12. H


CHAPITRE 12

Impossible est le seul mot auquel je pense.

C'est impossible.

En deux jours, ma vie a prit un tout nouveau tournant.

J'ai appris que mon petit-copain me trompait, j'ai rencontré un mec ultra sexy qui semble apparaître partout dans ma vie et je suis officiellement en duo avec lui pour un an.

Je suis dans le bureau de notre nouvelle manageuse, Glad, et nous sommes sois disant entrain de travailler tous ensemble.

Mes fesses oui, c'est plutôt elle qui travaille car, Wazter et moi ne faisons que de nous dévoré du regard depuis une heure et demie dans le bureau luxueux de cette potiche de vingt ans.

- Comment va s'appeller votre duo ? nous questionne-t-elle.

Ah merde. Ça c'est un vrai soucis.

- J'ai envie que se soit vraiment original, quelque chose que personne n'aimerait voir mais qu'ils vont aimé, propose Wazter tout en me fixant.

- Je suis d'accord, soufflai-je.

Pendant notre prestation, j'ai pu voir le talent qu'à Wazter derrière les platines. Il est talentueux aussi bien dans la moto que dans la musique et je ne peux m'empêcher de croire en la légende du fameux Bad Boy ultra cliché.

Mais Wazter n'a pas encore accomplit une des suprêmes épreuves du Bad Boy, il n'a pas de encore embrassé de fille devant mes yeux pour me testé.

Ça c'est un vrai cliché, et j'espère qu'il n'arrivera pas. Il m'a lui même dit qu'on ne resterait pas longtemps amis, alors pourquoi ferait-il un truc comme ça ?

Ce n'est qu'une supposition, mais si on croit en la légende du Bad Boy il faut qu'il...

- Heaven, on a trouvé quelques trucs, m'interpelle Bad Boy.

- Euh.. Bah c'est quoi ? bégayai-je.

- The Haters et Heazter, The Haters parce que personne n'aime des rageux, et Heazter est un mélange de vos deux prénoms, lance Glad.

- Les Heazter's ça me paraît bien, t'en pense quoi Waz ? demandai-je à mon nouveau collègue.

- Parfait, répond-t-il en s'engouffrant dans son siège.

- Je vais faire le nécessaire pour que tout soit prêt pour votre voyage dans quelques semaines, le Caliente va ouvrir d'autres franchises à Las Vegas, vous allez y faire l'ouverture, ne prévoyez absolument rien pour la semaine du 28 octobre au 4 novembre, nous dit-elle sévèrement.

Wazter et moi hochons la tête et nous levons.

Après de brefs au-revoir à notre nouvelle anti-gaffes, nous sortons de son bureau haut perché dans un haut building de 34 étages.

Ma relation avec Wazter est vraiment bizarre, je n'y comprends absolument rien. Nous nous sommes rencontrés il y a peine quelques jours, mais j'ai l'impression que nous nous côtoyons depuis une éternité.

Un moment nous sommes amis, un moment nous sommes juste de simples collègues, un moment j'ai l'impression qu'on flirt et sans oublié que nous avons même été concurrents pendant une course.

Bref, j'ai l'impression que Wazter s'engouffre dans ma vie sans mon autorisation et c'est aussi bien merveilleux qu'horrible car si il reste trop longtemps avec moi, j'en suis sûr, il souffrira.

Il a l'air d'avoir des secrets, des tourments et une noirceur incontestable, mais il ne laisse rien paraître tout comme moi.

L'autre soir, je n'ai pas pu me retenir de lui raconter un de mes secrets, un des plus gros d'ailleurs car j'ai raconté l'effroyable mort de ma mère.

En sortant du bâtiment, la pluie s'abat sur tout Santa Monica et sur le coup je suis choquée de ce spectacle.

À Santa Monica la pluie n'est pas rare simplement imprévisible, il peut pleuvoir en plein été comme il peut faire 45°C en hiver.

