Écrit par emilietry merci de ton soutien et ton aide

Chapitre 2 !!!

Lucas : Pour qui te prends tu pour me contredire ?

Moi : et bien, pour ta femme ?

Sa main cogna une nouvelle fois ma joue et l'autre, qui me maintenait le bras, me poussa contre le mur. Le choc était si violent que je tombe au sol. Mes genoux se rapprochèrent de mes cotes et les larmes commencèrent à me rejoindre. Je l'est ravalés du mieux que je pouvais.

Qu'allai-t 'il faire de moi ? 

Et voilà, ça recommençais. Encore et encore des coups dans les cotes et dans les jambes. Il me tira par les cheveux pour me relever et me mis une baffe qui au lieu de toucher ma joue, termina sur mon œil gauche. Ma vue se troubla et un voile blanc se mis devant son visage qui se rapprocha une fois de plus de moi.  

Je tourna la tête pour protéger mes yeux. J'avais surtout peur de ce qu'il allait faire. En deux ans, j'en ai vu de toute les couleurs. Il a réussi à m'attendre ! Que ce soit par des coups, des abus sexuels ou encore des violences verbales. Il me trait comme une enfant désobéissante et me rappelle à longueur de journée que je ne suis rien. Il me donner la même quantité de nourriture qu'à notre fille pour je cite "ne pas devenir grosse". En réalité, le manque de nourriture et de sommeil m'affaiblisse. Et cette situation l'arranger car je ne pouvais pas, plus, lui tenir tête.

Lucas pris une nouvelle fois mon menton dans sa main pour m'oblige à lui faire face, à assumé. Bien sur, avec le peu de force qu'il me reste, mon cou suit la direction dans laquelle il est tiré et il me chuchote :

Lucas : En tant que femme, tu n'as pas le droit de me contredire ? Ai-je été clair ? 

Moi : Pourquoi je n'ai pas le droit ?

Sa main heurta une nouvelle fois ma joue, toujours la même 

Lucas : AI-JE ÉTÉ CLAIR ? 

Moi : euh oui, je chuchote 

Lucas : J'aime mieux ça. 

Il se leva et parti en direction du terrain. Après quelques pas, il se retourna vers moi et s'approcha une nouvelle fois de mon corps. 

Lucas : Et pour répondre à ta question, la femme est un être inférieure à l'homme, la femme ne sert à rien, la femme est un objet que l'homme utilise à sa guise. Tu es une femme, je suis un homme, je fais ce que je veux de toi. 

Moi : Il n'y a que toi qui me traite comme ça, je n'ai pas choisit d'être une femme et pourtant tu me le fait payer, je comprends pas !

Lucas : Tu as vu, tu ne comprends pas : ça prouve que les femmes sont connes !!! 

Moi (en me relevant) : C'est pas vrai, ce sont tes idées qui sont débiles ! Tu ne sais pas réfléchir et tu résonne encore comme un néandertalien ! 

Il me frappa une nouvelle fois la joue d'une violence incomparable et ma tête tourna sous le choc. Et là, même sous les coups, je ne pus penser qu'à une seule chose, ma fille ! Elle n'était plus là. D'un coté, c'était une bonne chose car elle n'assiste pas à la violence des coups qu'ils me portaient mais d'un autre, où est elle ?

Je n'eu pas le temps de réfléchir à cette question qu'un nouveau coups me toucha et je reprends ma place d'il y a deux minutes : assise contre le mur, les yeux fermés à trembler. 

Voilà, j'étais aller trop loin et les coups recommencent pour me faire regretter mes paroles et puis plus rien. Au moment ou mes yeux s'ouvrirent pour voir ce qu'il se passe. Deux hommes étaient en train de lui en mettre une ! Enfin quelqu'un qui me défends. Et puis je les ai reconnus. Eux c'est Paul Pogba et Olivier Giroud. Plus loin, Antoine Griezmann était debout, choqué, effrayé avec à ses côtés : Salomé en pleure. 

Paul Pogba pris Lucas et le claqua contre le mur pour lui faire face :

Paul : Comment tu peux taper une femme ? Comment tu peux t'en prendre à elle ? Elle t'a fait quoi ?

Lucas :(en me fixant d'un regard noir) Elle le mérite

Paul : (s'adressant à Olivier Giroud) Il se fout de ma gueule ou quoi ? Comment il peut taper une femme ? 

Paul lâcha mon "mari", du moins il dessert son emprise et ce dernier "s'échappa" pour se rapprocher en vitesse, avant que Paul le rattrape, de moi. J'étais toujours plier en deux contre le mur.

Lucas : (en me donnant un coup de pied dans les côtes) Comme ça ! 

Olivier : ( en le chopant par le col et lui en mettre une) Il se fout vraiment de notre gueule là ?

Et en quelques instants, Lucas se retrouva couché au sol, presque inconscient. Paul et Olivier se rapprochèrent de moi : 

Olivier : ça va ? 

Je ne répondit pas et continua de pleurer, encore une fois. Il m'avait taper, encore une fois. On s'était affiché en public, devant notre fille, encore une fois. Je ne compte plus et pourtant "encore une fois" reviens encore une fois. J'aurais vraiment aimer me dégageait de cette situation dès le début mais je l'aimais. Plus maintenant mais je l'aimais. 

Paul : (en parlant à son coéquipier) : elle est choqué, je vais la porter 

Olivier : Ok on la ramène dans le vestiaire. 

Le géant passa sa main derrière mon dos et l'autre sous mes cuisses. Je n'ose pas les regarder dans les yeux et pourtant, j'aimerais énormément les remercier. Plus loin, Antoine me fixait encore. 

Olivier : (à Antoine) : Tu prends la puce ?

Il ne réagit pas.  Olivier pris donc ma fille dans les bras en soufflant merci Antoine de ton aide...  et le poussa légèrement pour le "réveiller".

Les couloirs s'enchaînèrent et les larmes aussi. En approchant du vestiaire, certains joueurs me fixent, d'autre demandent à Olivier ce qui se passe, n'osant pas parler devant moi. Il ne répond pas... Quelques taches rouges sont présentent sur mon T-shirt et par habitude je porte ma main à mes narines et je découvre que je saigne de nez. Et quelques secondes plus tard, un voile nord se pose devant mes yeux et je perd connaissance dans les bras de Paul, entourer de mes sauveurs...

⭐⭐⭐⭐⭐

Guys je découvre ce chapitre en même temps que vous je le trouve génial comment vous trouvez ?
Merci Émilie infiniment merci❤❤❤❤❤❤ Love Bella
MissPayneIrwinGrier