J'avais besoin d'y retourner, trop longtemps que je ne m'étais pas confié. La lune me manqué affreusement, tous me manqué le vents dans mes cheveux, la manière dont les étoiles se voyaient si bien de la haut.

La sensation de plané en haut de cet immeuble et surtout le fait que je pouvais sauter à tous moment. Cette amertume dans l'esprit et l'envie de respiré d'un aire pure alors qu'on est mauvais. C'était paradoxal la manière dont j'essayais d'être quelque chose la haut et une fois descendus je voulais mourir.

J'avais besoin, un besoin fou de dire à la lune que j'étais perdu. J'étais neutre d'apparence mais tous explosé à l'intérieur de moi.

Mon prof était encore la et je n'en pouvais plus de lutter. J'avais besoin de lui, mais j'aller explosé et en même temps le détruire avec moi lorsqu'il sera attaché. Je n'ai rien rattachent je vous assure mais je sais que l'humain est comme ça. On s'attache pour après être déçu et ça c'était encore à cause de la vie et malgré nous inévitable.

J'étais encore en bas de cet immeuble ou j'avais juré de plus remettre les pieds parce qu'il était là, parce qu'il avait pénétré une partie de moi, une faiblesse que je cachais. Et malgré moi et tous ça, j'avais terriblement aussi besoin de lui.

Mais je ne lui dirais pas, à quoi bon encore se faire du mal lorsqu'on est déjà à bout.

Je monte lentement dans ce bâtiment que je connais comme ma poche et vais dans mon endroit secret. Il se faisait assez tard pour certain mais pour moi c'était l'heure idéal, la ou il a les plus belles étoiles et le vent toujours assez bon malgré l'hiver qui s'installe doucement.

Je rentre d'un pas décidé et me rend doucement sur le toit. L'odeur de la vieille pluie à un amertume de mélancolie, l'odeur  d'un passé abîmer que j'oubliais une fois monter ici.

Je m'assied sur le muret les pieds dans le vide et le regard neutre par une ville dont les souvenirs sont trop douloureux pour que je ne m'en rappelle dans un endroit aussi magnifique.

Je regard la lune s'éclairer de sa plus belle lumière et admire chaque étoile dans sa totalité. J'ai tellement de chose à lui dire mais tous mes sentiments son partager. Je ne sais plus quoi penser.

Les sentiments ?

Trop longtemps que je n'ais pas entendu se mot, un mot à mon goût trop abstrait.

Trop longtemps que je n'est pas eu à faire à se sentiment qui te remet en question, un sentiment qui te met le doute à chaque fois, à chaque petite chose de ta vie qui te tient à cœur.
Je ne voulais plus en parler parce que je savais exactement pourquoi mes sentiment changer tous un coup, je ne parle pas d'amour mais tous ça est assez compliqué comme ça.

Je doutais tellement que mon cerveau fumé de question sans réponse, mon cœur lourd par le doute. Tellement lourd qu'il me fais culpabiliser, j'ai l'esprit trop embrouillé pour ne pas s'énerver.

Je regarde la lune une nouvelle fois les larmes coulant par tant d'incertitude.

Je voulais tellement le laisser rentré dans ma vie mais j'avais trop peur que je m'attache et qui me laisse tomber. Je ne m'en  relèverait pas.

Moi: pourquoi moi ?

La sensation d'un chaleur derrière moi et bizarrement sa me faisait pas peur comme les autres fois, c'était rassurant parce que je savais que c'était lui.

L'odeur d'un parfum que je connaissais déjà, une carrure que j'avais appris à mémoriser en fermant les yeux, c'était lui encore j'en étais sur.

Mon esprit me disait de m'énerver parce qu'il rentrer encore dans ma vie, dans mon espace et dans mes barrière de sécurité mais moi cœur voulais qu'il s'assois et qu'il parle tous la nuit avec moi, critiquant la ville qui se détruit peu à peu, de l'humanité qui veux nous avoir comme des cons et des étoiles qui sont juste au dessus de nous.

Mais je ne savais pas quoi dire ni quoi faire pour lui montrer que je voulais malgré moi, qu'il reste.

Harry: je savais que tu étais là...

