne humeur car je venais d'apprendre quelque chose la veille), et en plus la remarque n'a pas quitté mon esprit pendant deux jours, donc j'en garde un mauvais souvenir, de ce mardi... Heureusement que je suis allée voir 4ng3ldream après les cours pour aller encore mieux ! <3
𝐀𝐧𝐞𝐜𝐝𝐨𝐭𝐞 𝐧°𝟑 : 𝐋𝐞 𝐌𝐚𝐜 𝐃𝐨𝐧𝐚𝐥𝐝'𝐬
➤Cette anecdote s'est déroulée en début d'année, avec mes amies. En fait, c'était là notre première sortie au Mac Do sans adultes, ce dernier étant plus loin de chez nous. Durant le repas, donc, deux de mes amies (car nous étions 4), remarquent un garçon qui leur plait. Du coup, durant une heure environ, on essayait de trouver le courage d'aller lui demander son Snap pour mes deux amies, mais ces dernières, à chaque fois, se dégonflaient. C'est donc au moment où il est parti que j'ai pris mon courage à deux mains, et ai demandé le Snap au garçon pour mes amies, puisqu'aucune d'entre nous allait se bouger pour le faire.
Au final, le garçon n'avait pas Snap, mais m'a donné son insta ; mais mes amies, elles, n'avaient pas insta. On repart tout de même du Mac do, une de mes amies prévoyant d'installer insta. C'est alors que l'une d'entre elle lâche que le garçon était plutôt pas mal, ce que mon amie qui le trouvait pas mal aussi, a mal prit. Elles se sont donc fâchées pour si peu, puis après c'est parti en larmes. Pendant le trajet, nous déprimions toutes car nous avions totalement changé de sujet, et nous sommes mises à parler de nos problèmes personnels. Nous pleurions donc, car chacune d'entre nous avait un lourd poids sur les épaules. Et c'est comme ça que s'est fini une sortie qui devait être à la base un bon souvenir... J'avais mal au coeur en rentrant, car je trouvais ça dommage que mes amies se soient embrouillées juste pour un coup de foudre, et qu'après, le fait de l'embrouille nous a toutes fait ressortir nos problèmes personnels...
Voilà, pour le coup, c'est l'une de mes pires anecdotes. Mais l'essentiel, c'est qu'aujourd'hui, quand on y repense, on se trouve ridicule d'avoir chialé comme ça en pleine rue, donc on va dire qu'on en rigole un peu ! 🥲
* ◄ ◊ ► ◄ ◊ ► ◄ ◊ ► ◄ ◊ ► ◄ ◊ ►*
𝑨𝒑𝒓𝒆̀𝒔, 𝒋'𝒂𝒊 𝒅𝒆́𝒋𝒂̀ 𝒗𝒆́𝒄𝒖 𝒑𝒊𝒓𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆𝒍𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒂 𝟑𝒆̀𝒎𝒆 𝒂𝒏𝒆𝒄𝒅𝒐𝒕𝒆, 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒋𝒆 𝒏'𝒂𝒊 𝒗𝒓𝒂𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒆𝒏𝒗𝒊𝒆 𝒅'𝒆𝒏 𝒑𝒂𝒓𝒍𝒆𝒓, 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒓𝒆 𝒎𝒐𝒊𝒏𝒔 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒆𝒂𝒖𝒙, 𝒅𝒆́𝒔𝒐𝒍𝒆́𝒆🥲.
𝑬𝒏 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒄𝒂𝒔, 𝒔𝒊 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒊𝒎𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒕𝒊𝒏𝒔, 𝒋'𝒆𝒔𝒑𝒆̀𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒆 𝒄𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒖𝒓𝒂 𝒑𝒍𝒖 !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top