🐆Petit Prince du Basket🐀

Konbawa minna-san ! 🏀🏆
Je lance le premier O.S. yaoi de ce recueil  ! 🎋✨
Comme d'hab donnez moi votre avis sur le ship AoSaku minna-san ! 🎐♠️
Bonne lecture ! ⛹🏾‍♂️⛹️‍♂️

En ce beau mardi matin, tout allait pour le mieux dans la petite vie paisible d'Aomine, flemme d'aller à l'entraînement, dodo pendant les cours, etc... Mais en ce jour, un événement vint brusquer sa petite vie tranquille, et c'était un petit quelque chose avec son lot de conséquences. Ses parents venaient de lui annoncer qu'il devait épouser une fille de leurs connaissances, une jeune fille de bonne famille.

En ce beau mardi matin, le petit Sakuraï allait au lycée Too, après s'être préparé tranquillement. Il avait réalisé un mignon bento comme tous les jours, et il savait pertinemment que l'Ace de son équipe de basket allait venir le taxer. Pas que cela lui déplaise. En effet, Ryo, de son prénom, se sentait comme attiré par l'aura sensuel et sauvage du jeune Aomine. Ce qu'il aimait par dessus tout, c'était son style de basket, puissant, rapide, agile. Il n'était pas envieux, il savait que Daiki aimait ce sport depuis quasiment sa naissance, à la différence de lui. Sakuraï avait découvert le ballon orange en primaire, en dernière année. Des élèves de sa classe avaient proposé de faire un match, demandant par la même occasion au timide petit brun de venir jouer avec eux, manquant de monde. Les fautes étaient omniprésentes, mais tout le monde riaient et s'amuser. A cet instant précis, une petite fille aux cheveux roses et un petit garçon aux cheveux courts bleus nuit passèrent devant le terrain où jouaient les enfants, avant que le garçon ne voit le match et ne s'empresse de venir leur demander pour jouer avec eux. Il s'appelait Daiki, et son amie Momoi. Tous les deux ont était mit dans une équipe différente, en face to face, et le nouveau venu était dans l'équipe de Ryo. Durant le match, le bleu avait fait une passe au brun, et ce-dernier était encerclé par la défense. L'enfant timide avait reculé de trois pas, et avait marqué, une première du match et de sa vie. Il se souvient alors que ses coéquipiers avaient crier de joie et que le bleu avait techker son poing contre le sien, le faisant rougir, gêné de cette attention sur lui.
Il ne revit jamais ce petit joueur exceptionnels, tous les autres paniers de ce jour-là avaient été mit par le nouvel arrivant et lui-même. Il l'avait ébloui de par sa lumière éclatante.

Des années plus tard, le destin avait mit le brun et le bleu dans le même bahut, la même équipe de basket et la même classe.
Quelques mois passèrent et la Winter Cup venaient de s'achever, le jeune Daiki, accompagnant son équipe lors de ce match épique, venait de percuter une chose incroyable. Dans la Véritable Zone, la porte s'ouvrait par un esprit d'équipe. Et lui, avide de victoire contre Seirin, les seuls qui méritaient son attention et le fait de se donner à fond. Mais en s'ouvrant sur un esprit collectif de jeu, Aomine avait rencontrer un problème, et un énorme, voire un double ou triple. Il venait de se rendre compte qu'il éprouvait des sentiments pour un garçon de son équipe, et ses parents qui avait décider de le faire marier à une fille "digne de lui". Et comme notre héros bleu ne prend jamais de gant avec les gens, il alla voir le garçon de ses rêves (obscènes), et le trouva avec un ballon orange à la main, son sac à dos sur l'épaule en sortant de la classe pour aller à l'entraînement. Il le poussa dans un petit couloir, d'un coup d'épaule, et bloqua son petit minois apeuré contre le mur derrière lui. Il allait être cash et brutal, du Aomine tout craché.
-Sakuraï, épouses moi.
-Qu-quoi ?
-Allé...
-Mais euh... nan ! Pourquoi ? Et puis, je suis un garçon Aomine-san... Tu ne peux pas te marier avec un garçon...
-J'ai besoin que tu fasses style tu sors avec moi parce que mes vieux veulent me coller une meuf déguelasse dans les pattes.
-P-pourquoi ils feraient ça ? Oh je suis désolé, ça ne me regarde pas... pardon !
-Tch. Bon je vais te raconter un peu, mais tu gardes tout ça pour toi, hein ? C'est le plus grand secret de toute ma vie, la seule au courant est Momoï, puisqu'elle est pareille. En fait, je viens d'une famille de riche, genre... j'suis un prince t'as vus ? Et genre... bah... comme tous les princes de ces putain de contes de fées de mes deux ballons, je dois épouser une fille de "mon rang" sauf que j'aime pas les nanas. 'Fin si mais je veux pas de cette nana. Elle est toute plate putain même ma planche à découper à plus de formes bordel !
