Commande #18


Claude x Bryce
Adulte
Chronologie de Go
Lemon

PDV Claude:

C'est enfin la fin de l'entraînement et le début de notre semaine de congés. On est tous dans les vestiaires à se changer avant de partir.

- Ça faisait longtemps!

- On va enfin pouvoir retourner voir nos familles!

- Chut! C'est pas tout le monde qui a de la famille qui l'attend à la maison...

- Ah, c'est vrai. Désolé Claude, j'avais oublier...

- Ya pas de mal. Je vais faire un tour à mon ancien orphelinat. C'est un ami qui en a repris la relève.

- Il n'a pas l'air que d'un simple ami.

Les gars se mettent tous à rigoler alors que je rougis de plus belle. Depuis longtemps ils savent que je n'ai aucun intérêt pour les filles. Je leur ai dit après leur énième tentative de me caser avec une de nos manageuses.

- Ha ha. C'est ça, ne vous gênez pas surtout. Je suis pas du tout mal à l'aise.

- Pardon, pardon! Mais c'est juste qu'on ne peut pas s'en empêcher. Tu ne t'es jamais intéressé à personne depuis qu'on te connait.

- Essaie donc de te taper un bon coup avant la fin des vacances aussi, ça te ferait du bien.

- Oh mais! T'es drôlement vulgaire aujourd'hui!

- Mais voyons! Il manque d'amour corporel! C'est flagrant! Juste à y voir la tête en ce moment nous en donne la preuve, hein Claude!

- Heu, quoi? Pardon, j'étais ailleurs...

- Ailleurs dans tes fantasmes oui! Ici, tu ne peux pas le cacher tu sais.

Je déteste voir ce sourire sur son visage, il me tape sur le système.

- Tu veux de l'aide peut-être?

- Mais arrête! T'as vraiment pas de limite toi!

- Hahaha!

- Non merci. Je m'arrangerai seul.

- Oh, dommage.

«Quel pervers!»

PDV Bryce:

Mais c'est quoi tout ce raffut!? J'arrive pas à travailler avec tout ce boucan. Je presse le bouton sur mon téléphone de bureau pour rejoindre celui de ma secrétaire.

- Qu'est-ce qui se passe Isabelle? J'entends ce boucan jusqu'ici.

- Pardon Bryce. Les enfants sont tout excités. C'est qu'on a un visiteur plutôt particulier.

- Comment ça?

J'arrive à entendre quelques enfants en arrière plan discuter avec ce fameux visiteur.

- Oh, allez! Viens jouez avec nous!

- Oui! Viens jouer! Je veux te montrer mes nouveaux tours!

- Pardon les enfants. On jouera plus tard, je vous le promets. J'ai toute ma semaine.

- YEAH!

Je reconnais cette voix, mais je n'arrive pas à me remémorer à qui elle peut bien appartenir.

- Tu le sauras bien assez tôt de qui je parles, Bryce.

Je peux sentir au travers de sa voix qu'elle est en train de sourire. Un de ces sourires moqueur qui ont le dont de m'irriter. Je n'ai effectivement pas à attendre longtemps avant que l'on vienne cogner à ma porte. D'ailleurs, elle s'ouvre avant même que je n'ai pu répondre quoi que ce soit.

- Hahaha. Toujours aussi énergique ces enfants. J'ai bien cru que je n'arriverais jamais jusqu'à ton bureau.

- C-c'est toi...

- Haha, salut.

Il est encore plus beau que dans mes souvenirs. Il a changé physiquement depuis la dernière fois que je l'ai vu en vrai. Il a une plus forte musculature et les traits de son visage se sont affinés. J'ai l'impression qu'il sort tout droit de mes rêves.

- Heu, Bryce... pourquoi tu me regardes comme si je n'étais pas réel?

- Oh... heu... pardon... je...

Merde! J'étais carrément en train de le mater et le pire c'est qu'il l'a remarqué! Faut vite que je trouve une excuse...