Je n'ai ni veste, ni parapluie et je suis extrêmement fatiguée.

La nuit dernière après notre show incroyable, Wazter et moi nous sommes endormis dans sa loge sur le canapé pas très confortable de Jake.

J'ai une fois de plus dormis dans ses bras imposants et j'ai l'impression que pour chaque nuits que je passe dans ceux-là, j'ai une dette envers lui.

Malgré le fait qu'il m'ai dit qu'il n'y avait aucun problèmes, et que je pouvais même venir chez lui quand je le voulais je me sens tout de même gênée.

Ce qui me semble normal.

Je suis venue jusqu'ici en taxi, comme vous avez pu le remarquer j'ai mon permis mais je n'ai jamais voulu avoir de voiture, elle aurait finit dans un fossé après une soirée trop arrosée. Et puis prendre le bus ou le taxi ne me dérange pas, c'est d'ailleurs pratique pour une feignante comme moi.

- Je te ramène chez toi et ce n'est pas une question, me dit sévèrement Wazter en me tirant dans sa voiture garée juste en face de l'entrée.

En quelques pas à peine nous sommes déjà complètement mouillés et j'ai bien peur que les fantastiques fauteuils en cuir de Wazter ne souffrent.

Tant pis.

Après m'avoir jetée sur le siège passager, Wazter fait le tour de sa Mercedes et grimpe à mes côtés.

- Il pleut trop fort pour que je puisse prendre la route de sitôt, on va resté dans la voiture jusqu'à ce que sa s'atténue, m'explique-t-il.

Je n'ose toujours pas parler et je bouge ma tête de haut en bas pour faire savoir mon approbation.

- Heaven, tu n'as pratiquement pas parlé de toute la journée, qu'est-ce que tu as ? me demande-t-il en se tournant vers moi.

Je ne sais toujours pas quoi répondre mais il faut bien que je fasse sortir quelques mots du fond de ma gorge, je ne suis tout de même pas muette.

- Rien, c'est juste que tout ça est vraiment bizarre, tu te rends compte qu'on va devoir travailler ensemble, voyager ensemble et limite vivre ensemble pendant un an ? lui répondis-je par une autre question.

Il me fixe de ses grands yeux caramels, ouvre la bouche puis se ravise au dernier moment. Il se contente de me regarder intensément, et j'en deviens tellement gênée que je me tourne vers la vitre.

Je ne sais absolument pas comment me comporté avec lui. Je ne sais pas si je dois être sympa, si je dois être désagréable ou si je dois même ne pas lui parlé du tout.

En même temps, nous nous sommes déjà embrassé et nous avons même dormi ensemble deux fois d'affilé.

Et tout ça en même pas quatre jours.

Je suis totalement perdue, d'un côté j'ai envie de le connaître, de rigoler avec lui, qu'on devienne amis.

Mais d'un autre, j'ai l'impression que je sais qu'être ami avec lui n'est pas possible. Il me l'a dit lui même. Une profonde connexion c'est établie entre nous et même si nous ne savons pratiquement rien de l'autre, comme je l'ai déjà dis, j'ai l'impression que l'on se connaît plus que se que nous le croyons.

Après un long moment, Wazter répond à ma question.

- Je sais que ça peut paraître fou, mais pendant ses quelques jours, j'ai eu l'impression de te connaître, Heaven. Alors ça ne me dérange absolument pas de savoir que je vais devoir passé du temps avec toi. Au contraire j'en suis limite heureux, me confesse-t-il.

Il est heureux de savoir qu'il va passé du temps avec moi ? Bon Dieu, je suis plus que perdue. Et il semble avoir lu dans mes pensées pour me dire que lui aussi à l'impression que l'on se connaît.

- Moi aussi, réponds-je sans réfléchir.

Wazter semble à demi-choqué de mon aveu et se contente pour la deuxième fois de se ravisé au moment il ouvre la bouche.