-A-ah je vois... Bah euh désolé Aomine-san mais je... non. Attends mais t'es un prince ?! Mais...
-Mais pourquoi ?! Je t'apprendrais tout ce qu'il faut savoir, mais il faut que mes parents comprennent que je suis pris !
-Et c'est le cas ? demanda durement le brun. Ce n'est pas bien de mentir Aomine-san.
-Euh bah nan mais j'ai une vue. Et c'est pas cette meuf. Je veux pas niker mes chances avec lui a cause de mes vieux.
-Lui ? Je le connais ? Euh je suis désolé, t'es pas obligé de me le dire...
-Ouais tu le connais, il est dans l'équipe.
-Eh... Wakamatsu-san ?
-Qu-
-AH BAH TIENS ! VOUS VOILÀ VOUS ! L'ENTRAÎNEMENT A DÉJÀ COMMENCER DEPUIS 20 MINUTES, hurla le colosse blond platine dans le couloir.
Aomine prit la main de Sakuraï, et partit en courant et riant comme un gamin fugant. Le petit brun, lui, bah... essayait de tenir le rythme. Ils arrivèrent finalement au repaire secret du bleu, le toit du lycée Too. Lorsqu'il sèche, le grand basané se couche ici et roupille jusqu'à la fin de l'entraînement de basket.
-Aomine-san... j-je dois aller à l'entraînement moi... Je suis pas aussi fort que toi...
-Allé Saku' détend toi un peu, je te donnerai un petit cours particulier pour me faire pardonner, ça te va ?~ sourit le bleu.
-Bon d'accord, mais c'est la dernière fois...
-Ouais ouais.
-E-et qu'est ce que je fais ?
Aomine s'allongea et embarqua le petite tête brune.
-Calme toi tête de champignon, je vais pas te violer.
-Tête de champi- j'ai pas une tête de champignon d'abord !
-D'accord Toad, d'accord.
-Qu-
Outré. Roy était outré de cette insulte, mais il ne pipa mot, du moins, une moue boueuse apparue sur ses traites déjà enfantins. Aussi, il se redressa, car il était étalé sur le torse de l'Ace, et s'assied à côté de lui, regardant le ciel bleu. Il sentit du mouvement à côté de lui, jusqu'à ce que le bleu prenne délicatement son petit minois de sa grande main rugueuse à cause du ballon orange en s'asseyant, et ne le mette face à ses orbes marines. Les minutes passent et simplement ils se regardent, quand le brun commença à avoir les larmes aux yeux, tentant vainement de gagner ce combat de regards face à son Ace. Il rougit et baisse la tête, en essuyant ses belles prunelles noisettes. Mais le bleu continue de le fixer, alors Sakuraï cache son profond regard du sien, en rougissant de plus belle. La main mate du géant se posa sur la sienne, et entremêla leurs doigts ensembles.
-S'il te plaît Ryo, aides moi. Et je te dois deux services en échange !
-Mais ce n'est pas équitable ! Euh désolé...
-Si, parce que de 1, mes vieux me fouteront la paix, et de 2, tu m'éviterais de gâcher ma vie.
De sauver les meubles en gros, pense Aomine.
-Je veux pas d'ennuis moi... p-pardon mais pourquoi ne pas simplement leur dire la vérité ?
-Parce que je... Je veux les mettre sur le fait accompli, je suis gay. Même si je mate des magazines de Mai-chan, c'est parce que elle, c'est une "vraie" femme, mais qui n'existe que dans ces bouquins de cul, pas dans la vraie vie. Et puis, je suis sûr que sa personnalité ne me plairait pas.
Il semble si sérieux, pense alors le brun. Oh non, il est trop craquant, je vais céder...
-A-Aomine-san... Je... j'accepte... S'il te plaît, prends soin de moi... désolé...
Le sourire du bleu à cet instant était éblouissant. Pour ceux qui le connaisse du collège, il eut CE sourire là, le joyeux Daiki de ses débuts. Aussi, il prit le petit brun dans ses bras, ce-dernier crut que son petit kokoro allait exploser (Kacchan 🙃). C'était le même sourire que celui de ce garçon aux cheveux bleus de son enfance, celui qu'il n'avait vu qu'une fois, lors d'un match de basket avec ses camarades de classe.
-Dis... t'as déjà eu ton premier baiser ?
-Euh... mon petit frère, ça compte ?
-Bah je sais pas. C'était un smack, genre ?
-Smack ?
-Bouche contre bouche, qui claque. Comme une bise quoi.
-Ah eux oui, c'était ça... désolé...
-Je t'ai dis que j'allais tout t'apprendre~,  sourit perversement l'Ace.
Lentement, les grandes mains du bleu se posent comme un voile sur les joues fraîches du brun, levant son visage vers le sien, avant de l'embrasser avec toute la douceur du monde. Un simple contact, comme une brise, mais qui fit frissonner nos deux héros. Vous savez, celui qui vous rend léger et lourd à la fois, tendu et détendu...