- Je suis juste un peu fatiguer. «C'est pas crédible pour un clou!»

- Oh. Je devrais peut-être te laisser alors.

Il se retourne pour prendre la poigné de porte pour sortir. Mais quelle boulette! Je suis vraiment nul! Maintenant il va s'en aller. Il va aller voir les enfants et me laisser seul parce que je suis soit disant fatigué. Mais je veux pas! Je ne veux pas qu'il aille jouer avec les gamins! Je le veux juste pour moi! Je saute rapidement par dessus mon bureau pour arriver dans son dos et l'enlacer par derrière pour l'empêcher de partir.

- Bryce?

- Non, t'en vas pas! Je veux pas!

- (...)

- T'avoir aussi loin, aussi longtemps, m'as fait réaliser un truc... Claude, je... je t'aime!

- T'en es sûr?

- Oui. Je t'aime. Je te veux pour moi, je veux que tu sois rien qu'à moi! Je veux toute ton attention, je...

- (...) arrêtes ça.

Je desserre mon emprise, un peu pris par surprise. 

- Pourquoi?

Il se retourne alors face à moi. En voyant son visage, tout mes doutes se sont envolés. Ses yeux sont remplis de désirs et ses joues sont un peu rougit. Il me rapproche de lui en me prenant par la taille et resserre sa prise jusqu'à ce que je sois complètement collé à lui, si bien que je peux sentir comment il est bandé. Il baisse la tête pour venir me susurrer à l'oreille;

- Parce que si tu continues, je ne pourrai plus me retenir... ce que tu ressens, c'est tout ce dont j'ai toujours rêvé...

- Tu n'as plus besoin de te retenir maintenant...

J'ai à peine fini ma phrase qu'il s'empare de mes lèvres et m'embrasse passionnément. Pris par surprise, ça me prends un certain moment avant de lui répondre. On se sépare malheureusement peu après par manque d'air, mais ça n'empêche pas Claude de continuer dans ses pulsions sauvages. Il me retire mon chandail comme si de rien n'était et commence à m'embrasser dans le cou tout en venant titiller l'un de mes bouts de chair. De son autre main, il m'attire plus près de lui par mon bassin qu'il vient collé une fois de plus au siens. Je ne peux m'empêcher de laisser s'échapper quelques gémissements, ce qui ne fait que l'exciter encore plus. J'essaie tranquillement de déboutonner sa chemise et quand j'arrive finalement au dernier bouton, on vient cogner à la porte. J'entends Claude grogner de mécontentement dans mon cou avant de s'éloigner à contre cœur.

- Bryce, tu es là?

- Qu'est-ce qu'il y a Isabelle?

- Après que Claude soit parti, il y a eu une petite bagarre. Je peux entrer?

- Un instant!

J'ai déjà ma petite idée sur les deux bagarreurs en question et de la raison pour laquelle ils se battaient. Deux petits fan de Claude qui s'entendent aussi bien que chien et chat. Je peux les entendre se chialer dessus au-delà de la porte. S'ils voient Claude dans mon bureau, je ne peux qu'imaginer le pire. Sans vraiment savoir pourquoi, je le pousse jusqu'à le cacher sous mon bureau en lui disant de rester là avant de remettre mon chandail et d'aller ouvrir la porte.

- Qu'est-ce qui c'est passé encore?

