Chapitre 60

   QUESTION : LE LIVRE EST BIENTÔT FINI VOULEZ-VOUS QUE JE FASSE LE TOME 3 ICI OÙ DANS UN NOTRE LIVRE ?
           

                    CLAUS WILSON

Assis avec nonchalance dans un des bureaux de la villa je cherchais une solution à cette tonne de facture qui se trouvait sous mes yeux. Cela fait une semaine que je travaille comme serveur au côté de ma Alex et je dois avouer que cette nouvelle expérience m'a appris à gérer une clientèle affamée, à manier l'art des assiettes et la restauration selon le point de vue des serveurs. Resté sur pied durant des heures et des heures c'est difficile mais plaisant ça m'a fait sortir de mes costumes hauts gammes.

00h50 est l'heure que mon horloge murale affiche, nous avons fini notre journée de travail et Alex c'est écroulé de sommeil sur mon épaule. J'ai aimé la porter tel un bébé jusqu'à notre chambre. La déshabillée afin de lui mettre sa nuisette a été difficile. Sa peau laiteuse sous mes doigts, ces petits mouvements endormis qui me faisait perdre la tête. J'avais envie de me plonger en elle pour m'évader de ce monde plein de mystère. J'aurais aimé tout oublier sur elle, oublié la merde qui prenait une odeur nauséabonde dans ma vie. Entendre ces gémissements remplacer les voix cristalline des jeunes filles du restaurant.

Je remue la tête en me rendant compte que je me perdais dans mes pensées...

La soirée de la semaine dernière a été riche en émotions, entre nos retrouvailles avec Gigi et ma première apparition derrière une contrebasse dans un lieu public. J'ai eu les poumon contracté à chaque respiration que j'effectuais. J'avais envie de tout oublier alors j'ai déversé ma rage sur la contrebasse. La voix épuisée de Gigi m'avait emplie les poumon d'adrénaline elle était revenu comme promis elle est venue à moi sans une égratignure. Son rire joyeux en me voyant avec sa mère m'a fait perdre la tête. Notre famille était au complet, mais sans argent.

Depuis une semaine Emilie a eu la bonne idée de m'informer des avancements de l'entreprise et les comptes rendus sont absolument catastrophiques. Les employés sont à bout, Lena a perdu un de mes plus gros contrat et le comble selon Emilie est son arrogance sur-dimensionnée. J'ai rigolé en entendant ça.

Après ce petit point j'ai appelé tous mes associés en les interdisant de faire appel à Wilson construction pour le moment.

- Claus entendis-je une voix sensuelle encore endormi dans l'entrebaîllement de la porte. Qu'est-ce que tu fais encore éveillé ?

- Désolé Alex je devais faire un compte je...

- Tu penses encore aux factures ?

Elle s'approche de moi de manière féline et doucereuse. Je ne pouvais détacher mon regard de son corps. Sa peau diaphane tel un cristal m'éblouisse sous la lumière tamisée des lieux.

Totalement engouffré dans mon fauteuil je combattais contre le feu hardant qui se propage dans chaque particule de mon corps. Mon sang bout dans mes veines. Une fois à ma hauteur Alex pose ses mains de chaque côté de l'accoudoir et fait glisser le fauteuil sur le côté. Vif et impatients je posais délicatement ma main sur ses épaules que je dénude en faisant glisser les bretelles de sa nuisette. Lorsque le vêtement touche le sol mon regard s'arrime à la cicatrice de sa césarienne qui était devenue moin voyante. Je pose mes lèvres sur cette marque qui racontait l'histoire de mes quadruplé. Ce geste emplit de calme lui fait jeter la tête en arrière.

- Voici un geste bien perfide mon cher Claus, laisse planer ma Alex d'une petite voix qui s'insunuait dans mes veines tel un remède miracle.

- Ne me provoquer pas mademoiselle solèno, n'engendrez pas votre perte.

Ma voix sonnait rauque. Le désir commence à consumer mon âme en me faisant chavirer dans une douce torture. J'arrête mon sillon de baisers lorsque je la sens glissée sur mes jambes en califourchon.

La tête enfouie dans sa poitrine voluptueuse je dirigeais mes lèvres vers un de ses tétons qui lui arrachent un cri lorsque je me mets à tâter sa chaire sensible. J'y allais à tâtons.

Souple comme un chat elle commence à dandiner son corps d'avant en arrière rendant mon pantalon de costumes plus étroit qu'il ne l'était. Mon érection douloureuse qui me rendait la respiration difficile me poussait à laisser échapper des grognements rauques qui se perdit dans cette nuit noire.

D'une main libre je saisis la télécommande de ma chaîne hi-fi et plonge la salle dans une musique classique.

Cette musique fût la goutte d'eau de trop qui fit chavirer Alex vers un point de non retour. Elle glisse ces fins doigts sous ma chemise qu'elle essaie de déboutonner.