-P-pourquoi... ?
-Je suis désolé, tu devais le réserver pour l'amour de ta vie. Mais c'est pour que ce soit plus vrai, t'as vu...
-Je... Je comprends... Ça va, ça ne me dérange pas trop...
-Désolé quand même raah !
-Pa-pardon ! Je m'excuse !
-Nan mais perds cette manie par contre, t'es saoulant des fois Ryo !
-Oui je sais. Mais ce n'est pas de ma faute...
-Excuse, j'aurai pas du crier. Bref, à partir d'aujourd'hui, tu vas me faire un bento tout les jours, si tu veux, je te passerai de la tune, c'est pas ce qui me manque.
-M-mais pourquoi ?
-Parce que mes vieux ont des yeux et des oreilles même au bahut, donc il faut que tout le monde sache qu'on est ensembles. Et que je vais t'épouser.
-Je vais mourir de honte... d-désolé !
-Euh pourquoi ? Tu sais, je suis vachement plus sexy que j'en ai l'air~
-Ça n'a rien avoir Aomine-san... C'est juste que... comment dire... bon, déjà mes parents savent que j'aime les garçons, ça fait des années maintenant. Depuis mes 6ans, et euh bah ils attendent 'fin... la suite quoi... un petit ami et tout, et tout... Mais si ils l'apprennent... ils vont vouloir te rencontrer et tout... Ça... Ça me fait peur... parce que tu... tu veux pas faire ça par amour mais par intérêt... Euh... d-d-d-désolé !!!
-Attends attends attends, calmes toi. Respires, et ne pleures pas...
Le bleu enlaça maladroitement le brun, ce qui le fit rire quelque peu, avant de ravaler ses sanglots gênants. Il ne voulait pas pleurer, mais cette situation le stressait beaucoup.
-Ryo ! crit le plus grand en prenant en coupe le visage du brun plein de larmes.
-*snif snif*
-Respire doucement, ça va bien se passer, tu verras, fais moi confiance.
-M-mais Aomine-sa-
-Regardes moi dans les yeux. Détends toi... en fait... s- si je t'ai demandé ça à toi c'est parce que je... Je...-
-DAI-CHAN !!! T'ES OÙ PUTAIN TU DOIS ALLER À L'ENTRAÎNEMENT !!! ET RENDS NOUS SAKURAÏEUUUUH !!!
-Hah ?! JAMAIS !! C'EST TOUTE MA VIE CE CHAMPIGNON !!
-AOMINE-SAN ARRÊTES DE CRIER !!
-POURQUOI TU CRIES AUSSI TOI ?!
-PARCE QUE TU M'ENTENDS PAS SINON !!
-HAHAHAHA !!
Il serra le petit brun dans ses bras, et dit doucement :
-Dis moi, on ne se serait pas déjà rencontré il y a longtemps ?
-T-tu t'en rappelles ?
-Un mignon petit garçon qui fait des shoots magnifiques depuis la ligne médiane, ah bah ouais, ça m'a marqué. Et lorsque je voyais Midorima tirait au collège, je repensais à ce souvenir.
Sakuraï rougit brutalement, en tentant de se décoller du torse chaud et rassurant de son Ace.
-Bakayalo ! Je vais mourir de honte !!
Rien que de penser que le bleu avait penser à lui au collège le rendait joyeux à un point inimaginable. Le bleu riait de la gêne occasionnée sur le visage de son faux-futur mari-petit ami.
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Quelques mois passèrent ainsi, et la Winter Cup était finie depuis 2mois déjà, que ce que craignait Sakuraï arriva bien vite. Son petit frère, au collège de Too, avait entendu parler de cette rumeur, d'un certain Ryo, joueur de l'équipe de basket du lycée, qui sortait avec l'Ace de cette même Team. Fou de joie, le petit collégiens courut jusqu'à chez lui et le vendit à leurs parents. Toya, ce fut son prénom, avait un grand sourire aux lèvres en racontant la rumeur à son père Hiro et sa mère Ayate. Les parents, très heureux de cette nouvelle, commencèrent à se poser mille questions, et lorsque la douce voix de Ryo résonne dans l'entrée avec le célèbre "Tadaïma", sa petite famille lui sauta dessus pour un interrogatoire surprise. Ou presque. Et le bleu fut convier à dîner le samedi soir, et dormir aussi. Et Sakuraï fils aîné se mit à rougir, imaginant mille scénarios dans son esprit pervertie par le bleu sombre de la Génération Miracle.

-Donc je dois venir dîner samedi soir chez toi ?
-Euh oui... Tu vois, je t'avais prévenu ! C'est très gênant tout ça ! Désolé !
-T'inquiète, je prends le risque, et je suis libre, dit gentiment le bleu en lui embrassant son front. Mais dis moi Ryo ?