Un silence pesant encombre l'habitacle et seul le bruit des gouttes d'eau sur le pare-brise nous fait savoir que le monde n'a pas été mit sur STOP.

Une sonnerie stridente nous réveille et c'est mon téléphone qui sonne du fin fond de mon sac.

Je plonge ma main dedans et je réponds sans regarder qui appelle.

- Hell, comment ça va ? tonne la voix de mon sauveur de meilleur ami.

- Bien et toi Qlark ? demandai-je à mon interlocuteur.

- Pas très bien, j'ai une course ce soir face au champion de Washington, Nash Dronx. Et tu es mon porte-bonheur, donc tu vas vite venir chez moi pour mes exercices de respiration, il n'y a qu'avec toi que j'y arrive et on pourra direct aller à la course ensemble, dis oui... me supplie-t-il.

- Tu es malade ou quoi ? Bien-sûr que je viens ! Il pleut pas mal mais j'arrive dans même pas une heure, à toute mon chou, dis-je d'une voix faussement aguicheuse en raccrochant.

- C'était qui ? me questionne Wazter.

- Qlark. Je dois aller à sa course ce soir, selon lui je suis son porte bonheur donc j'y vais. De toute façon je n'ai jamais manqué une seule de ses courses. J'y vais en taxi, ne t'inquiète pas. Il habite à l'opposé de chez toi, tu vas devoir faire un détour si tu me déposes là-bas, réponds-je.

- Et bien je viens aussi à la course à ce moment-là ! De toute façon il faut que je parle de ma prochaine course de rallye  avec Bast et il doit y être donc ça m'arrange, donne moi l'adresse on y va, me dit-il en sortant sa place de parking.

Je lui donne l'adresse et nous partons en direction de chez Qlark. La pluie a plus ou moins cessé de tomber et l'ambiance dans la voiture est légère comparé à tout à l'heure.

Arrivés devant l'immense maison de notre très cher pilote automobile, nous descendons de la voiture et je cours jusqu'à la porte.

Je sonne une fois.

Pas de réponse.

Deux fois non plus.

Mais putain qu'est-ce qu'il fout ?

Je m'apprête à l'appeler quand une Kamill toute timide sort sa tête dans l'entrebâillement de la porte.

Pour une surprise s'en est une !

- Kamill ? Qlark m'a appelé pour que je vienne avant sa course, il est à l'intérieur ? demandai-je, pas du tout gênée par la présence d'une conquête chez lui.

Habitude je vous dis.

Elle ouvre un peu plus la porte et j'aperçois qu'elle porte un grand t-shirt large, semblable à ceux que porte mon meilleur ami et un rien d'autre. Elle doit sûrement avoir une culotte ou un short en dessous mais il ne se voit pas.

- Hmm, elle rougit avant de continuer, il prend sa douche, il m'a dit que si tu venais il fallait que tu descendes directement dans sa salle de sport, me dit-elle en attachant ses cheveux blonds soyeux.

- Je ne suis pas seule, un ami a tenu à venir, il est vers la voiture. Il va venir à la course aussi donc si ça te dérange qu'il entre il peut resté dans la voiture, dis-je en me balançant sur mes deux pieds.

- Oh il peut entrer ! Il faut juste que j'enfile quelque chose, me répond-elle en courant vers les escaliers.

Je me tourne vers la voiture et fais signe à Wazter d'entrer.

Assise sur les gros fauteuils en cuir de Qlark Kalaghan, je me sens totalement chez moi. Et pour cause, j'ai dû passer plus de temps sur ce sofa que sur une chaise d'école.

Kamill revient au rez-de-chaussé vêtue d'un chemisier fleuri et d'un slim bleu qui lui va comme un gant.

Comparé à mon vieux t-shirt gris rentré dans mon jean troué noir ainsi que mes petites Stan Smith, Kamill est la beauté incarnée.

Trêve de jalousie, elle est sympa, elle plaît à Qlark et elle est polie.