C'est peut-être parce qu'il nous ont  interrompu en plein ébats amoureux ou parce que c'est leur dixième bagarre pour le même problème, mais à ce moment là, j'étais tout sauf sympathique. Le ton que j'ai pris n'était pas celui habituel et ça cloua le bec à ces deux gamins puéril. Pendant que je leur envoyais un regard agacé, Isabelle zyeutait dans mon bureau. Je suppose qu'elle le cherchais lui, et ça m'agaçait un peu, mais heureusement il n'avait pas bougé de sous le bureau. Pour ne pas paraître suspect, je les laisse entrer et vas me poster derrière mon bureau de la manière la plus normale possible. Je jette un coup d'œil à Claude pour voir s'il était correct, mais failli défaillir pendant une fraction de seconde en le voyant. Je n'avais jamais rien vu d'aussi excitant que ce que je voyais à ce moment là.  Il était à genoux devant moi, son pantalon disparu quelque part, mais portant toujours sa chemise déboutonnée et avec un de ces airs que l'ont fait quand on perd la tête sous un plaisir intense. Son corps tressautait un peu, son regard était plein d'envie et un filait de salive coulait du coin de sa bouche semi-ouverte. En voyant une petite boîte bleu enrubanné ouverte à côté de lui je compris de suite ce qu'il s'était passé. Il a trouvé ce cadeau indécent qu'Isabelle m'avait donné quelques semaines auparavant et que j'ai fait disparaître sous mon bureau, complètement indigné de ce qu'elle avait osé m'offrir et ne pouvant m'en débarrasser. Je l'avais complètement oublié jusqu'à maintenant.

- Alors... tu veux la version longue ou la courte?

Je ramène mon attention sur ma secrétaire et les deux gamins qui se tiennent enfin tranquille. Ils sont toujours debout, attendant que je m'assois le premier avant d'eux-mêmes s'assoir, ce que je fais de façon plutôt hésitante.

- La courte. Je n'ai pas que ça à faire.

Et surtout, je ne sais pas encore combien de temps Claude vas tenir sans faire de bruits ou de bêtises.

- Bon, alors (...)

Le récit commence à peine que je sens que ça ne va pas le faire. Je suis tranquillement tiré plus près de mon bureau, alors que j'ai fait exprès de ne pas en être trop proche. J'avais oublié comment il se foutait du monde autour de lui quand il a envi de quelque chose. Je me rappelle encore du jour où il s'était carrément assis sur Dave parce qu'il avait pris sa place. C'est sûrement pas maintenant qu'il fera exception...

Ses mains montent dangereusement vers la fermeture de mon pantalon. J'essais de mon mieux de l'empêcher sans que ça se remarque, mais c'est mission impossible. Il atteint son but à mon grand désarrois, sachant très bien ce qu'il allait faire après. Il finit par sortir mon membre de mon caleçon et commence à le lécher de bas en haut. Isabelle continue sa narration, tandis que toute mon attention est dirigé sur mon sexe et Claude qui décide de le prendre en bouche. C'est horrible. J'ai envi de gémir, de me tortiller, de lui donner la cadence, mais je peux rien faire de tout ça maintenant parce que ces deux gamins se sont battu quelques moment auparavant et qu'ils sont là dans mon bureau, assis juste devant moi. 

Je décide d'avancer davantage ma chaise de mon bureau pour m'y accoter de façon à pouvoir recouvrir ma bouche de ma main, toujours de la façon la plus naturelle possible, pour ainsi m'empêcher de laisser s'échapper un gémissement et de cacher mes joues qui commencent à être en feu. Il commence à aller de plus en plus vite et je finis par craquer et éjaculer dans sa bouche tout en tapant du point sur mon bureau, coupant cours au récit qui s'éternise.

- Bon, j'en ai marre. Allez réfléchir dans vos chambres. Ce soir pas de dessert et vous êtes privé de foot jusqu'à nouvel ordre. Maintenant sortez de mon bureau!