-Euh o-oui ?
-Tu vas cuisiner ?
-Non, ma mère est meilleure que moi, dans ce domaine, sourit-il comme un ange.
Le coeur de son Ace rata un battement à cette vue, et il déposa ses lèvres aux coins de celle du petit brun, sans s'en rendre compte.
-Hum... Aomine-san ?
-Mmh ?
-T-tu veux bien jouer contre moi au basket aujourd'hui ? Comme on vient de finir les cours et qu'il n'a pas entraînement. Euh si tu veux pas, c'est pas grave hein ! D-désolé !
-Ça peut être cool ouais...
Ce n'est pas que Sakuraï est nul ou fort, même si il a un bon niveau de jeu, si le bleu a dit oui, ce qu'il peut regarder le corps du brun, sans indiscrétion, puisque, trop concentré, Ryo ne se rend pas compte que son torse se dévoile lorsqu'il saute pour shooter.

Ils arrivèrent à un terrain de street basket, vide et posèrent leurs vestes dans un coin, avant de commencer à s'échauffer. Lorsque cela fut fait, le brun prit la balle et débute un dribble tranquille, pour faire languir le bleu. En position défensive, le regard abyssal du plus grand s'illumine. Il allait pouvoir s'amuser un peu.
Après une bonne demie heure à dunker et shooter, les deux garçons décidèrent de faire une petite pause. Chacun alla boire à sa gourde, et une petite blague naquit dans l'esprit farceur de Daiki. Sakuraï avait les yeux fermés en buvant, et le bleu prit un malin plaisir à appuyer sur la gourde, pressant l'eau dans la bouche du brun. Bien entendu, le jeune homme crut s'étouffer, et se mit à tousser, sous les rires d'Aomine, qui se tenait le ventre. En colère, le timide brun aspergea son Ace avec le reste de sa bouteille, stoppant les rires du bleu. Une veine de colère apparue sur son front, qu'il jeta sa bouteille au sol, et courut après Ryo, qui venait de tenter de sauver sa vie en s'éloignant du garçon trempé. Il riait, et implorait Daiki de lui laisser la vie sauve, en s'excusant, malgré ses rires. Soudain, le plus grand attrapa le maillot du brun, et le coucha au sol, en lui tenant la tête, avant d'attérir à quatre pattes au dessus de lui. La chaleur de leurs corps a proximité l'un de l'autre les rendait désireux d'un plus grand contact entre eux. Ils se regardèrent alors dans les yeux, non sans rougir, inclinant leurs visages pour se donner un baiser. C'était devenu commun que l'un ou l'autre n'embrasse son partenaire, et ça avait grandement aider à créer la réputation. Les grandes mains rugueuses de l'Ace s'aventurèrent sous le maillot bleu clair de son brun, tandis que celle de Ryo s'enroulèrent autour du cou de Daiki. Les gestes devinrent moins chastes, le baiser plus langoureux, lorsqu'un raclement de gorge près d'eux ne les forcent à se séparer. Ils levèrent les yeux vers le ciel, pour tomber sur un garçon a la chevelure d'azur.
-Testu'/Kuroko-kun ?
-Bonjour Aomine-kun. Bonjour Sakuraï-kun. Belle journée, n'est-ce-pas ?
-Hum Tetsu'... Je... Oui. Oui, il fait très beau, sourit le bleu en regardant tendrement le brun.
Celui-ci se cacha le visage dans ses mains, gêné.
Les yeux inexpressifs de l'ancienne ombre d'Aomine, les mirent mal à l'aise tout deux, et ils se relevèrent d'un seul coup.
-On... on jouait à se courir après, et j'ai fais tomber Ry-Sakuraï, alors euh bah je me suis emporté... J-je... excuses moi Sakuraï.
-C-c'est pas grave... disons que... Je me suis laissé porter aussi... euh désolé !
-J'ai su que vous sortiez ensembles, alors j'ai voulu vous le demander moi-même, puisque appartement, Aomine-kun sortirait avec un garçon.
-Pourquoi tu dis ça ? s'exclame Sakuraï.
-Saku-
-Et bien parcqu'il y a précisément 2ans, je lui ai demandé de sortir avec moi, et sa réponse était clair. "Tu es un garçon, Tetsu, et j'aime les filles avec des gros nibards".
-A-Aomine-san... c'est vrai ce qu'il dit ?
-Euh... Bah oui... mais c'était avant de te-
-D'accord... j-je vois. Bon euh bah, à demain, Aomine-san, paniqua le brun en s'enfuyant.
-Sakuraï ! Attends !
Il avait oublié sa gourde. Je lui rendrais demain, se dit Aomine. Puis, il se tourna vers son ancienne ombre, et l'attrapa par le col de sa chemise.
-C'est quoi ton putain de problème Tetsuya, hein ? Ça t'amuse de me blesser comme ça ?