Je ne vais pas lui faire la misère.

Un Qlark vêtu lui d'un t-shirt simple noir et d'un jean de la même couleur nous rejoint en dévalant les escaliers.

- Heaven, pas besoin des exercices de respiration finalement, dit-il d'un air mesquin.

Ne m'en dîtes pas plus, je viens à peine de comprendre le sous-entendus de sa phrase.

Kamill est donc une très bonne enseignante.

- Oh, Wazter tu viens à la course aussi ? demande Qlark en attrapant une bouteille d'eau dans son immense frigo.

- Ouais, même si mon truc c'est plus la moto je viens en spectateur pour une fois, s'exclame mon collègue.

- Oh ok, bah on a prévu de faire une fête si je gagne, et même si je gagne pas on comptait en faire une. Ça se passe chez Andraz, vous venez j'espère ? nous demande mon meilleur ami en s'asseyant sur un de ses gros fauteuils.

- Bien sûr qu'on vient, répond Bad Boy.

Je ne montre aucun signe de désapprobation, je suis bien contente d'aller à une fête. Et puis un verte ne serait pas de refus avec tout se qui se passe en ce moment.

Dans la voiture jusqu'au lieu de la course, tout le monde parle et rigole et j'ai pu mieux connaître Kamill.

Elle est sympa mais je préfère me méfier. On ne sait jamais avec les créatures de ce genre.

Une fois arrivés sur le circuit, qui se trouve sur une aire industrielle, nous descendons tous de la voiture et Qlark doit vite partir se préparer à la course.

Je me retrouve rapidement seule au milieu d'une centaine de personnes complètement hystériques.

J'aime ça.

Je me balade entre les corps de personnes que je ne connais absolument pas pour arrivé vers Sept, concentrée dans une discussion avec deux imposants garçons.

Sûrement des gens de son gang.

Je la prend par surprise en lui sautant sur le dos et elle trébuche.

Nous tombons toute les deux par-terre, hilares.

- Je t'aime ! criai-je à ma super copine.

- Moi aussi ma saloprie ! me répond-elle en se relevant.

- Sept, je suis une copine et entre copines on doit être franche, je trouve que tu as vachement pris des hanches en ce moment, plaisantai-je.

- Oh la connasse ! Et bah toi, je trouve que bah... elle réfléchit en tapant son index contre son menton, t'es moche, dit-elle, fière de sa repartie.

Je lui lance un coup de coude amical et nous parlons de ragots, de garçons, et de motos bien-sûr.

Au bout d'un moment l'imposante voix de Bast nous sort de notre conversation et nous nous précipitons vers la ligne de départ.

- Chers amis ! Pour cette course automobile qui oppose Qlark Kalaghan à Nash Dronx, nous avons prévus un défi de taille ! Chacun devra choisir un homme en qui il a une confiance aveugle, aveugle oui car nos coureurs auront les yeux fermés et devront faire confiance à la personne sur le siège passager ! Interdiction de choisir une femme. C'est pas précaution en cas d'accident, dit Bast et la foule crie d'hystérie.

Qlark semble perdu et pour cause.

Tyler, Cameron et Zedd n'y connaissent absolument rien en voiture, ils préfèrent tous faire de la moto et ils enverront Qlark dans une mort assurée.

Qlark doit donc faire un choix de taille.

Nash choisit Alan, un de ses amis et quand Qlark dit à Bast qu'il ne sait pas du tout qui prendre, une voix que je reconnaîtrai entre milles s'exclame :

- Moi j'irai avec Qlark.

Wazter se place à côté de Qlark et lui chuchote quelque chose à l'oreille. Qlark hoche la tête et Bast bande les yeux des deux adversaires.

Ils montent tous dans leurs voitures respectives et la course peut commencée.

Au top départ, Qlark accélère comme un fou furieux, laissant son adversaire quelques mètres derrière lui.

