Rha, j'ai mal à la tête... Je me réveil je suis couché. Comment ais-je fais pour réussir à me hisser ainsi. De plus, des tas de voix sont autour de moi. Le soleil à du vraiment me taper fort sur la tête... J'ouvre péniblement les yeux. Mais ma vision est trouble. Quelque chose me perturbe, je ne vois pas de bleu de la mer comme je m'y attendais, et j'entends énormément de cris. Des enfants comme des adultes. Lorsque ma vision se redéfinit, j'aperçois mes pieds sur un lit de camps. je suis relié à une perfusion qui est attaché à ma main. En regardant autour de moi, je vois plusieurs personnes, et encore "plusieurs" est faible comme mot. Plusieurs centaines de personnes sont allongés comme moi sur des lits. Je soupire plusieurs fois en essayant de m'asseoir. Chaque mouvement me fait souffrir, je rassemble mes souvenirs et grimace en me rappellant de chaque détail de cette journée horrible. Des larmes me montent au yeux en repensant à Ken... Et les autres. Que leur est-il arrivé? Plusieurs enfants passent à côté de moi en courant. Ils rigolent et s'amusent. Ce que j'aimerai être un enfant à nouveau. J'aimerai arrivé à m'amuser alors qu'un tsunami à fait des ravages. Je les regarde passer et laisse mes larmes couler librement.
Un petit garçon passe alors à côté de moi. Il une combinaison grise rayée passer. Pendant un instant je repenses à Ken et sa combinaison qui est la seule chose que nous avons su rattraper lorsqu'il...

L'enfant s'approche alors de moi et lance : "Monsieur, pourquoi tu pleure?"

Je regardes l'enfant, les yeux remplies de larmes. L'enfant me regarde avec un air tellement innocent et avec une certaine inquiétude. Ça doit être étrange pour lui de voir un adulte pleurer... Il est maintenu par deux béquilles et à un bandage sur l'une de ses jambes. Voyant que je ne réponds pas et que les larmes continuent de couler, les yeux de l'enfant trahissent un certains sentiment de panique. Il s'avance, pose ses béquilles sur mon lit, et me demande l'autorisation pour s'asseoir je hoche la tête en reniflant.

"T'inquiète pas monsieur j'ai quelque chose pour toi." C'est ce qu'a dit l'enfant avant de se mettre à fouiller dans ses poches. Il pose une main sur ma jambe en me disant de patienter quelques instants. Il semble avoir du mal pour trouver ce qu'il cherche. Il me scrute de temps à autre pour veiller à ce que je ne parte pas. Il semble tellement impatient de me montrer ce chose.

Soudain il attrape ce dont il a besoin, mais en voulant sortir sa main de sa poche, il me donne un coup. Il s'excuse bien plus que nécessaire et ça me fait un peu rire. Il me regarde alors avec étonnement et lance un peu tristement: "Oh, je comprends pas... Je t'ai fais mal et tu rigole..." Suit à ça, il ouvre sa main et deux petit sparadraps tout plié s'y trouvent. Il les regarde tristement. Il dit alors en faisant la moue: "Tu sais, quand le monsieur en blanc est venu me dire que maman avait été mangé par la méchante vague, il à collé un collant magique sur mon coeur. Tu sais ça fait très mal, mais grâce à la magie des collants, ça fait un peu moins mal... c'est ce qu'il a dit... mais maman me manque quand même. Mais ça va aller, parce que je vais devenir un monsieur sur les bateau, comme ça je serai toujours près de maman." Suite à quoi il renifle et continue: " Le docteur à dit que si jamais plus tard j'étais encore triste et que mon collant s'enlevait je pouvais mettre ces deux la. Mais comme j'ai vu que tu pleurais, je voulais t'en donner les deux parce que même quand tu dormais tu pleurais et appelait des gens avec des noms bizarres. Mais puisque tu rigoles je pense que tu es guéri."

A ces mots pleins d'innocence, mes larmes se remettent à couler. Il semble lui aussi être sur le point de pleurer et je remarque des larmes qui viennent mouillé ses joues avant qu'il ne baisse la tête. Il tiens d'une main ses deux petits sparadraps et de l'autre il pose sa main sur son petit collant.

Je l'attrape alors par les épaules et le sert contre moi.
Nous restons ainsi un moment à pleurer à deux. Je pleure plus longtemps que lui, car à un moment donné, il regarde sa combinaison et tire dessus. Il regarde ensuite mon t-shirt. Il semble essayer de visualiser ou il doit placer le sparadrap. Au bout d'un petit instant, il place le collant et fait un bisou. Il me regarde et pose le deuxième. Il me regarde alors avec les yeux remplies d'étoiles comme s'il venait d'accomplir la plus grande opération. Je le remercie, le sert une dernière fois dans mes bras avant qu'un médecin vienne.
Il commence alors à me poser des questions sur mon identité, d'où je viens. Où je logeais et toute sortes de question. Au bout d'un moment, il me demande si j'étais avec des personnes, les larmes se remettent à couler, mais je tente d'être le plus clair possible. Je décris chacun des membre de mon groupe. Je tente d'être le plus précis possible. Après m'avoir écouté un instant, le médecin m'enlève ma perfusion et m'inscris sur une sortes de liste de survivant. Il n'y a pas beaucoup de noms écris. Je repense aux membres de mon groupe, je lui demande si aucun d'eux ne se trouve sur cette liste. Il me regarde désolé et me dit que non. Je baisse la tête, le remercie et me lève. La tête me tourne légèrement, le médecin me conseil de rester couché encore quelques instants. Mais je ne peux pas. Mon rôle de leader m'oblige à retrouver TOUT les membres de mon groupe. Je tente de me relever, mais il me retiens. Il appelle alors une infirmière, je me débat de toute mes forces. Je ressens une pression dans mon bras. Le monde se brouille et une grande fatigue m'accable. Je finis par perdre pied et m'endormir.

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Voilààààà Pour ceux qui n'ont pas suivis le début de l'histoire, tout les VIXX sont partis en Thailande quelques heures avant le tsunami et ils sont tous blessés ou morts... R.I.P Ken  Qui meurt vraiment d'une façon conne x'DDDD Voilà... Avouez que ce passage est trop mignon, pleins d'innocence, d'éspoirs et de tendresse. Je tiens à fermer ma gueule une minute pour les vrais victimes du tsunami !