-Et moi alors, tu crois que tu m'as pas blessé avec ta petite phrase à la con ?! J'ai pas de seins donc c'est non ?! Ah ! Parce que Sakuraï-kun en a, lui, bah voyons !
-Non, c'est un garçon, mais je l'aime quand même ! Ça se commande pas, les sentiments !
-PARCE QUE TU CROIS QUE JE LES AI DEMANDÉ MOI ?! TU CROIS QUE J'AI VOULU ÊTRE UN GARÇON ?!!
-Tetsu'... pardon, excuses moi, je ne savais pas que j'étais attiré par les garçons avant... avant Sakuraï... Et puis... Tu as Bakagami, lui il t'aime, et je suis sûr qu'il saura te rendre plus heureux que moi..., dit-il doucement en enlaçant le jeune fantôme.
-Mais c'est toi que j'aime... "snif snif".
Kuroko se mit alors a pleurer de tout son coeur dans le torse de son ancienne lumière. Mais vite épuisé par ses larmes, il s'endormit, les yeux rouges dans les bras de Daiki. Celui-ci sourit tristement, et déguaina son portable afin d'appeler le seul qui puisse l'aider dans ce moment difficile pour Tetsuya.
-Oï Bakagami, c'est moi, rejoint moi au street park de basket près de mon lycée. J'ai un colis pour toi, dit il d'une voix pleine de moqueries.
-... j'arrive.
Il raccrocha et se mit à caresser les cheveux bleus de Kuroko. Non pas qu'il ne l'attirait pas, mais Aomine voyait le petit bleu comme un petit frère, plutôt qu'un petit ami. Ce qu'il n'avait jamais dit à Tetsuya, sachant pertinemment que ces phrases là sont humiliantes, pour en avoir reçus au collège, lorsqu'il draguait les plus âgées. Mais enfin, là, il avait un sérieux problème. Il devait se déclarer au brun, et il le fera samedi.

Le lendemain matin, lorsqu'il entra en cours, il alla directement voir le brun, pour son habituel bisou du matin, mais le jeune homme tourna la tête vers la fenêtre, refusant le baiser sur le front de son Ace. Choqué, Aomine fronça les sourcils, et attrapa brusquement le minois de Ryo et lui dit :
-Ne me refuse jamais mon bisou. Imagine je meurs pendant le cours, on se quittera fâchés, et ce n'est pas ce que tu veux, n'est-ce-pas ?
Les yeux du brun se remplirent de larmes.
-Non... Je... Je veux pas... Ao-Aomine-san...
Le bleu cacha le visage (adorable) en larmes de son "faux" petit ami, et lui caressais les cheveux doucement.
-Calmes toi Ryo, ce n'est pas vrai, je vais pas mourir comme ça voyons.
Le brun pensa en lui-même, se disant qu'il devait se déclarer samedi, après le repas, à l'élu de son coeur, donc demain. Il stressait un peu, mais se disait qu'il se sentirait plus léger de ne plus jouer cette comédie avec son Ace. Ses pleurs se tarirent, et il frotta son nez dans le pull d'uniforme de Aomine, qui sourit en voyant le joli visage rayonnant de son brun, quémandant son baiser. Une pensée cochonne traversa l'esprit du bleu furtivement, le faisant quelque peu rougir avec un sourire pervers aux lèvres.
La journée se déroula lentement, et pour une des rares fois où Daiki se présente à l'entraînement, il eut la mauvaise surprise de voir son brun rire joyeusement avec le pivot et nouveau capitaine, ce qui l'a fait entrer dans une colère noire. Cependant, ce qu'il ne savait pas, c'est que c'était un ingénieux plan du même bonhomme, afin de le faire venir plus souvent s'entraîner, et surveiller son petit champignon favoris.
Le soir, Aomine raccompagna son brun près de chez lui, en lui embrassant le coin des lèvres, sensuellement. Alors qu'il s'apprêtait à partir, Sakuraï lui attrapa la main, et lui baisa les phalanges, avant de s'enfuir chez lui en courant. Le plus grand bugua avant de rougir furieusement, un sourire niais aux lèvres.
-C'est pas possible ça, d'être si mignon, se dit le bleu à haute voix.
Puis il tourna les talons, et rentra chez lui.

