Alors que j'hurle à la mort après que mon bras ne soit cassé j'entends qu'on frappe frénétiquement l'autre côté de la porte. On entend alors de l'autre côté e celle ci...

Henry : s'il te plaît t/p! Survi! Je promet de revenir te sauver !

Bendy : raison de plus de te garder... Me dit-il toujours avec son sourire.

Il commence alors à m'éloigner de la porte en le tirant par mon second bras, malheureusement pour lui je le débat et ça ne lui plaît pas, mais alors pas du tout.
Il finit donc par me prendre par la jambe et de le traîner vers un autre endroit.
Le sol est en bois, c'est froid et dur et des planches traîne aux sol. Je m'en prend d'ailleurs quelques unes dans l'arrière du crâne et bien sûr pour finir comme ce ''très cher" Bendy est d'une finesse incroyable des écharde me sont rentré dans la dos.
J'hurle de plus belle.

Bendy: TU VAS ARRÊTÉ DE GUEULER OUI!?

T/p:...

Bendy : et maintenant tu est incapable de parler... Pathétique !

T/p: arrête toi...je t'en supplie....

Bendy : ferme la je vais pas envie de t'entendre chouigné!

Il continue alors à le traîner au sol puis nous arrivons près d'une flac d'encre assez profonde.
Il y passe toujours en me traînant derrière lui.

Ma tête est alors submergé par de l'encre, impossible de voir, de respirer. Un véritable cauchemar, je me débat alors de toute les forces et fini par sortir la tête de l'encre.
Après que bendy est fini sa marche dans l'encre il me lâche un peu car je commencé à tousser. Des larmes coulent et je ne peux pas ouvrir les yeux. Je ressens ce liquide noir dans ma gorge et tousse dans l'espoir de faire partie ce goût âcre.

Bendy : Que t'arrives t'il? D'un ton énervé.

T/p: suffoquant les humains.. hue hue... ne peuvent pas ingérer de l'encre, huff huff, c'est comme du poison!

Bendy: ...

T/p: il me faut...de l'eau...

J'étais toujours à terre les yeux clos avec les larmes qui nettoyer légèrement l'encre dont j'étais vêtu, toussant à m'en arracher les poumons !

Je sentis alors qu'on me prennait en sac à patates.
Je sens qu'il marche quelques minutes et on arrive quelque part d'assés lumineux pour que je puisse voir à travers l'encre sur mes paupières.

Bendy: Tiens la voilà ton eau !

Je sens alors que l'on le tiens par l'arrière de la tête et qu'on le la plonge dans de l'eau glacée .
Une grande pression était exercé sur mon crâne. Je sentais que l'eau nettoyer mon visage mais aussi la gorge, la pression sur mon crâne m'empêcher de remonter. Je me débat comme je peux et finis par ressortir.
Putain j'ai failli mourir noyer!
Je tousse encore, mais cette fois j'ouvre les yeux sans crainte d'avoir de l'encre dessus et vois que je recrache de l'eau mélangé avec un liquide noir.
Ma gorge me pique toujours mais ça ne brûle plus.
Je vois donc que je suis dans une sorte de salle de bain avec plusieurs évier, WC, douche...
Je cours donc vers l'un de ces WC et dégobille.
Il y a beaucoup d'encre qui est ressorti, je suppose donc que la vie n'est plus en danger, du moi plus à cause de ça.

Bendy: t'as fini?

T/p: il faut juste que je le rince la gorge...

Bendy : grouille toi!

Après avoir accompli cette action bendy pris mon bras mais c'était celui qui était cassé...
J'éttoufe alors un cris de douleur avec ma main

T/p: arrête de le tenir comme ça, ça fait trop mal !

Bendy : arrête de te plaindre !

Je n'en pouvais plus je pris donc mon courage a deux mains et commença à gueuler...

T/p: ÉCOUTE C'EST PAS TOI QUI EST ENFERMÉ DANS UN JEU OU TU TE FAIS MARTYRISER !! J'AVAIS PAS ENVIE DE ÇA MOI, ALORS SI IL Y À BIEN UN TRUC QUE JE PEUX FAIRE, C'EST ME PLAINDRE MERDE !

Il me regarde alors avec un regard encore plus mauvais que d'habitude... merde

Il me sert le bras de plus belle avant de me lâcher et de le dire qu'il y avait de quoi me soigner dans la pièce. Je fus alors ce que je pu pour sauver mon bras. Après avoir fini il m'emmena près d'une porte, l'ouvrir et me pousse dedans avant de mis enfermé. C'était un placard bien trop étroit, sans trop se lumière.

Je suis clostrauphobe...

T/p: commence à paniquer, bendy ? Bendy je déconne pas, sors moi de là ! commence à pleurer nan je te supplie pas ça ! Je supporte pas ça ! Je t'en supplie ! Hurle et frappe contre la porte que quelqu'un m'aide je vous en supplie j'ai peur, je veux vivre ! Laissé moi sortir !

Je commence alors à faire une véritable crise de panique, je cris et bouge dans tout les sens, dans l'espoir de me faire entendre...

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Voilou un chap !
Je vous fais de gros bisous en espérant que ça vous plaise, à plus et bye, gros poutous !
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