chap 6 : effacer la mémoire...
Les vacances.
Cette chose que l'être humain affectionne.
Pas seulement eux...
Moi aussi.
C'est mon moment préféré.
Si je puisse le dire.
Mais...
Elles sont déjà finit.
Déjà partit.
Déjà loin de nous.
Nous trompe-t-elle?
Excusez mon humour nul.
S'il l'apprend il va encore m'effacer la mémoire.
Je ne veux pas.
Normalement je ne suis pas d'ôter de volonté.
Il le sait.
Il m'efface encore la mémoire.
C'est pour que je ne me rebelle pas.
Un message.
Je dois tuer quelqu'un.
Cela faisait longtemps.
Je m'habille en noir.
Je prends mes armes.
Les cachent.
Je sors de chez moi.
Je l'observe.
Il parle à quelqu'un.
Je ne peux pas attirer l'attention en le tuant maintenant.
Il va au toilette. Je sors et rentre par derrière.
Je le trouve.
Il me fixe.
Je sors mon silencieux.
Il souris.
Je le vise.
Je tire.
Je pars par la où je suis rentré tout en faisant explosé les toilettes.
Une petite grenade pour ne rien laisser.
Je rentre chez moi.
Ma paie était déjà là.
A me regarder.
Je me douche.
Pour être propre.
J'ai raté les cours.
J'irais après.
Je suis de bonne humeur.
Enfin, je crois.
Je ne me comprendrais jamais.
Je suis un Automate.
Un Automate n'a pas de sentiment.
Mais... moi, j'en ai.
Alors suis-je vraiment un Automate?
Suis-je vivant?
Qui sait.
Peut-être que tout est un mensonge.
Que ce monde est un mensonge.
C'est mal le mensonge.
Ca détruit.
C'est comme la guerre.
Trop de mort.
Trop de victime.
Trop de tout.
Mais c'est l'homme qui à créé tout ça.
Mais, ça l'a aidé à progresser.
A devenir plus intelligent.
Même si ça peut laisser à désirer pour certain.
S'il n'y aurait pas eu ces guerres, il n'y aurait pas les télévisions,
les ordis,
les téléphone,
les vêtements,
rien de tout cela.
Il faut ce contenter de ce qu'on a.
C'est difficile à appliquer.
Mais c'est une des milliers des phrases juste.
Beaucoup de phrases sont fausses.
D'autres sont vrais.
D'autres sont indéfinissable.
C'est la réalité humaine.
La réalité qui fait le plus mal.
Celle que personne ne veut avouer.
Faute avouer à moitié pardonner.
Je l'aime bien cette phrase.
Simple.
Efficace.
Rien à redire.
"L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive;
Il coule et nous passons"
Alphonse de Larmatine.
D'après mes souvenirs.
De ce que je me souviens,
Je n'ai pas de parent autre que le Patron.
Il/Elle est comme un parent.
Elever.
Nourris.
Et enseigner.
Ma vie se résume à tuer, vivre, tuer.
Et encore tuer.
Mais c'est pour nettoyer la Terre.
C'est excuse n'est valable pour personne.
Tuer c'est mal.
Tuer est puni.
Mais aucune punition n'est à la hauteur pour un meurtrier.
Mais ne nous étalons pas aussi loin.
Retournons de cette réalité.
Fuis par tant de personne.
Préférant loin de là le monde des rêves.
Bercés par des mensonges.
Des mensonges si réaliste que l'ont croirai une réalité.
Mais laissons ces personnes dans leur réalité.
Retournons dans la notre.
Parce qu'il n'y a que la vérité qui blesse.
Parfois, il faut savoir garder la vérité.
Savoir garder la réalité.
Ne pas la dévoiler.
Pour ne causer aucun tord,
Il faut au moins respecter ça.
Mais il n'y a pas de mal à dévoilé la réalité,
La vérité, au grand jour.
Cela aurait finit par arriver,
Un jour où l'autre.
Seul l'avenir pourra nous le dire.
Continuons d'avancer, de parler, de respirer, et de vivre notre vie.
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