Il se réveilla vers 15h, le lendemain, et de leva afin d'aller à la douche. Au cas où vous ne le sauriez pas, Aomine n'est pas très pudique, alors il se déplace dans le plus simple appareil dans sa grande chambre, jusqu'à la salle de bain liée. Le test des jeunes femmes de ménages, ne pas s'évanouir à la vue de ce corps de demi dieu parfait, aux muscles saillants et délicats, nu, passer devant vous. Ou de saigner du nez. Il prit son temps, et frotta son corps de partout, avant de sortir, se sécher, et traverser, nu à nouveau, la chambre vers sa penderie. En ouvrant les portes, une quantité incroyable de vêtement était rangés, triés, pliés. Daiki n'est pas vraiment un mec style Ryota Kise, à aller chez l'esthéticienne et tout ça, mais il aimait s'habiller avec class. Il aimait les fringues en fait. Il choisit de mettre une chemise or, le col ouvert, une veste de costume noire  des boutons de manchettes dorés, puis un pantalon chic noir également, avec de fins souliers de cuirs, couleur d'encre. Il mit aussi une chevalière d'or, un cadeau de son père pour ses 16ans et se parfuma légèrement, et regarda sa montre. 18h47. Bon, heureusement qu'il n'avait pas stipulé d'heure, sauf qu'en règle générale, on soupe vers 20h. Et arriver 1h à l'avance n'est pas très poli. Il se fit donc conduire en limousine.

Toya, le petit frère de Ryo, scrutait la rue devant chez eux, l'avertissant si il arrivait. L'aîné se rongeait les ongles, stressant à tout bout de champ, et failli même s'évanouir lorsque le petit garçon hurla qu'une grande limousine noire venait de s'arrêter devant chez eux. Un grand et beau jeune homme en descendit, et le garçonnet courut à la porte, lui ouvrir, en souriant et faisant une révérence. En voyant cela, Daiki rit de bon coeur, en s'accroupissant devant l'enfant, et lui tendit une sucette. Toya lui sauta au cou, et Ayate, la maman, vint à leur rencontre. Elle sourit doucement, et appela son dernier né à rentrer, avant de regarder son invité. Un très bel homme, en effet, sourit elle en elle-même. Je me demande ce qui le fait craquer chez mon Ryo ? Il se releva, et baissa les yeux sur le visage de son côté, et prit délicatement sa main, lui donnant un baise-main, la fesant rougir.
-Enchanté, mademoiselle~, sourit-il, charmeur.
-Ravi de te rencontrer, jeune homme, je suis la mère de Ryo et Toya, enchantée de même.
-Je croyais avoir affaire à sa soeur, vous m'en excuserez, vous êtes si belle~.
-Vil flatteur, dit la mère en le faisant entrer.
Le père arriva à son tour, et lui tendit la main. Aomine la serra, d'une forte poigne, en souriant grandement. Son père était grand, pas autant que lui, mais une forte carrure. Sûrement un ancien rugbyman. Les deux hommes se lâchèrent, un sourire entendu à la clé. Puis ils passèrent au salon, ou le principal intéressé s'était réfugié. Il regardait le feu dans la cheminée, les nuits étant froides dans cette ville. Il se retourna, et crut se mettre à pleurer tant son Ace était beau. Timidement, Ryo avançait, et prenait de l'aplomb, en venant se serrer dans les bras du bleu. Il le fit légèrement tournoyer, parce que le brun n'était pas vraiment un poids plume, et se mettant de profil, en face de la petite famille, avant de s'embrasser sagement sur la bouche, et de coller leurs fronts ensemble.
-A-Aomine-san- t-tu es...
-Oui Ryo ?
-Tu es... magnifique...
-Tu l'es tout autant mon coeur.
-Anhw, firent la mère et le fils derrière.
Le père, lui, sourit simplement.
-Bonsoir, je me présente, Daiki Aomine, pour vosu servir. Merci pour votre invitation à souper.

Quelques plus tard, et l'on arrivait au dessert. L'ambiance était chaleureuse, très différentes de celles du palace où il habitait. Puis, Hiro, le père, posa LA question tant redouté.
-Et sinon, Daiki-kun, dis moi, qu'est ce que tu préfères chez Ryo ?
-Mmmh. Ce que je préfère ? C'est difficile à dire. Je dirais... son tempérament. C'est ce qui m'a le plus frappé chez lui. Il a l'air timide et doux en réalité, mais sur un parquet, il devient monstrueux. Il analyse tout, et shoote avec une grande précision, ce qui est très difficile, croyez moi, c'est un talent. Mais il est aussi rapide, calme, et son soutien est splendide. C'est simple, dans ces moments là, il refait ma journée, hahaha ! C'est pour cela que je l'aime tant !
Le coeur du brun rata un battement, mais son père lui posa alors la même question.
-C-ce que j'aime chez lui ? Et bien euh... son jeu de basket, en premier oui. Mais j'aime aussi son rare sourire joyeux, son aura aussi. Et j'aime son visage. Ses traits durs et qui peuvent être doux. Son mental d'acier, de battant, son corps, tout... j'aime tout chez lui... euh d-d-d-désolé c'était ultra gênant !!! Hah pardon !!! cria-t-il, très gêné.