Nous ne pouvons plus voir les concurrents et c'est signe que nous devons tous faire vite pour atteindre la ligne d'arrivée avant les coureurs.

Sept et moi montons rapidement dans la voiture d'Andraz et je ne peux m'empêcher de penser à ses deux hommes auxquels je suis très attachée, dans une voiture, peut-être entrain de risqué leurs vies.

Très vite et grâce aux coups d'accélérateur d'Andraz nous arrivons en premier à la ligne d'arrivée.

- Ne stresse pas, Qlark va s'en sortir, me chuchote Sept en frottant mon dos.

- J'ai l'impression que Qlark va me filé entre les doigts tout comme Ame, c'est horrible, dis-je en engouffrant la tête dans le creux de son cou.

Peu à peu, la ligne d'arrivée est envahit par tout le reste des personnes présentes à la ligne de départ et le stresse me monte à la bouche.

Quelques minutes plus tard des bruits assourdissants de freins et de moteurs nous viennent.

Il arrive. Ils arrivent.

Une voiture noir au loin s'approche et mon cœur manque un battement.

Cette voiture n'est pas celle de Qlark.

La voiture noire s'approche dangereusement de la ligne d'arrivée et sortie de nulle part une voiture rouge devance la noire et passe la ligne d'arrivée.

Il a réussi. Ils ont réussis.

Je saute sur mes pieds et ouvre d'un coup de vent la portière de Qlark.

Il se détache rapidement et me prend dans ses bras fortement.

Il a encore son bandeau sur les yeux mais il sait très bien que c'est moi.

Il le saura toujours.

- J'ai eu peur, soufflai-je dans son oreille.

- Je ne t'abandonnerai jamais camarade, me dit-il en me serrant plus fort.

Il enlève son bandeau et me plante un bisou sur la joue en serrant fort ma main.

Il se détache et part séré la main de tout son fan-club et prendre dans ses bras Kamill.

Sur ma gauche une immense silhouette s'avance vers moi et avant que je ne m'en rendre compte je suis dans les bras imposants de Wazter.

Il transpire de partout, comme si il venait de faire un cauchemar et sa respiration est forte, trop forte. Son cœur bat à mille à l'heure, j'ai l'impression qu'il a eu peur, très peur.

Je lève la tête et attrape son menton.

- Qu'est-ce que tu as ? demandai-je en caressant ses joues écarlates.

- Je..je.. il faut que je parte d'ici tout de suite, dit-il affolé.

- Qu'est-ce que tu as ? répétai-je durement.

- Je.. la voiture... je dois partir... s'il te plaît, me supplie-t-il en bégayant.

Ses beaux cheveux bruns avec des mèches miels sont baignés de sueur et il semble vraiment mal.

- On va dans la voiture le temps que tu te calmes, si tu ne vas pas mieux on ira pas à la fête d'accord ? lui proposai-je en lui prenant la main.

Il hoche rapidement la tête et nous nous dirigeons rapidement vers sa voiture que Kamill a gentillement ramenée en venant ici.

Je grimpe dans la voiture et il s'assoit rapidement sur son siège, pose son front sur le volant et essaye de reprendre son souffle.

Je m'approche et lui enlève sa veste en cuir, la jette sur la banquette arrière et lui donne une bouteille d'eau.

- C'est bon Wazter, c'est fini d'accord ? Calme toi, lui dis-je en prenant sa main doucement.

Il tourne sa tête vers moi doucement et me regarde longuement avant d'ouvrir la bouche.

- Embrasse moi, souffle-t-il.

√√√

Voilà !

C'est le plus long chapitre que je n'ai jamais écrit et j'espère qu'il vous aura plus !

Je pense que vous comprenez tous pourquoi Wazter a fait une crise de panique dans la voiture pour ceux qui ne voit pas de quoi je parle rdv dans le prologue.

Bref !

J'espère que ce chapitre était à la hauteur de vos espérances.

Prochain chapitre demain.

xx

Char'.

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