Il suffit de demander et j'obéis dis-je avant de tirer sur celle-ci faisant sautiller les boutons dans toute la pièce. Dans un éclat de rire commun je me jette sur ces délicieuses lèvres. Dirigeants ma main libre vers sa partie intime. Chaude et mouillée prête à m'accueillir en me plongeant dans un monde nuageux. Ses fins doigts qui glissent de mes épaules à ma braguette m'électrise le corps sans grand effort. J'avais envie de me perdre en elle, alors je la soulève un peu afin de me libérer en jettent un soupir de libération.

La bouche entrouverte Alex me supplie de son regard de la pénétrer. Elle est haletante rouge de désire. Son regard ambré enfiévré lui donnait un charme exotique. Impatient Alex caresse mon sexe de sa moiteur avec un rictus incertain semblable à celui de la face du tigre flairant sa proie. J'aime bien son aire joyeux alors m'engouffrent en elle jusqu'à la garde, lui faisant échapper un cri étouffé par les note haute de la musique.

- J'ai toujours dit que tu es un grand salauds black man...

- Et vous une imbécile provocante qui nourrit un volcan sur le point d'entrée en ébullition...

D'un rire de gorge elle s'émouvait avec délicatesse sur moi alors que je tenais ma tête enfouie entre ses seins. J'avais envie de rester ainsi route notre vie, mais la réalité se proposait toujours à nous avec ces épines. Je l'aime cette fille car elle réussit à me comprendre sans que je ne laisse échapper un mot. Je lève ma tête et à l'aide de mon pousse sous son menton je relève son visage, les yeux fermés, la bouche entrouverte, la respiration chaude et saccadé je pouvais entendre chaque battement que son coeur faisait.

Je pose mes lèvres sur les siennes, lorsque je la sens se contracté sur mon membre je laisse échapper un grognement de plaisir en la labourant de toutes mes forces pour atteindre le nirvana. Dans un dernier effort je me détends et lui donne tout ce que j'avais. Épuisé elle s'écroule sur mon torse. Je la prends tel un bébé et me pose avec elle Dans le divan.

La tête sur mon torse, nu corps à corps on se réchauffe de notre amour. Je lui caresse les cheveux avant qu'elle ne se reprenne et pose son regard sur moi. Essayant de lire entre les lignes de mon regard dans cette pénombre pleine de tranquillité.

- Tu devrais arrêter de penser Claus, Arthur est encore là il nous a promis de trouver des preuves qui nous aideront à reprendre ton entreprise...

- Le problème est que je commence à perdre confiance Alex. J'ai chuté de très haut. La maison n'est plus comme avant, on est en train de tout perdre les factures s'accumulent et nos salaires de fin du mois avec le restaurant ne suffira pas à couvrir tout...

- On va s'en sortir tu ne dois pas perdre espoir on finira par s'en sortir de cette merde main dans la main. On a récupéré Gigi c'est grâce à toi je suis sûr que tu trouveras une solution pour nous faire sortir de ce merdier.

- Tu ne devrais pas en être aussi sûr. Il est préférable qu'on quitte cette maison pour un logement plus petit c'est la seule solution qui nous reste...

Je pose mes lèvres sur les siennes pour éviter qu'elle ne réponde. Je cherchais en elle la force et le courage qui m'avait abandonné me laissant dans un silence plus qu'assourdissant. Notre baiser était lent doux et plein de tristesse et je déteste la mélancolie depuis que j'ai ma petite famille.

C'est décidé nous commencerons le rangement dès demain pendant que je recherche un appartement qui pourra nous héberger tous. Je sais qu'on perdra beaucoup mais c'est la seule solution qui me tiraillait l'esprit en ce moment. Rien aucune idée farfelues ne me vient, Lena et les ombres avaient gagné. Ils ont réussi à détruire Claus Wilson. Il était devenu aujourd'hui qu'un misérable sans importance dans la société. Tous mes collaborateurs qui autrefois couraient pour signer des contrats avec moi mon fermer la porte aux nez avec des excuses bidons. Me relever sera plus difficile que prévu et sa Alex ne le sait pas ! Toutes ces personnes qui avaient peur de me marcher sur le pied autrefois peuvent aujourd'hui danser et rire de moi sans réponse de ma part.

Je suis devenu un homme ordinaire ça ne me dérange pas mais c'est difficile à vivre pour mes proches je le ressens à chaque fois que leurs regards se pose sur moi. Lorsque Caled et Julia on mit la main à la poche pour remplir le frigo afin qu'on puisse avoir de quoi se nourrir j'ai ressenti la plus grande honte de ma vie et cela personne ne peut le comprendre.

- Je peux toujours vendre la villa et utiliser le revenu pour le besoin de la famille. Dis-je finalement en sortants de mes pensées lugubres. Je sais qu'un jour je retrouverai mon statut mais pour le moment je dois vous mettre en sécurité loin des médias qui s'acharnent sur cette affaire sans aucune pitié. Je ne veux pas voir le visage de mes enfants placarder à tous les recoins du monde avec des messages de pitier. Je suis vraiment désolé Alex...

- Ne t'excuse pas tout peut arriver, on n'est pas à l'abrit de mauvais passe toi et moi mais on continue de vivre je te suivrais quoiqu'il arrive.

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J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍

Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂

Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘

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