Les mots du brun avait enflammé le visage du bleu, qui tentait de sourire pas trop niaisement. Il venait clairement de lui faire une déclaration, il était pas fou ? Mais à le vue du visage rouge ecrivisse de Ryo, Daiki en conclut que c'était les réels sentiments du plus petit et il ne put s'empêcher de lui prendre la mains sous la table, en lui embrassant la joue. C'est sur cette note que tout le monde se mit à débarrasser, démarrer le lave-vaisselle, et monter se mettre en pyjama, après tout, il était pas loin de 23h45. Mais une fois seuls, les deux ados ne savaient plus quoi se dire. Aussi, Aomine prit la main du brun et le jeta sur la lit de ce-dernier, lui faisant pousser un petit râle de mécontentement pour ce traitement. Mais lorsque l'Ace s'écroula lourdement sur lui, il s'étonna plutôt de ce comportement. Il s'attendait à ce que le bleu ne l'engueule pour sa déclaration plutôt, mais il sentit bientôt les lèvres taquines du bleu dans son cou, le besotant avec tendresse.
-Ryo~, susurre Aomine dans son oreille.
-Hiii ! O-Oui... ?
-C'est vrai que tu... que tu aimes mon sourire ?
-M-moui...
-Alors tu me donnes encore plus envie de sourire, si tu l'aimes. Je t'aime Ryo, je t'aime vraiment, t'as fais un shoot parfait à 1 millions de points dans mon coeur...
-Mais... et ce qu'a dit Kuroko-kun, jeudi soir ?
-Il faut que je te dise, répliqua-t-il en se redressant. Lorsqu'il m'a fait sa demande, je n'aimais que les femmes, c'est à dire au collège. Puis, j'ai commencé à regardé mes partenaires dans les vestiaires un peu plus que la norme, et j'ai eu un déclic. J'aimais les deux. Et puis je t'ai re-rencontrer, toi, Sakuraï Ryo, shooter du lycée Too. Ta tête ne m'était pas inconnue, mais je n'arrivais pas à remettre un moment dessus, et au fur et à mesure du temps, j'ai réussi. Puis on a perdu la Winter Cup, et mes vieux m'ont présenté la meuf en question. Elle non plus ne veut pas de ce mariage arrangé, alors on a mit au point un plan pour cela. Et je t'ai proposé de sortir avec moi pour de faux, parce que je ne savais pas que tu m'aimais aussi ! J'aurai su, je t'aurai tout dis... Mais je ne le savais pas, excuses moi Ryo, je m'en veux..., soupira-t-il tristement.
-Aomine-san..., chuchote le brun, émue.
-Je t'aime, crois-moi je t'aime pour de vrai !
-Parles doucement ! Je te crois, cris pas, je te crois Aomine-san.
-Tu m'aimes aussi ?
-...Oui...
-Alors tu... tu veux bien sortir avec moi... pour de vrai ?
-Non.
-Hah ? Pourquoi non ?
-Est-ce que toi ! Tu veux sortir avec moi ? demanda-t-il timidement.
Le grand bleu prit le visage du brun dans une main, écrabouilla tendrement sa petite bouche et posa ses lèvres sur les siennes, passionnément. Son autre main vint caresser le ventre musclé du brun, soupirant de plaisir. Mais la chaleur et le désir montrèrent rapidement dans la petite chambre du brun, si bien qu'ils se déshabillèrent mutuellement, ne cessant de s'embrasser. Mais lorsque Daiki allait touché le corps du brun, celui-ci frémit.
-T'inquiète bébé, on va pas le faire ce soir, je vais juste... nous soulager..., dit il perversement en avisant leurs deux sexes en érections entre eux.
La main aux doigts fins de Ryo glissa sur son propre ventre et caressa délicatement le pénis de son copain, le faisant râler doucement de plaisir. Celle de Aomine attrapa l'entrejambe de Sakuraï, en lui baisant le cou de bisoux papillons. Puis il léchouilla son oreille, et pousser de petits bruits obscènes. Ensembles, ils frottaients le sexe de l'autre contre le leur, en camouflant leurs gémissements par de langoureux baisers mouillés. Puis, Ryo se cambra et se libéra dans la main de son amoureux, ce qui fit venir le bleu dans la sienne. Ils s'essuyèrent les doigts, et le bleu vint cueillir son petit champignon entrain de s'endormir au creux de ses bras.

2mois plus tard, les examens de fins de secondes venaient de s'achever, et les résultats donnés. Et il se réunit avec la Génération Miracle au complet, et y apparut plusieurs faits intéressants. Murasakibara sortait avec le psychopathe Akashi depuis la quatrième, surprise générale, mais pas tant que ça, lorsque l'on sait qu'il est le seul à qui il obéit sans broncher, on sait pourquoi maintenant. Mais le couple le plus étrange fut probablement Midorima et Kise. Et, pervers comme il est, Aomine avant poser LA question, qui est en dessous ? La réponse de Midorima :
-Voyons Aomine, ce n'est pas difficile à comprendre. Tu as bien vu la tête de cet imbécile, ce n'est sûrement pas moi qui vais être en dessous.
Thug life.
Et là réplique de Kise :
-Ouin Midorima-cchi est méchant avec moi, Kuroko-cchi, grondes le s'il te plaît !