Je n'y répondu pas, je me suis juste décalé pour lui laisser une place à côté de moi.

Harry: j'ai un peu peur du vide mais je veux bien m'assoir à côté de toi.

Je n'ais pas voulu le regarder lorsqu'il s'est assie sur le muret de pierre, ni lorsqu'il c'est approcher de moi jusqu'à m'effleurer, et j'ai fermer les yeux lorsque sa chaleur m'a envahie. Il chuchotais comme pour ne rien brisé il avait aussi compris que cette endroit était magnifique et que chaque petite chose pouvais le brisé.

Je n'avais toujours pas quitter des yeux la ville endormie de Doncaster, je regardais chaque lumière superflu qui la recouvrait.

Après un moment de silence je me retourne vers mon prof pour le regarder et je détaille discrètement chaque passerelle de sa peau. C'est ma manière à moi de cerner les gens, et malgré sa je ne savais toujours pas pourquoi se prof s'intéresser tant à moi et pourquoi il simissait dans ma vie malgré que je le repousse.

Alors je le regarder, le scruter, et le detailler à chaque fois pour avoir mes réponses sans lui demander mais je ne trouvais rien. Je n'avais aucune idée de ses attentions.

Je regardais sa chevelure bouclé volé dans la nuit grâce au vent,sa mâchoire toujours autant prononcé et c'est lorsque des yeux verts se mit aussi à me détaillent, que ma  première barrière c'était brisé.

Il avait l'air sincère, je ne le dégoûter pas et se n'était pas de la pitié mais que de la sincérité. Je ne réussi même pas à regarder autre chose que lui parce que son vert jade était tellement sincère et pure. Si beau.

Il me m'était a nu à chaque fois que ses yeux se posés sur moi.

Il se remit doucement à regarder la ville de Doncaster pendant que j'essayer d'avoir les idées clairs.

Il avait brisé l'une de mes barrière comment je devais le prendre ? J'étais effrayé mais c'était lui et j'avais pas peur de ça.

Harry: chaque lumière de la ville cache une étoiles.

Il chuchotais toujours, on étais tellement proche que je l'entendais comme s'il me parlait normalement. De sa voix rauque il me dit quelque chose que je savais déjà mais ça il ne pouvait pas savoir.

Moi: je sais.

Je ne savais pas avec qu'elle force j'avais dit ses mots mais je les avaient dit, c'était comme pour lui pardonner.

Je lui pardonnais de rentrer dans ma vie sans mon accord je lui pardonnais d'avoir utiliser mes questions dans son cour et je lui pardonnais de me chambouler.

Il soupirait de bien être comme si le fait que je ne lui parle le soulager. Je ne pouvais pas savoir. Il inspirait bruyamment l'air et expiré lentement.

Harry: tu vois toute cette lumière artificielle ? C'est une image abstrait de se que la nature nous donne de plus beau.

J'acquiesce doucement et je le regard gigoter à mes côtés pour s'allonger de sa totalité sur le mur de pierre. Je pouffe légèrement par un crie de peur, et je me rapprochent doucement de lui.

Il m'inspirait confiance et c'est de la même confiance qu'il avait posé sa tête sur mes cuisses. D'un naturelle totalement inconnu pour moi que j'ai plonger mon regard dans le siens et d'une habitude que je ne devrai plus avoir que je me suis enfuit doucement après un long moment a regarder la ville, ensemble.

Mais cette fois la je ne partais pas parce que je ne voulais plus le revoir, je partais parce que c'était trop nouveau pour moi, mais je promettais silencieusement que j'allais revenir. Mais ça il ne pouvait pas savoir.

Pdv de harry

J'allais l'attendre autant qu'il faudrait.

***

Coucou les amours alors voilà la suite j'espère qu'elle plaira j'ai mit ton mon cœur comme d'habitude, cette fiction me tien beaucoup à cœur ^^, laisser moi pleins de commentaire c'est se que j'aaime le pluuuuuus :)

♥♥♥♥

Je dédie se chapitre à solenesevrette pour tous ses msg en privé qui mon fait plaisir et qui m'a inspiré pour la fin du chapitre :) ♥

Vous pensez qu'il va se passé quoi au prochain chapitre ? ^^

Merci de me lire je vous aime !!