Je posais mon regard très insistant sur Isabelle qui s'empressa de faire sortir les gamins et de me faire un clin d'œil en passant la porte. Elle a l'esprit tellement mal placé qu'elle a deviné pourquoi je les ai foutu dehors. Maintenant qu'ils sont enfin partis, je peux prendre ma revanche sur l'humiliation que j'ai subi. Je me recule vivement en ouvrant un de mes tiroirs: le tiroir des objet confisqué, et en sort une loooongue corde à sauter. J'attrape Claude par le col de sa chemise qu'il porte à moitié pour le sortir de sous le bureau, puis ensuite le pousser sur le bureau. Je m'empresse ensuite de l'attacher et m'étonne du fait qu'il se laisse faire sans la moindre résistance. Quand j'en ai fini, il a les bras attachés au dessus de la tête et les jambes attachés de façon à me laisser libre accès à tout son corps. La vu me donne si chaud que j'en bande une deuxième fois. Je ne peux m'empêcher d'aller chercher ses lèvres pour l'embrasser langoureusement tout en allant frotter mon érection à la sienne. Je finis par rompre le baiser pour aller embrasser son cou en descendant vers sa clavicule.

- Comment ça se fait que tu sois aussi soumis?

- C-c'est q-que, gnh-ah... tu l'as j-juste jamais r-remarqué...

Je me redresse pour regarder son visage rouge et haletant. Je remarque soudainement une petite manette qu'il tient dans ses mains, celle contrôlant le vibro qu'il a trouvé sous mon bureau. Je décide de lui prendre sans qu'il ne puisse rien faire pour m'en empêcher.

- N-non...!

Sur dix niveau il ne l'a mis qu'à deux! J'arrive pas à y croire, il est hyper soumis et super sensible! Et je ne sais pas pourquoi, mais ça m'excite encore plus. Je dois être plus dominant que je le pensais finalement. Je monte l'intensité à trois et dans la seconde, il se cambre et se met à gémir de façon incontrôlable.

- B-bryce! 

Je recommence à frotter mon membre contre le sien en augmentant graduellement le niveau d'intensité du vibromasseur. Je trouve le spectacle magnifique. Il se cambre un max, rejetant sa tête vers l'arrière. Ses yeux se révulse et un filet de salive coule délicatement de sa bouche ouverte laissant sortir des gémissements exquis  à mon oreille. Le seul truc qui m'échappe c'est la raison de pourquoi il n'a pas encore jouit alors qu'il est si sensible.

- B-bryce! P-prends-moi! J-je ne v-veux pas j-jouir s-sur un j-jouet...

«Et ben voilà!»

- Comment? Tu peux répéter? J'ai pas bien compris ta demande.

- J-je, ah... te v-veux en m-moi!

Je me sens faire un sourire carnassier en l'entendant me supplier de la sorte. J'accèdes rapidement à sa demande en retirant le vibro et en enfonçant ma verge en lui d'un coup. Je me repenche sur lui pour retrouver ses lèvres qui me rendent fou et commence des vas-et-viens brusque et rapide. Ça ne lui prend qu'une ou deux minutes pour finalement jouir entre nos deux corps, mais je continue encore un moment jusqu'à ce que je jouis à mon tour, éjaculant en lui. Je me retire finalement, défait les nœuds qui le retient attaché, puis m'affale dans ma chaise. Je le regarde ensuite se débarrasser tranquillement de la corde, se relever doucement et venir s'installer sur mes cuisses, les genoux de chaque côté de mon bassin, et déposer délicatement sa tête sur mon épaule.

- Je t'aime.

- Moi aussi je t'aime, Claude.

*****
Je me demandais si ça vous intéresserait de faire une petite FAQ?
Vous me posez des questions, n'importe lesquelles, et j'y répondrais.
Histoire de vous faire patientez en attendant les prochaines commandes.
Faites moi savoir si ça vous intéresse.

*****

Pour deltalamoche, j'espère que tu l'aimes. J'étais tanné qu'il traine en longueur pour l'écrire donc je me suis dit: T'as jusqu'à 23h pour le finir! Et j'ai réussis! Il est 22h55 et je l'ai enfin finit et posté! J'ai essayé d'allonger le lemon, on m'a souvent fait remarquer qu'ils étaient court, alors j'espère que ça a été à votre goût! Sur ce, en attendant la prochaine commande, je vous dit:

Bonne Lecture!

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