-Midorima-l'un est assez grand pour savoir quoi faire, soupire mon ancienne ombre dans les bras de Bakagami.
Ce-dernier, heureux comme un coucou, ne se doute pas un seul instant que son couple est né grâce au bleu sombre. Nan mais après il va pas arrêter de me lécher les baskets, elles vont être couvertes de sa salive ! pense Daiki en rageant tout seul dans sa tête.
Puis il annonça son couple avec Sakuraï, que Kuroko prit soin d'éviter du regard, sûrement honteux de son comportement, ainsi que ses résultats aux examens, plutôt satisfaisant. Il avait obtenu une moyenne de 12, ce qui était correct pour son attention en cours quasiment nulle. Aussi, le brun eut une idée de récompense à l'égard de son Ace adoré. Il allait s'offrir à lui, en lui demande d'aller lui faire visiter sa chambre.
-Aie je suis trop jaloux ! Sakuraï-cchi va visiter la chambre de prince d'Aomine-cchi !
-Haha, c'est parce que mon Ryo c'est mon petit prince, alors arrêtes de rager ou Midorima va devoir de fouetter au lit ce soir.
A ces mots, un mystérieux sourire emplis de sadisme naquit sur les lèvres fines du membres de le plus spéciale de la Génération Miracle, pour le plus grand mal(bon)heure de la future victime. R.I.P. les fesses de Ryota cette nuit-là.

En arrivant chez lui, Daiki donna des instructions simples à ses dames de ménages, et fit passer une douce soirée au brun. Puis il l'emmena dans sa chambre, ou l'invité alla se laver. Une choix qu'il se sentait propre, il mit un léger peignoir suspendu, sûrement à son hôte, et entra dans la chambre, le bleu sur son lit à tcheker son portable.
-Hum hum.
-Mmmh ? Qu- WOUAH ! Mais t'es super sexy babe ! C'est pour moi ça ?
Ryo hocha la tête, mort de honte. Daiki sauta alors du lit et vint le prendre dans ses bras comme une princesse, et le coucha dans les draps propres. Une pluie de baisers tendres envahissaient le torse du plus petit, pendant que des mains relevaient les pans du tissu des cuisses su shooter. Le jeune Aomine, plein de fougue et d'excitation, tentait de calmer le feu ravageur qui brûlait ses entrailles. Il voulait le posséder, maintenant, mais il se retient. Il ne veut pas qu'il souffre car il a fait le gamin à s'impatienter. Aussi, il fit des bisoux partout sur les jambes imberbes du brun, sourit en entendant ses gémissements de délice. Il approchait son visage du sexe dur de son amant, avant de le mettre en entier entre ses lèvres, et de commencer un mouvement de vas-et-vients dans sa gorge. Il jouait des vitesses, de sa langue habile pour faire crier le petit brun, avant de commencer à masser la zone qui allait le recevoir. Puis il entra un doigt lubrifié, et Ryo, trop concentré sur le plaisir qu'il ressent sur son sexe, ne sent ni même le 2eme doigts en lui. Le troisième par contre, le fait couiner de douleur, et mais le plaisir reprend très vite le dessus. Daiki écartés les chairs brûlantes de son amant, et de remettre une dose de gel sur ce petit trou qu'il lui donne de plus en plus envie. Il enfile une capote à Ryo, puis un a lui, badigeonne sa queue de lubrifiant et plonge d'un seul coup avec fougue dans l'antre chaude. Il tripote les petits tétons de son brun, tentant de lui faire vainement oublier sa présence en lui, et l'embrasse sur le visage, ses paupières, son nez, ses joues, avant qu'un petit mouvement ne lui indique le départ. Alors il va doucement, et ne tarde pas à trouver la zone de plaisir d'un homme, et de la martelant de grands coups de reins secs et profonds. Il enchaine la rapidité et la force, avec la douceur et la finesse, pendant une bonne demie heure. Et lorsqu'il voit le visage rougie et humide de larmes de Sakuraï, qui crit son prénom en jouissant dans son latex, cette vision plus qu'érotique le fait venir dans le préservatif. Il les débarrasse de tout ça, et jète les capotes pleines, avant de venir nicher le petit nez du brun dans son cou.
-Bonne nuit mon coeur, fais de beaux rêves.
-Aomine-san c'est pas le moment de scorer !
-Nani ?!
-Zzzzzzz...
-Ah ouf il dort, 'tain tu m'as fais peur, petit prince, mon petit prince du baskte ❤ Je t'aime, Sakuraï Ryo.
-Je t'aime, D-Daiki...
-K-Kawaï...

Et voilà, c'est la fin, vos avis ?  Impressions ? ✂️🌡
Que pensez-vous de ce ship ? Et des autres ? Les secondaires ? 🎉🔥
Allé, à bientôt ! 💫🍁
#Narvalot 💙👌🏾

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